Je m’appelle Charlène, 60 ans, je ressemble à Claire Chazal, tête et corps coupés si j’ose dire. J’entretiens ma silhouette avec assiduité et je ne fais franchement pas mon âge.
Je suis dans ma villa du Cap, celle que je loue depuis quinze ans toujours au mois d’août. C’est un endroit sympa avec piscine et spa, en plein village, mais isolé des voisins par une végétation fort entretenue.
Cette année, mon neveu, de retour d’Espagne avec quelques copains doit faire étape chez moi. J’ai accepté pou le dépanner, après tout un peu de jeunesse…
Je dois reconnaître que j’aime séduire les jeunes gens et l’avantage que me procure mes similitudes physiques avec la célèbre journaliste m’a encore bien aidé cette année .
En rentrant de la plage j’ai un message sur mon répondeur. Finalement le neveu passera ce soir. Ils sont quatre. Je range un peu et tente de me remémore Philippe. Je ne le vois à vrai dire pas souvent. Il a dans les vingt ans, je crois. Ma sur Hélène, qui est ma cadette de dix ans, l’a eu elle même un peu tard, ce qui explique la différence d’âge. La dernière fois où je l’ai vu c’était il y a environ deux ans pour un mariage. On ne se fréquente pas trop car ma sur qui est une pipelette entretient savamment auprès de qui veut la légende de mes murs dissolues. Elle est plutôt du genre catho et ma vie libre la dérange.
Je sais que Philippe vit dans la banlieue sud de Paris où il travaille dans un garage automobile comme vendeur. Il est plutôt beau gosse, brun assez grand. Bref nous verrons bien.
Sus le coup de 18 heures mon neveu sonne à la porte. Je vais ouvrir, il est là devant la porte, tout sourire et me fait une large bise en disant tout le plaisir qu’il a à me revoir. Je jette un il à la Mercedes noire flambant neuve dans laquelle je vois trois silhouettes. J’ouvre le portail du garage pour les faire rentrer.
Mon neveu fait les présentations. Il y a Abdel, Mouloud et un black assez costaud prénommé Ibrahim. Le 93 s’est donné visiblement rendez vous chez moi. Les gars me reluquent comme si je venais d’un autre planète. Philippe intervient: "je vous l’avait dit les gars, on croirait la Chazal". Abdel y va de son commentaire: "Putain c’est vraiment pas croyable. On croirait la vraie."
Super entrée en matière. Je souris et leur propose de se relaxer autour de la piscine le temps que je leur prépare un verre. Les trois loulous s’installent dans les transats. Je les entends encore évoquer ma plastique puis ils devisent gentiment sur le confort de la villa et les charmes du Cap que visiblement ils connaissent bien.
Quand je reviens avec mon plateau de boissons ils ont allumé un joint qu’ils font tourner avec avidité. Si j’avais un doute je suis fixée.
Je n’ai pas envie de cuisiner et donc je leur propose d’aller dans une brasserie qui fait également boite de nuit. Ils sont ravis et m’indiquent qu’ils m’invitent avec plaisir. Le repas se passe tranquillement. Chaque fois qu’une silhouette féminine passe à portée de notre table elle est évaluée du regard comme il se doit, puis commentée si besoin.
J’ai l’impression d’être avec une bande de copains en goguette. Cela m’amuse. Je remarque qu’Ibrahim semble très intéressé par ma personne. Des regards furtifs sur mon anatomie, il me jauge en connaisseur. Philippe discute avec moi de choses et d’autres. Nous avons peu de souvenirs en commun.
Au moment où notre repas s’achève la boite de nuit se met en route et les garçons me proposent d’y faire un tour. J’accepte facilement, car il est flatteur pour moi de me montrer avec 4 jeunes, même si leur origine sociale transparaît quelque peu. Ceci dit la faune du Cap est tellement interlope que cela compte peu.
Abdel commande une bouteille de champagne fort chère. Visiblement l’argent compte peu pour eux. Ils se balade avec des liasses de liquide dont l’origine me laisse perplexe. On boit la bouteille puis une autre, les garçons m’invitent à danser. J’accepte de me trémousser en leur compagnie. Ibrahim se colle littéralement à moi, je le sens qui s’agite contre mes reins. Je ne m’étais pas trompée sur son compte.
Au bout d’un moment il y a un conciliabule entre eux et Philippe me déclare qu’ils sont fatigués et aimeraient bien rentrer. Franchement ça ne se voit pas.
Nous retournons donc à la maison dans la grosse berline noire. Je suis coincée entre Ibrahim et Mouloud. Ce dernier pose sa main sur ma cuisse sans retenue et me demande ce que j’aime au Cap.Je fais semblant de ne me rendre compte de rien et la conversation s’engage sur la station balnéaire et ses attraits. Tous me tutoient bien entendu. Je suis devenue leur copine.
Une fois arrivés je leur propose de boire un dernier verre, ce qu’ils acceptent, leur fatigue semble s’être évaporée. Ils avisent le spa et me proposent d’y faire un saut. Nous rentrons dans les bulles tous les cinq et là Mouloud et Ibrahim commencent une petite séance d’attouchements légers. Je ne bronche pas, mais je sais que l’exigüité du lieu n’est pas franchement responsable du phénomène. Philippe regarde la scène puis déclare qu’il va se coucher.
Il me laisse donc mariner avec les trois zèbres. Mouloud fait glisser la bretelle de mon soutien gorge. Je le repousse mollement mais le type insiste. Comme je résiste un tant soi peu, Abdel s’adresse à moi:
Phil nous a dit que tu venais ici pour te taper des jeunes, c’est vrai? Si tu aimes ça, on peut te dépanner!
Je suis un peu confuse à vrai dire, d’une part que ma sur ait vendu la mèche à mon neveu et d’autre part que celui-ci en ai fait part à ses potes.je n’ai que peu d’alternatives. Soit je joue ma mijaurée, soit je prends les choses en main.
J’opte pour la seconde solution, je sors du spa , prend une serviette et leur fait signe de me suivre. Sans un mot me dirige vers ma chambre, allume la lampe de chevet et m’allonge sur le lit. Les trois gars me regardent sans broncher, j’ôte mon maillot et leur fait admirer mon sexe glabre et mes petits seins en poire.
A ce moment là mon neveu, que je croyais couché, fait son apparition dans l’encadrement de la porte. Il prend le commandement des opérations:
"Je vous l’avais dit les gars, ma tante vient ici depuis des années pour se taper des petits jeunes. C’est ça qui l’excite. Tout le monde connait sa réputation de salope dans la famille".
Les présentations sont faites.
"Allez y, chauffez la moi".
Les types virent rapidement leurs shorts de bain. Mouloud bande déjà et Ibrahim branloche une queue conforme à la légende des blacks. Les types m’entourent pendant que mon neveu reste en retrait. J’éteins la lumière. Je sens leur souffle sur moi. Ils ne pipent mot. Des mains commencent à peloter mon corps, des bouches se collent sur mon épiderme. L’un d’entre eux caresse ma poitrine en faisant rouler mes tétons entre ses doigts, un autre promène sa main sur mon bas ventre.
L’excitation me gagne, le fait qu’il y ait plusieurs hommes et que mon neveu me regarde ajoutent à mon émoi. Il s ne perdent pas de temps, l’un m’embrasse avec vigueur tandis que l’autre suce mes auréoles en les mordillant. Le troisième écarte mes cuisses et entreprend de me lécher la vulve. C’est très agréable, je les laisse faire en me trémoussant.
Il me chauffe ainsi jusqu’au bord de l’orgasme, puis au moment où je vais jouir Abdel les arrête en disant:"Elle est prête Phil, à toi de jouer. C’est ta tante, c’est normal que tu sois le premier". La lumière s’allume et je vois mon neveu droit devant moi, sa bite tendue dans sa main. "Tenez la moi les gars s’y ça vous dérange pas"
Mouloud passe derrière moi et tient mes poignets au dessus de ma tête. Toujours allongée, je vois Abdel et Ibrahim me saisir chacun par une cheville et relever ainsi mes jambes au dessus de mon bassin. Je suis complètement offerte; ouverte et excitée.
Mon neveu s’approche, crache dans sa main et me badigeonne la chatte de sa salive. Il frotte mon clitoris avec son gland: "Depuis que je suis ado, j’ai envie de te baiser. Je t’ai toujours matée et tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlée en pensant à toi.Qu’est ce que vous en pensez les gars, elle vaut le coup qu’on la baise?" Il continue à masser mon bourgeon tout en parlant.
Tous font état du fait que je suis bonne et qu’ils ont envie de me sauter.
Philippe enfonce un puis deux doigts dans mon vagin en me regardant dans les yeux. Je suis au bord de la jouissance. Il s’arrête: "Dis moi tantine, tu as envie d’une bonne queue?"
Je fais signe que oui de la tête.
"Alors dis le!"
Je me surprend à murmurer: " Oui, j’ai envie"
Il a maintenant trois doigts qui fouillent ma chatte.
"Dis nous que tu es une vieille cochonne et que tu aimes sucer des jeunots".
Je m’exécute et d’un coup je jouis sur ces doigts. Je me crispe sur sa main mes cuisses se referment et l’emprisonne et je commence à gémir. Les deux types écartent mes jambes vigoureusement.
"Tu veux que nous te sautions, salope?"
Je gémis "Oui, oui, prenez moi salauds!"
Mon neveu n’e fait rien il continue à fister ma chatte avec entrain, m’arrachant des cris rauques.
"Demande nous cce que tu veux, grosse salope!
Je veux que vous me preniez comme une chienne. Je suis une chienne qui adore les bites!"
Les mots m’échappent tellement l’excitation est grand. Je perds complètement le contrôle.
"Tu es beaucoup trop mouillée, de ce côté! Mets toi en levrette!"
Les types me lâchent et je prend la position souhaitée par mon neveu. Mouloud tient mes fesses écartées et présente ma rondelle à mon neveu. Celui-ci la lèche copieusement, la bourrant de salive. Abdel est passée sous moi et mordille mes tétons tandis qu’Ibrahim attend son tour.
Mon neveu enfonce sans retenue un doigt dans mon cul puis exerce une rotation avec sa main pour préparer le passage.
"Je vais t’enculer, traînée, c’est tout ce que tu mérites!"
et joignant le geste à la parole il crache sur son dard et le présente à mon anus. L’intromission est complexe malgré l’élasticité des chairs, car son gland est fort gros. Il ne bouge pas et c’est moi qui par poussées de reins successives lui ouvre la voie de mon intimité la plus étroite.
Peu à peu sa bite m’envahit jusqu’à ce que ses couilles viennent butter contre mon arrière train. Là, il prend un temps d’arrêt puis me laboure avec vigueur. Ibrahim se charge de branler mon clitoris avec toute sa paume pour compléter mon émoi. Je jouis sans retenue, plusieurs fois. Ma croupe s’agite dans tous les sens sous l’étreinte de mon neveu, jusqu’à ce que celui-ci décharge dans mes entrailles en me traitant de sale pute.
Il décule finalement et laisse sa place à ses potes qui vont ainsi abuser de mon cul et de ma chatte tant qu’ils le peuvent. Je suce avec gloutonnerie les dards de ceux qui attendent ou qui souhaitent finir leurs ébats par une fellation soignée. Je suis engluée dans leur sperme qui s’écoule de tous mes orifices. Je ne compte plus mes orgasmes depuis longtemps.
Tout cela va durer une bonne partie de la nuit. Leur jeunesse leur permettant de m’honorer à nouveau après quelques instants de répit. Jamais je n’ai connu pareille jouissance et il a fallut que ce soit mon propre neveu qui me fasse découvrir ce plaisir.
Le lendemain vers onze heures, je suis encore fourbue quand l’heure du départ arrive. Mon neveu me réveille d’une claque sur les fesses en guise d’au revoir. J’enfile un peignoir et les rejoins dehors pour les saluer. Nous buvons un café puis ils me quittent en m’embrassant un à un sur la bouche, tout en me tripotant une dernière fois.
Ils me font promettre d’aller les voir, ce à quoi je souscris finalement. Qui sait nos retrouvailles feront peut-être partie d’une autre de mes histoires.