Histoires de sexe hétéro Histoires de sexe travesti

Christine V : Coeur, sexe et imagination – Chapitre 8

Christine V : Coeur, sexe et imagination - Chapitre 8



Christine, Véronique et moi nous levons et passons dans notre lit. Reprise des caresses. Mon sexe est l’objet de toutes les attentions. Mes mains et ma bouche sont sans arrêt mises à contribution. Je les doigte simultanément. Puis, alors que Véro me suce à nouveau, j’attire ses hanches au-dessus de mon visage et commence à lécher son anus. J’enfonce ensuite légèrement mon index dans son cul. Alors que nous nous redressons, Christine me dit :

— Véronique a aussi un cadeau d’anniversaire pour toi.

La blonde m’embrasse.

— Une sodomie.

Je souris.

— Rien ne peut me faire plus plaisir.

— Tu feras doucement, hein ? Je ne l’ai jamais fait. Mon mari n’était pas du tout "anal" si je peux dire et depuis, je l’ai refusé à mes partenaires.

Véro est très excitée mais également assez inquiète. Je la prépare longuement, avec mes doigts et des sex-toys de Christine. Celle-ci parle beaucoup à Véro et lui indique de se coucher sur le dos au bord du lit, tandis que je suis debout. Elle lui tient la main quand je la pénètre. Très lentement, très doucement. J’ai mis beaucoup de lubrifiant et je pousse plus loin seulement après avoir eu l’accord de Véronique. Après plusieurs minutes, je la sodomise lentement mais à un rythme régulier. Elle n’a quasiment pas de douleurs.

Je lui propose de changer de position. Elle accepte. Je me retire puis nous nous allongeons sur le côté, en cuillères. Elle écarte ses fesses et je m’introduis à nouveau dans son cul. Les jambes légèrement fléchies, elle gémit à chacun de mes coups de hanches. En face de nous, Christine se prépare pour être sodomisée elle aussi.

Alors que je me fais un peu plus rapide, Véronique dit qu’elle ressent des douleurs et je me retire. Je glisse immédiatement ma langue dans le cul dilaté de mon épouse, caresse dont elle raffole. Je me nettoie le sexe avec application avant de la pénétrer à quatre pattes. A côté, Véro observe mon sexe plonger entièrement dans le sphincter de Christine et je prends rapidement un rythme assez soutenu.

— On dirait que tu la prends en levrette.

Christine souffle plus qu’elle ne gémit. Nous pratiquons cette position plusieurs minutes avant qu’elle ne me demande de me coucher sur le lit. Je me retire, m’allonge et Christine me chevauche. Alors qu’elle va prendre mon sexe en main pour le diriger entre ses fesses, je retiens son geste :

— Véro, j’aimerais bien que tu nous aides.

Christine me regarde en souriant. Véronique rougit.

— Tu veux que je

— Que tu prennes mon sexe pour l’introduire dans le cul de Christine.

Un peu tremblante, Véronique attrape ma bite et l’oriente vers l’anus de Christine qui glisse dessus. Véro reste interdite quelques instants. Je l’attire à moi par le bras et l’embrasse fougueusement. Je l’invite à s’allonger perpendiculairement à moi. J’ai envie de la lécher. Un cunnilingus en regardant ma femme sauter son mon sexe, le pied !

Alors que Véro gémit de plus en plus vite, je sens que j’arrive à bout. Je décharge et Christine s’assied sur mon sexe en ondulant du bassin. Véro tressaille à son tour dans un cri. Elle et moi reprenons nos esprits sous le regarde amusé de ma femme.

— Vu vos états, ça semble avoir été très bon !

Je souris. Véro se redresse et Christine se retire de mon sexe. Véronique lui dit :

— Et toi ? Tu n’as pas joui.

Je renchéris :

— C’est vrai ça. A ton tour !

— Tu m’aides ?

— Non, j’aimerais bien de regarder le faire toute seule.

Christine rigole. Elle prend ses sex-toys. De mon côté, je m’installe en haut du lit, assis dos au mur. Véronique vient s’installer entre mes jambes et je l’enlace tendrement. En face de nous, Christine entame un show qui voit ses jouets pénétrer sa bouche, son vagin et son anus. Pendant cinq bonnes minutes, elle se masturbe avec intensité pour atteindre un formidable orgasme.

Une bonne douche finit de nous achever et il est près d’une heure du matin lorsque nous nous couchons tous les trois dans notre lit. Éreintés, nous nous endormons rapidement.

Le réveil de Véronique sonne à 7h. Elle l’arrête rapidement et sort lentement du lit pour ne pas nous réveiller. Elle n’a pas vu que je l’étais. Quand elle est debout, je lui chuchote :

— Tu vas où ?

— C’est vendredi, je dois aller bosser ce matin. Christine et toi avez congé, mais pas moi.

— Pas tout de suite, reste un moment au lit.

Elle sourit, tentée.

— Si je reviens, on va réveiller ta femme.

— Je doute que ça la contrarie.

Elle rit et s’assied doucement au bord du lit. Je fais glisser le drap derrière moi et m’offre à elle dans toute ma vigueur matinale. Son regard se fait de braises. Elle prend mon sexe dans sa main avant de se pencher pour me sucer. C’est divinement bon. J’attire ses hanches doucement au-dessus de moi et nous entamons un magnifique 69. Ma langue passe de sa vulve à son anus avant de revenir à son clitoris pour la faire jouir, un doigt dans le derrière.

Véro se redresse et se tourne. A califourchon, elle glisse sur mon sexe et s’allonge sur mon torse. Elle bouge très légèrement le bassin pour une très douce pénétration. Elle murmure dans le creux de mon oreille :

— Tu crois qu’on se reverra ?

— Je ne sais pas. Qu’est-ce que t’as dit Christine ?

— Rien pour la suite. Nous n’avons parlé que de la soirée et de la nuit.

— Avec son accord, j’aimerais bien te revoir, oui.

Elle ne répond pas tout de suite. Puis dit :

— Et sans son accord ?

— Non, pas sans son accord.

— Même si je suis prête à réaliser tous tes fantasmes ?

Sa voix est rieuse. Elle plaisante. J’entre dans le jeu.

— Même si tu acceptais que je te sodomise cinq fois par jour, même si je pouvais coucher avec tes amies mannequins, même si je pouvais te baiser avec quatre potes, même si tu portais les tenues les plus obscènes, c’est non.

— Cinq sodomies par jour, c’est beaucoup, non ?

— Avec la femme qui dort à côté, nous l’avons fait il y a quelques semaines.

— En un jour ?!?

— Entre le lever et le coucher, oui.

— Mon Dieu ! Je n’ose même pas imaginer l’état de son anus en fin de soirée !

Nous rions sans bruit. J’en profite pour la provoquer un peu :

— Avec quatre potes, ça serait possible ?

— Mmmh, je ne pense pas. Je n’aimerais pas. Mais deux hommes, pourquoi pas.

Alors que nous nous embrassons, Christine bouge, lève la tête et se tourne vers nous. Elle sourit :

— Vous ne perdez pas votre temps !

Véronique s’arrête, gênée. Je me mets à bouger pour qu’elle continue. Christine m’embrasse et Véronique reprend. Elle s’est redressée et est désormais assise sur moi. Petit à petit, ses gémissements se font plus sonores et elle jouit magnifiquement. Quelques instants plus tard, elle reprend ses va-et-vients pour m’emmener à mon tour à la jouissance. Elle se retire ensuite rapidement pour aller à la salle de bains. J’enlace ma femme.

— Quel anniversaire inattendu ! Je n’aurais jamais imaginé une telle soirée.

— Au début, je voulais une escort. Et puis lorsque j’ai rencontré Véro, je me suis rendue compte qu’elle en pinçait toujours pour toi. Je lui ai dit que je voulais une soirée coquine et c’est elle qui a proposé son effeuillage durant le repas, elle m’a aidée pour les textes du défilé et puis la sodomie. Je lui ai dit qu’elle n’était pas obligée, mais elle y tenait.

— Mmmh, c’était complètement fou. J’ai adoré. Merci mon amour.

Nous nous embrassons et Christine caresse mon sexe au repos.

— Je voulais te demander : tu l’avais reconnue avant qu’elle n’enlève la cagoule ?

— Oui. Quand elle a enlevé son chemisier. Elle a quatre grains de beauté qui forment un carré autour de nombril.

— Mince ! Véro m’en avait parlé. Elle voulait les maquiller. Je lui ai dit que ça n’était pas nécessaire.

— C’était peut-être plus excitant comme ça.

— Oui, effectivement.

Nouveau baiser, profond. J’en profite.

— On va la revoir ?

Christine fait la grimace.

— Il y a des sentiments de son côté. Ce n’est pas sain. Si elle retrouve quelqu’un, pourquoi pas, mais dans l’immédiat, je pense qu’elle chercherait à te voir sans moi.

— Tu doutes ?

— De toi, pas du tout. Mais je n’aimerais pas apprendre après coup que vous avez couché ensemble et je pense qu’elle est prête à tout pour arriver à ses fins. Je ne regrette pas l’avoir contactée, mais je préfère que ça s’arrête avec son départ tout à l’heure.

Je souris. Et change de sujet.

— Puis-je connaitre le programme du jour ?

— Oh ! Tu es bien curieux ! Là, on va aller boire le café avec Véro. Elle va ensuite s’en aller. Et à 18h, mes parents ramènent les enfants.

Je ris.

— Et autrement ?

Christine me regarde.

— Ce matin, on va baiser. Cet après-midi, on va baiser.

— Et à midi ?

— Tu es invité. Tu choisiras le resto et ma tenue.

Je suis ravi. Christine sait à quel point j’aime ces journées où nous ne faisons que baiser du matin au soir. J’ai retrouvé ma femme, j’ai retrouvé ma partenaire sexuelle parfaite. Avec l’expérience, elle est encore plus chaude et plus demandeuse qu’avant. Elle reconnait sans honte être plus obsédée aujourd’hui. Je lui souris.

— Je te verrai bien dans cette nouvelle robe-chemisier beige dans un resto du centre-ville.

Christine sourit et rougit un peu. J’ajoute.

— Avec le porte-jarretelles blanc, celui qui a les six attaches métalliques. Des bas couture, pas de culotte et le redresse-seins blanc qui te fait les seins si pointus.

Christine est un peu déstabilisée.

— Je ne sais pas si je vais oser

— Tu essayeras et si ça ne va pas, tu changeras.

— Merci

Elle m’embrasse tendrement. Véronique sort de la salle de bains, habillée d’un chemisier rouge et d’un pantalon de tailleur anthracite. Elle sourit en nous voyant sur le lit.

— Je vais vous laisser.

Christine se lève.

— Tu vas tout de même boire un café avec nous, non ?

Véronique regarde sa montre.

— Ok, j’ai encore un peu de temps.

Ma femme passe un string et un peignoir et les deux femmes sortent de la chambre.

Je me douche rapidement et les rejoins, en boxer et marcel. Nous buvons le café en mangeant un peu de pain de la veille. Un peu plus tard, nous accompagnons Véronique à la porte. Elle nous fait la bise à tout les deux. La situation est gênante. Véronique attend un mot de la part de ma femme, une promesse d’un coup de fil, d’un contact. Mais Christine n’y consent pas et Véronique comprend sans doute qu’il n’y aura pas de suite. Elle s’en va.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire