(Le Matou libertin : Cette histoire ma été inspirée par une amie facebookienne qui, venue de Province à Paris, avait fait une razzia dans les boutiques lors de soldes de janvier).
Après les folies des Fêtes de fin dannée au cours desquelles javais quelque peu abusé de la bonne chair et du champagne, jétais restée à Paris pour quelques jours et profiter des soldes afin de renouveler un peu ma garde robe pourtant déjà bien garnie et acheter quelques paires de chaussures chez des grands spécialistes que lon ne trouve pas en province. Je métais organisée en faisant quelques repérages pour savoir ce que jachèterais
Le premier jour, je me suis rendue sur les grands boulevards pour trouver des petites tenues pas chères (enfin, quand même quelques dizaines deuros chacune) pour tous les jours Ce nest pas parce quon travaille à la maison devant son ordinateur quil ne faut pas être à son avantage on ne sait jamais quelle visite on va avoir
Après des essayages rapides en cabine, dès mon retour à lhôtel, jai essayé longuement ces nouvelles tenues, des robes, des ensembles jupe et chemisier ou sweatshirt en réfléchissant aux chaussures que je pourrais assortir ou acheter dès le lendemain.
Après une nuit plutôt agitée dans un club de lavenue Foch, je nétais guère encline à me lever de bonne heure aussi est-ce en début daprès midi que jai commencé à écumer les chausseurs du secteur des Champs Elysées mais finalement je ne trouvais rien de particulièrement intéressant
Il est vrai que je cherchais des choses bien précises mais totalement différentes de ce qui métait proposé. Finalement, jai hélé un taxi qui ma déposé rue du Faubourg Saint Honoré où je savais trouver un chausseur réputé pour ses produits et lambiance feutrée et luxueuse de ses boutiques
Dès lentrée, jai été accueilli par un bel homme qui ma demandé quel genre de chaussures je cherchais. Grand et les épaules larges, je crois plutôt quil était là pour assurer la sécurité mais, comme toutes les vendeuses étaient déjà occupées avec des clientes, il sest servi dun interphone en disant :
Tatiana, venez, nous avons besoin de vous en renfort.
Avec un nom pareil, je mattendais à voir arriver une blonde slave avec des cheveux noués en tresses mais cest une noire sculpturale qui sest présentée Aussi grande que moi, c’est-à-dire près du mètre quatre vingt, elle avait de longs cheveux ondulés avec des reflets roux noués en queue de cheval et un regard de biche accentué par un maquillage discret
Jai pensé en moi-même que cétait vraiment une belle plante Mais ce qui ma attiré ce sont ses lèvres pulpeuses, très légèrement négroïdes et une somptueuse poitrine moulée dans un caraco de couleur mordorée qui laissait apercevoir discrètement lamorce de la vallée séparant les seins. La taille prise dans une large ceinture de cuir souple sévasait ensuite sur des hanches larges comme pour les souligner. Une jupe de lainage, assez courte et des bottines à petits talons complétaient sa tenue. Dailleurs toutes les vendeuses étaient habillées très élégamment Normal dans ce quartier.
Jai expliqué à Tatiana ce que je cherchais et peu de temps après, elle est revenue de la réserve les bras chargés de cartons aux formes multiples La première série dessayage a porté principalement sur des chaussures à talons hauts et fins, très découpées puis je suis passée aux chaussures sans talon ou presque avec ma stature, jaime aussi porter des chaussures plus confortables.
La suite des essayages a été consacrée aux bottes Je cherchais une paire chaude qui sarrêterait sous le genou pour la fin de lhiver et une autre, disons plus sexy, genre cuissardes qui gainerait mes longues jambes pour ne laisser quune bande étroite de peau nue sous une courte jupe ou un short
Tout au long de ces essayages, jai bavardé avec Tatiana comme si cétait une amie de toujours échangeant force confidences et anecdotes diverses Quand elle sasseyait face à moi sur le marchepied, il lui arrivait de se pencher plus quil ne fallait et je sentais son parfum épicé monter jusquà mes narines et mon regard plongeait entre ses seins, elle faisait crisser ses bas en ouvrant et refermant ses cuisses rondes et je nétais pas insensible à ses jeux de séduction Etant sur la même longueur dondes, jouvrais largement mes jambes lorsquil sagissait denfiler une paire de chaussures.
Selon mon habitude, je ne portais ni string, ni culotte, au point que je sentais ma vulve shumidifier denvie et Tatiana ne pouvait ignorer que jétais nue à cet endroit complètement nue, puisquil y a bien longtemps que je nai plus de toison pubienne ! Je pensais en moi-même que jétais décidément une fieffée coquine Après une soirée passée en club échangiste où pendant plus dune heure je métais retrouvée prise en sandwich entre la femme avec qui jétais en 6 9 sur le podium central alors que lhomme me sodomisait à longs traits au point de me faire délirer de bonheur, voila que javais à nouveau envie dune étreinte saphique mais comment faire ??? Je pense que Tatiana avait été allumée par mon manège car lorsque je suis passée à la caisse, elle a proposé de livrer mes achats à lhôtel
Cest vrai que javais frappé fort ! Deux paires de bottes, une paire de ballerines et trois paires descarpins, cela faisait beaucoup Aïe mon compte en banque !!!
Vers 20 heures, nous nous sommes retrouvées au bar de cet hôtel proche de la gare Montparnasse où je descends chaque fois que je séjourne quelques jours à Paris pour les rendez vous professionnels avec mon éditeur ou pour des séances de dédicaces dans cette librairie du Chemin vert que beaucoup connaissent.
Pour être plus à laise, nous sommes montées dans ma chambre où javais fait livrer un petit encas et une demi-bouteille de champagne pendant que nous bavardions au bar Je savais comment la soirée allait se terminer car dès que nous sommes entrées dans lascenseur, nous nous sommes enlacées et Tatiana a pris ma bouche dans un baiser lascif, nous livrant à une joute buccale jusquà en perdre le souffle. Et cela sest poursuivi dans la chambre. Javais tellement envie de cette fille que je ne sais plus qui a fait la conquête de lautre
Nos pubis collés lun contre lautre, les bras passés autour des reins, nous nous sommes mises à onduler de hanches, nous frottant lune contre lautre Pendant que Tatiana faisait passer mon sweatshirt par dessus ma tête, jai dénoué les cordons de son caraco qui a glissé jusquau sol, découvrant son opulente poitrine emprisonnée dans un soutien gorge de couleur ivoire. Nos jupes courtes nont pas tardé à glisser à leur tour pour se retrouver sur le tapis
Nous étions désormais presque nues, Tatiana portait, assorti au soutien gorge, un serre taille qui maintenait ses bas clairs et un string vraiment très réduit qui masquait sa toison pubienne. De mon côté, jétais aussi en sous-vêtements de couleur turquoise qui allaient bien à mon teint de fille rousse car depuis mon retour à lhôtel, javais eu le temps denfiler un shorty Mes bas tenaient seuls sur mes cuisses, retenus par une bande de dentelle élastiquée. Je ne me lassais pas de caresser les hanches et la poitrine de Tatiana qui en faisait autant avec la mienne
Bientôt nous avons pu comparer nos seins nus Ceux de Tatiana étaient effectivement de belle taille, très fermes et pointus avec des tétons quelque peu proéminents que je me suis empressée daller titiller de ma bouche. Javais sous mes lèvres et dans mes narines ce parfum épicé que javais déjà remarqué dans le magasin Là, il est un peu plus marqué, avec un mélange subtil de sueur qui me fait frémir
Ma compagne de jeux nest pas en reste Elle se laisse glisser à mes pieds, soudain je sens son souffle chaud dans ma fourche intime Elle souffle de plus en plus fort puis descends mon shorty de dentelle qui rejoint le reste de nos vêtements Elle continue de souffler ainsi quelques temps avant de poser ses lèvres et daspirer mon clitoris et de le faire rouler entre ses lèvres Je défaille tant cette caresse est forte et sensuelle Je suis de plus en plus humide et jen veux plus encore Je relève Tatiana et je la pousse doucement vers le lit où je la couche en travers, ses pieds encore posés sur le tapis
Cest à mon tour daller chercher dans sa fourche intime que je découvre en faisant glisser le string. Une toison disciplinée en ticket de métro, très drue et un peu rêche domine le capuchon du bourgeon que je mempresse de débusquer du bout dune langue inquisitrice Oh ce parfum suave et épicé à la fois Jemplis mes narines et men délecte Je lèche quelques temps cette fente qui shumidifie de plus en plus, suintant dun nectar que je cueille du bout de la langue pendant que Tatiana mencourage :
Ooohhh Ouiii ! Cest booon, continuuueee !
Ne tinquiète pas, belle fille des Iles, je vais ten donner du plaisir !
A ce stade, je dois avouer, et je pense que vous lavez compris, que je suis totalement bisexuelle Au cours dune soirée coquine, je peux aussi bien commencer par me livrer à un ou deux hommes en même temps ou à un couple comme je lai fait la veille et finir en goûtant la douceur dune fille avec laquelle je partage mes caresses A trente cinq ans passés, je ne compte plus les amants dune soirée ou dun weekend, quant aux filles jai partagé mes étreintes avec tous les genres, plus âgées ou plus jeunes que moi comme ce soir Des blanches, des métisses arabes ou asiatiques mais jamais encore une noire pure race comme Tatiana Originaire de Martinique ma-telle dit, elle a vécu jusquà présent en Guyane doù elle est arrivée en Métropole pour achever ses études de marketing. Cest à ce moment que je me relève pour aller chercher un de mes jouets sexuels qui maccompagne en voyage, un beau gode vibrant couleur chair, fortement veiné avec un gland mafflu qui tourne quand on actionne le mécanisme
Regarde ce que jai pour toi !
Ooohhh Ooouuuiii ! Jai envie de lavoir en moi !
Je mamuse quelques temps à faire coulisser le gland factice entre les lèvres intimes de Tatiana puis, lentement jintroduis ce membre de latex au plus profond de son sexe avant de mettre en route le mécanisme vibrant
Ooouuuiii ! Baise-moi ! Cest si bon !
Je ne me fais pas prier pour faire aller et venir le gode dans le sexe de Tatiana qui exprime son plaisir et sa jouissance de plus en plus ouvertement et finalement, dans un grand cri libérateur, un spasme lemporte dans une série de mouvements désordonnés. Pour retrouver un peu de calme, nous nous allongeons, enlacées sur le lit Ce ne sont quembrassades, caresses légères, mains dans les cheveux dénoués qui sétalent autour de notre tête Linstant divin où lon savoure le plaisir qui a déferlé Je nai pas joui, et alors !!! Jai pris beaucoup de plaisir à en donner à Tatiana et je pense que la soirée nest pas terminée car nous évoquons notre vie amoureuse, non pas au plan des sentiments, mais plus au niveau sexuel
Cest ainsi que jévoque la période où jétais en Fac de lettres Je nétais plus une oie blanche depuis longtemps, mais cest au cours de ces années que jai découvert la pluralité, passant dune étreinte virile à la douceur des bras dune fille, aux relations multiples au cours de la même soirée où plusieurs garçons me baisaient à la file Tatiana na pas connu cela bien quelle ait commencé de très bonne heure avec les garçons puisquelle avoue avoir perdu son pucelage à 13 ans avec le frère dune de ses copines quelques peu plus âgé quelle
Les relations avec les garçons se limitèrent à quelques coups de temps à autre car elle voulait étudier et ne pensait pas à samuser Elle navait découvert lamour saphique que tout récemment et tout comme moi, elle apprécie la douceur de ces étreintes de filles Les caresses échangées et toutes ces confidences nous ont passablement échauffé les sens et nous recommençons des échanges plus intimes
Tatiana me dit apprécier ma petite poitrine (des bonnets B bien galbés) en disant que le sienne la gène parfois, surtout quand des garçons la dévisagent puis laissent glisser leur regard vers ses seins opulents Ses lèvres agacent mes tétons puis descendent jusquau nombril puis, plus bas encore, elles vont ouvrir les nymphes qui cachent mon bourgeon damour Tatiana se met en 69 au dessus de moi et entreprend de lécher consciencieusement mon sexe qui coule de plus en plus Elle fait coulisser un doigt puis deux dans le vagin qui souvre Puis elle saisit le gode qui était resté sur les draps
A toi maintenant, je vais te faire crier de plaisir !
Oui, jai envie de cette bite factice au plus profond de moi, vas-y, fais moi lamour !
Il ne me faut pas longtemps pour que Tatiana memmène au septième ciel tant je suis excitée En plus pendant tout le temps où elle me prenait, javais la vision de son sexe qui palpitait au dessus de mon visage si bien quau moment où la jouissance déferle en moi, je plaque ma bouche sur cette bouche intime pour étouffer mes cris de plaisir Voila comment un après midi de shopping sest terminé par une soirée de baise lesbienne