Mon aventure certes éphémère avec Fox, le pitbull, a laissé des traces dans ma mémoire. M’accoupler avec cet animal, même si cela peut paraître contre nature m’a apporté une jouissance plus forte que mes quarante années de vie sexuelle antérieures.
J’ai repris ma vie estivale au Cap mais je constate que mon équipée zoophile me revient régulièrement en mémoire. L’aspect primitif du coït, sa vigueur hantent mon esprit. Tant et si bien que je me décide à rendre une petite visite à «Escortdog service» Je passe un coup de fil et la fille qui m’a répondu la dernière fois m’indique sans problème l’adresse du chenil. C’est à dix minutes en voiture.
L’endroit ressemble à un chenil ordinaire, un accueil secrétariat et puis des boxes autour d’un jardin. C’est calme, pas de jappements intempestifs. Je pousse la porte du bureau et tombe sur une rousse d’une quarantaine d’année. En fait c’est la femme du patron, qui est aussi maître chien. C’est donc lui que j’ai vu.
Elle m’explique qu’ils gèrent tous deux la société sans plus de personnel. Hélène, c’est son prénom est fort commerciale et enjouée. Elle me raconte que l’activité s’est d’abord développée en Belgique, où la loi est plus souple mais qu’au terme d’un accord avec la SPA, moyennant finance, ils ont pu s’installer ici.
Elle s’interrompt un instant pour me dire que j’ai une ressemblance folle avec Claire Chazal et qu’elle a même cru un instant que c’était elle qui rentrait dans son bureau.
Elle m’explique le long travail de dressage, les races qui s’y prêtent puis me propose de visiter le chenil. Il y a une douzaine de chiens sur place. Les autres sont loués. Je lui demande quel type de clientèle elle a. Elle me répond que ce sont pour la plupart des femmes ayant passé la cinquantaine, parfois des couples. Du haut de mes soixante je me retrouve dans la catégorie reine.
Elle rajoute que la plupart des chiens sont loués à des habituées et que le bouche à oreille est ce qui fonctionne le mieux. La plupart des clientes viennent de milieux aisés, ce qui paraît logique vu les tarifs pratiqués.
Nous passons devant des caniches, il y a également quelques boxers et un ou deux bergers belges. Les noms des chiens sont inscrits sur chaque cage. Je remarque que Fox est en goguette car sa cage est vide. Nous nous retrouvons finalement devant le clou de la collection, Sultan. C’est le dogue allemand dont son mari m’avait parlé.
Il est magnifique, gris acier, pesant plus de 80 kilos, un mètre au garrot. Hélène m’explique que ses clientes les plus fidèles ont toutes une fois ou l’autre essayé Sultan, mais jamais la première fois car son allure est impressionnante. Elle me dit également que j’ai fait partie des rares à avoir choisi le pitbull car le chien a mauvaise réputation.
S’ensuit l’apologie de Sultan car la patronne voit dans mes yeux que je suis intéressée. J’ai droit à des précisions sur son caractère fort doux, contrairement à ce qu’indique son apparence. Elle insiste sur ses qualités physiques, son endurance et finalement m’avoue qu’il est particulièrement bien membré. «Mais ça, je vous le laisse découvrir par vous-même » achève t-elle d’un sourire.
Je lui demande quel est le tarif pour Sultan elle m’annonce qu’elle peut me faire les mêmes conditions que pour le pitbull, vu que je suis déjà cliente chez elle. Marché conclu. Ce sera pour ce soir 18 heures, procédure habituelle, son mari viendra amener Sultan dans le van et le reprendra le matin suivant vers 9 heures
Je passe le reste de la journée à trainer, impatiente de récupérer le grand danois.
A l’heure dite le type est là avec Sultan au bout de la laisse. Ce dernier vient immédiatement fourrer sa truffe entre mes cuisses en inspirant fortement. Ça promet! Pas d’instruction particulière, nourrir l’animal, le laisser s’habituer aux lieux en liberté. Le maître chien ajoute que Sultan est beaucoup plus stable de caractère que Fox, le pitbull. Mais que ça ne l’empêche pas par ailleurs d’être efficace.
Nous prenons congé et je libère le dogue de sa laisse. Au lieu de partir batifoler dans le jardin de la villa, il se frotte à moi. Il se redresse et pose ses pattes avant sur mes épaules. Il est tellement puissant qu’il me fait vaciller. Je décide de lui servir sa pâtée pour le calmer un peu.
Il avale son kilo de viande en quelques secondes et revient me renifler les fesses. Je décide de prendre littéralement les choses en main. Je le fais se coucher sur le côté et saisit son fourreau. Immédiatement le gland jaillit et Sultan passe carrément sur les dos, les pattes écartées. J’exerce quelques mouvements de va et vient et me retrouve avec plus de 30 centimètres de bite canine entre les doigts. Le machin a la taille d’un énorme concombre.
Et toujours pas de bulbe pénien. Je ne connaissais pas vraiment le pénis du chien, donc j’ai fait un tour sur Google. Ce que je tiens dans mes mains, c’est le gland à la base duquel se trouve le fameux bulbe qui grossit pendant le coït afin d’arrimer le mâle à la femelle. C’est cette impression d’être rivée à l’animal qui m’avait plus avec Fox.
La nodosité apparaît enfin, elle à la taille d’un pamplemousse quand Sultan est complètement excité. Je branle fortement mon compagnon à quatre pattes. J’en ai mal au poignet, le faire éjaculer me prend dix bonnes minutes. Il est effectivement résistant le bougre! Je le flatte de ma main et suce mes doigts. C’est bizarrement sucré mais pas désagréable, du coup je lèche le reste de la semence qui s’écoule sporadiquement de son gland.
Je me relève et me sert une coupe de brut. Sultan m’a suivi docilement. Je me déshabille et plonge dans la piscine, Sultan itou. Visiblement il adore l’eau, un vrai labrador. Il est affectueux comme tout et me lèche de son énorme langue râpeuse.
« Nous verrons tout ça se soir » lui dis-je.
J’ai décidé de faire durer le plaisir. Je me rhabille le temps de me faire livrer un chinois, cochon laqué et beignets au sirop. Pendant que je mange Sultan s’installe à mes pieds et pose sa tête sur mes genoux. Je réalise une nouvelle fois à quel point il est imposant.
Arrivée la fin du repas je prends la barquette de sirop et fait glisser quelques gouttes de liquide sur ma chatte. Immédiatement Sultan entreprend de m’en débarrasser à l’aide son appendice buccal démesuré. J’écarte les jambes et renouvelle l’opération à l’envi. Je suis trempée, surtout par mon propre jus. L’envie que le molosse me pénètre est là, intense.
Je prends un banc dans le jardin et branloche Sultan, puis lorsqu’il commence à bander je m’allonge sur le dos et écarte les cuisses. Le chien m’enjambe et vient frotter son gland pointu contre ma chatte. Du liquide séminal s’échappe sans arrêt de sa bite, lubrifiant mon intimité. Il donne de grands coups de boutoir pour introduire son engin et j’écarte de mes doigts mes grandes lèvres afin de lui faciliter le passage. La bite animale trouve son chemin et je suis subitement envahie par ce braquemart démesuré.
Seul son gland me me pénètre. Le nud de sa bite est trop gros pour moi.
Je le laisse faire un moment puis je me redresse en évacuant lentement l’énorme dard. Je me dis qu’il faut certes respecter la nature mais qu’on peut aussi l’aider.
Je fais un tour dans ma pharmacie et récupère un lubrifiant bien gras que j’utilise quand un de mes amants me sodomise ou que je me gode l’anus. J’enduis largement l’extérieur de ma chatte puis mon vagin avec le produit. Sultan me regarde faire l’air curieux. J’enfonce deux puis trois doigts dans mon con en prenant grand soin de bien les graisser. Je continue la manuvre jusqu’à ce que mon poing entier me pénètre.
Je pense en avoir terminé avec ces préparatifs fort nécessaires compte tenu de la situation et prépare rapidement mon toutou. Je n’attends pas qu’il soit raide comme la dernière fois car je n’arriverai à rien. Dés qu’il commence à bander, je me mets à quatre pattes. Sultan me saute dessus sans plus attendre. Je guide le bout de son membre vers mon entrecuisse et le laisse fourailler. Sa bite enfle à toute allure. Il me pénètre d’un coup de rein jusqu’à la garde.
Même avec le lubrifiant ça reste douloureux tant son engin est énorme. Le bulbe est rentré. Je sens la protubérance m’écarteler les chairs. Je branle mon clitoris comme une folle pour évacuer la douleur. Je me sens écartelée. Il me bourre comme une chienne, il n’y pas d’autres mots. Je jouis au bout de quelques secondes. Je me colle à l’animal à coups de rein furieux, je suis totalement envahie, jamais ma chatte n’a accueilli quelque chose d’aussi gros. Une cascade d’orgasmes me submergent.
La bite du clébard a atteint son apogée. Il ne peut plus bouger et moi non plus. Nous sommes arrimés l’un à l’autre jusqu’à ce que la nature daigne nous séparer. Je continue à jouir comme une folle tout en me branlant. A un moment donné je lève le regard et j’aperçois au dessus de la haie la tête du voisin, les yeux écarquillés. C’est un type veuf dans les soixante dix ans. Je me dis que je vais devoir rester ainsi devant lui, accouplée en levrette à Sultan, pendant peut-être une demi heure.
Je ne peux absolument rien faire. Impossible de bouger. A un moment le type disparaît et je me dis qu’il en a fini. Hélas il était juste aller chercher son portable et un escabeau. Sans vergogne il escalade la clôture mitoyenne. Le vieux vicelard est maintenant dans mon jardin. Il s’approche lentement et prend divers clichés de la scène avec délectation.
Je lui dis de foutre le camp mais ça ne l’émeut guère. Ma colère n’a aucun effet sur lui. Il continue sa progression tout en me mitraillant avec son Samsung. J’essaye de me libérer de l’étreinte de Sultan mais rien n’y fait. Le vieux salace peut jouir de ma nudité et de ma position en toute impunité.
Il a très bien compris tous les avantages que lui procurait la situation. Il range son portable dans sa poche et vient directement à moi.
« Je te vois passer, tu dis à peine bonjour, tu fais ta mijaurée et finalement tu es la plus grosse salope que j’ai jamais vu » lâche t-il comme entrée en matière « J’en ai connu pourtant des pouffiasses en chaleur, mais il faut que tu sois drôlement tordue pour te faire enfiler par un clébard »
Je suis rouge de honte. ce type est d’une vulgarité hors norme
« Tu n’es pourtant pas mal foutue pour ton âge, un peu maigrichonne et plate mais ton cul est correct. Tu devrais arriver à trouver quelqu’un pour baiser normalement »
Le maquignon fait l’inventaire ; il joint le geste à la parole et commence à palper mes fesse. Je veux l’en empêcher mais à genoux appuyée sur mes mains, rien à faire.
« Ouais, c’est pas mal tout ça. Même les mamelles, c’est petit mais encore ferme. Par contre je sais pas dans quel état va être ta chatte quand Médor aura fini de te tringler, parce que là elle est dilatée comme c’est pas possible. Je sais même pas si je pourrai enfiler un doigt dans ton cul pour te dire. Enfin, voyons voir»
Le pervers avise le tube de vaseline et se badigeonne le majeur et l’index avec délectation. Il passe derrière moi et me vrille sans ménagement la rosette de son doigt. Je subis car l’étreinte de Sultan me bloque toujours. Tout ce que je peux faire c’est l’injurier mais il s’en fout. Contrairement à son diagnostic mon cul finit par accepter ses deux doigts. Le type se branle tout en m’enculant et je sens une giclée de sperme s’étaler sur mes reins.
Le salaud referme gentiment sa braguette et me salut d’un« Bon fin de soirée, vieille pute »
C’est au moment où il finit d’enjamber la haie que Sultan me libère. Je me rue vers lui mais il est trop tard. Le lendemain je trouve dans ma boite aux lettres un papier griffonné sur lequel j’arrive à déchiffrer l’adresse d’un site hard « Luxure tv ». Je rentre l’adresse et découvre des images de la veille sous le titre racoleur « Ma voisine et son toutou ». Le vieux salopard a quand même pris la peine de flouter mon visage. Je suis furax. Dieu seul sait ce que me réserve cette ordure!