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Chronique d'une descente aux enfers – Chapitre 1

Chronique d'une descente aux enfers - Chapitre 1



Cette histoire prend forme dans une banlieue de l’ouest de Paris. Un jeune couple, Coline et Antoine habitent dans un appartement deux pièces acheté à crédit. Coline est une jeune ingénieure de 27 ans travaillant dans une PME spécialisée dans la conception de meubles de luxe. C’est une fille pétillante brune d’environ 175cm , élancée et sportive aux yeux noirs profonds, elle aime pratiquer le jogging et la natation à l’occasion. Elle a toujours eu du succès auprès des hommes notamment lors de son école d’ingénieur, mais d’un naturel sérieux elle n’a eu que quelques histoires avant Antoine avec qui elle est depuis 5 ans et mariée depuis 2 ans.

Antoine, quant à lui, est bel homme, populaire lors de ses années dans la même école d’ingénieur, Coline est tombée rapidement amoureuse de lui. Il travaillait depuis un certain dans une boite d’import-export mais un accident de ski récent lui a broyé une partie de la hanche l’empêchant de reprendre le travail basé en grande partie sur de la logistique. Ne pouvant plus assurer les besoins nécessaires au bon fonctionnement de la boite, il a du démissionner. Il est en période active de recherche du travail, mais le contexte actuel et son léger handicap à la hanche ne lui permet pas de trouver de travail pour le moment.

La situation actuelle du jeune couple est difficile, en effet la mère de Coline développe un Alzheimer précoce nécessitant une aide médicale coutant relativement cher, Coline étant originaire d’un milieu modeste, elle essaye d’aider son père financièrement afin que sa mère soit pris en charge le mieux possible.

Nous sommes un dimanche soir dans l’appartement du jeune couple, Coline a le blues, allongé sur le canapé, la tête sur les genoux de son mari.

"-Mon chéri, j’ai pas envie d’y aller demain j’aimerais rester avec toi…

-Je sais ma belle, c’est difficile pour toi en ce moment mais ca va aller, travailler te permet aussi de te changer les idées.

— Tu as raison… Mais j’aimerais également me changer les idées d’une autre manière", dit elle coquinement avec un petit sourire

elle commence à caresser doucement son mari qui grimace un peu, la douleur de son accident étant toujours la, il soupire :

"- Allons dans la chambre ma belle "

Une fois dans la chambre, dans la semi pénombre, Coline étant prude, n’aimant pas sa peau blanche presque translucide elle n’a jamais vraiment fait l’amour en pleine lumière.

Ils commencent à se déshabiller, Antoine distingue les atours magnifiques de sa femme ses seins fermes de bonnes tailles, sa toison noire de geai. Ils s’allongent , Coline commencent à branler doucement son homme, son pénis grossit un peu. Depuis son accident Antoine a du mal à tenir une érection très prolongée. Coline le sait susurre a son oreille :

"-prends moi!"

Antoine se met sur sa femme en missionnaire et la pénètre rapidement, il grimace un peu de douleur, Coline pousse un petit cri de plaisir mais après quelques mouvement Antoine grogne, Coline sent le sexe de son homme ramollir. Il se retire rapidement, Coline compréhensive caresse le torse de son mari, il soupire de dépit :

"-J’ai à peine éjaculé…

-Ce n’est pas grave t’inquiètes pas mon chéri"

Antoine s’endort rapidement mais Coline peine trouver le sommeil, en effet le couple souhaite depuis un certain moment avoir un enfant. Coline a donc arrêté de prendre la pilule depuis deux mois. Ses hormones la travaillent depuis quelques temps et quand elle entend son mari ronfler doucement sa main vient se poser sur son sexe et commence a se caresser. Ses pensées se brouillent elle repense a des ex, furtivement, elle se surprend a imaginer des sexes énormes, son vagin se contracte elle mouille abondamment en poussant de petits cris. L’orgasme arrive vite, elle mord la couette pour ne pas faire trop de bruits. Le lit est trempée elle s’endort assez rapidement.

Le matin, Coline se prépare tranquillement pour aller au travail, étant ingénieure dans le service technique de sa boite, elle peut se permettre de mettre des tenues plutôt décontractées, après avoir mis un jean et un haut elle passe par la chambre embrasser son mari qui dort toujours.

L’ambiance sur son lieu de travail a évolué depuis quelques temps. Sa boite a été rachetée il y a 4 mois par une multinationale américaine qui a décidé de refondre totalement la direction de l’entreprise. Les anciens dirigeants avec lesquels Coline s’entendaient bien ont été limogés ou mutés. Le nouveau directeur est un homme d’une cinquantaine d’année, un ancien militaire reconverti dans les affaires pratiquant un management très directif. Les bruits de couloir en parlent comme d’un tyran assez peu respectueux et pas toujours correcte avec les femmes. Coline n’a pu le croiser que quelques fois mais n’a pas réellement eu affaire à lui.

La journée de travail s’est bien passée, beaucoup de projets sont en cours et Coline est restée tard au bureau, il n’y a plus grand monde dans les couloirs. En allant vers la photocopie, elle passe devant le bureau du directeur dont les stores à semi fermés permettent de voir l’intérieur de la salle en ombre chinoise. Elle entend des gémissements et des cris et reconnaît la voix d’Anaïs l’assistante du direction. Une jeune femme sympathique d’une trentaine d’année, blonde avec une coupe au bol toujours très bien apprêtée comme se le doit une assistante de direction. Elle ne la connaît pas vraiment. A travers les stores elle devine la jeune femme allongée sur le bureau, un homme entre ses jambes la baise violemment. Elle entend ses cris entre plaisir et douleurs l’homme ne fait aucun bruit, il la pilonne puissamment. Coline s’éloigne, choquée espérant que personne ne l’ait entendu.

De la salle photocopieuse, elle entend la porte du bureau de direction s’ouvrir et voit Anaïs partir furtivement un peu après le directeur sort le torse bombé. C’est un homme grand très large de torse les cheveux presque rasés et un visage très dur sous des sourcils broussailleux. Elle entend une discussion avec son directeur adjoint.

"- Ahah ! Didier tu n’y es pas allé de main morte avec la petite, je l’entendais de mon bureau

— Héhé… Bonsoir Jean Jacques, elle aime la bite celle la ! je te le dis ca me change de la maison !" Il part dans un rire gras

Elle les entend s’éloigner, elle devine des bribes de conversation de type " ingénieure… sainte nitouche" Elle frissonne et repart chez elle en prenant soin de ne pas croiser ces hommes.

En rentrant, elle est choquée et ne sait pas si elle doit en parler à son mari.

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