Deux semaines se sont écoulées depuis notre séance de cinéma où Cécile s’est laissée caresser jusqu’à jouir. Il me tarde de la retrouver et de reprendre nos jeux mais il ne nous est vraiment pas facile de trouver un moment tranquille tous les deux.
Je la croise régulièrement dans le village, nous pouvons bavarder innocemment. Même les textos nous sont interdits, trop dangereux! Pas même moyen de lui voler un baiser.
Nous finissons par nous créer des emails grâce auxquels nous pouvons quand même communiquer. Je lui dit régulièrement combien j’ai envie d’elle et comme il me tarde de pouvoir aller plus loin. Et Cécile joue un peu avec mes nerfs, très taquine, et même joueuse. Un beau jour, elle m’écrit que pour agrémenter l’attente et dans l’espoir de faire l’amour avec elle, il me faudrait découvrir son corps sans le voir. Dès qu’une occasion se présentera, je devrais apprendre ses courbes, uniquement par le toucher, seulement les endroits désignés par elle et lui obéir totalement.
Une semaine plus tard, je suis au bureau quand je reçois un mail ne contenant que quelques instructions:
Ce soir 19H00, le nom du film et de la salle de cinéma et ajoutant mes seins, rien d’autre, tu ne diras pas un mot comme si on ne se connaissait pas.
Le soir même, je me rend bien sûr au rendez vous. Je la cherche dans la salle. Elle s’est mise au fond, dans un coin. Je la rejoins et m’installe à côté d’elle. Elle ne me regarde pas comme si j’étais un inconnu. Nous sommes seuls dans notre rangée, pas de voisins. Je ne dis rien, respectant le pacte. Elle est magnifique, sa belle chevelure noire retombe en cascade sur un joli chemisier blanc très sage. Une jupe noire assez ample complète sa tenue, découvrant ses genoux et le début de ces cuisses.
Enfin, le film commence et avec lui l’obscurité. Je suis indécis, je ne peux pas lui parler, c’est le jeu. J’ai bien essayé de lui toucher le genou mais elle l’a écarté. De même, elle enlève ses mains quand j’esquisse une caresse sur elles. Mon objectif est donc simple, il me faut atteindre sa poitrine. Le fait d’être assis côte à côte ne rend pas la chose aisée d’autant plus que même en l’absence de voisins immédiats, je dois rester discret.
Je passe alors mon bras derrière sa tête, elle ne proteste pas. Je peux enfin descendre ma main sur le haut de sa poitrine que je sens frémir à travers le chemisier. De mon autre main, je peux déboutonner un puis deux boutons et la passer à travers l’échancrure ainsi créée. Mais il reste un écran! Comment me débarrasser de cette barrière qu’est son soutien gorge? En tâtonnant, je m’aperçois d’un laçage devant, au milieu. Je tire sur ce petit cordon et au miracle, la prison s’ouvre, libérant les trésors que je convoite. La respiration de Cécile s’est un peu accélérée, et elle soupire quand, enfin, je peux sentir la peau nue de son sein dans main, en sentir la rondeur si souple. Ma main continue de parcourir cette peau si douce jusqu’à toucher un mamelon. Il est dur et fièrement dressé. Je peux le caresser, provoquant un gros soupir d’aise chez ma compagne.
Dans la pénombre, je la vois sourire, elle me regarde et me murmure de continuer. Pendant quelques minutes, je peux caresser ce sein, sentir sa tiédeur. Je ne le vois pas, mais je l’imagine facilement. Pas besoin de vous dire à quel point cette situation m’excite.
Et là, je sens que Cécile s’agite quelque peu. Je pense d’abord que quelque chose la dérange mais en fait non. Malgré l’obscurité, je me rends compte qu’elle vient de remonter un peu sa jupe et que sa main gauche disparait sous le tissu. Elle se caresse!
Mon excitation monte d’un cran, je voudrais pouvoir la prendre, là, tout de suite. Mon sexe est dur, il me fait presque mal. Cécile a le souffle de plus en plus court, je peux sentir les mouvements de son bas ventre, de plus en plus rapides, ses seins sont gonflés. Et tout d’un coup, elle se tétanise, sa main libre se porte à sa bouche. Elle la mord, réprimant un cri avant de se relâcher totalement dans son siège. Moment émouvant, rien n’est plus beau qu’une femme qui jouit, même si de mon côté, je reste un peu sur ma faim. Nous resterons ainsi épaule contre épaule jusqu’à la fin du film.
La séance est maintenant terminée. La lumière est revenue, nous redevenons de simples connaissances. Cécile a réajusté ses vêtements avec discrétion, remis son manteau et me fait un chaste baiser sur la joue. Je sens qu’elle me glisse un objet dans la main en ajoutant "n’oublie pas ton trophée" avant de partir et de quitter la salle. J’ai glissé l’objet dans la poche de mon blouson et c’est seulement dans la voiture que je peux regarder ce qu’elle m’a donné: son soutien gorge !
A peine rentré chez moi, je misole pour lui écrire un mail. Je lui dis combien jai apprécié ce moment et comme il me tarde de pouvoir contempler cette poitrine que je ne connais que par le toucher, lécher ces seins que je sais superbes, mordiller ces mamelons.
Le lendemain, Cécile ma répondu. Elle aussi a apprécié ce moment et a hâte daller plus loin mais me rappelle que jai accepté le jeu et quil me reste quelques trésors cachés à découvrir par le toucher avant de pouvoir les contempler. Elle ne sera à moi que quand jaurais finis ces gages.
En même temps, elle me rassure et mexcite en me prévenant que je nai plus quune épreuve tactile à passer. Et que cette épreuve comprendra également la découverte dun trésor caché. Ma curiosité est piquée au vif, que peut telle bien cacher ?
Quelques jours plus tard, elle mannonce quelle rentrera tard dun déplacement et elle me propose de sarrêter avant darriver chez elle et que nous dinions ensemble. Elle souhaite que le dîner soit « sage », quelle gardera linitiative de la soirée . Elle décidera si je mérite de tenter de valider mon gage.
Serez vous étonné si je vous dit que jai alors accepté linvitation ?