La journée commence mal
Plus deau chaude, à peine un filet. Je finis donc ma douche à leau froide.
Ça va, en ce début septembre, il fait encore bon.
A peine sortit de la salle de bain, je mempresse dappeler le service de dépannage afin de convenir dun rendez vous avec eux.
On me propose une intervention laprès midi mêmecest sympa mais je ne pourrais pas aller travailler car le rendez vous est fixé entre 13h45 et 18h00.
Je vais quand même y aller ce matin et je rentrerais sur lheure du déjeuner.
Ma copine travaille toute la journée et ne peut pas se libérer aussi facilement que moi.
Je pars donc travailler alors que ma chérie nest pas encore levée.
Je reviens aux alentours de 12h30 et je suis surpris de voir sa voiture.
Elle doit avoir un problème ?!
Je rentre dans la maison tout est fermé, éteintje me dirige vers la chambreelle est au lit.
« ça va ? »
« Nonmaladepas pu me lever »
Elle me dit quelle a la tête qui tourne, quelle se sent nauséeuse, et quelle va rester au lit le reste de la journée.
Opportuniste, je lui explique que quelquun va venir réparer la chaudière et que cela marrangerais quelle gère cela.
Elle me répond vaguement que oui, se lève péniblement, puis se vautre dans le canapé.
Elle senroule dans une couverture, et me dit de ne pas minquiéter, et que je peux partir travailler.
Ce que je fais.
Après une dure après midi de labeur, je rentre enfin à la maison.
Je passe devant la chaudière, qui visiblement a été nettoyée, puis devant la table de la cuisine ou est posée une pièce usagée, sans doute la pièce défectueuse de la chaudière, mais je ne vois ni devis, ni facture.
Un coup dil par-dessus le bar, et je maperçois que ma femme est à la même place quau moment de mon départ.
La couverture qui la recouvrait est au sol, la ceinture de son peignoir défaite, et le dit peignoir ne la recouvre presque plusétrange, elle qui est si frileuse !
Je mapproche delle pour voir si tout va bien.
Elle dort.
Jai une drôle dimpression. Il y a comme une odeurmélange durine et de sueurpas son odeur.
Puis elle est débraillée, son peignoir ouvert, un peu en vrac, ses cheveux dans tous les sens, puis il y a des traces sur sa peau, elle ne fait pas propre, on pourrait croire des traces de sperme séchées.
Ce nest évidement pas çaje ne vois pas ce quelle aurait pu faire dans son état
Son état, justement, la fièvre, les nausées, voila ce qui peut expliquer son manque de fraicheur.
Cest évident.
Satisfait de ma déduction, je me dirige vers un robinet pour le tester.
De leau chaude !
La chaudière a bien été réparée.
Je me dis quil doit bien y avoir un devis ou une facture quelque part, mais rien.
Jai un doute.
Elle na pas pu faire ça
Bien sur, on a déjà joué avec dautres hommes ou dautres femmes, mais on était ensemble
Là, si elle a fait ce que je commence à croire quelle a fait, cest de la tromperie !
Et me voila jaloux ! Mon cerveau menvoie des images que je naime pas comment savoir ce qui sest passé ?
Je ne vais quand même pas la réveiller pour la questionner ?!
Bien sur que non et pourquoi pas ? si elle a fait quelque chose de mal, je suis en droit de le savoir !
Je ne peux pas rester dans le doute.
Je méloigne de lévier avec la ferme intention de me lancer dans un subtil interrogatoire de ma chère et tendre, quand mon regard est attiré par un angle de la pièce ou je remarque une petite caméra
Un sourire mégaie le visageje me souviens
Lorsque jai pris cette maison en location, la propriétaire mavait informé quil y avait un système de vidéo surveillance.
Je crois me rappeler quil faut un ordinateur portable, se connecter à un site grâce à un mot de passe et on a accès a toutes les cameras de la maison.
Je me dirige donc vers mon bureau, saisis le contrat de location, y trouve le code daccès, et allume lordinateur.
Après quelques minutes une mosaïque décrans apparait.
Je tape historique, la date, et lheure ,13h45.
Je sélectionne deux cameras, celle du salon et celle de la cuisine qui offre une belle vue panoramique il sagit dune cuisine américaine-
13h45 ma chérie dort sur le canapé
Je passe en vitesse accélérée pour parvenir à 15h17 ou elle amorce un mouvement.
Je repasse en vitesse normale.
Elle sétire, tourne la tète vers la porte dentrée, je vois ses lèvres bouger, elle doit dire quelque chose, elle se lève et disparait de lécran.
Je ne sais pas sil y a une camera dirigée vers la porte dentrée, alors jattends.
A peine quelques secondes plus tard, ma chérie saffale à nouveau sur le canapé et japerçois sur la seconde camera un homme traverser la cuisine et se diriger vers le cellier.
Cest sans aucun doute le réparateur .Je ne le distingue pas bien, il passe dos à la camera.
Je repasse en mode rapide quand à 15h56 lhomme refait son apparition dans la cuisine.
Il sapproche du bar, et parle à ma femme.
Aucune réaction de sa part.
Lhomme fait le tour du comptoir et sapproche timidement delle.
Il semble lui dire quelque chose, mais toujours pas de réponse.
Il sapproche un peu plus, tend le bras, hésite, puis touche doucement lépaule de Sandra.
Devant son manque de réaction, il la secoue légèrement.
Elle sétire, se tourne un peu, la couverture glisse un peu, elle étend ses jambes, certainement engourdies par la fièvre, se tourne encore un peu, sétire à nouveau comme le ferait un chat.
Son peignoir sentrouvre et glisse légèrement le long de sa peau.
Japerçois un sein et une de ses cuisses est découverte.
Lhomme se recule un peu, visiblement il ne veut pas quil y est dambigüité.
Il sassoit à coté delle quand elle retrouve un peu ses esprits.
Il lui parle, elle écoute, les yeux vitreux
Elle acquiesce dun signe de tête, il fait de même.
Il a du lui exposer le motif de la panne et demander sil pouvait faire la réparation
Il pose la main sur le canapé pour se relever, mais au même moment, ma chérie se tourne un peu plus vers lui, colle sa tête contre lextérieur de sa cuisse, et pose sa main sur sa cuisse.
Elle se rendort en cherchant visiblement un peu de chaleur.
Lhomme se rassoit lentement, pose sa main sur la chevelure de ma chérie et la caresse lentement.
Elle est à présent tournée vers lui, poitrine et cuisses à demi nues.
Lhomme la regarde, je le comprends, elle est si belle.
Il continue à lui caresser les cheveux mais je distingue son autre main qui se dirige vers le haut de la cuisse dénudée de ma chérie.
Il regarde autour de lui, puis entreprend de la caresser.
Sa main suit le galbe de la cuisse, arrive au genou, descend le long du mollet sattarde sur son talon, caresse son pied, remonte le long de la jambe et sengouffre dans le peignoir pour atteindre sa fesse.
Mon cur saccélère, il ne va quand même pas abuser delle dans cet état !!!
Elle a du se rendre compte de quelque chose car elle se met à bouger.
Lhomme retire ses mains, mais au lieu de se dégager, comme je laurais espéré, elle relève sa tête, la pose sur ses cuisses, passe ses bras autour de sa taille, et se blottit contre lui.
A-t-elle conscience à ce moment là quil ne sagit pas de moi ?
Je me rassure en me disant quelle est dans un demi-sommeil et quelle ne se rend pas compte de ses mouvements.
Lhomme attend quelques secondes et repose sa main sur sa tête.
De lautre, il écarte délicatement le tissu du peignoir afin de dégager les hanches de Sandra.
Il a maintenant une vue imprenable sur ses jambes, ses hanches, ses fesses et même son sexe.
Je me lève brusquement de ma chaise pour intervenir quand je me souviens quil sagit dun enregistrement.
Je ne peux rien faire, juste regarder pour savoir ce qui sest passé.
Il lui caresse à présent allégrement les fesses, insinuant de temps en temps un de ses gros doigts le long de sa raie.
Son autre main, si sage jusquà lors quitte la chevelure de ma femme, et se dirige vers sa braguette il se caresse.
Certainement sensible aux caresses sur son postérieur, Sandra se cambre un peu, rendant plus accessible son intimité.
Lhomme en profite pour aller plus avant dans son exploration.
Il ouvre sa braguette et en sort une queue plutôt courte mais épaisse .Il bande déjà bien le salaud.
Il se caresse à quelques centimètres du visage de ma femme.
Son autre main glisse vers la chatte de mon amour et lui caresse son petit bouton.
Elle se rapproche de lui, écarte légèrement les cuisses pour lui donner meilleur accès.
Il glisse un doigt en elle et amorce de timides va et vient.
Elle approche une de ses mains du sexe de lhomme et le caresse du bout des doigts.
Il enfonce son doigt plus profond, elle le prend à pleine main.
Il se tourne légèrement pour approcher son sexe du visage de ma femme, le frotte contre sa joue, elle le regarde, ouvre sa bouche, a un léger mouvement de recul peut être lodeur durine décelée à mon arrivé sort sa langue, lui lèche le gland, lui caresse les testicules, puis le prend en bouche.
Elle tend son sexe vers lui, il y insère un second doigt, il accélère ses va et vient, elle se cambre, elle se cabre, elle le pompe de plus en plus vite.
Tout en le gardant en bouche, elle enlève son peignoir et laisse apparaitre sa magnifique poitrine, elle se caresse.
Elle le pousse légèrement afin quil sallonge sur le canapé, elle déboutonne son pantalon et lui retire.
Il se défait de son tee-shirt.
Ils sont tous les deux nus. Il est moche, petit, trapus, un peu grassouillet, vieux, en tous cas plus vieux que nous, bref pas folichon pour deux sous.
Mais elle est excitée, sans doute shootée par la fièvre, ne se rendant plus compte de rien alors oui, cest sur à présent, elle va baiser avec lui, et je ny peux rien.
Elle se glisse sur lui, se tourne, présente sa chatte à ses lèvres et reprend sa queue en bouche.
Elle le suce en lui caressant les testicules, il la lèche en lui introduisant un doigt dans le vagin puis dans lanus.
Ils restent comme ça un petit moment, puis il la repousse, relève son buste, la fait sallonger sur le canapé, prend ses jambes, les posent sur ses épaules, et approche son dard du sexe humide de salive de ma chérie.
Il la pénètre brutalement, sans précaution, et la lime sauvagement, tout en profondeur, tout en force.
Je crois deviner quelle crie à chaque coup de butoir, il lui malaxe les seins sans ménagement, elle secoue la tête frénétiquement, elle est au bord de la jouissance, il accélère encore le mouvement, lui lâche un sein pour enserrer son cou, elle le laisse faire.
Il lui défonce littéralement sa chatte avec sa queue, lui faisant balloter les seins de haut en bas , la faisant se cambrer au limite du raisonnable , puis elle relève la tête , ses mains agrippent les bras de lhomme ,elle les serre au point de rentrer ses ongles dans la chair , tout son corps se tend , elle hurle de plaisir , je peux lentendre sans avoir de son , elle jouit comme jamais je ne lai vu jouir , il narrête pas son étreinte ,et accélère même ,elle sagrippe à lui ,elle nen peut plus , elle le repousse ,veut lui échapper , le plaisir est trop fort.
Elle le repousse avec ses mains, sort ses jambes de sur ses épaules et le repousse avec ses pieds.
Il relâche son étreinte sort sa queue de sa chatte et lâche ma chérie, elle saffale sur le canapé, épuisée mais je devine à la taille de son sexe quil nen a pas fini avec elle.
En effet, à peine sest elle effondrée sur le canapé, sur le dos, les bras en croix, quil la saisit par les chevilles, dun mouvement brusque, la retourne sur le ventre, attrape ses hanches de ses mains vigoureuses, lève son bassin, lui écarte légèrement les cuisses et senfonce en elle à nouveau.
Voir ainsi ma chérie, la tête enfoncée dans le canapé, les bras ballants, ne tenant sur ses jambes que par la seule force des bras de lhomme me gène, voir me peine.
Il sacharne en elle encore quelques longues minutes, elle ne bouge plus, puis il grimace, sort son sexe du sexe de ma femme, le saisit à pleine main et se masturbe jusquà la jouissance finale sur les fesses de ma douce.
Il dépose alors ma femme lentement sur le canapé, la recouvre de son peignoir, puis de la couverture, et se rhabille.
Il sort du champ de la camera, traverse la cuisine et à priori se remet au travail.
Il est 17h au compteur.
Je suis abasourdi par ce que jai vu, je ne crois pas avoir jamais vu ma belle dans un tel état.
Jen suis presque jaloux.
Je reste devant lordinateur, affalé sur ma chaise et je laisse filer les images sans y prêter attention.
Ma femme dort et lautre doit réparer ma chaudière.
Lécran affiche 17h45 quand il réapparait face à la camera de la cuisine.
Il dépose sur la table la pièce défectueuse que jai vu en entrant tout à lheure puis une feuille, sans doute la facture.
Il se tourne vers ma femme et semble lui parler.
Elle ne réagit pas, elle dort de trois quart de coté en lui tournant le dos.
Il prend sa sacoche et se dirige vers la porte.
Mais alors que je mapprête à éteindre lordinateur, lhomme réapparait dans le champ.
Il sapproche de ma femme, la regarde, se penche vers elle et lembrasse sur la joue.
Elle bouge à peine et sans doute se rendort elle.
Il retire la couverture ainsi que le peignoir qui était juste posé sur elle.
Il s’agenouille auprès du canapé et commence à l’embrasser un peu partout sur le corps.
Je me redresse sur ma chaise « ce nest pas vrai, ça va pas recommencer !! »
Ses baisers qui ont parcourus le dos de ma chérie descendent vers ses fesses et ses caresses se concentrent sur ses jambes.
Elle est à présent allongée sur le ventre, il est derrière elle, la tête sur ses fesses, les mains sur ses jambes.
Ses mains remontent sur les fesses de ma compagne, lentement elles écartent les chairs pour faciliter l’accès de sa langue vers l’anus de ma belle.
Il la lèche avec insistance, elle se cambre un peu et semble apprécier.
« Il ne va quant même pas la prendre par là ! C’est mon domaine réservé !! »
Il s’attarde entre ses fesses et je suppose aux mouvements de bassin de ma femme qu’il force le passage de son intimité avec sa langue.
Il se redresse alors, se lève, retire son pantalon et son caleçon.
Sa queue est à nouveau raide, elle me paraît plus grosse que tout à l’heure.
Il crache dans le creux de sa main, s’humidifie le gland, saisit Sandra par la taille, lui relève le bassin, approche son dard, le colle à l’entrée de son petit trou et à l’aide de ses bras, tire les fesses de ma chérie vers lui.
Il entre en elle lentement, elle se rend compte de la situation et à l’aide d’une de ses mains tente de le repousser, mais sa position ne le lui permet pas.
Il est à présent entièrement en elle, elle grimace, tente de se libérer de cette contrainte, mais rien n’y fait, il amorce de lents mais réguliers va et vient.
Au bout de quelques instants, elle ne tente plus de le repousser, et semble plutôt prendre du plaisir, elle ramène ses mains sur le canapé contre son visage et amorce un sourire de satisfaction.
L’homme accélère la cadence.
Il lui matraque son arrière train sans précaution, avec sauvagerie.
Elle aime ça !
Dun coup, sans se retirer, il la pousse vers lavant, la forçant à sallonger sur le ventre, il sécroule sur elle de tout son poids et continu de la limer.
Il lui écrase les épaules avec ses mains, pour mieux la tenir sous sa domination et la sodomise de plus belle.
Elle tente bien de se dégager, de relever son bassin, de trouver de lair, mais lhomme ne bronche pas.
Soudain, il se redresse sur ses bras et grimace. Il jouit en elle.
Elle crie de plaisir ou de douleur, comment pourrai-je savoir.
Il sort sa queue et quelques giclées de sperme se répandent sur les fesses ainsi que dans la cambrure de ma chérie.
Il saisit sa queue dans sa main et lessuie entre la raie des fesses de Sandra.
Elle ne dit rien, elle ne bouge plus !
Il se relève, se rhabille, dépose un baiser sur ses fesses, et sagenouillant devant elle, relève sa tète pour lembrasser.
Elle lembrasse à pleine bouche, preuve que ce traitement ne lui a pas déplu, il lui fourre sa grosse langue dans la bouche et se lève.
Il dépose le peignoir sur elle et se dirige vers la cuisine, se saisit de la feuille déposée auparavant, et la déchire avant de mettre les morceaux dans sa poche.
Il sen va. Il est 18h30 sur lécran.
Je suis rentré à 19h
Jéteins lordinateur, sort du bureau, me dirige vers le salon.
Je massois prés de Sandra et lui demande :
« Ça cest bien passé avec le réparateur ? »
« Je suppose, je men suis pas occupé, il sest débrouillé tout seul »
Jai un nud à la gorge.
La chaudière est réparée, cela ne nous a pas couté un centimes et ma femme a lair bien mis à part sa maladie qui lempêche de faire quoi que ce soit, bien sur !