A lépoque où tout commença, je nétais encore quun jeune homme de 16 ans. Non. Je me fais mousser en parlant de moi comme un jeune homme : je nen avais ni lapparence, ni la maturité. Non en effet. Je nétais encore quun simple adolescent.
Fraîchement diplômé du baccalauréat et nouvellement accepté à Science Po. Jétais un adolescent frustré car rien dans mes relations sexuelles ne mapportaient lexcitation, le danger et la touche de perversité que je recherchai. Le site XHamster et Xstory ayant fait mon éducation sexuelle, comprenez que de simples fellations et missionnaires étaient pour moi bien peu, aux vues de toutes les potentialités que pouvaient offrir deux corps déchaînés par le désir de lautre.
Ce que je vais vous conter à présent semble incroyable, et je ne saurais lexpliquer ni à vous, ni à moi. Alors je me contenterai de le raconter. Pourtant mon vu le plus cher sest réalisé durant une fraîche nuit dautomne. Mais avant den arriver là, je vais vous raconter ce qui se passa un peu plus tôt.
Depuis la rentrée, je métais fait beaucoup damis dans la promotion, et notamment Hervé. Cétait un jeune fils de riches, pourtant il était très sympathique. Il avait reçu une éducation stricte et bourgeoise ; mais ayant fait lexpérience du rejet et des critiques durant le lycée, il savait désormais se comporter comme un jeune universitaire de son temps, et nétait que plus apprécié pour son humilité et sa gentillesse. Cependant, durant les premiers mois, sa mère lattendait discrètement dans un bar voisin après ses journées de cours, et après que la sortie de lécole ait été désertée, ils rentraient ensemble dans leur belle résidence de 180 m², en plein Paris. Bien quHervé ait réussi à cacher ce petit secret à tout le monde (les ragots sont plus rapide que la lumière), je men étais rendu compte par hasard au cours du mois doctobre. Je devais rencontrer mon oncle paternel, venu dans la capitale pour la semaine, et il mavait donné rendez-vous dans ce même pub. Cétait pur hasard ! Hervé ne mavait pas vu, car il faisait dos à lentrée, mais javais vite repéré sa veste toujours impeccable sans le moindre plis et sa sacoche en cuir dun brun très clair (qui dautre pouvait porter ça à 17 ans ?!). Mais javais surtout repéré sa mère. Nous sommes le 13 octobre et je viens pour la première fois de ma vie de tomber amoureux. Dune femme mariée et mère dun de mes très bons amis. Autant dire dune créature inaccessible. Je ne pris quun café avec mon oncle et parti donc avant quHervé et sa mère ne sen aillent. Jeu alors tout plaisir dobserver cette femme. Très classe, elle avait pourtant un style très classique. Ses cheveux blonds, presque châtains, étaient coiffés en un chignon impeccable. Ils étaient lisses et brillaient sous les petites lumières jaunes de létablissement. Ses yeux étaient grands, mais leur couleur méchappait. Elle avait un nez fin et aquilin qui ne demandait quà être embrassé. Son cou était dépourvu de bijoux inutiles et se suffisaient à lui-même, tant ses traits semblaient avoir été tracés par De Vinci. Son tailleur, dun bleu acier plutôt clair, était sans aucun doute taillé sur mesure, et rehaussait avec bon goût sa peau claire. Le bouton rehaussait quant à lui une poitrine qui, sans se prétendre énorme, devait être moelleuse, ronde et parfumée dun Chanel n°5. Léclairage jouait en la faveur de son fin décolleté, et nimporte qui pouvait deviner ces deux sublimes sphères parfaitement symétriques. Simultanément, cette veste mettait en avant la fine taille de cette dame. Me trouvant un peu de biais, je pouvais voir que sur la banquette de cuir rouge reposait des hanches généreuses, bien au chaud dans leur jupe. Elle sarrêtait au niveau des genoux, point de départ de ses mollets superbement gracieux. Pour finir, des Louboutins garnissaient ses petits pieds.
Voilà ce quil en était. En 5 minutes, jétais tombé amoureux de cette dame et je lui vouais désormais un culte impressionnant. Les vidéos pornographiques et autres récits bisexuels qui me plaisaient tant avant étaient devenus ternes, et je ne trouvais mon plaisir quen pensant à cette femme. Jen devenais étrange, il marrivait parfois de sécher le dernier cours pour aller me cacher près de leur bistro, afin de lépier. Je me contentais de cette vision, qui ne durait pas plus de 2 minutes au maximum, mais la voir marcher et entrer dans le bar me ravissait. Sa démarche était gracieuse et ses hanches soutenaient un fessier bien garni. Plus tard jobservai Hervé entrer dans ce bar : sa mère laccueillait toujours avec une chaleur époustouflante. Elle le prenait dans ses bras, lenlaçait comme si elle ne lavait vu depuis des années, le gâtait de ses lèvres rouges de baisers gourmands, et des regards pleins damour.
Une nuit, alors que jéprouvais une fatigue mortelle et une tristesse infinie au cours dune énième insomnie, je maudis Hervé de posséder une mère si aimante. Jétais en colère et grognais sous ma couette pendant des heures. Je mendormi sans en avoir conscience, à bout de force.
Le lendemain matin (bien quil fût 14h44), je me retrouvai dans une chambre inconnue. La tête dans les nuages, je ny fis pas attention, pensant seulement que cétait un rêve. Dans cette chambre se trouvaient 3 portes. Lune indiquait clairement les toilettes. Je pissai longuement. Dans le miroir qui était à ma droite réfléchissait limage dHervé. Cétait étrange, je navais jamais été un autre que moi dans mes rêves. Jobservai ce corps qui nétait pas le mien. Jétais étrangement musclé. Non, ce nest pas le bon terme. Mon corps était plutôt bien dessiné, mes abdominaux et pectoraux biens individualisés. Cétait agréable à voir. Le pénis qui pendait entre mes jambes était bien plus large, et était surmonté dun petit rectangle de poils bruns. Une ligne de ces mêmes poils remontait jusquà mon nombril, qui sortait. Cette vision était pourtant légèrement floue, et je repérai rapidement une paire de lunettes proche de mon lit.
En terminant de pisser, jattendis un peu. Je compris que ce nétait pas un rêve. Lorsque je pissais en rêve, je me réveillai subitement, paniqué, honteux davoir mouillé mes draps blancs. Pourtant je ne pouvais me convaincre que je nétais pas en train de rêver, car aucune autre possibilité ne soffrait à moi. Alors que jexaminai la chambre, on frappa à la porte. Sous le choc, je vis la mère dHervé entrer et sapprocher de moi, lair préoccupée. Jétais bouche bée car je ny comprenais rien, et elle se jeta sur moi. Dune main sur mon front, elle prit ma température, et conclu que je navais pas de fièvre. Son visage semblait bouleversé, la mère quelle était craignant que son fils soit malade. Elle me trouvait chaud et me prit dans ses bras, mordonnant de me remettre au lit et quelle allait mapporter des médicaments ainsi quun bon déjeuner. Jétais confus, je ne réalisai pas. Aussi je ne pris aucun plaisir à lavoir serrée contre mon torse nu. La seule chose qui me frappa, ce fût ma queue presque dure du réveil qui était maintenant elle aussi collée contre sa cuisse gauche, et glissait dangereusement vers son entre-jambe. Elle ne sen offusqua pas, ne remarqua même pas et me quitta après un long baiser sur le front. Elle me dépassait dune tête. Elle repartie. Ce devait être le weekend, elle portait une légère tenue de sport en coton gris. En repartant, la vision de son derrière termina de machever. Je me mis rapidement au lit, à 14h52. Je détestai Hervé davoir une si belle propriété et une si belle mère. Rapidement, et avant son retour, je mendormis.
Je me réveillais 10 heures avant cet événement, à 4h49 du matin, le jour davant. Ce nétait quun rêve, bien curieux. Mes draps étaient secs.
A 10h du matin, je me réveillai de nouveau, toujours dans ma chambre. Devant le miroir, jétais de nouveau moi. Je passai toute la journée du samedi à minterroger sur les événements de la nuit. Cétait contraire à un rêve, javais contrôlé la situation de A à Z, bien quétant sous le choc. En rien la situation était loufoque.
Je passais une semaine à essayer de me concentrer sur les premiers examens arrivant. Mais le vendredi soir, je surpris de nouveau Hervé et sa mère, au cinéma cette fois. Elle resplendissait et beauté et tenait Hervé par le bras. Quelle chance il avait de se montrer avec cette déesse. Lui qui avait une apparence de petit merdeux.
Le soir, avant de trouver un sommeil qui se cachait bien, je haïssais Hervé tel un sorcier.
Cela se produisit de nouveau. Il était 7h47 et je me trouvais chez Hervé, dans la peau dHervé, et avec la vue pourrie dHervé. Mon premier réflexe fût de prendre ses foutues lunettes. Elles étaient lourdes, mais jy voyais désormais clair. Mon lit n’était pas vide ce matin là. Je ne voyais qu’une épaule noire, et une bras bien garnie. Je le caressais pour en éprouver la texture. C’était moelleux et une petite couche de gras devait garnir cet épiderme. Comme je me redressai, je découvris des cheveux crépus, noir, très très courts. Une africaine, certainement. En la découvrant du drap, je pus admirer un corps plus foncé que le chocolat au lait, bien en chair. Chaque partie était agréable au toucher. La poitrine était petite mais les tétons répondaient bien à mes caresses. Les fesses étaient fidèles au cliché, énormes et fermes, tout comme les cuisses, alors que les mollets étaient fins. Le dénivelé était époustouflant et dangereux. En me penchant sur elle pour voir son visage qui était rond, beau et jeune, je senti une odeur nouvelle. En embrassant sa joue, je compris: c’était l’odeur du sperme d’Hervé et cette jeune fille était sans aucun doute sa copine, et sans aucun doute encore, elle aimait recevoir la crème fraîche de son copain en pleine figure. Je souris, l’embrassai. Voyant qu’elle dormait à point fermé, je décidai de me lever.
Jentrepris de sortir de ma chambre. Un long couloir se présenta devant moi. Il ny avait pas un bruit, et je décidai davancer. La première porte que je rencontrai était entre-ouverte. En mapprochant, silencieux car un long tapis décorait le couloir, je vis que cette chambre était celle de ma sur, ou de mon frère, je naurais su le dire, ne sachant rien de la famille dHervé. Que ce fût la sur ou le frère (jaurais opté pour le frère qui, sans ressembler énormément à Hervé, avait des traits avec sa mère), un compagnon du sexe opposé était aussi dans le lit. Les deux avaient facilement 25 ans, et rien dans la décoration de la chambre naurait pu maider à identifier le potentiel parent dHervé. Cela ressemblait à une chambre dami. Peut-être que ces deux jeunes gens étaient étrangers.
Alors je continuai à avancer, je me retrouvai de nouveau près dun miroir. Jétais bien Hervé. Cétait donc ma maison mon potentiel frère ou ma potentielle sur Ce serait dur de sy faire
Une autre chambre se présentait sur ma gauche, ouverte. A lintérieur régnait une atmosphère calme, colorée, féminine. Alors que je mavançai, japerçu la longue silhouette de la mère dHervé de ma mère. Elle était debout, en nuisette, et semblait fascinée par le matin qui ne tarderait plus à sinstaller dehors. Puisque je voyais facilement à travers la fenêtre, je déduisais facilement que notre appartement se trouvait au 4ème ou 5ème étage. Voilà pourquoi cette nymphe ne fit tomber sans la moindre gêne sa nuisette pour enfiler son jogging gris. Elle savait où il se trouvait et navait pas besoin dôter ses yeux de la fenêtre, la rue offrant un beau spectacle brumeux gris-bleuté. Sa peau, dénudée, avait sur près de 1m80 une teinte claire uniforme. Sa peau était tendue, ferme, et cest pour elle quelle se levait chaque matin pour lentretenir. Ses hanches ne mentaient pas, elles étaient larges et pleines de promesses. Ses fesses étaient galbées à la perfection, bien en chair et projetée vers lextérieure pour mon plus grand plaisir. Ses cuisses étaient tendues et longues, son dos soyeux. Elle enfila dabord, doucement, un boxer de coton vert qui rendait parfaitement hommage à son cul, avant de se réchauffer dans son bas de survêtement. Elle se retourna, ses seins emportés par le mouvement sagitèrent latéralement avec grâce, avant de revenir dans leur position normale, naturelle, optimale. Ils étaient bien garnis, plus que ce que jimaginai. Ce devait être du 90D. Alors je senti la chaleur de la gêne monter à mes tempes, elle me sourit et vînt menlacer, me souhait bonjour, me demandant comme javais dormi, si javais faim ou voulais venir mentrainer avec elle. Bégayant, je répondis par un oui saccadé qui englobait toutes ses questions. Elle semblait ravie, pas le moins du monde offusquée par le fait quelle soit seins nus devant et contre moi, ni même par mon pénis que javais senti dur contre sa cuisse, une nouvelle fois