C’était un peu un état de crise à la maison. En effet, j’étais tranquillement chez-moi en vacance et fier de n’avoir aucun examen de repêchage contrairement à mes deux surs qui devaient retravailler certains points. Mais, soyons honnête, je devais faire une seconde session de mathématique aussi à leur âge. Maintenant que je suis à l’université, plus de math alors plus d’étude pendant les vacances.
Mes surs ont dix-huit et dix-sept ans mais je n’ai pas besoin de vous en parler maintenant, on s’en occupera plus tard. Moi, David, j’ai vingt ans et j’avoue ne pas être très grand pour un garçon alors je ne dirais pas ma taille mais je fais du sport et je pratique des arts martiaux alors je ne suis pas totalement à jeter. J’ai les yeux bruns et les cheveux châtain foncé.
Mais revenons à la situation de crise qui se déroulait dans la cuisine. Ma mère, Annie, 42 ans, les yeux bleus et les cheveux blonds (ce n’est pas important dans dire plus en ce moment) est dans la cuisine avec ma tante Eva. C’est la petite sur de ma mère mais elles n’ont pas le même père. Mon grand-père est mort peu de temps après la naissance de ma mère et ma grand-mère, décédée à ce jour, n’avait pas attendu bien longtemps pour se remariée. Elle aura eu trois autres enfants, mon oncle Jean, 40 ans et quelque part dans le monde en train de voyager, ma tante Lucie, 38 ans et enfin ma tante Eva, 33 ans, la petite dernière et la petite chouchoute.
Elle était venue pour dire qu’elle allait partir en vacance pendant huit jours dans le sud de la France et elle était venue car elle avait deux billets, pour elle et son petit-ami du moment, mais ce dernier est parti avec une autre alors elle proposait le second billet à sa sur aînée, ma mère, qui refusait catégoriquement car elle n’avait pas le temps, elle n’était pas encore en vacance. Elle travaillait dans une entreprise de manufacture et on était dimanche. Mon père avait divorcé alors il était absent.
— Je ne saurais vraiment pas! dit ma mère. Tu penses vraiment que je sais partir comme ça?
— Ne ta fâche pas sur moi s’il te plait! Je déteste quand tu fais ça! Je ne suis pas ta fille!
— Je serais gentille avec toi quand tu auras grandit un peu!
Ma mère avait raison, ma tante Eva était ma tante préférée car elle était plus fantasque que le reste de la famille et en plus très belle. Elle faisait dix ans de moins que ses 33 ans. On aurait dit qu’elle avait bloqué à 23 ans. Puis c’était elle la plus belle de la famille de ma mère : elle mesure 1m68 pour 55 kg, des longs cheveux noirs avec des yeux bleus-verts et surtout un jolie bonnet D. Je la voyais souvent et on avait déjà fait plusieurs sorties ensembles.
— J’ai un travail stable, répliqua Eva, ce sont mes vacances et oui, je déconne parfois mais tu devrais penser à en faire autant!
Je me levais pour assister de plus près au spectacle contrairement à mes surs qui étaient habituées aux disputes. Moi aussi mais j’entendais les mots "billets en trop". Je laissais encore deux ou trois répliques avant d’intervenir :
— Je le prends moi.
Ma mère et ma tante se tournent vers moi. Eva se mit tout de suite à sourire.
— Mais en voilà une idée! dit-elle.
Ma mère hésite mais je n’ai rien à étudier et je suis adulte, elle ne peut pas vraiment refuser. C’est comme ça que je me suis retrouvé embarqué dans un voyage que je n’oublierais jamais…
Nous étions à l’aéroport deux jours plus tard et j’avais ma valise à coté de moi quand je vis enfin ma tante Eva arriver en courant.
— J’ai cru être en retard, dit-elle.
— Ma tout va bien, rassurais-je.
On est dans la file de l’embarquement et je vois les regards sur ma tante et je sens aussi qu’on imagine difficilement autre-chose qu’un joli petit couple qui décolle pour un voyage en amoureux. Je voudrais jouer le jeu mais jai peur quEva me repousse et pourtant elle nexcite déjà beaucoup : elle est en short et en top. Elle avait juste un petit gilet au cas où et ses jambes étaient merveilleusement belles. Allez, je me lance! Je la serre contre moi et je lui donne un bisou sur la joue avant de la remercier. Elle est surprise bien entendu mais elle se laisse faire. C’est à ce moment là que je remarque que je bande énormément et qu’elle est obligée de le remarquer car mon sexe doit frotter à travers les vêtements sur ses fesses.
Arrivé sur place, je remarque que les plages sont bondées et l’hôtel est en bord de mer. On entre et on obtient rapidement la clef. La chambre n’est pas laide mais c’est Eva qui réagit en première :
— Oh non, j’avais oublié!
Je m’approche et je remarque que la chambre n’a qu’un lit double.
— Je devais venir avec mon ex, expliqua Eva, j’ai oublié ce détail.
— Ce n’est pas grave, assurais-je heureux de la situation, je saurais fermer les yeux quand il faudra.
— Il ne faudra pas fermer beaucoup.
Je ne comprenais pas bien le sens de cette phrase…enfin, je pense tout de même et j’espère avoir raison parce que je n’en peu plus la je n’ai plus de place dans mon pantalon. Quoi qu’il en soit, je commence à défaire ma valise tout comme ma tante, enfin c’est ce que je pensais. Elle cherchait juste son bikini. Elle le trouvait et retira son top puis sont soutient sans m’avertir. Je voyais enfin sa poitrine parfaite avec de jolis petits mamelons qui pointaient.
— Oh pardon, dit-elle en se cachant les seins.
— Ce n’est rien…dis-je.
— Laisse tomber la valise, change-toi et on va à la plage.
Elle avait beau s’être excusée, elle continua de se changer sous mes yeux alors j’ai décidé d’en faire autant et elle restait surprise.
— Waw!
— Quoi?
— T’es membré mon neveu!
— C’est un peu toi qui décuple la taille avec ce que tu me montres.
Sur la plage, on passe une journée sublime. Elle va dans l’eau, je la suis, je lasperge, elle me saute dessus, … un s’allonge dans le sable avant de se glisser sous mon bras et me faire un baisé sur la joue.
— Tu sais, dit-elle, nous ne sommes pas obligé de dire que je suis ta tante. On poserait trop de questions.
— Je dis quoi?
— Qu’on est en voyage de noces.
— Ah ah ah, je doute qu’on le croit.
— Je ne te conviendrais pas?
— Je n’ai pas dit ça Eva.
— Alors? Puis, se serait drôle.
— …bon, d’accord.
Il est l’heure d’aller souper. On remonte dans notre chambre pour se changer, encore l’un devant l’autre, puis on va manger avant de se promener dans les magasins jusqu’à leur fermeture et main dans la main. On s’était promit de sortir en dans une discothèque le lendemain soir, pour l’heure on allait dans notre chambre pour prendre une douche avant de dormir. Elle entrait la première et je me posais la question : dois-je y aller aussi?
Je décidais de ne pas y entrer et d’y aller à mon tour. Je la vit enfin et me paralysa un peu sur place en voyant qu’elle était pratiquement nue en face de lui et lui il était debout, tout bête et complètement sans voix.
— Tu n’es pas très réactif, dit Eva, tu n’as pas l’habitude des filles toi.
— Non…avoua-je sans quitter la poitrine dEva des yeux.
— On va t’aider.
Elle laissa tomber l’essuie qu’elle avait en main et s’approcha de moi. Jétais donc face à une femme nue d’une grande beauté qui semblait très encline à vouloir faire l’amour à un homme et jétais l’homme en question. Elle sauta directement dans les mes bras en m’embrassant directement et je ne pouvais rien faire d’autre que l’embrasser aussi en la serrant contre moi. Elle m’entrainait dans le lit et s’allongea au-dessous de moi et elle commençait à retirer mes vêtements. Elle ne se fit pas prier car elle mit directement mon pénis dans son vagin avant de commencer les va-et-vient sans hésiter. Une telle vitesse me surpris un peu mais je repris vite la situation et commença à mamuser avec les seins de sa partenaire tout en se redressant un peu. Elle était sur moi qui étais maintenant assis et suçait les bouts de seins de la jeune tante. Eva était heureuse de cela et se laissait faire avec plaisir. Elle se retourna car elle voulait être prise en levrette avant de tester d’autres positions. Elle prenait son plaisir car elle n’avait jamais couché avec un homme ainsi et elle était heureuse et prenait son plaisir. Elle sentait le liquide chaud de mon pénis à l’intérieur de son corps et elle en redemandait encore surtout qu’elle aussi aurait bientôt du liquide de plaisir qui allait s’échapper de son corps. Elle poussait d’ailleurs un petit cri de plaisir à ce moment puis elle changea de position pour se remettre en face de son amant et ils s’embrassaient de nouveau tout en faisant un par les sexes. Eva ressenti un second jet de liquide chaud dans son intérieur. Cette relation purement passionnelle dura au moins deux heures avant que la jeune femme ne s’arrête épuisée mais heureuse. Elle reprenait son souffle en étant vraiment comblée de ce qu’elle venait de vivre.
— C’était super, dit-elle, je te le jure.
