Fin de mois difficile.
Je me prénomme Christine, je suis brune avec de longs cheveux, assez grande, 1 m 75 pour 52 kg. Désirable vu le regard que les hommes me jettent, ma poitrine généreuse, 90B, semble faire tourner la tête aux hommes. Malgré’ cela, je vis seule. Depuis peu je suis au chômage et les fins de mois sont assez difficiles aussi pour pouvoir faire face à mes dépenses je n’ai pas eu d’autre choix que de me prostituer. Je vous raconte cette histoire, qui c’est passée il y quelques années, afin de me libérer de cette partie de ma vie.
A cette époque je vivais en province, le matin de cette journée j’avais réservé une chambre dans un hôtel discret du centre-ville. Le soir venu je préparais mes affaires soit une minijupe, un bustier, un string, un porte-jarretelles noir, des bas noirs et pour terminer des escarpins. Je mis le tout dans une petite valise. Cette soirée d’été’ étant douce, je m’habillais d’un jeans et d’un t-shirt afin d’être la plus discrète possible car je comptais me rendre à l’hôtel en taxi.
Le taxi s’arrêta devant l’hôtel minable. Le temps de régler la course, de récupérer ma valise et je me dirigeais vers l’entrée de l’hôtel. J’entrais dans l’établissement. Une femme d’une quarantaine d’années me reçut.
— Bonjour Madame…
— Je vous ai téléphoné ce matin pour réserver une chambre.
— Votre Nom ? – Christine D.
— Ah Oui ! Votre chambre est prête. Voici la clef. C’est la 10.Vous serez au rez-de-chaussée.
— Merci.
Je me dirigeais vers la chambre, j’ouvrais, j’aperçus une fenêtre aux doubles rideaux vieillis, un cabinet de toilette lavabo, WC, et un lit, recouvert d’un couvre-lit aussi vieux que les rideaux, une table de chevet. Je m’asseyais sur le lit, ouvris ma valise et en sortis ma ’tenue de travail’. Rapidement je me déshabillais, enfilais mes bas que je fixais au porte-jarretelles puis mon string, la mini -jupe et le bustier. Le bustier me moulait la poitrine, tout en dévoilant généreusement l’entre-seins, et la mini-jupe me moulait les fesses, et offrait mes cuisses aux regards. J’avais une partie du ventre, et le nombril à l’air.
Je pris mon sac à main, et sortis de la chambre. En passant devant la réceptionniste je vis son air surpris. Dehors, je marchais droit devant moi j’atteignis le boulevard et la circulation, je m’approchais de la route, pas loin d’un lampadaire et m’arrêtais. Les voitures passaient, et ralentissaient. Je priais pour qu’aucune ne s’arrête. Soudain, une voiture s’arrêta. La mort dans l’âme je m’approchais. Le conducteur baissa la vitre du passager avant.
— Tu prends combien ?
Je crus défaillir, et ne pus répondre, tant l’estomac me serrait.
— Tu es sourde ou quoi !! Je te demande combien tu prends !
— 60? !
— Et qu’est ce qu’on a pour 60? ??
— Ce que vous voulez !
— Eh bien ! Foutue comme tu l’es, c’est d’accord…L’homme se gara non loin de là et arriva.
— On va oû ?
Je lui montrais l’hôtel de la tête. Arrivés dans la chambre je demandais à l’homme ce qu’il désirait. Il éclata de rire.
— Eh bien ??? Qu’est ce que tu attends, petite gourde ??Montre-moi tes charmes. ! Tu vas me faire un petit strip, rien que pour moi… Lentement. Très lentement….
Me déhanchant, je creusais mes reins, projetais ma poitrine en avant, tout en enlevant le bustier.
— Ouh la la. Tu as une sacrée paire de nichons, toi…… Continue, je veux voir la suite…
Seins nus, je fis lentement glisser ma jupe… j étais maintenant presque nue, ne portant que mon string, mon porte-jarretelles, mes bas et mes escarpins.
— Continue à marcher, oui… Creuse tes fesses… penche-toi.
L’homme avait sorti son sexe de son pantalon, et se masturbait d’une main.
— Bien, approche maintenant. Il prit ma main et la plaça sur son sexe bandé.
— Branle-moi… Oui… comme ça… Je le masturbais doucement, pendant que l’homme s’excitait.
— Bon. passons aux choses sérieuses…. Pompe-moi, maintenant.
Je dus me mettre à genoux devant lui. J’approchais ma tête vers son bas-ventre, ouvris la bouche, et engloutis son sexe.
— Ahh… Oui.. Comme ça… dans ta bouche… Suce moi bien. sors ta langue….. Humm…oui…ta langue sur le gland…oui….
Je m’appliquais dans l’espoir que cela finisse vite… ma langue sortait, et taquinait le gland, déposant de la salive, je reprenais sa queue dans ma bouche.
— Quelle pipe d’enfer….ahhh…! oui……. Ta langue…..sur mes couilles….bouffe moi les…
Je léchais ses testicules. les mordillaient…puis continuais à sucer la verge avec application, les yeux fermés.
— Ah… je n’en peux plus, tu vas me faire jouir… arrête, L’homme me repoussa violemment si bien que je me retrouvais allongée sur le sol.
— Allez, à poil !!
Je me relevais et enlevais mes escarpins, puis je dégrafais une à une les agrafes de mon porte-jarretelles et retirais un bas, puis l’autre et enfin je fis glisser mon string le long de mes jambes. Lorsque je me redressais je m’obligeais à garder les bras le long du corps.
— Voilà…… Tu es mieux à poil pour la suite.
Il s’approcha, toucha mes seins, les pelota.
— Embrasse-moi ! Je détournais légèrement la tête.
— Quoi ! Tu joues la dégoûtée ??? Je ne te plais pas ou quoi ???
— Non mais… Il me prit par le cou, sa bouche s’écrasa sur la mienne.
Il força ma bouche, sa langue s’insinua. Je sentais son sexe dressé’ se frotter contre les poils de mon sexe, et frotter contre mon ventre. Au bout d’un long moment, où je dus subir ses baisers, et nombres de caresses sur les seins, les fesses, le sexe, il arrêta et se recula.
— Maintenant, caresse-toi !!
— Quoi ?
— Branle-toi pétasse !!
Je restais debout, ma main descendit…..
Je restais debout, ma main descendit vers mon sexe. Honteuse, je commençais à me caresser.
— Allez ! Branle-toi bien ! Le clito aussi !!
Je continuais. Tout faire pour que cela finisse au plus vite. L’homme s’approcha, et passa sa main sur mon sexe.
— Ah ! Tu commences à mouiller ! C’est bien… ! Continue à te branler ! Je me masturbais devant un inconnu, je ne me reconnaissais plus, je commençais à soupirer, puis à gémir afin de l’exciter le plus possible.
— Tu vois que tu y prends goût… Entre ton doigt… Allez !! Le doigt dans la chatte…! J’obéis.
— C’est bien mais ça suffit comme ça ! Va t’allonger sur le plumard….!
Je m’allongeais, tandis que l’homme achevait de se déshabiller. Lorsqu’il fut nu, le sexe en érection, il me rejoignit sur le lit et commença à me peloter les seins, à m’embrasser dans le cou, sa main descendant vers mon ventre, caressant mon sexe, sa queue frottant contre mes cuisses.
-Je vais te baiser maintenant !
L’homme prit un préservatif sur la table de nuit, l’enfila et s’allongea à côté de moi.
— Allez !! Viens t’empaler dessus ! Dépêche–toi !!
J’enjambais l’homme, me plaçant face à lui, à califourchon. Je me laissais doucement glisser sur son sexe dressé’.
— Prends bien ma grosse bite dans la chatte… Allez, bouge un peu !!
L’homme me tenait par les hanches, et j’étais obligée de me soulever en cadence, pour à chaque fois retomber, et m’empaler à fond sur son pénis. Il m’imposa une cadence de plus en plus rapide, je me fis râler et gémir pour simuler le plaisir, bientôt, il n’imposa plus le mouvement, me laissant le soin de donner le rythme.
— Humm….tu es bonne….ça glisse tout seul… Bouges bien…. Tu sens bien ma grosse queue….??
— Oui….elle est bonne… (Je m’obligeais à dire ces mots pourvu qu’il jouisse vite)
Brusquement, il sortit son sexe et me mit sur le côté.
— Ca suffit comme ça…. ! Je veux ton petit cul maintenant. Je frémis.
— Mets-toi à quatre pattes ! Cul tendu ! Je me mis en levrette.
— Cambre-toi mieux !! Offre-moi ton cul.
Il se mit à écarter mes fesses et me lécha l’anus. Soudain, il posa un doigt sur mon anus.
— Ahh ! Non !!
— Ne t’inquiète pas, je vais te préparer, quel adorable petit trou.
— Non !! Non !! pas par là… Il appuya son doigt, forçant mon sphincter.
— Non ! Pas ça… Je vous en prie !! Il l’enfonça plus profondément, jusqu’à me faire gémir.
— Bien ! Tu es prête. L’homme retira son doigt et pointa sa verge à l’entrée de mon anus
— Bon ! Tu m’as assez excité’ comme ça…. Maintenant, je vais t’enculer…..
— Oh non !!! non….. NON…… Je vous en prie, pas çà……NON….. Je me roulais en boule. -Je ne veux pas !!!! L’homme s’approcha et me gifla.
— Oh… Comment ça tu ne veux pas. Mais je vais te dresser, moi, petite pute !! Il me donna une autre gifle et j’éclatais en sanglots,
— Allez ! A quatre pattes, en position !!! Je refusais toujours.
— Tu vas obéir, petite pute, ou je te dérouille. J’ai crié lorsqu’il me gifla une nouvelle fois
— Alors, tu obéis ou tu prends la même ???
— oui……snif……oui……….
J’étais prête à tout pour en finir au plus vite
— Alors, à quatre pattes, et cul tendu !!Je me redressais et je me mis à quatre pattes.
— Je t’ai dis : cul tendu… Tu es sourde ou quoi ??? Cambre–toi, et offre ton cul.
J’obéis, reculant mes genoux, et projetant mes fesses en arrière… Totalement impudique, offrant largement mon sexe, et mon anus afin que tout cela se termine au plus vite.
— Voilà…… c’est mieux… Tu m’excites… Tu vas voir ce que tu vas prendre.
Il se positionna derrière moi, m’écartant les fesses. Je sentis le gland pointer à l’entrée de mon anus. L’homme força doucement et le gland pénétra tout entier. Une violente douleur enflamma mon rectum
— AHHHH…..Non…..Non………..A?e…..Non…..Arrêtez !!!
— Ca y est. Tu l’as pris……. Attends… Je vais mieux t’enfiler… je vais la faire pénétrer Il poussa.
Je sentais le bâton de chair entrer au plus profond de moi. Je fermais les yeux, soumise, subissant la douleur de la sodomie.
— Noonn. Plus….Arrêtez…. Assez!! – Ah…
-Tu l’as à fond, salope…
J’avais beau me débattre pour échapper au feu qui me brûlait les entrailles, il me cramponnait fermement aux hanches, et me possédait sauvagement.
— C’est bon, hein, salope, d’en prendre plein le cul… Qu’est ce qu’il est serré’. Je te le défonce bien…..
— Ohh…..Ohhh…….AHHHH……… Je n’en peux plus……JE JOUIS….JE JOUIS…. Tiens, prends mon foutre….Prends tout dans ton cul…… Tiens…..AHHH… salope……..Prends mon jus dans ton cul……
L’homme éjacula dans mon anus. Je m’écroulais à plat ventre, l’homme encore enfoncé’ en moi. Au bout de quelques instants, il se retira, ce qui m’arracha un gémissement. Il me montra le préservatif.
— Regarde ce que tu m’as fais cracher… Regarde mon foutre, petite putain. Il vida alors le préservatif sur mon dos et mes fesses, épuisée et en larmes je ne pus réagir à cette humiliation…
— Ahh… Petite salope… C’était bon… Quel pied….. Je restais avachie sur le lit. L’homme, alla se laver dans le cabinet de toilette. Quand il revint, je me levais. Lorsqu’il eut terminé de se rhabiller, il sortit trois billets de 20 ?, et les posa sur la table de nuit… Puis, se ravisant, il sortit un autre billet de 10 ?.
— Tiens, c’est ton petit pourboire… Bon, j’y vais ! Tu seras encore là, la semaine prochaine ??
— Je ne sais pas…
— En tous cas, si tu es là,, tu peux compter sur moi !! L’homme sortit et partit, je me mis à pleurer toutes les larmes de mon corps.