Bonjour à tous les lecteurs ; l’histoire que je vais vous narrer peut sembler fictive de par la prévisibilité de son déroulement, mais elle est bel et bien réelle, si bien que le simple fait de l’écrire me replonge dans mes souvenirs et fait remonter une flopée d’émotions encore bien ancrées en moi.
Pour commencer, je me présente : je me prénomme Tiffany. Actuellement, j’ai 31 ans. Je suis ce qu’on pourrait qualifier de petit gabarit (1,66 m pour 54 kg). Mes cheveux mi-longs et légèrement ondulés sont d’un blond tirant sur le châtain, et mes yeux sont verts. Quant à mes formes car oui, Messieurs, je sais l’importance que cela a pour vous je dirai simplement que mes seins sont à l’image de mes fesses, pas énormes mais bien ronds et fermes, sans pour autant être petits.
Ma première expérience avec un animal fut extrêmement marquante et perturbante pour moi, aussi j’ai dû faire un gros travail sur moi-même avant d’admettre que cet évènement inattendu m’avait changée ; et après coup, avec le recul, j’avoue qu’il m’a donné envie de m’abandonner éventuellement à une nouvelle expérience.
Ce jour-là, je me dirigeais vers mon travail (employée de bureau dans une entreprise de vente en ligne entre particuliers et entreprises), vêtue comme à mon habitude simple mais élégante du moins je l’espère d’un tee-shirt à manches courtes, d’un jeans et de sandales à talons (je porte presque tout le temps des chaussures à talons afin de regagner les quelques centimètres que je rêve de posséder naturellement).
Sur mon chemin, j’ai croisé un de mes collègues qui essayait péniblement de retenir un gros chien en laisse. Je ne m’y connais absolument pas en chiens, pardonnez mon ignorance, mais selon mon collègue il s’agissait d’un rottweiler royal, très beau mais aussi très effrayant de prime abord. Il venait de le trouver en pleine rue, la laisse pendante, et le chien l’avait suivi sur presque tout le trajet. Vu l’heure tardive à laquelle il l’avait recueilli, il n’allait pas pouvoir l’emmener chez le vétérinaire avant le soir ; il a donc décidé de garder l’animal avec lui toute la journée au bureau.
Après une journée passée à le côtoyer, cet énorme canidé me semblait moins terrifiant, mais il m’impressionnait tout de même par son côté brut et très intimidant.
Le soir venu, mon collègue fut interpellé par notre responsable de service, sans doute par rapport à ses résultats de fin de mois peu concluants. Comme notre chef de service a pour coutume de faire durer ses entretiens assez longtemps, mon collègue m’a demandé de garder l’animal avec moi jusqu’au soir, si bien que je l’ai amené à mon domicile.
Tout s’est bien passé jusqu’à ce fameux coup de téléphone de mon collègue qui m’annonça que, vu l’heure à laquelle son entretien s’était terminé, le vétérinaire était fermé et qu’il ne pourrait récupérer le chien que le lendemain car il serait de repos.
Cela ne me plaisait pas car ce chien me mettait mal à l’aise, et j’avais prévu de sortir entre amies ce soir-là. J’avais d’ailleurs revêtu pour cette occasion une jupe tube et un chemisier en satin que j’avais achetés l’avant-veille en prévision de cette sortie ; j avais également chaussé une très jolie paire d’escarpins à brides que j’avais hâte d’arborer devant mes amies. Déconfite par la situation, j’entrepris de me décommander auprès de mes copines, prétextant un rendez-vous de dernière minute avec un homme, tout en les jalousant un peu pour cette soirée où elles pourraient éventuellement faire des rencontres.
Après un verre ou deux à noyer mon ennui devant ma télévision, je me surpris à piquer du nez ; je pris donc la direction de la salle de bain afin de m’y brosser les dents avant de me coucher. Cette tâche accomplie, je pris le chemin de ma chambre pour me déshabiller et me coucher, mais en faisant demi-tour j’ai heurté le chien qui fit un bond en arrière en couinant, espérant ne pas lui avoir fait mal avec mes talons hauts, qui certes sont arrondis au bout, mais qui font tout de même au moins huit centimètres.
Je me mis à genoux pour inspecter sa patte avant qui semblait douloureuse, que j’entrepris de masser. Ainsi placée, je pouvais apercevoir le bout de son sexe dépasser de quelques centimètres de son étui ; c’était vraiment gros, et une odeur fétide se dégageait. Sans doute désinhibée par l’alcool et poussée par ma curiosité presque maladive, je pris la décision d’approcher ma tête afin de vérifier si cette odeur émanait bien de son sexe. En effet une fois mon nez à quelques centimètres, je pus constater que cela venait bien de là. D’un autre côté, d’où cela aurait pu provenir ? L’alcool peut rendre stupide parfois !
C’est alors que ce chien puissant m’agrippa par le buste et donna plusieurs coups de reins très violents en direction de mon visage. Son sexe était sorti un peu plus, et de petites giclées de ce que je pensai être son sperme me heurtèrent les joues, le front et la bouche. J’avais beau tourner la tête, ces jets réguliers me souillaient maintenant les cheveux. De mon côté, je tentais de m’extirper de cette étreinte forcée, tandis que du sien il me rapprochait à chaque assaut de son sexe sorti.
Au cours de notre lutte, me tenant très fermement contre son bassin, il réussit à enfoncer sa verge dans ma bouche. Il eut le temps de faire une petite dizaine de va-et-vient, mais j’ai pu sentir son sexe doubler de volume entre mes lèvres tandis qu’il déversait plusieurs jets que je fus contrainte d’avaler sous la frénésie de ses mouvements brusques ; c’est d’ailleurs grâce à ça que j’ai pu me dégager. Prise d’une forte toux due à ce forcing et à la pointe de son sexe heurtant le fond de ma gorge, j’ai eu un mouvement de recul qui me dégagea de son emprise et fit sortir son imposant sexe de ma bouche.
Assise sur le sol, le chemisier sorti de ma jupe, déboutonné en haut et recouvert de taches de sa semence, encore choquée par cet assaut imprévu, j’étais en train de m’essuyer les lèvres et de tousser afin d’expulser les résidus de sperme encore présents sur ma langue lorsque le chien renouvela son assaut ; cette fois il grognait, ce qui me glaça le sang. Lorsque je tentai de me relever, il se mit à aboyer et me sauta dessus. Sous le poids de l’animal et craignant de me faire mordre, je me suis agenouillée.
Il se mit à tourner autour de moi, essayant de me grimper dessus. Quand je l’ai senti me renifler les fesses avec insistance, j’en fus terrifiée car je savais que si je ne me soumettais pas aux pulsions de ce chien, il pouvait me blesser, voir pire. J’ai donc fait ce qui me semblait le plus raisonnable sur l’instant : je me suis placée a quatre pattes en écartant un peu les jambes, et j’ai descendu ma jupe et ma petite culotte à mi-cuisses pour laisser cet énorme molosse flairer à sa guise. J’avais extrêmement peur et je me sentais humiliée.
Après quelques coups de langue sur mes cuisses et ma vulve, je l’ai senti me monter sur le dos ; il était si lourd que j’ai dû lutter pour ne pas crouler sous son poids. Son bassin s’agita, donnant des coups en direction de mon entrejambe. J’ai senti son pénis me pénétrer brutalement à cinq ou six reprises pendant quelques secondes, brutalisant mes lèvres sensibles.
Sentant qu’il s’énervait suite à ses assauts non achevés, je décidai d’en finir. Je cambrai mon dos pour lui offrir ce qu’il voulait, lui rendant je l’espérais la tâche plus facile. C’est alors qu’après une seconde ou deux de calme il entra en moi d’une façon soudaine et sans ménagement. Je me rappelle avoir crié et pleuré un peu car il ne m avait pas investi le vagin, mais il était entré sauvagement dans mes fesses. Cette fois sa verge était bien engagée, de telle sorte que je n’ai pu que subir péniblement ses va-et-vient incessants et brutaux, tant il me tenait plaquée fermement contre son bassin.
C’était très douloureux car je n’avais jamais pratiqué ça auparavant. J’entendais mes fesses claquer sous ses coups de bassin, et plus cela durait, plus j avais la sensation qu il allait de plus en plus loin en moi et que son pénis grossissait. J’avais les deux poings serrés ; mon visage grimaçait de douleur, et je respirais fortement pour m’aider à extérioriser la souffrance. Cela semblait interminable, et je me souviens avoir fait tout mon possible pour ne pas hurler, ne voulant pas que mes voisins m’entendent.
Quand il s’immobilisa enfin, je pouvais encore sentir ses mouvements et les battements de mon cur à l’intérieur de mes fesses ; je ressentais une vive douleur au niveau de mon anus qui retenait prisonnier l’énorme verge du chien. Je le sentais comme collé à moi tandis qu’il expulsait son sperme chaud dans mon intestin.
Ce n’est qu’au bout de très longues minutes qu’il se décolla de moi. Je n’ai pas osé regarder dans sa direction. Au moment de notre désaccouplement, j’ai seulement pu sentir son sexe sortir brusquement de moi et envoyer quelques jets supplémentaires sur mes jolies chaussures, et par la même occasion un peu sur mes pieds.
Je me rappelle avoir vécu cette saillie comme un grand bouleversement. Après m’être douchée et rebrossé les dents, je me suis mise au lit avec mon pyjama rose en conservant la sensation d’avoir été salie à jamais. Je m’endormis assez rapidement, épuisée par cette étreinte et par les effets de l’alcool.
À ce moment-là, j’ignorais encore ce que cet évènement avait changé en moi.