Michael
Voilà plusieurs semaines que Lucille m’a rendu visite et depuis plus rien…
On se croisait au travail mais à chaque fois ses yeux me fuyaient, plus aucun contact entre nous…
Je n’arrivais plus à me concentrer dans mon travail, j’en perdais l’appétit, j’avais le sentiment de m’être conduit comme un salaud avec Lucille et chaque tentative pour rentrer en contact avec elle tombait à l’eau…
Un soir vers 1h du matin n’y tenant plus je sortis affronter le froid et arrivai devant l’immeuble de Lucille.
Essoufflé, je sonnais à l’interphone.
On décrocha instantanément.
— Lucille, c’est Michael je t’en supplie j’ai besoin de te parler.
Pas de réponse, la porte s’ouvrit.
Et durant les quelques secondes d’éternité que dura le trajet de l’ascenseur, j’entamais un énième dialogue avec Lucille…
Lascenseur s’ouvrit sur un 4e étage plongé dans le noir traversé par un mince filet de lumière.
Je passai la porte le cur dans la gorge, et arrivai dans le salon. Là je vis Lucille assise sur un canapé, vêtue d’une nuisette en satin noir mettant outrageusement son opulente poitrine en valeur, qui me regardait dans les yeux. Être à cette heure-là débordante de désir c’était révoltant
— Lucille, je voulais te parler…
— Ce n’est plus la peine, c’est terminé.
J’étais terrassé par ses mots.
— Tu t’es comporté avec moi comme un porc, et il est temps de payer pour tes conneries.
— Comment mon amour ? Je ferai tout ce que tu voudras.
— En effet ! Tu vas d’abord te mettre torse nu.
Je m’exécutai en sanglotant.
— Maintenant tu vas te mettre à genoux.
Sans mot dire j’obtempérai.
Lucille écarta les cuisses m’offrant une vue dégagée sur sa chatte épilée…
Elle me fit signe d’approcher.
Je me mis alors pathétiquement à marcher à quatre pattes, jusqu’à arriver à avoir le nez et la bouche à 1 centimètre de sa chatte, je posais mes mains sur ses cuisses qu’elle dégagea et attacha quelque part en arrière avec des menottes à ce moment-là elle passa une main devant et se mit à se masturber… Je sentais très nettement l’odeur de sa mouille m emplir les narines. Une fois qu’elle mouilla elle maintint sa main derrière mon crâne pour que je la suce me privant ainsi d’oxygène… J’étais complètement étourdi, je suçais, suçais sans m’arrêter… Je perdis connaissance et fus ramené à la réalité par un gémissement d’une grande intensité.
Elle avait semble-t-il détachait mes menottes car nous arrivâmes dans sa chambre, là elle me retira ce qui me restait de vêtements, attacha mes menottes à la tête du lit, elle s’assit littéralement sur mon visage…
Pendant quelques secondes, je crus que j’avais sa chatte sur la bouche mais l’odeur était trop forte…
Je réalisai donc en réprimant une nausée qu’elle attendait de moi:
Elle attendait que je lui suce l’anus…
Prisonnier et n’ayant aucun moyen de me libérer je m’exécutais… Constatant le plaisir obscène que je lui procurais…
Les secondes s’étiraient jusqu’à devenir des minutes mais enfin elle se retira et enfin je respirais…
Lucille retira sa nuisette et, me chevauchant dos à moi, se mit à frotter ma queue contre son gros cul.
— Tu sais Michael, je peux avoir l’air d’une salope en manque de sexe mais quand on se moque de moi je deviens dominatrice et vicieuse…
Et vicieuse elle l’était, titillant ma queue jusqu’à ce qu’elle durcisse bien contre son gros cul…
— Ha ! Ça y est j’ai ton attention on dirait !
Je n’eus pas le temps de répondre elle se mit face à moi et plongeant son regard hypnotique elle s’empala sur moi et se mit à imprimer de larges mouvements du bassin de haut en bas et de bas en haut en palpant ses gros seins…
J’éjaculai mais elle poursuivit sa chevauchée, jusqu’à ce que je débande…
Elle s’allongea alors près de moi et collant ses seins contre ma poitrine elle se mit à me branler énergiquement elle porta ses lèvres au bord de mes oreilles et dit en susurrant:
— Maintenant Michael, je vais manger ta queue comme une sucette, je vais la mettre au fond de ma gorge, je vais aspirer jusqu’à la toute dernière goutte de ton sperme…
Il n’en fallut pas plus pour me faire rebander…
Elle se mit alors à jouer avec mon gland, en me regardant dans les yeux puis en descendant très lentement jusqu’à atteindre mes couilles, ses lèvres noires allaient et venaient me procurant une douce folie…
Puis elle me regarda dans les yeux et vint me chevaucher en venant secouer ses seins contre mon visage elle s’empala sur moi emprisonnant mon visage entre ses seins.
— Tu es juste une bite Michael tu croyais que je t’aimais mais tu n’es rien d’autre qu’une bite une bonne grosse queue juste bonne à sucer ou à me péter le cul en cas de manque, tu te croyais unique mais tu n’es que le dernier mec de la boîte avec qui je n’avais pas baisé, tu croyais que t’étais le premier à me traiter comme une chienne… Mais ce que tu peux être pathétique ! T’es juste bon à assouvir mes besoins de baise. Et suffisamment naïf pour croire que c’est toi qui maîtrises les choses… Tu crois que c’est parce que tu avais envie que tu es venu ici ? Tu es ma chose ! Tu es à moi !
Et elle se mit à imprimer ce balancier avec son cul sur ma bite et ma bite glissait dans ce cul qui mouillait… Ce cul qui avait connu tant de bites…
Lorsqu’elle en eut assez elle se retira, me balança mes vêtements au visage puis me poussa dehors dans le couloir de son immeuble à moitié nu…