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Christine V : Coeur, sexe et imagination – Chapitre 4

Christine V : Coeur, sexe et imagination - Chapitre 4



Le jeudi est le jour exact de mes 40 ans. Christine m’a dit de rentrer pour 18h et je m’attends à une surprise organisée par ma femme et mes enfants. J’entre, l’appartement est dans la pénombre. En arrivant au salon, un douce lumière s’allume et le choc ! Christine porte une robe de soirée fabuleuse, fendue et largement décolletée, que la lumière habilement dirigée dans sa direction fait scintiller. Maquillage et coiffure de gala, j’en reste bouche béé. Elle s’approche de moi en riant.

— Quelle tête tu fais !

Elle m’embrasse et me souhaite un joyeux anniversaire. Elle tourne doucement sur elle-même et me murmure :

— Comment tu me trouves ?

Je n’ai encore pas dit un mot mais ma femme est déjà en train de me sucer. Agenouillée devant moi, elle me fait habilement jouir dans sa bouche. La soirée s’annonce bien.

Avant d’aller me déshabiller comme elle me l’a demandé, je jette un coup d’il au salon. Une table pour deux est montée au centre de la pièce mais ce qui attire mon attention, c’est une table de massage, basse, entourée de bougies. Christine s’est vraiment donnée de la peine. Elle m’accompagne à la porte de la chambre et referme à clef derrière moi. J’ai dix minutes pour me préparer. Me préparer ? Selon le petit mot indiqué sur le lit, après ma douche, je dois uniquement mettre le peignoir et le masque de nuit. La réponse du berger à la bergère. Ou l’inverse.

Christine vient m’ouvrir et me dirige dans la pièce jusqu’à la table de massage. Elle m’y allonge doucement sur le dos et j’ai immédiatement une agréable sensation de chaleur : la table est chauffée. Je me détends. Mon peignoir est ouvert. Une douce musique monte à mes oreilles. Le massage débute sur mes épaules et ma nuque. C’est vraiment très agréable et relaxant. Mais mon sang se glace quand deux mains, certes douces, commencent à masser mon pied droit. Je vais dire quelque chose, mais la voix de Christine, sur ma gauche, me coupe :

— Ne dis rien.

Sur ma gauche ? La personne qui me masse les épaules est derrière moi. Cela fait trois personnes autour de moi. La surprise passée, je me détends à nouveau.

Des épaules, le massage descend sur mon torse, mon ventre. De mes pieds, le second massage remonte sur mes mollets et mes cuisses. Il remonte même jusqu’à mes testicules au moment où les autres mains commencent à caresser ma bite. Je commence à bander et j’ai une étrange et bien agréable sensation. Ma verge passe de main en main, j’en compte quatre. C’est doux et intense. Elles massent mon sexe, mes bourses, sans réellement me masturber, c’est absolument divin. Je sens mon sexe "grossir" comme je l’ai rarement senti, comme si toute l’énergie de mon corps était regroupée dans ma queue. J’ai l’impression d’avoir une bite de cheval. C’est alors que quelqu’un me chevauche et pose ses mains sur mes épaules. On tient mon sexe droit et je pénètre une femme, à qui échappe un "Mon Dieu !". Christine.

Il faut plusieurs minutes à Christine pour pouvoir me chevaucher correctement et cela me surprend. Enfin assise sur moi, elle va et vient lentement et je l’entends gémir et haleter particulièrement fort. Elle m’enlève le masque et se redresse. Elle est nue et semble littéralement empalée sur mon sexe. Elle pousse sur ses pieds et remonte, remonte, remonte. Je n’en crois pas mes yeux. J’ai l’impression que mon sexe est un vrai tronc, large et long. Je suis stupéfait. Et halluciné que Christine puisse prendre un maillet pareil en elle. Elle redescend d’ailleurs dessus et entame alors des courts et vifs allers-retours et je me rends compte que je suis déjà à bout. Je décharge alors très violemment en elle. Elle m’a fait jouir à peine une heure avant mais je gicle 6 ou 7 fois, abondamment. Christine s’affale sur mon ventre. Je ne comprends rien :

— Qu’est-ce qui m’est arrivé ?

Dans un souffle, elle dit :

— Massage tantrique.

J’ai débandé en elle. Le sperme s’écoule de son minou et goutte désormais sur mon bas-ventre. Christine se lève et passe un peignoir blanc en satin. Je passe le mien, elle m’emmène dans la chambre et me dit d’attendre. J’entends Christine parler et la porte d’entrée qui se ferme, puis elle me rejoint dans la chambre. Baisers. Petite douche intime pour elle et elle remet sa robe, sans aucun dessous. Elle me donne à nouveau dix minutes. Douche, costume et chaussures qu’elle a pris soin de faire briller comme au premier jour. Elle vient me chercher et nous nous installons à table.

Une serveuse arrive immédiatement, mais celle-ci porte une cagoule en cuir SM ! Elle porte également des lunettes de soleil et je n’aperçois pas ses yeux. Elle est vêtue en haut d’un chemisier blanc et d’une fine cravate noire et en bas, d’une jupe noire droite et moulante. Elle porte des bas ou des collants blancs et elle est montée sur des talons noirs vertigineux. Christine l’appelle Marie et ne me la présente pas. Marie, qui porte des gants très fins, dépose des amuse-bouche et un apéritif puis s’en va. Nous trinquons. Je me sens divinement bien et Christine prend visiblement beaucoup de plaisir à contempler le résultat de son organisation.

Marie vient ensuite déposer une bouteille de vin et une bouteille d’eau sur la table. Elle me fait goûter au vin qui est excellent quoiqu’un peu frais. Elle nous sert et revient peu après avec les entrées. Je suis surpris de constater qu’elle a retiré sa cravate et je le faire remarquer à Christine lorsque Marie s’en va. Pour toute réponse, ma femme sourit largement. Ok, il y a quelque chose qui se trame. L’entrée est relevée mais légère, parfaitement cuisinée. Je me régale. Marie vient nous resservir de vin. Je questionne Christine qui me dit de me laisser aller et de ne pas me prendre la tête. Marie vient débarrasser.

Quand je l’entends passer la porte dans mon dos quelques minutes plus tard, je suis curieux de la voir surgir à côté de moi. Je n’avais pas tort. Cette fois, c’est sa jupe qui s’est volatilisée et je découvre avec plaisir et gourmandise un porte-jarretelles blanc accompagné d’un string du même coloris. Marie dépose deux incroyables assiettes de poisson devant nous, un farandole de couleur et un fumet délicieux. A ma grande surprise, Christine demande à Marie de se tourner. Celle-ci s’exécute et je me délecte de la vue de la fine ficelle qui glisse dans la raie de ses fesses, rondes, un peu larges, mais visiblement musclées. Un cul magnifique ! Elle se retire ensuite dans la cuisine. En face de moi, Christine jubile et me demande ce que je pense de notre serveuse :

— Je pense qu’elle a plus de 30 ans, probablement même 35 voir 40. Elle est parfaite et si c’est elle qui cuisine, mon Dieu, il faut la marier immédiatement !

Christine rit et me confirme que Marie est également la cuisinière. Elle ajoute :

— Et tu la trouves comment, physiquement ?

— Bah son visage, c’est pas ça !

Eclats de rire de mon épouse.

— Bon, elle a des jambes et des fesses musclées, un peu comme toi. Elle a de jolies fesses, comme je les aime. Et la lingerie est magnifique.

— Je croyais que tu préférais les gros culs comme le mien

Christine sourit, contente de sa provocation. J’ironise :

— Il faudrait que je compare.

Ni une ni deux, Christine se lève, se met de dos à l’endroit où se trouvait Marie et soulève sa robe, dévoilant son postérieur, nu. Elle lance :

— Alors ?

Je l’attire vers moi, la tourne et, profitant que sa robe est relevée, je l’installe à califourchon sur mes cuisses.

— Tu as le plus beau cul que je n’ai jamais vu, tu le sais bien. Plus gros, plus large et bien plus excitant que le sien.

— Il te plait toujours autant ?

— A mort !! Tu sais à quel point j’aime que tu portes des vêtements bien moulants sur les fesses, j’aime que tu les montres.

— Quand tu es avec moi, je peux tout porter. Ma confiance est alors à son maximum et seul ton regard compte. Mais seule, mes complexes reviennent et je suis incapable de porter un pantalon trop serré.

— Tu sais ce que m’a dit Stéphane après notre dernière soirée avec eux ? Parmi leurs amis, tu es celle qui a le cul le plus excitant.

— J’avais quel pantalon ce soir-là ?

— Le court, couleur cerise.

Elle rit.

— Ah oui ! Évidemment !

— De tous tes vêtements, c’est celui qui te fait le plus beau fessier. Incroyablement excitant.

— Si j’en juge par la façon dont tu m’avais sodomisée en rentrant, je veux bien croire qu’il t’excite au plus haut point !

Nous éclatons de rire.

Christine m’embrasse, ouvre mon pantalon et glisse mon sexe dans son vagin. Après quelques allers-retours, elle se lève et se tourne contre la table. Relevant à nouveau sa robe, elle écarte ses fesses et dévoile son anus bien rose :

— J’ai envie de toi, là.

— Je n’ai rien pour te préparer.

Christine me tend le petit pot de beurre posé sur la table. J’en enduis son petit trou et la doigte. Alors que je viens d’introduire un second doigt, elle dit :

— C’est bon, tu m’excites trop. Viens !

Je la pénètre facilement et adopte un rythme qui semble la combler.

Peu après, la porte de la cuisine s’ouvre et se referme. Elle s’ouvre à nouveau et Marie entre. Je me tourne légèrement de son côté et elle ne peut ignorer que ma queue va-et-vient dans l’anus de ma femme. Marie débarrasse et repart. Voilà bien cinq minutes que j’astique Christine et je me délecte de ma jouissance. Je reste encore un peu dans cet orifice que m’excite tant. Quand je me retire, Christine ouvre la porte de la cuisine, dit quelque chose. Elle vient m’embrasser, me dit de m’asseoir et d’attendre, et elle se rend aux toilettes.

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