Depuis qu’elle avait reçu le SMS de sa soeur lui indiquant que celle-ci avait couché avec ses deux fils, Marie estimait qu’il était temps de passer à l’offensive à son tour.
Pour ce faire, elle avait un plan : se rendre au bureau de Laurent et se servir de la photo qu’elle avait reçue de Claire pour obtenir les faveurs sexuelles de son beau-frère. Le sachant généreux, Marie espérait bien faire d’une pierre trois coups. En effet, avec un peu de chance, Laurent appellerait ses fils pour qu’ils viennent montrer à leur tante ce dont ils étaient capables.
À la fin de sa journée de travail, au lieu de prendre la direction de son domicile, elle se dirigea vers l’entreprise dans laquelle travaillait son beau-frère. Afin de mettre toutes les chances de son côté, Marie avait pris soin de retirer ses vêtements et sous-vêtements au préalable pour ne garder que son manteau comme habit.
Malgré le froid qui régnait en ce mois de novembre, elle marcha d’un pas décidé vers sa voiture et roula en direction du bureau de Laurent. À son arrivée dans les locaux de l’entreprise qui employait le mari de sa soeur, Marie demanda à la réceptionniste où elle pouvait trouver ce dernier. L’employée lui indiqua une porte située au deuxième étage et sur sa gauche en montant les escaliers.
Marie monta à la hâte les escaliers qui menaient au bureau de Laurent. Parvenue devant son objectif, elle frappa trois coups à la porte et la voix de son beau-frère lui répondit d’entrer.
Marie ? Quelle bonne surprise ! Je ne m’attendais pas à ta visite. Tu veux boire un café ?
Non, ça ira, merci.
Très bien. Pourquoi tu n’enlèves pas ton manteau ? Il fait tellement chaud dans ce bureau.
Oui, c’est vrai qu’il y fait très chaud.
Marie fit glisser son manteau de ses épaules, se révélant en tenue d’Eve devant le mari de sa soeur. Choqué par son impudeur, celui-ci ne put qu’écarquiller les yeux sans pouvoir articuler un seul mot. Le moment de surprise passé, Laurent se décida à demander à sa belle-soeur la raison de cette exhibition quelque peu déplacée.
Qu’est-ce que tu fais, Marie ? Tu ne veux quand même pas que je trompe ta soeur avec toi ?
Quelle loyauté ! C’est admirable mais Claire t’a déjà trompé. Avec mes fils, si tu veux savoir.
Quoi ? Mais c’est totalement grotesque !
Regarde si tu ne me crois pas.
Marie sortit son téléphone de la poche de son manteau et montra à son beau-frère le cliché que sa soeur lui avait envoyé.
Je n’en reviens pas. Comment a-t-elle pu me faire ça ? Et toi, en supposant que tu veuilles m’aider à me venger de Claire, pourquoi veux-tu le faire de cette façon ? Jean n’a rien à voir avec ça.
Non, non, ce n’est pas ce que tu crois. Pour les 18 ans de Grégory, Claire et moi nous sommes lancés un défi : celle qui arriverait la première à coucher avec les fils et le mari de l’autre. Et celle de nous deux qui gagnera aura le droit de donner un gage sexuel à l’autre.
Je comprends mieux maintenant le pourquoi du « 2-0 ».
Et tu souhaites m’aider à réduire le score ?
Eh bien, puisque ma femme s’amuse avec ses neveux, pourquoi n’aurais-je pas le droit d’en faire autant avec ma belle-soeur ? Ferme la porte à clé.
Marie obtempéra et, tout de suite après qu’elle eut accompli sa tâche, vit Laurent entièrement nu, la verge fièrement dressée.
On peut dire que tu n’as rien à envier à ta soeur. Regarde-moi ces merveilles de seins que tu as. Et ce cul ! Je sens qu’on va bien s’entendre.
L’époux de Claire s’avança vers sa belle-soeur et ses mains lui caressèrent les seins et le postérieur. Après un baiser passionné, Laurent souleva Marie de terre et la fit assoir sur son bureau dont il jeta les piles de dossier au sol. Il s’agenouilla devant elle et sa langue parcourut avidement son sexe, la faisant gémir d’extase.
Souhaitant se débarrasser des formalités au plus vite, Marie se saisit de son téléphone et prit discrètement de Laurent en train de lui prodiguer un cunnilingus. Elle envoya la photo à sa soeur en ajoutant le texte « 2-1 » en légende et éteignit l’écran.
Satisfait du flot de cyprine qui s’écoulait du calice de sa belle-soeur suite aux habiles coups de langue qu’il avait donnés, Laurent se releva et présenta sa verge devant les lèvres de Marie qui l’engloutit sans discuter.
Oh oui ! Tu suces vraiment bien, petite coquine ! Allez, pompe-moi bien la queue !
Exauçant le souhait de son beau-frère, Marie accéléra son mouvement et poursuivit sa fellation sur ce même rythme jusqu’à ce que Laurent repousse son visage et lui demande de se mettre à quatre pattes sur le bureau.
Sans piper mot, elle obéit à l’injonction et sentit le sexe de son beau-frère s’enfoncer dans son arrière-train et la main de ce dernier s’abattre de temps en temps sur son fessier dans une fessée coquine. Laurent sodomisa puissamment sa belle-soeur jusqu’à sentir peu à peu la jouissance le gagner. Désireux de profiter de la grotte d’amour qu’il avait si bien préparée, il se retira du sombre orifice de Marie et s’enfonça d’une seule poussée dans le sexe de sa belle-soeur. Il donna de violents coups de reins jusqu’à sentir sa sève monter dans son sexe. Laurent se retira et trois jets de sperme maculèrent le postérieur de Marie. Afin de ne pas demander à sa belle-soeur de le nettoyer, l’époux de Claire s’essuya le gland sur le petit trou de Marie.
Apaisés, Marie et Laurent se revêtirent et, comme elle pouvait s’y attendre, son beau-frère envoya un message à ses fils.
Tu ne vas pas repartir comme ça, Marie. Il faut encore que tu t’occupes de mes fils. Ils seront ravis de voir à quel point leur tante est chaude.
Je suis impatiente de les voir. Je mouille rien que d’y penser.
Dans ce cas, je vais les appeler.
Laurent composa les numéros de Marc et d’Axel et annonça à chacun qu’ils auraient droit à une petite surprise s’ils passaient à son bureau. Le plan de Marie semblait marcher à la perfection.
[ à suivre ]