Je sentais son souffle chaud qui reniflait ma chatte. Dire que j’étais excitée serait exagéré, j’étais plutôt inquiète, mais aussi curieuse. Je n’osais pas vraiment bouger et en gardant la position que m’avait fait prendre André, j’offrais mon intimité sans aucune pudeur, mais le chien ne chercha nullement à en profiter. Il reniflait sans chercher à en faire plus.
J’essayais de voir sous son ventre, mais là non plus rien n’indiquait une quelconque excitation de sa part. Tout ce que j’avais pu entendre sur l’excitation des chiens simplement en reniflant le sexe d’une femme n’était donc qu’une légende ?
Quelques minutes plus tard, André revint une bouteille à la main. Il appela son chien qui abandonna le lit pour le rejoindre. Il s’agenouilla devant lui.
– Donne la patte !
Le chien donna sa patte droite, il posa la bouteille à côté de lui, prit une sorte de chausson en cuir ou je ne sais quelle matière, de sa poche pour le mettre au chien, il fit de même avec la patte gauche.
– Cela protégera de ces griffes.
Me dit-il en s’approchant du lit. Le chien était resté à sa place.
– Partante ?
Il s’était assis sur le bord du lit et me souriait.
–
Je ne fuyais pas son regard, mais sans pour autant répondre à sa question.
– Bon, je vais prendre cela pour un « oui ».
Me dit-il en se levant. Il appela son chien en tapant sur le matelas à proximité de ma tête. Le chien s’approcha et posa ses pattes à l’endroit même qu’il lui avait indiquées.
André prit un peu d’eau de la bouteille dans la paume de sa main et la versa ensuite sur mes lèvres. Le liquide était salé. J’hésitais à passer ma langue pour m’en abreuver, mais finalement je ne fis rien. Le chien regardait sans bouger.
– A toi !
Dit ensuite André en s’adressant à son chien. Celui-ci commença à me lécher les lèvres.
– Et bien embrasse-le.
Il s’adressait à moi et je le regardais sans vraiment comprendre ce qu’il attendait de moi.
– Tu n’embrasses jamais tes amoureux ?
Me dit-il en riant. Il mima un baiser avec sa langue qui tournait dans le vide.
Après une petite hésitation, j’ouvrais la bouche pour en sortir ma langue. Ce n’était pas vraiment un baiser, mais il la lécha. André fit ensuite coulé de l’eau sucrée en partant de mon cou jusqu’à mes tétons, le chien suivi le mouvement et lécha ma poitrine. André continua à verser le liquide jusqu’à mon nombril, le chien, monta entièrement sur le lit pour venir le lécher. Il avait maintenant ses pattes de chaque côté de mon corps et son buste au-dessus de ma poitrine.
Le liquide s’écoulait maintenant sur mon sexe, la langue du chien se dirigea donc vers mon petit abricot et mes lèvres intimes. Je pouvais maintenant voir le fourreau de son sexe au niveau de ma tête.
– Caresse-le, il adore cela.
Mes mains commencèrent à caresser son poitrail.
– Ne te fais pas plus prude que tu n’es
J’ai commencé à lui masser le fourreau et je n’ai pas pu m’empêcher de sourire en voyant la pointe de son sexe apparaitre. Le jeu m’amusais, je tirais et poussais ce fourreau jusqu’à lui donner une érection complète. Le chien commença à gicler presque instantanément dès que son pénis entra en érection. Au début, le jet était plutôt lent et la quantité de liquide faible, mais plus je l’excitais et plus il produisait de liquide.
André regardait avec intérêt et semblait satisfait de ma technique. Il me proposa de sucer le chien, mais j’ai refusé sa proposition. Il n’insista pas.
Il fit descendre son chien du lit et j’étais un peu déçue car sa langue avait déjà bien excitée mon vagin.
– Ne t’inquiète pas, il va recommencer, je voulais simplement te mettre dans une autre position pour qu’il puisse mieux encore le faire.
Il me fit mit en position pour une levrette, en me demandant de poser mes bras croisés sur le matelas et d’y croiser mes mains afin d’y poser ma tête. Cette position, permettait à ma croupe d’être surélevée. André remit un peu d’eau sucrée au niveau de mon sexe et autorisa son chien à revenir.
André ne m’avait pas fait mettre dans cette position par hasard et j’avais bien compris ses intentions même s’il ne me l’avait pas clairement dit.
– Tu verras, cette position est agréable, écarte bien tes jambes pour lui donner un accès complet à ton entrecuisse.
Il m’expliqua qu’ainsi sa langue excitera à merveille mon sexe, mais aussi mon anus, mais je savais aussi, qu’ainsi offerte, je ressemblais aux yeux du chien à une chienne désireuse de se faire monter.
Ce qui devait arriver arriva, le chien me lécher avec gourmandise ma chatte et j’étais de plus en plus excitée, soudain, il arrêta ses agaceries linguales et posa ses pattes sur mon dos, j’avais déjà la tête plus basse que mon bassin, mais j’ai dû me ressaisir pour ne pas complétement m’écrouler.
André avait tout prévu, il savait très bien ce que son chien allait faire et c’est pour cela qu’il avait recouvert ses pattes de protection pour m’éviter d’avoir le dos labouré par ses griffes. Le chien s’était approché au plus près de mon bassin et je sentais les coups de butoir de son sexe sur mes fesses. Il était excité, mais bien maladroit. Il se trouvait bien loin de l’entrée de mon Vagin.
Le chien était lourd et ses assauts flagellés mes fesses et les maculées de ce liquide qui giclait de son sexe depuis le début de son érection.
André le laissa faire un peu, puis s’approcha de mon oreille, y déposa un baiser et me souffla d’une voix à peine perceptible sa question.
– je l’aide ?
– oui.
Ma réponse m’étonna, je l’ai prononcé d’une manière étrange et sans réfléchir à ce que je disais. J’avais bien compris ce qu’il m’avait dit et ce que cela voulait dire, mais j’avais répondu sans crainte ni appréhension pourtant, je n’avais encore jamais fait cela.