Eva partie, Charlène consola sa nièce. Charlotte réalisait maintenant les conséquences de son passage à l’acte. Sa tante faisait tout pour atténuer son deuil, aux petits soins, lui préparant de bons repas; organisant des sorties, des visites. Petit à petit Charlotte reprit goût à l’existence auprès de cette tante si attentionnée. Charlène avait un caractère qui tranchait nettement avec celui de sa sur qui était excessivement froide et moralisatrice.
Auprès de sa tante, Charlotte revivait. C’était une confidente attentionnée, une amie à laquelle on pouvait se livrer en toute confiance. Charlène prit ainsi symboliquement le statut de mère idéale que recherchait sa nièce. Et plus même car leurs affinités s’étendaient bien au delà de la relation familiale ou filiale. Les deux femmes même dans ces moments difficiles échangeaient de la tendresse, quelques baisers. Elles dormaient ensemble et se tenaient par la main lorsqu’elles se promenaient.
Elles étaient devenues indispensables l’une à l’autre. Elles échangèrent sur ce sujet, objectant l’inceste, la différence d’âge. Elles décidèrent de mettre leur amour à l’épreuve. Il restait une année d’études à Charlotte, qui décida de remonter à Paris pour la terminer.
Ce fut difficile. Les deux femmes échangeaient sans arrêt sur Internet, Charlène montait à paris dés qu’elle le pouvait. Sa nièce venait au Cap aux moindres vacances. Juin vit la délivrance. Charlotte diplômée décida de venir vivre avec sa tante qui s’en vut ravi. Certes elle avait maintenant soixante deux ans, soit quarante de plus que sa nièce. Mais que diable, il faut vivre quand on en a l’occasion. "Vivre pour vivre" disait Charlène.
Charlotte trouva un boulot d’infirmière à l’hôpital d’Agde et prétexta la proximité du logement de sa tante pour justifier son choix aupèrs de sa famille. Le couple s’organisa. Charlène était aux petits soins pour sa nièce. Elle avait complètement délaissé ses plans de drague habituels pour devenir une épouse sans reproche. Car effectivement dans la relation, c’était sa nièce qui jouait le rôle masculin.
Charlotte ramenait à sa tante des tenues affriolantes que cette dernière essayait ingénument. Elle lui payait sur son salaire, des soins, des massages. Elle voulait que sa tante soit top, comme elle disait. Elles sortaient souvent ensemble dans les lieux les plus improbables.
Sexuellement leur vie était agréable, elles avaient appris à se découvrir et savaient maintenant comment satisfaire leur partenaire. Du moins les premiers mois, car au bout de quelque temps la relation commença à s’essouffler. Si la tante éprouvait toujours autant de plaisir et d’envie, Charlotte se montrait plus distante, moins empressée.
Charlène finit par s’en ouvrir à sa nièce, tranquillement un soir après un délicieux repas au restaurant.
Charlotte était une fille franche, sans détours. Elle avoua à sa tante qu’elle avait pas envie de chercher ailleurs mais qu’elle avait envie de nouveauté dans son couple. Charlène lui demanda ce qu’elle entendait par là et sa nièce lui répondit qu’elle avait envie de la dominer.
Charlène, adepte de pas mal de jeux dans sa longue pratique sexuelle lui fit comprendre qu’elle ne voyait pas d’inconvénient à se livrer à elle. D’autant que leur relation avait déjà pris ce tour là dans la mesure où elles faisaient l’amour quand Charlotte le souhaitait.elle remercia sa tante pour cet accord sans détour et lui dit qu’elle allait réfléchir à la situation.
Charlotte était une fille fort cérébrale et il ne lui fallut pas longtemps pour trier parmi ses nombreux fantasmes ceux qui lui semblait les plus intéressants.
Tout d’abord elle choisit pour Charlène des tenues fort courtes et serrées, souvent une taille en dessous du 40 de sa tante. Elle dégotta des escarpins qui la rehaussèrent au delà du mètre soixante quinze. Ce furent désormais ses tenues de sorties. Fort classiques certes, mais toujours avec un chemisier ouvert sur un poitrine sans soutien gorge.
Charlène se plia à ses excentricités vestimentaires de bonne grâce, charmée que des gens se retournent sur son passage ou la matent au restaurant et, surtout enchantée de faire plaisir à sa nièce.
Sexuellement leurs pratiques changèrent également. Charlotte demanda très souvent à sa tante d’évoluer nue dans la maison, puis de poser pour elle dans des attitudes très provocantes. Au fur et à mesure elle l’amena à se masturber, exposée devant elle. Quand sa tante allait atteindre l’orgasme, Charlotte l’interrompait et lui demandait de la caresser, puis de la satisfaire avec ses doigts ou sa bouche. Quand elle avait jouit, elle autorisait sa tante à se satisfaire, la caressant parfois, se contentant de la regarder le plus souvent.
Charlotte offrit des boules de Geisha à sa tante et lui demanda de les porter en son absence, afin qu’elle pense à elle. Quand Sa nièce rentrait, Charlène ôtait les boules devant elle afin que sa nièce puisse vérifier qu’elle avait respecté la consigne.
Charlène choisit plus tard divers godemichés. Le soir, elle tirait au sort celui avec lequel sa tante aller devoir se branler. Elle la faisait placer devant elle en levrette et observait l’objet aller et venir entre les reins de sa tante. Parfois c’est elle meê qui guidait le gode vers le vagin ou l’anus de Charlène tout en l’embrassant.
Cette nouvelle vie leur plaisait.Charlène se découvrait soumise et sa nièce adorait inventer de nouveaux jeux pour elle.
Un soir elle ramena des menottes et obligea sa tante à se masturber avec les mains liées. Ce fut le début de l’époque des liens. Cordes ou harnais prenaient le relais selon l’envie du jour. Charlène se retrouvait attachée dans les poses les plus diverses et sa nièce pouvait ainsi abuser d’elle.
Charlotte aimait particulièrement utiliser le spreader, qu’elle avait trouvé sur un site allemand. C’est une barre d’environ un mètre vingt de long que l’on fixe aux chevilles par une boucle située à chaque extrémité. On peut ensuite attacher les deux poignets ensemble au centre de la barre. Elle utilisait souvent cet accessoire fort contraignant pour sa tante qui ne pouvait dés lors bouger ni pieds, ni pattes.
Un soir, Charlotte l’immobilisa ainsi puis revint avec un petit sac contenant divers ustensiles. Elle prit tout d’abord soin de bâillonner Charlène avec un mors de caoutchouc puis elle caressa ses tétons jusqu’à leur complète érection. Elle emprisonna ensuite chaque mamelon avec une mini pince-étau, serrant jusqu’à ce que les couinements de sa tante la fasse stopper.
Elle posa finalement des pinces crocodiles, reliées par une chaînette, sur les grandes lèvres et le clitoris de sa tante. Cette dernière se tortillait sous la morsure du fer. Rien n’y fait. Charlotte la masturba copieusement avec un gode vibrant jusqu’à obtention d’une série d’orgasmes saccadés, bien au delà de la normale.
Les pinces furent dés lors associées le plus souvent à leurs jeux. Il y eut quelques expériences avec de la cire ou des aiguilles mais Charlène n’y tenait pas vraiment. Les pinces sur la chatte représentaient son seuil de tolérance supérieur.
Charlotte toujours aussi imaginative nourrissait toujours de nouveaux projets pour sa tante.