Salut c’est votre folle de lycra
C’est dans une tenue qui m’était fort peu favorable, que j’étais en train de faire l’amour à la mère de mon pote Jean-Louis. En effet Christiane, après m’avoir humilié avec une douche dorée et douché à l’eau claire pour m’en nettoyer, m’avait habillé dans une longue et douce robe, pour que je lui fasse du bien. C’était la première fois de ma vie que je faisais l’amour à une femme, de l’âge de ma mère qui plus est, et j’en étais déjà à me demander si un jour je ressentirai un tel plaisir à faire l’amour. J’avais vraiment l’impression que Christiane n’avait pas fait ça, depuis très longtemps ; je suis sûr qu’elle voulait rattraper le temps perdu. Plus elle me mordait, plus elle me faisait mal, plus elle m’excitait, j’avais envie qu’elle ne s’arrête jamais. Toutes les conditions étaient réunies pour me faire jouir, paré de mes vêtements féminins, l’érotisme, la soumission à la mère de mon pote. De mon côté je donnais des coups de reins de plus en plus puissants, pour essayer de lui donner plaisir, apparemment cela commençait à faire effet.
Christiane commençait à soupirer de plus en plus fort et à aller à la rencontre de mes assauts sexuels. À chaque fois que je me retirais pour mieux revenir, je sentais son vagin qui se contractait, comme si elle voulait me retenir. Par moments elle me bloquait entre ses jambes de toutes ses forces, au point de m’en couper la respiration, j’en avais même peur qu’elle me casse les côtes. Je n’en pouvais plus de me retenir, jusqu’au moment où j’ai commencé à libérer ma liqueur en elle, je l’ai entendue pousser de petits cris qui sont devenus au fil des secondes des cris puissants et stridents. Heureusement que nous étions tous seuls dans l’appartement, mais je pense que dans le bâtiment beaucoup de gens devaient être au courant. En espérant qu’il n’y ait pas de langues trop pendues, pour aller raconter que telle habitante a pris son pied ce jour-là, alors que son mari était en déplacement. Nous venions de prendre notre pied en même temps et c’était vraiment divin.
Christiane était en train de me donner des habitudes que j’étais prêt à conserver le plus longtemps possible. Après avoir balancé toute ma semence en elle, j’ai voulu me retirer, mais elle m’a invité à continuer, d’autant que mon sexe était toujours de belle taille. Tous les deux venions de prendre notre pied, mais elle voulait encore sentir mon dard coulisser en elle quelques instants. Je ne me suis pas fait prier mais rapidement c’est devenu insoutenable, heureusement c’est elle qui m’a fait me retirer car manifestement cela commençait à être trop intense pour elle aussi. J’ai rangé mon sexe dans la culotte en lycra de Christiane et sous le collant de ma mère le tout dissimulé sous la robe de ma partenaire. Je vais vous avouer qu’à cet instant, je n’en avais pas grand-chose à faire que d’être habillé en homme ou en femme, je venais de prendre un plaisir monstre et d’en donner tout autant. Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse, en l’occurrence dans mon cas, le flacon c’était l’emballage ou plutôt le vêtement.
Christiane est restée quelques instants dans les nuages, avant de m’inviter à venir me cacher sous la couette avec elle. Je ne me suis pas fait prier et c’est avec grand bonheur que je suis venu partager les odeurs qui se dégageaient de nous de sous cette couette. Nous sommes facilement restés trente minutes à regarder le plafond, à écouter le silence, à reprendre nos esprits. Je peux vous garantir que les cours de maths de la mère de Jean-Louis, j’allais vraiment y prendre goût. Quand Christiane s’est reconnectée à la planète, elle a enfilé un peignoir satiné pour quitter la chambre, j’ai fait de même mais dans ma tenue féminine.
— Allez ma chérie, nous allons quand même travailler un peu aujourd’hui.
— Nous n’allons pas passer toutes nos soirées nous envoyer en l’air.
C’est sur ces mots que Christiane m’a invité à m’asseoir au bureau et elle s’est mise à lire mes cours, et m’a immédiatement couvert de questions.
Cela me faisait tout drôle qu’elle me parle au féminin, mais surtout que je me mette à travailler mes cours dans une telle tenue. Je me demandais ce que penserait de moi Jean-Louis, s’il me voyait ainsi accoutré, je ne serais pas étonné que cela lui donne encore plus envie de me prendre par-derrière. Suite à mes réponses au sujet de mon programme en mathématiques, Christiane en a conclu qu’il y avait pas mal de boulot à faire avec moi. Elle était redevenue sérieuse, limite sévère, nous étions à cent lieues d’imaginer que nous venions de faire l’amour. Nous avons causé ainsi jusqu’à vingt et une heures, avant qu’elle ne prenne congé de moi, pour ne pas attirer l’attention de ma mère. Elle m’a laissé repartir avec sa culotte dans lequel se trouvait un peu de ma semence, avec par-dessus le collant de ma mère, mais elle m’a surtout donné une culotte à elle, qui sentait très bon et très fort le minou.
— J’espère qu’ainsi, ce soir, tu pourras te palucher en pensant à moi.
Nous nous sommes séparés sur un long baiser amoureux, j’avais l’impression que nous ne nous reverrions plus jamais. Sur le retour je suis tombé sur une copine de classe, avec laquelle je fis une petite pause pour causer longuement. À ma grande surprise, elle m’a déclaré sa flamme, j’étais décontenancé. Je venais de m’envoyer en l’air comme un fou avec la mère d’un copain et c’est une copine de classe qui venait me draguer par-dessus ça. Elle m’a avoué qu’elle passait régulièrement le soir aux alentours de chez moi, car elle espérait un jour pouvoir me croiser comme ce soir. Là où je n’ai plus su où me mettre, c’est quand elle a décidé de m’embrasser avec mon haleine à l’odeur de minou. J’étais stupéfait qu’elle ne constate rien, j’ai quand même pris un petit instant pour envoyer un SMS à ma mère, pour lui dire que je serai un peu en retard ce soir. Cette amie, Sophie, était très entreprenante et quand elle a commencé à vouloir me caresser, j’ai préféré la freiner dans ses projets. Je n’étais pas contre le fait qu’elle me caresse le sexe à travers mon jean, mais je ne voulais pas qu’elle me caresse le sexe en direct car elle aurait été obligée de constater que je portais une petite culotte ainsi qu’un collant.
Voilà comment ce soir-là, quand je suis rentré à la maison, j’avais des dessous féminins sur moi, Christiane dans la tête, mais aussi Sophie qui venait d’y entrer. Durant le repas j’ai préféré orienter la plupart des questions sur les sujets d’actualité plutôt que sur ce que j’avais étudié avec Christiane ou sur la cause de mon retard. J’avais donné mon numéro de portable à Sophie voilà quelques instants, et quand je l’ai ouvert elle m’avait déjà balancé de nombreux messages. Christiane n’était pas en reste, mais les siens étaient quand même beaucoup plus portés sur le sexe, je pense juste que Sophie n’osait pas faire de même. Bien évidemment, le soir comme je me suis couché, cela a été plus fort que moi, il a fallu que j’étrangle le borgne. J’avais la culotte en lycra de Christiane, toute poisseuse et odorante de mouille sous le nez, pendant que je me faisais du bien dans le collant voile satiné de ma mère. Je peux vous garantir que je n’ai pas été bien long à éjaculer et je me suis endormi juste après. Je ne sais pas pourquoi, mais au petit matin, quand je me suis réveillé, j’avais l’impression que je n’avais pas débandé de la nuit.
Bien évidemment je n’avais pas des textos mais des sextos qui m’attendaient, j’avais un peu honte d’ainsi cumuler les sentiments avec les femmes. Au fond de moi, Sophie ne me plaisait pas plus que ça, mais j’étais en train de me dire qu’elle pourrait toujours me servir d’alibi, pour mes rendez-vous coquins avec Christiane. Quand je me suis retrouvé à l’intercours en tête à tête avec Sophie, cette dernière m’a carrément emmené dans un endroit bien isolé, pour me faire une fellation. Cela me faisait trop drôle, car j’avais l’impression qu’en quelques jours j’étais devenu désirable, aux yeux de mes copines de classe. En fait aujourd’hui je m’étais laissé faire, car j’avais effectivement la culotte de Christiane, mais elle était dans ma poche. Ce qui m’étonnait, c’est que Sophie ne sente rien, car moi je la sentais, j’en ai quand même profité pour lui dire que sa prestation était parfaite et qu’elle me faisait un bien fou.
— Je vais t’avouer que j’adore sucer une bite.
Une telle confession me laissait un peu sans voix, devais-je en conclure qu’elle avait déjà sucé tout le lycée.
— J’ai déjà pompé des cousins à plusieurs reprises, mais tu es le premier de la fac.
— Je pense que tu dois te faire du bien dans les dessous de ta mère, car tu sens très fort le minou désireux.
Elle venait de me clouer le bec, je ne savais plus quoi dire, elle avait le mérite d’être directe. Maintenant j’étais sur le point de tout lui balancer dans la gorge, tellement elle s’y prenait avec talent, bien évidemment j’ai voulu tout envoyer par terre, mais Sophie a refusé, elle ne voulait pas qu’il y ait de gâchis.
— Alors est-ce que tu as aimé?
— Est-ce que tu désires que nous sortions ensemble ?
J’avais effectivement beaucoup aimé la prestation, mais je ne savais pas comment lui dire que je ne me voyais pas sortir avec elle sur le long terme. Nous étions soi-disant ensemble, que depuis quelques jours, et elle venait de me faire un plaisir total dans un petit coin isolé de la fac. Elle avait avalé ma semence comme du petit-lait, j’étais assez impressionné par la banalité qu’elle voulait donner à l’acte qu’elle venait de me pratiquer. Sophie a été tellement insistante, que j’ai fini par accepter que nous fassions un petit bout de chemin ensemble. Comme dirait la comique Florence F., au fond de moi je me disais que ce serait un tout petit bout de chemin, un "cheminounet".
Sophie avait une fâcheuse tendance à griller les étapes, et c’est ainsi que le lendemain soir, elle tapait déjà l’incruste à la maison. Cela faisait grand plaisir à ma mère de me voir avec une fille, elle qui commençait à désespérer. Quand ma mère est venue me chercher dans ma chambre, en me disant qu’une grande et jolie fille m’attendait à la porte, j’étais un peu déstabilisé. Je suis allé la chercher, lui ai présenté ma mère mais ensuite et surtout ma chambre, je me sentais très mal à l’aise, mais Sophie, elle, se sentait comme chez elle. Elle a balancé son sac sur mon lit puis est venue voir sur quoi j’étais en train de travailler, à ce niveau-là nous étions sur la même fréquence car nous suivions le même cursus.
— Alors tu ne patauges pas trop en cours.
— Cest dans cette chambre que tu te fais des petits plaisirs.
Décidément elle savait me mettre mal à l’aise. Je lui ai expliqué que c’était un peu dur en maths, mais qu’une voisine me donnait un coup de main. Elle m’a expliqué que j’avais de la chance, car pour elle aussi, les maths étaient sa matière la plus dure. Elle a regardé son téléphone pour voir l’heure, et moi j’ai regardé mon radio-réveil dans le même but.
— Tu manges à quelle heure ?
Je lui ai répondu qu’en général ma mère venait me chercher vers vingt heures pour que nous dînions devant la télé.
— Cela me laisse un peu de temps pour que je te fasse un petit plaisir, si tu le désires.
Cette fille qui jusqu’à maintenant me paraissait hautaine, et du coup fortement dissuasive, ne pensait finalement qu’au sexe. C’était une grande blonde, aux yeux bleus, qui devait sans doute venir d’une famille très aisée. Tout le monde aurait été fier de se faire ainsi draguer par cette fille, mais sa façon de griller les étapes me faisait perdre la face. Voilà comment ce soir-là, elle a fermé à clé la porte de ma chambre, elle m’a fait lever de ma chaise de bureau pour aller me renverser sur mon lit. Le temps que je me redresse pour me retrouver assis sur mon plumard, elle était déjà en train de me libérer le sexe. Je repensais à toutes ces filles qui mettent quinze plombes à se décider, Sophie c’était le contraire. Ma ceinture était défaite, mon pantalon suffisamment baissé, et elle tenait maintenant mon sexe en main. Elle contrôlait désormais parfaitement des événements, et elle venait de me prendre en bouche, j’adorais sa façon provocante de me regarder. Elle savait parfaitement que chez l’homme le sexe et l’endroit où se trouve le cerveau, je peux vous dire qu’elle prenait soin de me le bichonner.
Je voyais ses cheveux blonds se balancer au rythme de ses allées et venues sur mon priape, la monture de ses lunettes mettait parfaitement en valeur le bleu de ses yeux, ainsi que la finesse des traits de son visage. Sentir sa bouche et surtout sa langue se promener sur mon sexe était source de plaisirs formidables. Ce soir-là, c’était la première fois que l’on me faisait une turlutte dans ma chambre, avec ma mère à quelques mètres de là. À ma grande honte il ne m’a fallu que quelques instants pour sentir l’éjaculation venir, Sophie s’en est rendu compte et ne m’a pas laissé le choix elle était contre le gaspillage, elle s’est fermement accrochée à moi.
— C’est plein de vitamines…
Que voulez-vous répondre à cela, je ne vais pas dire que c’était à contrecur, mais je suis finalement parti au fond de sa gorge. Le regard auquel j’ai eu droit était on ne peut plus provocateur, elle avait vraiment l’air satisfaite de ce qu’elle venait de me faire vivre. Avec le recul, je n’arrivais pas à comprendre pourquoi je n’avais jamais eu envie de sortir avec cette jeune femme. Je crois que c’est son côté bourgeoise coincée qui m’a toujours dissuadé. En peu de temps, j’en étais à ma deuxième femme, qui me faisait un bien fou en m’astiquant le poireau. Sophie n’a pas perdu une goutte de ma semence, elle m’a rangé le sexe dans mon pantalon, une fois totalement nettoyé.
Ensuite, comme si de rien n’était, elle est partie déverrouiller la porte, puis m’a invité à ce que nous étudiions un petit peu les cours de la journée. Cette fille était totalement déconcertante, dans sa capacité de passer du coq à l’âne. Son timing était vraiment formidable, car quelques secondes après, ma mère frappait à la porte, pour savoir comment nous nous en sortions pour les cours. Maman a eu l’air tout attendrie à me voir en train de travailler avec ma copine.
— C’est bien les enfants, je suis heureuse de constater combien vous êtes studieux.
— Sophie, c’est bien ça…, désires-tu rester dîner avec nous ce soir.
C’est par la négative que Sophie a répondu à ma mère, elle aussi était attendue par la sienne. Quelques instants après ma copine nous quittait pour rentrer chez elle, j’avais vraiment la tête complètement bouleversée, avec tout ce qui m’arrivait en quelques jours. Au moment de partir, j’ai eu le droit à un roulage de pelle en règle bien baveux et gourmand, de la part de Sophie, tout cela devant ma mère qui avait l’air de beaucoup apprécier.
Je suis parti manger avec ma mère, j’avais un peu la tête ailleurs, pendant que ma mère me bombardait de questions au sujet de ma copine. J’ai entendu l’arrivée d’un SMS, et discrètement j’ai pris mon téléphone pour voir qui m’écrivait.
— Tu verras mon chéri, je t’ai laissé une petite surprise sous ton oreiller.
— Ta maman est super sympa et en plus elle est mignonne, c’est pour ça qu’elle a donné un petit garçon aussi mignon que toi.
Jusqu’à la fin du repas je n’ai pas cessé de penser à ces deux messages de sa part, jusqu’à l’arrivée d’un nouveau message.
— Coucou mon étalon, alors comment se passent tes cours.
— Est-ce que tu as bien travaillé ce soir.
— J’aurais bien aimé que tu passes prendre un cours ce soir, car j’ai envie de te sentir en moi.
Décidément, rien qu’avec des SMS, les femmes arrivaient à me mettre le feu entre les jambes. Malgré cela, j’ai réussi à finir mon repas tranquillement avec ma mère, même si je n’ai pas réussi à lui tenir une conversation correcte. Comme d’habitude j’ai fini le repas avec ma mère, je me suis chargé de débarrasser et de faire la vaisselle, par contre ensuite je n’ai pas été bien long à réintégrer ma chambre.
Arrivé dans mon entre, je me suis précipité pour voir ce qu’il y avait comme surprise sous mon oreiller. Je l’ai soulevé, et là, stupéfaction, Sophie m’avait laissé une petite culotte on ne peut plus poisseuse, à tel point qu’il y avait une tache de mouille sur le drap et sur l’oreiller. En plus de cela l’odeur intime de ma copine avait complètement envahi les alentours du lit, à cet instant j’étais en train de souhaiter que ma mère ne vienne pas me faire un petit coucou. Ce soir-là, je vais vous avouer, que je ne sais pas trop à qui j’ai pensé pendant que je me faisais un petit plaisir sous les draps, mais je me suis ensuite effondré comme une masse. Bien que je n’aie pas répondu aux messages de la veille, quand je me suis réveillé au petit matin j’avais des SMS de Sophie et Christiane, bien évidemment ils étaient toujours aussi chauds. Il ne m’a fallu que quelques instants pour que mon entrejambe se mette au garde-à-vous, c’est là que j’ai découvert que je m’étais endormi dans la culotte de Sophie. Le message qui m’a le plus marqué ce matin-là, c’est un de Sophie qui voulait prendre des cours de maths avec moi.
J’ai longtemps réfléchi à la question puis je me suis décidé à envoyer un SMS à Christiane pour lui demander si cela ne la dérangerait de partager mes cours de maths avec une copine de classe. La réponse de sa part n’a pas été bien longue à attendre.
— Je veux bien mon étalon, mais quand est-ce que nous allons trouver le moyen de nous envoyer en l’air ?
— Si tu trouves une solution, ce serait super que nous réussissions à concilier les deux.
Voilà comment le soir même je me retrouvai chez Christiane avec Sophie, pour que la maman de mon pote nous dispense un cours de maths. Je lui ai présenté Sophie comme étant une copine de classe, Christiane l’a trouvée vraiment magnifique. Vêtue d’un fin chemisier blanc et d’une douce jupe, Sophie rougissait au fur et à mesure que Christiane lui faisait des compliments sur sa plastique et ses beaux yeux. Christiane en devenait gênante dans ses propos, tant elle était élogieuse à l’égard de mon amie, elle était limite en train de la draguer. J’ai fini par donner fin à son discours, pour que nous nous mettions à travailler, car en même temps j’étais en train de sentir que ça partait en sucette.
Sophie et moi étions assis au bureau et Christiane debout derrière nous, nous interrogeait. Nous essayions de mutualiser nos connaissances, pour correctement lui répondre, le plus beau c’est que dès que nous nous trompions, elle savait doù l’erreur venait. Régulièrement, elle nous effleurait le dos voire même le cou, j’avais l’impression qu’elle cherchait à nous chauffer. Bien que Christiane puisse manifestement gérer le cours et les caresses, de notre côté, nous ne perdions pas un mot de ce qu’eĺlle nous disait ou conseillait. En même temps, il y a des fois où Sophie me regardait, interrogative, car Christiane se lâchait par moments. Dans le regard de Sophie, j’avais l’impression qu’elle voulait savoir comment réagir, mais il me semblait que ce comportement n’avait pas l’air de la gêner plus que ça. Personnellement, je bandais comme un fou, depuis que Christiane avait commencé son manège, et si cette dernière était aussi en train de faire mouiller Sophie… Cela voudrait dire que tous les trois, étions en train de nous désirer mutuellement. Mais bon, il ne fallait pas que je me monte un film, Christiane nous dispensait un cours de maths. À sa façon…
Je compte sur votre compréhension pour l’espacement entre les chapitres, je souhaite que celui-ci vous ait plu.
Bisous à vous.