Ma soeur jumelle Lily et moi, Laurent, préparions nos affaires pour nous rendre au domicile de notre père, situé à quelques kilomètres de celui de notre mère.
Nos parents avaient divorcé depuis deux ans, alors que nous avions seize ans et avaient décidé, malgré leurs divergences totales d’opinions, d’un commun accord, de se partager notre garde.
Il était un peu plus de quatorze heures lorsque notre père passa nous prendre. Il salua poliment notre mère et lui posa des questions polies au sujet de sa santé.
Après un court échange de banalités entre nos parents, ma soeur et moi montâmes dans la voiture et prîmes la direction de la maison paternelle.
À notre arrivée, papa nous désigna nos chambres et nous aida à nous y installer pour le week-end. Lorsque Lily et moi fûmes installés, notre père nous proposa, par ce magnifique soleil de juillet, d’aller manger une glace dans un café de la ville. Ma soeur et moi acceptâmes de bon coeur et nous sortîmes tous les trois manger notre délicieuse crème glacée.
Une fois arrivés dans le café, ma soeur et moi nous extasiâmes devant l’impressionnant choix de goûts qu’offrait l’établissement pour ses glaces. Il y avait toutes sortes de saveurs que nous n’avions jamais goûtées jusqu’alors : Ferrero Rocher, Nutella, cookies, limoncello, etc…
Lily et moi nous décidâmes finalement pour la combinaison Ferrero Rocher/Fraise tandis que papa choisit une simple boule de glace au café. Il paya la note au vendeur et nous allâmes nous asseoir à une table, près d’une fenêtre.
Papa nous demanda comment allaient nos études et nos relations. Nous lui répondîmes que tout allait bien et qu’il n’avait pas à s’en faire pour cela. Nous le questionnâmes sur son travail et sur son côté coeur. Il rit de bon coeur et nous répondit qu’il ne cherchait personne actuellement.
Nous continuâmes à manger nos glaces tout en bavardant sur divers sujets. Puis, lorsque nous eûmes fini, papa et nous sortîmes du café et allâmes nous promener dans la ville en attendant le soir.
Le soir arriva et il fut rapidement l’heure d’aller nous coucher. En effet, papa nous avait conseillé de nous coucher tôt en prétextant que le lendemain serait une journée chargée.
Un peu fatigué par la journée, je m’allongeai sur mon lit et tombai rapidement dans un profond sommeil.
Pourtant, vers deux heures du matin, je me réveillai avec une forte soif. Je me levai donc de mon lit et allai me préparer un verre d’eau. Après m’être assuré d’avoir bu suffisamment d’eau, je remontai l’escalier en direction de ma chambre.
C’est alors que des voix ou, plutôt, des gémissements provenant de la chambre de mon père attirèrent mon attention. D’abord inquiet, je me dirigeai à pas de loup vers la source des gémissements.
En arrivant devant la chambre de mon père, je trouvai la porte close. Cependant, je pouvais entendre bien distinctement les gémissements en provenance de la pièce.
Curieux, je me risquai à entrouvrir doucement la porte. Ce que je vis derrière cette maudite porte me figea d’effroi : mon père et ma soeur étaient assis, nus, côte à côte, sur le lit de mon père !
Papa caressait les seins de Lily avec passion tandis que celle-ci masturbait son entrejambe d’un délicat mouvement de va-et-vient.
Oh la la ! Lily… Quelle magnifique poitrine ! Tu ne la tiens pas du côté de ta mère, c’est sûr.
Et de qui, alors ?
Eh bien, je ne vois plus qu’une seule personne en lice : ta grand-mère paternelle, c’est-à-dire ma mère.
Contente que mes seins te plaisent, papa. Ça te fera sûrement plaisir de savoir que tu es en train de caresser du 90D.
Mon père émit un sifflement admiratif et continua à caresser la poitrine de Lily.
À défaut de pouvoir être fier de mon ex-femme, je peux être fier de ma fille.
Sur ces mots, il approcha son visage de celui de ma soeur et l’embrassa langoureusement. Ma soeur lui rendit son baiser en passant ses bras autour de son cou.
Papa fit alors doucement basculer Lily sur le dos. Il prit son sexe en main et le dirigea vers celui de ma jumelle qui se mit à pousser de longs gémissements de plaisir.
Mon père commença par faire de lents mouvements d’aller-retour dans l’intimité de Lily puis, voyant que ma soeur en voulait davantage, il accéléra la cadence de ses va-et-vient.
Enivrée par le plaisir que lui procurait le phallus paternel, ma soeur passa ses bras sur le dos de mon père et croisa ses jambes sur les siennes comme pour l’emprisonner entre ses cuisses brûlantes de désir.
Après quelques puissants coups de reins, papa se retira de l’orifice de Lily et porta son membre aux lèvres de ma jumelle qui l’engloutit tout entier sans se poser de questions.
Caché derrière la porte de la chambre, j’étais choqué d’assister à un tel spectacle. Mon esprit me disait de partir et de ne jamais revenir dans cette antre de la perversité mais mon corps ne voulait pas lui obéir. Tout mon corps se comportait au contraire de ce que pensait mon esprit : mes jambes ne me portaient plus, mes mains demeuraient collées bêtement contre la cloison séparant le couloir de la chambre de mon père et ma virilité se tenait honteusement droite dans mon boxer.
Mon père finit par jouir dans la bouche de Lily dans un râle de plaisir.
Attends; n’avale pas tout. Laisses-en couler un peu sur tes seins.
Ma soeur obéit à l’injonction et une longue traînée de sperme sortit de sa bouche et coula de son menton jusqu’à sa poitrine. Papa étala ensuite son sperme sur les seins de sa fille qui, après avoir avalé le reste de la semence paternelle, les lécha goulûment en le fixant d’un air vicieux.
C’était plus que je ne pouvais en supporter : je regagnai ma chambre, ouvris tout doucement un tiroir et en sortit un bout de papier sur lequel j’écrivis ces simples mots : « Je suis sorti. Je reviens pour midi. »
Je me changeai ensuite dans le noir puis collai le mot sur la porte de ma chambre en sachant pertinemment que mon père et ma soeur ne le verraient que durant la matinée et sortis, courant vers quelqu’un qui pourrait entendre ma souffrance…