Histoires de sexe à l'école Histoires de sexe lesbien Histoires érotiques au travail

Chloé, des vacances très chaudes – Chapitre 3

Chloé, des vacances très chaudes - Chapitre 3



Des vacances très chaudes. Chloé, sa tante et son mari. Suite.

Nous passons la nuit à baiser, quand l’un est trop fatigué, les deux autres se consolent ensemble ou tourmentent le troisième partenaire qui se laisse faire passivement jusqu’à ce que le plaisir reprenne à nouveau possession de son corps.

Je me réveille au petit matin. Il me faut un peu de temps pour émerger de ma nuit et réaliser ou je me trouve.

Je suis allongée au centre du lit de ma tante qui a nonchalamment posé son bras sur ma poitrine alors que Paul, son époux dort du sommeil du devoir accompli à ma gauche.

Il est un peu avachi sur moi, une jambe glissée entre les miennes. Il dort encore mais doit rêver de cette nuit torride car sa verge tendue est coincée entre nous deux.

Je n’ose bouger mais la tentation est trop forte, je pose délicatement ma main sur son rostre. Sous ma caresse, il ouvre un il et sourit à ce que je fais.

Pendant que je prends sa gaule matinale entre mes doigts, décalottant imperceptiblement son gland, nos gestes ont réveillé Josette.

Elle rampe sur mon corps pour prendre en bouche la virilité de son mari et le suce délicatement. Comme il ne veut pas de jalousie, il se lève et nous venons toutes des deux mélanger nos langues sur l’offrande qu’il nous offre.

 Le tableau que nous exhibons faisant nos prières à genoux au Dieu Priape est interdit aux moins de 18 ans. Pour être encore plus lubriques, une de nos mains s’égare dans la chatte de la voisine pendant que l’autre ne lâche plus la verge de Paul.

Sous nos assauts conjugués il ne peut résister longtemps. Sentant monter sa semence dans la verge, il se saisit de sa lance et barbouille nos visages de son liquide séminal, projette dans nos bouches avides son sperme gluant.

Une fois sûres de ne plus rien tirer de son tuyau, nos langues viennent lécher les trainées blanchâtres qui strient le visage de la voisine, s’embrassant comme deux vestales émoustillées par leur Dieu.

 Nous nous retrouvons dans un corps à corps sur le lit, seins contre seins, pubis contre pubis.

Paul nous regarde ébahit.

J’enfile ma main entre nos corps et glisse mes doigts dans sa chatte déjà humide, frottant le gros clitoris qui durcit aussitôt.

Elle me rend la pareille, doigtant avec frénésie mon vagin grand ouvert aux chairs rougies par l’afflux de sang.

 Josette rampe sur mon corps et se met tête-bêche sur moi, nous nous abreuvons avec délectation du suc qui suinte de nos vulves. Sans aucune pudeur nous livrons à Paul le spectacle de 2 lesbiennes en chaleur d’une lubricité inimaginable.

Paul a retrouvé toute sa vigueur et une barre horizontale pointe vers nous.

Il vient se positionner derrière Josette, j’ai ses genoux de chaque coté de ma tête, il écarte de ses mains les deux globes blanchâtres et sans préliminaire s’enfonce entre les fesses dodues devant mes yeux, s’engouffrant avec bonheur dans la chatte offerte qui s’ouvre sous sa poussée alors que ma tante gémit de plaisir.

De temps en temps il présente à ma bouche sa pine pour une petite fellation avant de replonger en elle.

Pendant ce temps, elle glisse un doigt dans ma chatte, ses lèvres se saisissent de mon clitoris qui pointe orgueilleusement. J’ondule de plaisir sous ses caresses tous mes sens en feu. Elle me mordille le bourgeon de chair tout en remuant ses doigts dans ma vulve, puis en profite pour glisser sa langue dans la fente de ma chatte.

Paul pioche toujours dans les chairs intimes de sa chère et tendre, changeant de trou, l’amenant à un orgasme comme elle en a rarement connu auparavant.

Elle bave, elle rit, elle pleurniche, se démenant dans tous les sens, projetant son cul au devant du pal de son mari, criant sa jouissance sans plus aucune retenue. Elle le supplie d’arrêter et la seconde suivante l’encourage à être encore plus violent, elle en veut encore plus quand soudain son corps a des soubresauts, signe inéluctable d’un orgasme qu’elle ne peut plus réfréner

Paul l’encourage de mots crus:

— Petite vicieuse. Il te fallait bien ça ! Que je t’éclate le cul pendant que ta nièce te dévore la moule !

Josette est comme hystérique :

-Ooouuuiii !… Bourre-moi bien le cul et laisse-là me brouter tranquille ! Ooohh quel pied ! Que c’est booonnn. défonce-moi le cul, encore plus fort mon chéri. Aaahhh!.. Je jouis, je cooouuule. Oh oui ! Oui ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…….

Josette est dans une telle transe que la verge de Paul est expulsée de son petit trou pendant qu’elle m’inonde le visage de sa cyprine. Alors qu’elle crie encore son plaisir, j’en profite pour engloutir le gourdin de Paul entre mes lèvres, suçant avec une dextérité diabolique son sexe que j’astique de mes doigts avec frénésie.

Sa verge est raide à en éclater. D’un seul coup, Il se libère de tant de pression, lâchant son foutre qui gicle à flot dans ma bouche gourmande. Je viens en quelques instants de déguster les sucs masculin et féminin de ce couple si particulier, celui de ma tante et de son mari.

Maintenant qu’ils ont atteint tous deux leur plaisir, ils se liguent contre moi.

Elle lui demande de me baiser mais avant il doit rebander. Il me retourne sur le dos et sa bouche vient prendre la relève de celle de sa femme. Il me fait hurler en me dévorant le clito qu’il décapuchonne avant de le sucer. Sa langue explore les moindres recoins de ma fente et il n’interrompt même pas son uvre quand il obtient sa récompense. Je l’inonde de ma cyprine plusieurs fois de suite.

Ce petit intermède lui a permis de reprendre des forces. Il pose ses mains sous mes fesses qu’il soulève et perfore mon illet, il pousse son vit qui me transperce d’un seul coup et s’engouffre au fond de ma muqueuse rectale. La pénétration est plutôt brusque et je l’engueule de sa brutalité.

— Oh ! Espèce de salaud, vas-y doucement quand même ! Je sais que ta bite connaît déjà le chemin mais ce n’est pas une raison ! Et toi ma tante, ton mari m’encule et ça te fait rigoler putain !… Bon, maintenant que tu as fais rentrer le petit Jésus dans la crèche, il faudrait que tu me montres qui est le mâle dans cette étable. Ooohhh. Ouuuiiii ! Ahhhhrrrrrrrrrrr………….

 Heureusement que ses couilles butent sur mon cul car il s’enfonce le plus profondément qu’il peut. Je gémis comme une truie enculée par son verrat, lui me saccage la rondelle.

Mais la pression monte une nouvelle fois dans ses couilles, il se retire et présente sa bite souillée du jus de mon anus devant la bouche de ma tante.

 Elle nettoie avec sa langue sans rechigner attendant de sentir les jets de sperme puissants de son mari inonder sa bouche. Elle nous montre qu’elle a tout avalé et vient nous embrasser.

Ce fut tout pour ce matin mais après une nuit pareille, je suis sûre que ce ne sera sûrement pas la dernière.

Bon Je ne suis pas mécontente de moi, les vacances ont l’air de se présenter sous des augures de plus en plus beaux. Mais maintenant, je ne vois plus qui d’autre je vais pouvoir ajouter à mon tableau de chasse.

Mais il faut croire au destin. Quelques jours plus tard Paul me confie qu’un nouvel ouvrier doit venir se présenter mais comme il sera absent, ce sera à moi de le recevoir et de lui faire découvrir l’entreprise et sa tâche.

Avec un peu de chance..

A suivre

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire