Christine et nous.
Chapitre 1.
Mon épouse porte le joli prénom de Laure, alors que mes parents m’ont baptisé Charles, comme mon grand-père paternel ! Nous sommes mariés depuis 20 ans et arrivons aux portes de la quarantaine ! Nous avons une fille, Christine, qui vient de fêter ses 17 printemps !
Loin de le rendre routinier, les années bonifient notre amour. Nous sommes donc très épris l’un de l’autre, très "portés" sur le sexe et ne ratons aucune occasion de nous prouver nos sentiments et de faire l’amour ! Je veux direensemblecar malgré notre "furie sexuelle", ni l’un ni l’autre n’a encore éprouvé le besoin "d’aller chercher ailleurs" !
Laure est ce qu’il est convenu d’appeler une belle femme : 1m70, pour 60 à 62 kg. Une chevelure brune et fournie. De grands yeux verts, qui se paillettent d’or, lorsqu’elle est en colère, ou qu’elle jouie. Un petit nez mutin. Une bouche sensuelle. De beaux seins fermes (95C), surmontés de larges aréoles, piquées de longs tétons érectiles. Un ventre plat et des cuisses musclées de nageuse. Des fesses rondes, hautes et mobiles. Ainsi que de longues jambes, aux mollets galbés par d’interminables escarpins !
Pour ma part, je suis assez grand, brun de peau et de poil, très viril et plutôt beau mec (selon Laure). Je suis aussi d’un naturel optimiste et jovial.
Notre fille ressemble beaucoup à sa mère. Notamment par sa taille, sa chevelure et la couleur de ses yeux. Elle est très svelte et élancée, avec un joli minois, de beaux seins acérés (90B) et de superbes petites fesses, qu’elle prend plaisir à dandiner.
En plus d’être une charmante jeune-fille, Christine a aussi un Q.I. bien au dessus de la moyenne. Bien qu’elle déteste être qualifie de "surdouée", elle apprend, retient et comprend tout, à une vitesse et avec une aisance stupéfiantes !
Elle est très en avance et curieuse de tout, y compris sur le plan sexuel. Cette avidité de tout savoir et de tout comprendre l’amène souvent à nous poser des questions aussi déroutantes, qu’embarrassantes. Nous faisons néanmoins notre possible pour lui répondre et ne rien dramatiser.
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Le parc arboré entourant notre maison et la grande salle de jeu que nous lui avons fait aménager au rez de chaussée, ont toujours été les terrains de jeu de Christine et de ses amis ! Vous comprendrez donc notre habitude, de voir "défiler" chez nous, des filles et des garçons de son âge. Beaucoup plus de filles que de garçons, pour être précis !
Notre fille a toujours été proche de nous, mais nos liens deviennent de plus en plus étroits, au fur et à mesure qu’elle avance en âge. Ce qui nous fait extrêmement plaisirs, étant donné que la plupart de nos amis se plaignent du désintérêt manifeste de leurs enfants, à leur égard !
Christine n’a pas ce genre d’attitude et nous tient informés – quasiment au jour le jour – de ses plus petits bonheurs et problèmes. Qu’ils soient en rapport avec son "état" de jeune-fille et des soucis et désirs qui vont avec. De même que de ses études, de ses amitiés, de ses inimitiés et de ses premières amours !
Elle adore se glisser entre nous dans notre lit, pour se faire câliner, les jours ou nous restons à la maison ! Nous sommes bien trop contents et trop fiers de sa confiance en nous, pour lui reprocher le coquin érotisme de ses tenues, de ses gestes, de ses câlins et de ses bisous !
Une tendre complicité règne donc entre-nous trois. S’ils en effraieraient bien d’autre, nos bisous, papouilles, caresses et autres jeux coquins, nous paraissent tout à fait naturels et ne font que refléter la grande tendresse que nous ressentons les uns pour les autres.
Au fil du temps, Christine déserte peu à peu la salle de jeu. Elle préfère écouter de la musique, discuter, réviser et faire ses devoirs dans sa chambre, avec l’une ou l’autre de ses amies. Comme je l’ai déjà dit, notre fille a en effet assez peu de copains garçons.
En fait, le seul "jeune mâle" qui trouve grâce à se yeux, est son cousin Julien, le fils de ma sur Sylvie et de Louis, son mari ! Julien à un peu plus de 18 ans C’est un grand garçon dégingandé et un peu timide, à la tignasse châtain et assez mignon, bien qu’un peu maigrichon, à mon goût.
Il n’a pas inventé l’eau tiède, mais c’est un jeune homme gentil et discret. Et puis surtout notre fille et lui s’adorent.
Notre neveu passe pas mal de temps chez-nous, mais nous le voyons assez peu. Il nous embrasse lorsqu’il arrive, s’enferme avec Christine dans sa chambre, puis nous salue à nouveau lorsqu’il s’en va.
Le fait qu’ils soient à la fois cousins germains, mais aussi indéniablement attirés l’un par l’autre et de plus liés par une amitié tendrement amoureuse, ne semble pas gêner, ni poser de problèmes à nos tourtereaux.
Après en avoir parlé ensemble, Laure et moi choisissons de les laisser "vivre leur vie" ! Il nous apparaît en effet qu’ils se rendront vite compte que leur relation ne peut être que "gentiment amoureuse", donc quasiment platonique et forcément sans issue.
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Nous en sommes là, lorsque quelques mois après son 16 ème anniversaire, Christine nous demande si "Julien" qui a (encore) passé l’après-midi avec elle – peut rester diner etdormir ? Si nous sommes étonnés, c’est que notre fille n’avait jusqu’alors "invité à dormir"que des copines !
Nous ne le lui avouons pas, mais la demande de notre fille nous soulage, malgré ce qu’elle peut sous-entendre ! En effet, son comportement vis-à-vis de sa mère et ce qu’elle nous dit de ses "jeux nocturnes" avec ses amies, nous ont jusqu’alors fait nous demander, si Christine n’était pas plus attirée par les filles, que par les garçons ?
Alors que ni Laure, ni moi, n’avons connus d’expériences amoureuses incestueuses durant notre jeunesse, nous acceptons pourtant que Julien "dorme" chez-nous ! Nous ne demandons même pas dans "quelle chambre" il va passer la nuit. Au ton qu’emploie Christine et aux regards à la fois amusés et coquins qu’elle nous lance, il nous parait en effet évident quelle compte faire coucher son cousindans son propre lit !
Je connais très bien Laure et je vois donc dans son regard, qu’elle ressent le même petit pincement au cur que moi, lorsque notre fille et notre neveu nous souhaitent "bonne nuit" et sortent du salon main dans la main. Comme Laure le fait justement remarquer, nous avons la très désagréable impression "d’être cocus" !
« Notre petite minette n’est plus "notre" bébé et ça devait forcément arriver » Constate encore mon épouse.
— – Sans doute ma chérie, mais j’aurais préféré qu’elle choisisse un autre garçon que son cousin !
« Du moment qu’ils s’entendent, qu’ils prennent des précautions et qu’ils restent discrets, pourquoi les empêcher de prendre du plaisir » Conclue Laure.
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Pour cette première fois ou notre fille "dort" avec un garçon, nous ne fermons pas notre porte de chambre et nous "tendons l’oreille" ! Ne percevant que des sons confus, nous avançons de quelques pas dans le couloir. Cette fois, nous entendons un murmure de voix, puis des rires, auxquels succède un long silence !
Alors que nous avons regagné notre lit et que nous commençons à nous demander si les jeunes ne se seraient pas endormis, de très forts gémissements, accompagnés de grincements, de couinements et de craquements du lit de Christine, ne nous laissent plus aucun doute sur la lubrique intensité de leurs jeux amoureux !
Notre fille a beau ne plus être une oie blanche, nous ne nous sommes pas préparés à "l’entendre" faire l’amour avec une telle fougue. Surtout avec son cousin et à deux chambres de la nôtre.
La voix de Laure est un peu enrouée, lorsqu’elle me lance, comme si je pouvais avoir des doutes sur ce que font les jeunes :
« Ces petits fripons baisent et vu les bruits du lit, TON neveu fout une sacrée troussée à TA fille ! Je me demande s’il est bien monté »
— – Tu es vraiment salope, ma chérie et je suis sur que ces fripons te donnent des idée ?
« Tu as raison mon amour et j’ai très envie que tu me fourres aussi virilement que Julien baise TA fille !
Plutôt que de répondre, j’embrasse et pelote Laure, puis "l’entreprend", comme elle le souhaite ! À mon grand-plaisir, sa chatte baille et ruisselle de sucs intimes, montrant sans ambigüité qu’elle est très excitée ! Nous faisons l’amour ardemment, longtemps, coquinement et merveilleusement, puis jouissons en gémissant et en couinant sans retenue.
Signe de notre extrême excitation, nous faisons ensuite disparaître les traces de nos jouissances en nous léchant et en nous suçant longuement ! Lorsque les bras de Morphée nous accueillent, j’entends encore les "jeunes" baiser.
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Pas repus par leurs fornications jusqu’à point d’heures, les tourtereaux nous réveillent, en "remettant le couvert" vers 7h30 ! La porte de leur chambre doit-être elle aussi ouverte, car nous entendons les bruits du lit, leurs gémissements extasiés et leurs petits cris de jouissance, beaucoup plus nettement qu’hier.
Cette juvénile ardeur amoureuse échauffe Laure, qui relève les pieds sous les fesses et exige que je lui fasse minette ! Après quelques instants à se faire bouffer le clito la chatte et l’anus, mon épouse me demande de la prendre, fort, profond et "direct" par le cul ! Alors qu’elle préfère pourtant que je fourre d’abord son vagin, puis que je la prenne ensuite par derrière !
Aussi excité par les râles d’amour des gamins, que par les gouts suaves des jus de Laure, je la sodomise avec une violence dont je ne me serais pas cru capable ! J’y mets tant de perverse ardeur, que mon épouse me lance :
« Je suis certaine que tu t’imagine enculer TA fille, comme un papa salaud ?
— – C’est toi ma chérie, qui est une maman salope, pour oser parler de NOTRE fille, pendant que je te fourre le cul !
En plein rut érotique, cette coquine booste ma furie amoureuse, en me suppliant de retirer ma bite de son sphincter dilaté, pour "baiser sa bouche" et y décharger "tout" mon sperme !
Ce que je m’apprêtais du reste à faire. Laure adore en effet sucer et piper mon chibre fraichement sorti de son anus. Mais c’est dans sa bouche et sur son beau visage, qu’elle préfère que je répande ma semence !
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Allongés sur le dos, nous récupérons de cette joute amoureuse matinale. Une douche et nous voila n train de préparer le petit-déjeuner ! Christine nous rejoint, alors que le café finit juste de passer. Elle nous embrasse tendrement et nous dit que Julien est parti depuis un bon moment !
N’ayant pas entendu la porte d’entrée, ni sa voiture, je me dis que notre neveu a du s’éclipser pendant que nous faisions l’amour ! La porte de notre chambre n’étant pas fermée, je me demande si ce voyou nous a vus baiser ? Mais n’en ayant rien à foutre, je chasse aussitôt cette question, du reste purement académique !
En maman attentive, Laure fait chauffer du lait et prépare le cacao de notre fille. Celle-ci y trempe des tartines, beurre-confiture, qu’elle mange de bon appétit, tout en bavardant et plaisantant avec nous.
« Ton cousin avait une raison particulière, de partir si tôt » S’inquiète Laure ?
— – Je vous le donne en mille » Répond notre fille, qui poursuit « Julien pensait que j’étais vierge et a donc pris plein de précautions, avant de me faire l’amour ! Quand je lui ai dit "qu’il n’était pas le premier", ça l’a bloqué ! Il m’a posé plein de questions et a beaucoup insisté pour savoir QUI m’avait "étrennée" et QUAND ? Ducoup, je lui ais dit !
« Et alors » Demande Laure !
— – Alors ? Alors Julien m’a fait tout un cirque. Comme quoi ÇA NE SE FAIT PASQUE C’EST IMMORALQUE J’ÉTAIS TROP JEUNE POUR DEJA BAISER et patati et patata ! Je lui ai dit, que le fait que j’ai "déjà couché", ne changeait rien à mes sentiments à son égard, mais qu’il pouvait partir, si ça changeaient les siens !
. . Comme vous l’avez sans doute entendu, il est resté et m’a fait l’amour hier soir et encore ce matin, sans poser d’autre question! S’il a préféré partir, c’est qu’il craignait d’être gêné devant vous !
Pendant que nous nous regardons en silence, je me dis que Julien n’est "encore" que le second mâle, à avoir fait l’amour à ma fille chérie ! Je dis "encore", car vu le bouillant tempérament de Christine, nous allons sans doute devoir nous habituer à ce que d’autres garçons partagent son lit et investissent son intimité ! Plus curieuse, plus directe et aussi plus érotique que moi, sa mère demande :
« Julien a été un bon amant ?
Avec un geste de la main et un mouvement de tête, que je ne sais comment interpréter, Christine répond :
« Mon cousin est viril et très endurant, mais il manque cruellement d’imagination et de pratique ! Il faut dire que le pauvre, n’a encore sautée que l’employée de maison de ses parents, qui est un peu nunuche et pas très expérimentée. Julien ne pratique donc pas trop les préliminaires et baise "pépère" !
. . À tel point que j’ai du lui expliquer et beaucoup insister pour qu’il accepte qu’on se suce en 69 ! Il m’a aussi fait tout un cirque, avant de se décider à me prendre en levrette, de baiser ma bouche et de me juter dans le bec et sur le museau !
. . Encore ce matin, il a fallu que j’insiste longtemps, pour qu’il me "prenne au petit" et me jouisse ensuite dans la bouche ! Il dit que c’est bestial et un peu crade, de baiser "par derrière" e d’avaler son sperme !
Laure regarde notre fille comme si elle la découvrait ! Il est vrai que si Christine aime bien nous narrer ses jeux saphiques, c’est la toute première fois qu’elle à l’ occasion de nous raconter une joute hétérosexuelle !
« Tu avais beau être aussi douée que coquine et érotisée ma chérie, je te rappelle que tu n’as pas appris à faire l’amour en cinq minutes ! Tu dois donc faire preuve de patiente avec ton cousin. Qui a été plutôt "bon", si j’en juge à tes couinements et aux siens ?
— – Tu sais que je ne suis pas très patiente maman ! Je préférerais donc que vous parliez à Julien, papa et toi !
« Pourquoi ne t’arranges-tu pas pour qu’il passe dans l’après-midi ? Nous pourrons discuter tous les quatre ensembles ?
— – Vous êtes hyper cools » S’exclame notre fille, en nous bisouillant et en nous câlinant, comme elle seule sait le faire !
DéDé
