Vous connaissez beaucoup d’univers où les méchants sont une organisation secrète qui mettent un volcan en éruption afin d’agrandir les terres habitables via la lave en fusion pour améliorer le sort des terriens ? Un seul : celui de Pokémon. Sur le continent de Hoenn, ils s’appellent la Team Magma et ont pour adversaire (en plus de la communauté scientifique bien sûr) la Team Aqua, qui veut-elle agrandir les mers au détriment des terres…
Aujourd’hui est le moment où la Team Magma met son plan diabolique en marche : Max, leader de la Team, marche au sommet du Mont Chimnée, le volcan éteint d’Hoenn ; son long manteau rouge le protège des cendres volcaniques que le cratère diffuse. Arrivé devant ce cratère, il sort d’un cube en verre l’outil indispensable à la réalisation de son plan : un morceau d’astéroïde chargé d’énergie mystérieuse, qui va alimenter la machine à protons censée réveiller le volcan, et provoquer une éruption par une rafale d’énergie. La machine ressemble à un labo nomade de scientifiques, à part un silo qui va servir à lancer les ondes fatales.
Une silhouette se détache derrière Max : petite, encapuchonnée sous une cape rouge, elle coupe à Max l’accès à la machine. Une pokéball à la main comme pour barrer la route au leader, elle trahit son appartenance au dresseur Pokémon. Elle surprend Max en plein monologue :
"La puissance contenue dans le Météorite… En l’amplifiant avec cette machine, l’activité volcanique du Mont Chimnée va s’intensifier instantanément… Pchiiii… Son énergie va grandir à l’intérieur de cratère et… Hahaha… Hum… Qui es-tu ? … … "
Aucune réponse de la frêle silhouette.
"Alors tu veux te mêler des affaires de la Team Magma ? Écoute-moi bien ! Les êtres vivants ont besoin de la terre pour se développer. C’est le berceau de toute vie ! C’est pour cela que la Team Magma s’est engagée à étendre la terre. Notre but est de faire prospérer les êtres humains et les Pokémon ! Et pour cela, nous avons besoin de la puissance qui sommeille dans cette montagne… Oh, tu n’avais pas vraiment besoin de savoir tout ça… Mais peu importe ! Je vais te montrer ce qu’il en coûte de se mêler de nos affaires ! "
Les deux personnages vêtus de rouge envoient leur Pokémon. De leur duel dépend le destin de Vermilava, la ville située en contrebas du Mont Chinmée, future cible de l’éruption à venir si Max n’est pas stoppé…
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Max n’en revient toujours pas. Il a déjà perdu deux Pokémons et son dernier Camerupt, un Pokémon feu qui ressemble à un chameau poilu dont deux petits cratères remplaceraient les bosses, est en grande difficulté : l’inconnu emploie des Pokémons rapides, qui désoriente le puissant mais lent Pokémon de Max. Un Galifeu, gallinacé maître des coups de pieds, de type feu aussi, multiplie les attaques, contournant le Camerupt et prenant soin d’éviter les cratères sur son dos, remplis de lave en fusion. Un dernier coup et le Pokémon de lave est à terre. Avant ce dernier duel, l’agile Pokémon-loup Grahyena de Max a longtemps retardé l’échéance, mais les Pokémons de l’inconnu, parfaitement entraînés, a forcé Max à sortir son dernier Pokémon. Il est maintenant sans défense ; déjà l’inconnu, flanqué de son Galifeu, s’approche pour prendre le Météorite qui gît à terre.
""Quoi ?! Moi, Max, j’ai été pris au dépourvu ?! C’est… impossible… mes Pokémons… tu vas le regretter, qui que tu sois !" Dans une ultime tentative d’éliminer le gêneur, l’homme bondit, donne un coup de pied dans l’artefact qui part en vol plané ; alors que le Galifeu le rattrape aisément, Max, saisit à la gorge la silhouette encapée… mais avant qu’il n’ait pu lui faire du mal, il doit la relâcher, son visage se crispe soudainement de douleur…
Derrière lui se tient un Chartor, une tortue orangée cracheuse de fumée ; il vient d’envoyer une attaque lance-flamme de faible puissance dans le dos de Max, dont le solide manteau a directement cramé ; le leader aux cheveux rouges se tord de douleur, doit enlever sa protection. A côté de lui atterrit un remède anti-brûlure.
A côté du Chartor marche une jeune femme, aux éclatants cheveux rouges coiffés en longues mèches ; Vêtue d’un jean et d’une cape grise, ses yeux verts brûlent de rage en voyant Max, mais sa colère semble s’estomper quand elle aperçoit la silhouette qui combattait Max, soutenue par son Galifeu.
"Laissons cette ordure éviter le bûcher… pour le moment. Je dois te remercier, étranger. Je suis Adriane, championne Pokémon de l’arène de Vermilava. Les instances d’Hoenn ont été prévenues trop tard du danger… Sans ton intervention, ma chère Vermilava aurait peut-être été rasée ! Je t’en prie, dis-moi ton nom…»
La silhouette enlève alors sa capuche. Elle dévoile une jeune fille aux cheveux châtains et au visage fin, presque enfantin… elle a l’air d’être un peu plus jeune qu’Adrianne, qui, a 24 ans, est la plus jeune championne de la région… un ruban rouge et blanc attache ses cheveux mi- longs en crinière, et ses grands yeux aux pupilles dorées pétillent devant Adrianne.
"Je m’appelle Flora de Bourg-en-Vol".
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En empruntant le téléphérique qui relie le Mont Chimnée à Vermilava, 1 kilomètre plus bas, Flora raconte comment elle a eu vent du projet de la Team Magma par un scientifique, le professeur Kosmo, qui a découvert le Météore à l’origine. Malgré la gravité des faits, elle en parle comme de quelque chose de banal, une sorte d’étape dans son voyage, ce qui renverse Adrianne :
"Mais tu es super jeune ? Comment ça se fait que tu voyages comme ça depuis Bourg-en-Vol ?
— En fait mon père est le professeur Orme. Depuis toute petite je l’aide dans ses recherches, alors j’ai l’habitude des Pokémons… mon Galifeu me suit depuis mes 12 ans ! Mais bon, on s’ennuie un peu chez moi, alors j’ai voulu découvrir les Pokémons de Hoenn, jen ai parlé à mon père… et me voilà ! Ca fait presque deux mois que je me balade !
— Je nen reviens pas, une gamine comme toi qui se balade toute seule… toute jolie en plus, tu pourrais avoir des problèmes !
— Gamine toi-même eh ! T’es pas beaucoup plus grande que moi, je te signale. Mais je retiens le compliment.
La championne d’arène invite alors la voyageuse à faire escale à Vermilava et à l’accompagner aux sources thermales qui font la fierté de la ville. C’est ainsi que les deux jeunes femmes se retrouvent dans un de ces bassins isolés qui entourent la ville, dans une grotte naturelle, pour profiter des eaux thermales qui incitent tant les anciennes générations à s’installer dans la région.
Adriane et Flora se déshabillent puis immergent lentement leurs corps musclés dans l’eau pure et chaude. L’effet déstressant se fait immédiatement ressentir, Flora halète même quelques secondes sous le coup du choc thermique pendant qu’Adrianne vient se coller à elle.
"Alors, on est plutôt bien, non ?
— Ah… c’est… presque éprouvant, mais c’est super stimulant, c’est incroyable !
— SI tu veux avoir une peau douce comme la mienne, il va falloir t’habituer !
— Ahah menteuse va !
— Constate par toi-même ! Allez, viens toucher !
Amusée, Flora pose la main sur l’épaule d’Adrianne, descend lentement le long du bras…
— C’est vrai que tu as une jolie peau !
— Caresses à fond, fais-toi plaisir !
— Ahah non, si des fois quelqu’un arrivait… je ne voudrais pas mettre la championne de la ville dans une situation qui pourrait être mal interprétée, si ?
— Ne t’inquiète pas, j’ai découvert cette grotte par hasard il y a quelques mois, personne ne passe jamais par ici…
— Tant mieux… je vais pouvoir montrer mes seins sans crainte…
Flora s’assied alors sur les genoux d’Adrianne, face à elle, avant de reprendre :
-… Depuis le temps que tu les mates !
— Comprends-moi…
La main d’Adrianne sort de l’eau, comme mue par une volonté propre, caresse les petits seins qui pointent sous le nez de la championne…
-… ils sont trop mignons, tes seins…
Flora embrasse sa guide, d’abord en de lents mouvements, puis rapidement, furieusement, comme si elle s’habitait progressivement au corps qui l’étreignait… car Adriane continuait de caresser les jolis seins, elle les serrait entiers dans sa main, prenait les tétons entre son pouce et son index, tout doucement… puis sa bouche plonge finalement sur la poitrine offerte, elle passe sa langue sur les seins (qui sont tout excités depuis leur massage), Flora rit…
— Tu es tellement chaude !
— Je peux encore l’être plus si tu le souhaites !
— Avec plaisir, cochonne aux cheveux rouges ! Je veux que tu me broutes, mon minou est en feu, je ne peux plus attendre !
— C’est la magie des sources… la chaleur s’infiltre partout !
Flora s’assied hors du bassin, écartant bien les jambes pour accueillir son aimée ; son corps était véritablement brûlant, il fallait absolument qu’elle évacue cette chaleur… Adrianne ne se fait pas prier et place sa tête entre les deux belles cuisses. Elle commence à jouer doucement avec les grandes lèvres, mais Flora crie qu’elle veut la sentir plus profondément, elle veut se faire brouter en puissance… Alors les mouvements de langues se font plus pressants, plus forts ; Flora commence à se sentir soulagée, mais elle se sent tout de même obligée d’onduler son bassin pour plaquer sa chatte contre la bouche d’Adrianne, maintenant elle commence à bien sentir la langue qui parcourt son intimité, ses cris se font plus forts eux aussi…
Elle est prête à exploser, très vite son minou se retrouve encore plus mouillé que s’il était encore immergé dans le bassin. Elle doit retrouver son souffle après avoir joui, Adriane en profite pour revenir sur ses seins, tandis que Flora passe la main dans ses cheveux rouges…
Leurs corps finissent par s’entremêler : mouillés, enveloppés par la vapeur, les mains glissent sur les peaux, les lèvres glissent sur les lèvres, les langues recueillent un peu d’eau quand elles s’aventurent sur les pores… L’étreinte dure, elle est douce, la voyageuse et la vermilavienne prennent leur temps pour se découvrir mutuellement, fouiller le corps de l’autre à la recherche d’une nouvelle surprise.
Flora finit par faire allonger sa partenaire, d’une simple pression de la main. Son visage descend lentement vers son antre, parfaitement lisse, un vrai petit abricot qui ne demande qu’à être cueilli ; au passage, elle embrasse ses abdominaux, ses cuisses, son bassin… A son tour elle fourre sa langue dans le fruit mûr, elle n’a pas à chercher bien loin pour en recueillir le jus ! Ses cheveux châtains lui tombent sur le visage, Adrianne les recoiffe d’un geste, avant que l’excitation soit trop forte et que toute son énergie ne soit consacrée à crier de plaisir ; et dire qu’elle pensait un peu plus tôt avoir affaire à une innocente voyageuse…
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Durant une semaine la grotte fut étonnamment animée.
Mais Flora doit reprendre son voyage, que ce soit pour aller à la découverte des Pokémons ou pour faire d’autres genres de découvertes… qu’elle espère tout aussi excitantes.