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Chaleurs Grecques – Chapitre 3

Chaleurs Grecques - Chapitre 3



Elle déglutit en lui regardant l’entrejambe. Je devinais, à l’emplacement où se tendait le tissu que ce salaud, en plus de faire plus jouir ma femme que moi et d’avoir un certain magnétisme que je ne pouvais nier, possédait aussi une bite énorme. Et comme je sais que Nadine aime être bien remplie, il n’y avait pas beaucoup à réfléchir pour savoir ce qu’elle aimait.

Ce qui me surprenait, c’était plutôt la rapidité avec laquelle elle était tombée sous son emprise et la facilité avec laquelle il la manipulait.

Mais la suite de la journée me démontra que je n’étais pas au bout de mes surprises.

— À cause de votre bite, M. Karl, elle me rend folle votre grosse bite Dans ma chatte, dans ma bouche, dans mon cul, partout M. Karl. Je veux votre queue dans tous mes trous. Je la veux au fond de mon cul et au fond de ma chatte de salope et aussi je veux boire votre sperme, avoir votre jus sur mon corps et vous sentir coulisser bien dans mes trous M. Karl

Dun coup, elle se lâchait complètement. Son regard ne quittait plus la forme sous le tissu et elle ne se rendait pas compte qu’en prononçant ce discours pornographique que je n’avais jamais entendu dans sa bouche, elle écrasait son téton entre deux doigts et avait écarté les jambes un peu plus pour appuyer cette fois franchement sur son clito, en le faisant rouler sous son index.

Je ne voyais pas si Karl bandait vraiment sous la djellaba, mais moi à la voir si belle, si désirable, respirant le sexe par tous les pores de sa peau en se branlant le clitoris, en se tirant le bout de son sein gonflé, sans même s’en rendre compte tellement son envie de l’autre abruti était forte, moi, j’aurais giclé immédiatement sans me toucher si elle n’avait posé, ne serait-ce que ce regard-là sur moi. Elle était comme envoûtée.

Elle était un peu dans le même état qu’hier après-midi, quand elle était en « transe » de sexe Et je crois bien que j’adorais ça.

— Alors comme ça, tu a envies de ma queue dans ta connasse, petite chienne ! Répondit-il tranquillement alors qu’il se caressait nonchalamment la forme imposante qu’on devinait sous le vêtement. En effet, il devait faire dans les 25 cm et semblait très large.

Eh bien, si tes trous ont envie de moi, de ma queue, il faut que tu me les montres !

Comme si elle n’attendait que cet ordre, sans le quitter de ses yeux de braise, elle se retourna, se pencha légèrement en avant et en silence, attrapa ses belles fesses que j’aimais tant en écartant encore les jambes et les écarta franchement pour découvrir ses orifices au regard de son amant.

Je faillis jouir en voyant ça ! En s’ouvrant en grand tant elle tirait bien dessus, ses fesses s’ouvrirent sur son anus palpitant, déjà ouvert.

Elle avait tellement envie que son trou anal laissait déjà admirer une ouverture de quelques millimètres. Certes, il avait été bien entraîné si j’en jugeais par ce que je venais d’entendre, mais quand même. Je me surpris à penser que dans cette position, aurait pu la fister par le cul tellement elle semblait demandeuse.

Mais surtout, c’est sa magnifique chatte qui capturait les regards.

En se séparant, les grandes lèvres de sa vulve avaient libéré un flot de mouille grasse et claire qui venait de tomber sur le sol en une petite flaque de jute féminine.

Son vagin était un trou palpitant, brillant de cyprine qu’elle continuait à sécréter en abondance.

Juste au-dessus, les petites lèvres dentelées remontaient jusqu’au clitoris qui pointait, cette fois-ci complètement sorti du capuchon.

La liqueur de plaisir suintait du bord de sa connasse et coulait entre les petites lèvres brillantes jusqu’au clito pour glisser au sol et rejoindre le reste de la flaque en un long filament obscène.

Elle le regardait par-dessus son épaule, l’implorant des yeux pour qu’il fasse quelque chose. Sans bouger, elle restait comme ça à offrir ses orifices ouverts à son regard et aux miens.

Réveillé par l’odeur de femelle en rut qui se dégageait d’elle, le chien endormi redressa la tête se leva et se déplaça tranquillement vers ma femme. J’étais pétrifié par le spectacle, la gorge comme un carton ondulé.

Nadine ne bougea pas quand il arriva jusqu’à elle et commença à lécher la flaque de jus entre ses jambes. Elle le regardait faire, sans sourciller, mais je devinais une lueur inquiète dans ses yeux.

Je comprenais que seul Karl avait le pouvoir de briser cette situation d’une perversité et d’un érotisme que je n’avais jamais envisagé.

Ensuite, quand il eut finit de laper la flaque de cyprine, le gros molosse commença à renifler la source de ce liquide.

Dans le silence où l’on entendait que la respiration saccadée de la femme que j’aimais, le chien posa sa truffe sur les petites lèvres de Nadine, juste sous le vagin ouvert, au bord du clitoris.

Sous le contact animal, Nadine gémit, ou plutôt feula en même temps qu’elle tressaillit, en crispant un peu plus les mains sur ses fesses, ce qui eut pour effet de l’ouvrir encore plus également.

— Ça suffit ! Ici ! Tonna Karl. Laisse-la ! Allez !

Comme à regret, le gros bâtard fit demi-tour lentement et regagna le canapé. Il s’assit et commença à lécher un gros bout rouge et brillant, un peu comme une carotte pointait qui sous son ventre.

Nadine avait suivi des yeux le canidé, comme à regret, et le regardait faire en gardant ses fesses bien ouvertes.

— On verra tout ça plus tard, dit Karl, en même temps qu’il se levait et déployait une stature impressionnante. Cette fois-ci, je voyais la grosse mentule de l’allemand qui déformait le tissu en se balançant entre ses jambes tandis qu’il s’approchait de ma femme.

Je pense qu’on va pouvoir finir la formation ce matin, c’est bien de cela dont tu envies, hein ?

Il venait d’enlever son vêtement, et en effet, une pine d’au moins 25 cm sur 5 ou 6 de diamètre, à demi bandée, se balançaient entre ses jambes. Elle ressemblait à celle de l’acteur Rocco Siffredi, que nous avions admirée dans un film porno et que Nadine m’avait avoué avoir fantasmé dessus. Si ce n’est que là, nous n’étions pas à nous exciter devant un écran et que le sexe qui pendait devant elle était bien réel.

Ma femme la regarda avec gourmandise et bougea un peu sa croupe pour signifier son accord.

Je n’étais pas de taille face pas un gabarit comme celui de Karl. Cette constatation me fit un pincement au coeur en même temps que j’admirais avec orgueil la sensualité de la mère de nos enfants.

Karl claqua bruyamment de sa large main plusieurs fois une fesse, puis l’autre, ce qui fit feuler Nadine de plaisir. Mais elle ne changea pas de position pour autant. Ses seins lourds et tendus ballotaient sous les coups et ses fesses rougissaient tandis que sa fontaine de mouille se remit à couler, cette fois-ci le long de sa cuisse.

Ensuite, Karl se positionna derrière elle et commença à parcourir de son gros gland la vulve offerte, tartinant de mouille la chatte de ma femme, de l’anus au clito.

Nadine fermait les yeux en se mordant les lèvres.

— C’est bien ça, ne bouge surtout pas salope. Tu es une bonne cochonne, bien obéissante. Ton mari sera fier de toi. Il va retrouver sa femme amoureuse du sexe comme il ne l’avait pas connu. Vous allez pouvoir en profiter tout le temps tous les deux.

Mon épouse poussait de petits cris et cherchait à reculer quand elle sentait le gland écarter un peu l’entrée de son vagin. Mais aussitôt, il le retirait, remontant de quelques centimètres pour l’appuyer sur l’anneau culier puis redescendait frotter le clito de la hampe.

Ma salope de femme poussait de petits gémissements et je sentais vraiment qu’elle voulait qu’il la remplisse, qu’il la lui mette jusqu’à la matrice avec sa longue et large bite au gland proéminent.

Il joua ainsi un moment avec elle, avec ses deux orifices, me rentrant jamais plus que le gland dans son con, dilatant son entrée anale mais sans y rentrer complètement non plus.

Nadine couinait, gémissait lorsqu’elle sentait forcer à l’entrée d’un de ces orifices ou soufflait de bien-être lorsqu’il frottait son clitoris. Elle essayait bien de s’empaler en reculant, mais il restait vigilant.

tant de luxure et de désir concentré, c’en était trop pour moi et j’avais sorti ma bite, moi aussi. Comme la fente vibrante de Nadine, ma bite coulait toute seule. Le pré sperme glissait le long de mon membre et poissait les couilles. Je n’osais pas me toucher, de peur d’éjaculer tout mon sperme aussitôt. Les yeux brûlants, je restais dans mon coin à les regarder, les tempes et le sexe battant les pulsations anarchiques de mon coeur.

L’odeur sexuelle de ma femme emplissait la pièce et venait juste à moi par la baie vitrée ouverte.

Cave avait cessé de jouer avec les orifices de Nadine elle avait abandonné toujours dans la même position, jambes écartées, légèrement penchée en avant et s’ouvrant elle-même le cul de ses deux mains crispées. Sous le regard atone du chien, il ramenait au centre de la pièce un drôle de banc de musculation. Je voyais bien que l’appareil en tubes chromés avait été bricolé « maison ».

Les parties rembourrées avaient été rendues plus confortables avec des ajouts de mousse gainée par de la peau de chamois. Cela semblait doux. Des extensions avaient été rajoutées sur les côtés, pour soutenir les jambes. Des orifices percés ici et là sûrement pour laisser passer les seins si la « victime » était sur le ventre. Ainsi que d’autre fioriture dont je ne comprenais pas la fonction.

Il y avait aussi des poulies, des cordes, des sangles

Une sorte de machine à positionner les femmes dans des agencements obscènes, orifices offerts à toutes les pénétrations.

— Bien, ma jolie, on va te révéler à ta vraie nature maintenant. Avait presque susurré Karl de sa grosse voix basse.

Nadine, ma femme, le visage extatique de désir, n’avait toujours pas bougé. Elle se tenait bien cambrée, jambes écartées et agitait maintenant lascivement son si beau cul comme pour demander la saillie.

Quelle salope ! Quelle magnifique salope elle devenait en ce moment même, sous mes yeux. Tout le haut de ses cuisses, son entrejambe, brillait de la mouille abondante de son envie de sexe.

Karl avait approché son bas-ventre de son visage.

— Allez, commence par me sucer avant qu’on ne passe aux choses sérieuses.

Aussitôt que le gros gland fut à sa portée, ma femme le happa en gémissant de bonheur. Elle goba l’uf de chair chaude et se l’enfonça dans la bouche aussi loin qu’elle le pouvait. Elle suçait comme une furieuse, une affamée. Elle coulissait ses lèvres sur la moitié de sa large pine, incapable d’en rentrer plus au fond de sa gorge.

Il la fit mettre à genoux, lui prit la tête à deux mains et lui dit : « maintenant on commence »

D’une pression implacable sur sa nuque, il lui introduisit la totalité de ses 25 cm de queue entièrement dans la bouche.

Nadine adore sucer, et elle essaye souvent faire des gorges profondes, mais je ne pensais pas qu’elle y arriverait. Parfois, avec ma bite, elle arrive à toucher mon pubis avec son nez et à rester ainsi une ou deux secondes. C’est divin. Mais là, une fois de plus elle me surprenait, elle engouffrait le gland, toute la pine, puis le laissait ressortir accompagné d’un énorme filet de bave et, d’un coup, avalait entièrement son sexe. Elle le garda plusieurs secondes comme ça, il exultait.

— Oh putain, elle est bonne ta bouche de chienne. T’en a jamais eu une aussi grosse à l’intérieur et pourtant on dirait que t’as fait ça toute ta vie, tiens !

Et je le vois se mettre à baiser sa bouche. C’est une pratique que l’on affectionne particulièrement, mais je donnais toujours à Nadine le temps de respirer, de reprendre son souffle, je n’allais pas trop loin ni trop fort, j’étais plein d’égards que lui, manifestement, n’avait pas. Et ça ne gênait pas ma femme pour le moins du monde. Je ne l’avais jamais vu autant saliver, à chaque fois que cette énorme queue sortait de sa bouche, de longs filets de bave venaient couler sur sa poitrine et glissaient entre ses gros seins. En quelques minutes de ce traitement, ses yeux pleuraient et son menton, ses nichons, son ventre étaient couvert de bave.

J’étais à deux doigts d’intervenir, mais quand il la laissait respirer, elle remerciait par moment, toujours un grand sourire sur son visage quand elle n’avait pas cette queue dans la bouche.

La queue allemande de Carl en ressortait et rentrait régulièrement dans la bouche de mon épouse, luisante, coulante de salive, les couilles gluantes et visiblement, ma femme aimait ça.

Elle l’engloutissait maintenant régulièrement en gorge profonde sans qu’il la force. Parfois il lui maintenait la tête quelque seconde pour savourer la sensation exquise de sentir la gorge palpiter sur son membre. En ressortant, elle le regardait en souriant puis prenait de longue respiration et recommençait à l’engloutir de plus belle. C’était à la fois beau et terrible. De temps en temps elle lui gobait les couilles ou léchait toute la longueur de la grosse pine maintenant bien dure en gémissant comme une chienne.

Depuis ma position, je vois et j’entends tout. De sa main libre, elle s’enfonce deux doigts profondément dans la chatte et se pistonne la connasse en même temps qu’elle le prend tout en bouche. Ma position me permet aussi de voir quand elle récupère de la salive sur son ventre en se caressant le clitoris au passage. Puis s’enfonce également deux doigts au fond du cul en gémissant de bien-être. Elle étale la salive qui lui coule du menton sur ses seins, son ventre, écrase son clitoris au passage et replonge ses doigts alternativement dans sa chatte et son cul.

Sous mes yeux, la femme que j’aime et la mère de nos enfants se transforme en une femelle avide. Je ne sais pas comment il est arrivé à ce résultat mais à voir son sourire radieux, je comprends que Nadine aime être soumise à son désir. Elle se révèle en salope et visiblement elle adore ça.

Nadine se pistonne de plus en plus vite les orifices et suce en gorge profonde avec de plus en plus d’ardeur. Elle n’est pas très loin de jouir et je sens bien que Karl commence à avoir du mal à résister lui aussi.

— Bon, ça suffit comme ça. Je t’interdis de jouir maintenant ! Lui dit-il de sa grosse voix impérieuse en la relevant de sa position à genoux.

Malgré son sourire, je sens ma femme frustrée et elle cherche plus de sensualité en voulant le prendre dans ses bras, collant son bas-ventre contre la grosse pine rigide. Elle ondule contre lui.

Mais fermement, il la repousse et la laisse là au milieu de la pièce pour aller chercher contre le mur une sorte de trépied métallique et quelques objets qu’il tient dans son autre main. Les yeux fiévreux, Nadine le regarde faire.

— Je vais augmenter ta puissance sexuelle avec le pouvoir des pierres. Tu es prête. La salope qui dormait en toi va maintenant se révéler.

Je ne comprends pas tout son discours, mais je vois que de sa main, il place au bout de chacun des tétons gonflés de Nadine une petite pince plate qu’il lui écrase le bout. Sur la pincée fixée par une chaine d’une dizaine de centimètres, une pierre bleue polie tire sur le téton et se balance.

Nadine grimace à peine sous la pression et son visage s’éclaire aussitôt de plaisir. D’elle-même elle bouge son buste pour faire balancer les pierres et modifier la traction sur ses tétons. Elle ferme les yeux et je vois bien quelle aime ça.

De sa main libre, elle branle comme une petite bite son clito devenu énorme.

Ensuite, Karl fixe sur le bout du trépied une autre pierre de la même couleur, en forme d’oeuf, de la taille d’une orange ou plutôt, d’un pamplemousse.

Il place le trépied entre les jambes de ma femme et lui dit :

— l’énergie des pierres va se communiquer en toi. Entre celles qui te tirent les tétons et celle-là sur laquelle tu peux te branler maintenant.

Puis, il retourne s’asseoir sur son canapé pour profiter du spectacle.

Nadine a compris. Elle doit s’abandonner à la magie du magnétisme des cailloux.

Tout en regardant Karl dans les yeux, le sourire aux lèvres, elle plie les genoux, écarte sa chatte de ses deux mains et commence à frotter ses lèvres et son clito sur la grosse pierre bleue qui se retrouve bientôt toute luisante de son jus.

Bien vite, avec toute cette excitation accumulée, elle se laisse emporter par le plaisir. Superbe d’obscénité, elle frotte avec insistance ses lèvres, son clito, l’entrée de sa chatte et jusqu’à son cul sur le bout de l’oeuf bleu. Je vois bien qu’elle cherche à le faire entrer dans son vagin ou son cul, mais il est trop gros.

Depuis son canapé, Karl commente :

— c’est bien, continue, vas-y, donne toi du plaisir. Sens les énergies circuler. Ton ventre chauffe et le magnétisme de la pierre passe de tes nichons à ton clito.

— Haaann, ouiiii, je le sens ! cest bon maître. Ça me chauffe le ventre, c’est booon et ça fait grandir mon plaisir. Hannn , Hummmm

Petit à petit, ma Nadine se transforme en chienne a plaisir. Elle caresse son ventre, roule des hanches en ouvrant ses lèvres, fait osciller ses gros nichons pour que les pierres tirent plus fort sur les chaînes. Le bout des tétons et bien tendus et tirés vers le bas par les poids qui la torturent délicieusement. Elle frotte, elle frotte son clito et sa chatte en écartant alternativement une fesse, puis l’autre. De tout son poids elle se laisse descendre sur la pierre qui est bien trop grosse pour entrer en elle mais elle ne peut pas s’empêcher d’essayer. Les yeux fermés, elle sort la langue, se lèche les lèvres, et va même jusqu’à tirer un peu plus fort de sa main sur les chaînes au bout de ses tétons.

Elle se laisse aller à cette débauche masturbatoire devant son maître et son chien.

Cela fait plus de cinq minutes qu’elle est ainsi à tenter de rejoindre l’orgasme. Mais à chaque fois que Karl sent monter en elle les vagues du plaisir, et lui intime l’ordre d’arrêter de bouger.

Ma femme tremble légèrement, le corps couvert d’une fine pellicule de sueur tandis que moi, caché dans mon recoin, je n’en finis pas de bander et de couler autant de transpiration que du liquide clair qui s’échappe sans discontinuer du bout de ma queue.

Puis, son énorme queue au garde-à-vous elle aussi, Karl décide que ça suffit.

Il se lève la bite raide et tendue vers le ciel. Les yeux de Nadine, embués de plaisirs, brillent encore plus en voyant l’imposant membre s’approcher d’elle.

Avec douceur mais fermeté, l’allemand la saisit par le bout des seins et l’attire vers lui pour la mettre en position de levrette sur la machine à plaisir.

Sous ce traitement, je vois bien qu’elle est a deux doigts de jouir de plaisir et fait exprès de se retenir un peu pour augmenter la tension infligée par les pinces à ses tétons. Derrière elle, la grosse pierre bleue est couverte des coulures de sa cyprine.

Pendant que ma compagne se met en place et espère enfin être saillie (je la vois attraper de sa main le sexe de Karl pour le branler un peu pour lui faire comprendre son envie), le chien s’est levé du canapé et vient laper bruyamment le jus de Nadine sur l’oeuf de pierre. Du coin de l’oeil, ma femme regarde la longue langue canine lécher ses sécrétions.

Sur la machine, le buste de ma compagne s’appuie sur le dossier et ses deux gros seins se glissent naturellement dans les ouvertures. Karl n’a pas enlevé les chaînes et les pierres continues de tirer les tétons vers le bas.

Les pieds et les genoux de Nadine reposent sur des sortes d’étriers qui lui cambre bien le cul, mette ses fesses en position ouverte et laisse ses orifices libres de tout intromission.

Elle est là, offerte, agitant doucement son postérieur dans l’attente d’être soumis au plaisir de son maître et amant. Ce dernier lui parle doucement, glisse des obscénités et lui promet qui va la défoncer. Elle sourit, gémit, souffle de contentement dans l’attente de ce traitement.

Vient le moment qu’elle attendait tant. De ma position, ils sont un peu de trois-quarts et j’ai une vue parfaite sur son cul et sa chatte. Elle est turgescente, ouverte, gonflée de sang et je n’ai jamais vu son clitoris aussi gros. Il est énorme et pointe plus gros qu’un haricot, majestueux et obscène comme un petit sexe en haut de ses lèvres.

Sa connasse ouverte palpite et continue à suinter de jus son clair.

De mon côté, je n’entends plus rien de ce qui pourrait se passer autour de moi, tellement je suis concentré sur le spectacle qui s’offre. Ma femme est soumise à son amant et je suis là, le sexe douloureux à force d’être raide, voyeur contre mon gré de sa dépravation volontaire.

Tranquillement, Karl se positionne derrière elle et ajuste son long et large membre à l’entrée du vagin vibrant. Le gros nud appuie doucement sur les chairs fragiles et rentre à moitié.

— Hummmmm, ouiiii, vas yyyy. Mets laaaa, mets la moiii .. Je la veuuuux, je la veux mettre au fond de ma chatte . Mais la moi bien profoooond.Maiiiitre !

Supplie ma femme en sentant le début de l’intromission.

Karl saisi fermement les hanches pleines de mon épouse et pour la première fois de ma vie, je comprends que je vais voir une autre queue que la mienne, et quelle queue ! S’enfoncer dans les entrailles de la femme que j’aime.

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