J’étais donc là, nue sur mon lit, les jambes largement écartées et la chatte trempée du plaisir que je venais de me donner. Mais je venais aussi d’entendre mon fils Eric, qui en se masturbant, avait joui en murmurant :
-Que tu es belle maman ! J’ai envie de toi !!!
Le ventre encore frissonnant j’étais honteuse et troublée de me rendre compte que les paroles de mon fils ne m’avaient pas vraiment choquée et bien que je n’envisageais pas encore de passer à l’acte et de me donner à Eric, la pensée me traversa malgré tout l’esprit une seconde.
J’eus beaucoup de mal à me rendormir, les idées les plus contradictoires m’assaillaient… Puis je sombrais dans un sommeil agité où les images de mon fils nu en érection, allongé près de moi, toute aussi nue, qui n’attendais que ses caresses peuplèrent les heures qui me séparaient de mon réveil…
Le matin, je descendis à la cuisine, vêtue d’un short et d’un débardeur sous lesquels je n’avais pas mis de dessous. Eric dormait encore. Tremblante des sensations qui m’avaient troublée et anxieuse de la réaction de mon fils je lui préparais son petit déjeuner. Au bout de quelques minutes, je sentis une présence dans mon dos et immédiatement Eric posa sa bouche dans mon cou pour m’embrasser sous l’oreille, ce que j’adore.
En même temps il avait collé son ventre à mes fesses et je sentais nettement la bosse dure qui gonflait son caleçon de bain. Jamais il ne m’avait embrassée de cette façon et ses lèvres légèrement entrouvertes laissaient passer le bout de sa langue qui chatouillait la peau de mon cou. Prête à succomber, et dans un sursaut, je me dégageais et lui dis
-Bonjour mon chéri, tu es bien câlin ce matin ! As-tu bien dormi malgré cette chaleur ?
Il rougit légèrement et répondit
— Oui… Plutôt bien…
— Bon pendant que tu déjeunes mon grand, je vais aller changer nos draps pour les laver.
Alors que je me dirigeais vers l’escalier qui mène à nos chambres j’entendis mon fils s’exclamer
— Maman, mes draps ne sont pas sales, ils peuvent attendre.
Je me retournais vers mon garçon et je constatais qu’il était cramoisi et que ses mains tremblaient à l’idée que je découvre sur son lit les traces de sa jouissance de la nuit.
Là je craquais, et revenant vers lui je l’enlaçais en lui murmurant doucement et tendrement à l’oreille.
— Tes draps doivent être comme les miens mon chéri. Ne t’inquiètes pas mon trésor, ce qui s’est passé cette nuit est tout à fait normal. Il n’y a pas de mal à avoir envie de se faire du bien ! Et d’ailleurs tu as bien vu que je l’avais fait avant toi.
— Tu m’as entendu ?
— Oui mon amour, et j’ai aussi entendu ce que tu disais quand tu as joui.
Quand j’eus prononcé cette dernière phrase, mon grand garçon éclata en sanglots en bredouillant
— Oh maman !! Je te demande pardon !!! J’ai honte……
Je caressais tendrement sa nuque et l’embrassais dans le cou moi aussi en chuchotant.
— Il ne faut pas avoir honte mon grand je ne suis pas fâchée, au contraire. Tu dois savoir qu’à ton âge, il est fréquent qu’un garçon ait envie de faire l’amour avec sa maman. Nous allons dire qu’il ne s’est rien passé et que le temps décidera lui-même de la suite.
Je me dégageais légèrement de mon fils et prenant son visage dans mes mains je posais mes lèvres sur les siennes pour l’embrasser, pour la première fois d’un petit baiser sur la bouche.
Eric me fit un sourire un peu malheureux et murmura
— Maman je t’aime !
— Moi aussi mon amour je t’aime et je veux te dire que je suis heureuse de ce qui s’est passé cette nuit.
J’ai laissé mon garçon en bas et je suis montée dans ma chambre où avant de rouler en boule mes draps je respirais avidement l’odeur de ma chatte et de ses sécrétions. Cela, ajouté à la conversation que nous venions d’avoir, mon fils et moi, déclencha en moi une envie irrépressible et baissant en un éclair mon short sur mes chevilles, je me caressais avec avidité, atteignant très rapidement un orgasme fulgurant.
C’est en reprenant mon souffle et mes esprits que je pris ce matin là la décision de tenter d’aller jusqu’au bout avec mon fils.
Je vous raconterais la suite très bientôt.
Bises à toutes et à tous. Christine.
