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C'est décidé je resterai sa pute ! – Chapitre 1

C'est décidé je resterai sa pute ! - Chapitre 1



Chapitre 1. Au village on m’appelle la nonne.

Mon BTS commerce internationale en poche, je tombe à 19 ans amoureuse de mon patron, un super mec de quarante balais. Il vire sa femme, et me fait deux beaux enfants. Aline et Alex. Heureux d’avoir des jumeaux, Jean achète une superbe maison dans un bled de 40 bouseux. Piscine privée, tennis, jardins, voitures de luxe, week-end à Londres ou Barcelone, ski l’hiver, mer l’été.

Moi la fille réservée un peu timorée, je deviens une belle et riche bourgeoise.

Jean n’est pas un type compliqué, avoir une double vie, cacher une maîtresse l’embête, il préfère m’initier aux joies du cul, je le laisse faire, je découvre que j’aime ça. Épouse le jour, Shéhérazade la nuit, je suis comblée.

Je passe seize merveilleuses années auprès de mon mari ou plutôt de mon amant le père de mes enfants. Sous la conduite de Jean, je deviens une cochonne.

Lorsque Jean n’est pas en voyage et que les enfants sont couchés sous la garde de la nurse anglaise, je relève mes jupes, baisse ma culotte et cuisse écartée, la motte en feu, luisante de mouille, allongée sur la moquette douillette de la chambre conjugale, contemplant mon image de grande bourgeoise dépravée qui se reflète dans l’immense miroir du plafond. J’attends en me branlant que Jean daigne venir me sauter.

Jean est un bon baiseur, 30 cm de bonne queue toujours raide, tous mes trous y passent, je joui comme une véritable nympho, même qu’un jour il me fait sucer Dog le berger allemand, chaque nuit je deviens chienne.

Jean n’est pas partageur, mais il comprend que je désire une autre queue, il achète des godes de toutes formes et tailles. Sans retenue, inondée de mouille et de foutre, je me gode le cul et la chatte tout en suçant la queue de mon maître.

Jean peut être extrêmement pervers.

Un jour alors qu’a moitié nue, je suce mes tétons devant une vidéo de lesbiennes, il me demande tendrement si je désire une femme.

Les yeux embués de plaisir, je lui avoue que souvent je m’imagine ruisselante de désir sous les caresses de la petite nurse, en cachette, il m’arrive de fouiller son linge sale, de renifler ses culottes aigrelettes, de mélanger ma liqueur à celle déjà sèche de la gamine.

Alors que je raconte cet amour impossible, doucement Jean enfouis sa tête entre mes cuisses et lèche à la manière d’une fille le jus qui suinte de ma chatte tuméfiée.

Ma jouissance est intense.

Le lendemain deux filles, sublimes de beauté aux seins lourds et à la croupe charnue accompagnent Jean..

? Mathilda et Céline je vous présente ma petite salope de femme, qui va gentiment se branler

pendant que vous lui offrirez vos caresses de gouines en chaleur. ?

Les filles, ramassées dans un claque, commencent à se caresser et s’allongent enlacées à mon coté.

Trois doigts dans ma fente trempée, heureuse, je mate sans pudeur leurs lècheries, mais lorsque que j’ose saisir un mamelon dressé pour le porter à ma bouche, Jean me rejette en arrière.

? Tu regarde, tu te branles, tu me suce, tu nettoies les godes des dames, mais tu ne touches pas ! ?

Frustrée, pantelante, enivrée par ce que je vois, je me pelote délicieusement.

Jean sort son gourdin et honore le cul de ces superbes créatures, il lime longuement ces dames ses yeux rivés dans les miens, se retirant de leurs culs, il éjacule sur mon visage en me traitant de catin, de réceptacle à foutre, de vicieuse.

Je passe une nuit formidable.

L’expérience se renouvelle souvent, toutes les putes et les ménagères vicieuses de la ville y passèrent, jamais il ne me laissa toucher les filles, jamais il ne me laissa baiser un autre homme, cela dura plus de dix ans.

La nurse partis avec ses culottes souillées sous dautres cieux, les enfants grandissaient.

Alors qu’Aline et Alex fêtaient leur dix septième anniversaire, Jean partit en voyage. Sur la table il laissa une lettre.

? Les enfants sont grands ils iront bientôt en fac, tu continueras à veiller sur eux et à te branler. J’ai vendu l’entreprise nous sommes très riches, la maison est à toi, jamais je ne divorcerai. Chaque mois tu recevras un chèque confortable, si j’apprends que tu prends un amant ou une amante je te ruine, tu restes à moi seul. Ne cherche pas à me revoir, je t’aime. ?

Jean disparu pour toujours.

Ma douleur fut immense, je restais prostrée et recluse plusieurs mois, toutes idées de sexe ou de cul m’avaient abandonnées. Puis doucement, les chèques généreux succédant aux chèque généreux, la vie repris sont cour.

Je m’habituais à cette vie confortable de fausse veuve éplorée, cultivant mon jardin, faisant mon ménage, les courses, attendant patiemment le week-end et la visite de mes enfants partis étudier à la ville.

Quelques bouseux, un notaire, un banquier, une voisine tentèrent leur chance, je les rejetais sans complaisance.

Au village on m’appelle la nonne.

Chapitre 2. Les caresses d’Aline.

Allongée sur mon lit, je paresse ou plutôt je somnole sur un livre, une tasse de café froid a porté de main, lorsqu’un coup de sonnette énergique me tire de ma rêverie.

En maugréant, je vais ouvrir, un jeune éphèbe beau comme un dieu grec me souri.

? Bonjour, Madame, je suis en vacances chez mon oncle, la ferme voisine, de ma chambre je vois votre piscine, me donneriez-vous l’autorisation de m’y baigner ? ?

Surprise par sa requête, conquise par son regard bleu et la blondeur de ses cheveux je dis oui à l’intrus. Il dit s’appeler Alain, il a l’age de mon fils.

Alain vient chaque jour vers quinze heures, piquer une tête dans la piscine, seule dans ma chambre cachée derrière les persiennes, j’admire ce corps bronzé et musclé qui nage ou se prélasse au soleil.

Hier soir je me suis surprise à chercher sa serviette oubliée sur la margelle, elle sent le jeune mâle, alors que je la porte à mon visage, une douce brûlure envahi mes entrailles.

Aujourd’hui, je dois aller en ville, alors que je file sur la route, je songe que je ne verrai pas Alain, cette pensée me met de mauvaise humeur.

Lorsque je rentre, vers 20 h dans la grande maison déserte, je suis attirée par la porte de ma chambre restée ouverte, je l’avais fermée en partant. Je n’aime pas que Lucette ma femme de ménage, une commère du village vienne fouiller dans mes affaires.

L’intruse n’était pas Lucette, ma chambre a bien été fouillée. Sur mon lit fripé une tache suspecte retient mon attention, pas de doute c’est une tache à peine sèche de sperme !

Dans le dressing, mon tiroir à culottes, mes soutiens gorges sont dérangés, dans la corbeille a linge traîne mon body de dentelle rouge et se n’est pas moi qui l’ai abandonné-la !

Profitant de mon absence, ce petit vicieux d’Alain est venu se branler sur mon lit et dans mes dessous.

Surprise mais pas fâchée, je m’étends sur mon lit et renifle l’odeur du jeune puceau. Une délicieuse chaleur m’envahi à la pensée que je suis encore capable la quarantaine venue de faire fantasmer un jeune nigaud.

Bientôt c’est moi qui fantasme, sur ce corps d’adolescent bronzé. ?tendue sur mon lit je me regarde dans le grand miroir du plafond.

Ainsi ce petit salop c’est branlé dans mon body rouge.

Ma chatte suinte. Mon corps s’enflamme

Je me lève, arrache ma robe, enfile des bas de soie blancs, récupère mon body rouge. ?tendue cuisses ouvertes sur les draps blancs, sous la large tache de liqueur juvénile mes seins fermes, généreux, superbes dressent leur téton.

Je suis redevenue la bourgeoise dépravée, je saisis mes mamelles a pleines mains et me lèche le bout des seins lavant au passage la jolie tache de foutre.

Ma main papillonne dans ma toison, mon doigt devenu la pine d’Alain trouve l’entrée du plaisir.

Je jouis longuement.

Puis repue, dégoulinante de mouille et de sueur, la main écartant ma chatte, je souris au reflet de mon corps de cochonne.

Ma nuit est agitée, mes mains ont visité tous mes trous, j’ai ressorti mes godes et mes cassettes oubliées, au matin les yeux cernés, j’ai envie d’une vraie queue, d’une queue de gosse.

15h, 16 h, le petit puceau ne vient pas, j’apprends par Lucette que les vacances sont terminées et qu’Alain est rentré en ville…

Les jours reprennent monotones et semblables, souvent la nuit ma chatte affamée réclame son du, alors doucement je me cajole en pensant à Alain.

Aujourd’hui dimanche, j’attends Alex et Aline qui viennent dîner. Je suis surprise lorsque je vois Alex seul, il à sa mine des mauvais jours.

? Ta soeur n’est pas avec toi ?

? Maman, je crois que ma soeur ne sera plus jamais avec moi, elle a trouvé un copain, elle veut vivre avec lui. ?

? C’est normal qu’à dix sept ans une fille cherche un garçon, fais comme elle trouve toi une fille ?

Alex ne répond pas et s’en va piquer une tête dans la piscine.

Je pense à la détresse d’Alex, je profite de ce qu’il se repose étendu sur sa serviette pour lui parler.

? Tu sais si Aline sort avec un garçon, cela ne veut pas dire qu’elle t’abandonne… ?

Tandis qu’assise au pied de mon fils j’égrène des lieux communs sur l’amour fraternel des jumeaux, je ne prends pas garde que mes cuisses écartées dévoilent ma culotte aux regards sournois d’Alex.

Son attitude change, il rougit, mal à l’aise comme pris en faute.

? Je crois maman que je ne supporterai pas qu’un mec touche ma soeur, toi quand papa nous a quittés, tu n’as pas repris d’homme ?

Je comprends mal la question, cherchant une réponse de maman, je prends conscience soudain de mon attitude impudique, de la gêne d’Alex et de la bosse qui se forme sous la fine toile du maillot.

? Et toi es tu déjà allé avec une fille ? ?

Le silence coupable d’Alex est une réponse.

Mère et putain, je sens ma culotte qui se mouille, tandis que mon fils tente maladroitement de cacher son érection sous sa main.

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