J’avais si souvent été sur le point de passer à l’acte, sans jamais avoir franchi le pas….
A part dans me jeunesse, mais tout cela est si loin…. j’avais maintenant 55 ans, et il y avait 30 ans que je n’avais plus cédé à mes pulsions masochistes …. et encore je n’étais pas allé bien loin… j’avais reculé plusieurs fois lorsqu’une occasion se présentait de réellement réaliser mes vrais fantasmes…. plus d’un maître m’a attendu en vain… et à chaque fois je regrettais.
je me contentais donc de rencontres furtives, dans les squares parisiens, comme Etienne Marcel, près du quartier où les putes faisaient le trottoir, et moi, je me laissais draguer par les hommes qui fréquentaient l’endroit, la nuit tombée. Souvent des travailleurs immigrés, ou des hommes murs… j’aimais qu’ils soient directifs, qu’ils se servent de ma bouche, derrière un taillis, dans le couloir d’un immeuble, ou derrière les barrières d’un chantier. A genoux, me faisant traiter de salope, je suçais leur queue avec un plaisir honteux, une émotion violente … A chaque fois, je me promettais de ne pas recommencer, mais c’était comme une drogue. Mon esprit me rappelait rapidement à l’ordre… c’était ma place, et je devais aller faire la pute…
Une seule fois, j’avais été pris complètement. j’avais suivi chez lui, près de République, un Algérien d’une cinquantaine d’années, pour le sucer. Arrivés dans l’endroit très petit, une minuscule cuisine, et une chambre modeste, j’ai vu qu’il y avait deux lits d’une place. le deuxième locataire était là aussi. Je me suis mis à trembler, le coeur accéléré, bouleversé par une émotion inconnue, intense, mélange de peur et de désir. Ils ont été gentils, m’ont offert un café, et puis tout s’est emballé. J’ai obéi au "Déshabille toi chérie" les doigts fébriles, en pensant que j’étais comme une prostituée devant ses clients Assis sur un des deux lits, ils m’ont fait venir d’un appel de la main, un ordre plus qu’un signe. Nu, à genoux, je les ai sucés, caressés, avec des gémissements que la honte transformait en plaintes qui semblait les amuser et les exciter.Les deux m’ont pris la bouche et le cul, changeant leurs places. J’ai joui sans qu’ils me touchent, quand j’ai senti leurs couilles se vider dans mes orifices. Ils m’ont remercié, et demandé de revenir, ce que je n’ai jamais fait. je crois que j’avais trop peur de plonger complètement dans une vie de prostitution.
A 25 ans, j’ai quitté Paris, et n’ai plus eu que des relations hétéros, j’en avais toujours eu, et après pas mal d’aventures, je vivais depuis 20 ans avec ma femme, une relation plutôt dominante de ma part quand mes" démons", internet aidant, ont resurgi. Chat d’abord, me faisant passer pour une femme et soumettre dans des scénars que j’aimais hards. Jusqu’à ce qu’un interlocuteur, m’ayant deviné, me dise que si j’étais un homme , cela lui convenait parfaitement… cela a été le début de nombreuses séances , avec plusieurs partenaires ou je me suis fait dominer, jouissant des insultes, des humiliations, me travestissant certaines fois où j’étais "pute", ou à poil lorsque j’étais plus une lope …cela dépendait de la demande .
Et, il y a trois mois, je me suis inscrit sur un site gay sm…
Si la suite vous intéresse, faites le moi savoir avec vos commentaires. je vous remercie de m’avoir lu.