Je suis devenue un objet sexuel réputé dans le petit monde sm. Mon Maître repousse sans cesse les limites de nos expériences. Il a pris rendez-vous avec une femme très dominatrice. Nous voici donc chez elle, dans son hôtel particulier. Je suis debout au milieu du salon, perchée sur mes talons aiguilles.
-Elle est donc "sans limites" demande la femme
-Oui Madame
-Une "sans limites" aussi jolie et jeune. Quelle chance mon ami!
La femme doit avoir 60 ans. Élégante, en tailleur, les cheveux gris tirés en arrière.
-Enlevez lui cette robe
Mon Maître enlève ma robe, me laissant apparaître en serre taille de cuir, bas, talon et mon collier de chienne.
-Très beaux seins…et quelle croupe. Mettez lui ses entraves mon ami.
Mon Maître fixe à mes poignets et chevilles de solides bracelets de cuir épais munis d’anneaux.
-Bien, maintenant attaché ses poignets à son collier
Elle se lève prends une cravache et frappe violemment mon cul
-Cambre toi
Je m’exécute, mes jambes tendues par la hauteur de mes talons. Elle claque un second coup de cravache sur mon cul. Je ne bouge pas, comme il se doit pour une "sans limites"
-Elle ne remercie pas? S’étonne la femme
-Merci Madame.
Ce remerciement est le coup d’envoi d’une volée de coups cinglant sur mon cul. Elle s’arrête au dixième, me contourne, caresse mes seins avec la cravache et reprends son jeu. Dix fois encore sa cravache vient s’abattre sur mes seins. Puis descendant sur mon sexe, elle entreprend le même travail. La douleur est intenable et je m’effondre au cinquième coup.
-Pas assez endurante mon ami. enfin, soit, amenez-la-moi ce soir.
Le soir même nous sommes au même endroit. Mais nous ne passons pas par le salon. Un homme nous accompagne dans les sous-sols de l’hôtel. Un immense donjon privé en plein Paris. Mon Maître me fait mettre à genoux sur un lit circulaire de cuir rouge et je découvre la femme assise en hauteur, devant ce lit, sur un large fauteuil. Elle agite une clochette et voici que 5 hommes s’approchent du lit. Ils portent des cagoules de cuir aux clous saillants, des harnais du même métal avec ces mêmes clous tournés vers l’extérieur. Soudain la femme ordonne
-Baisez-moi cette chienne
Le signal de la curée est donné. Je suis assaillie de bites énormes. Je comprends que ces hommes sont payés pour cela et qu’ils ont été sélectionnés pour la taille de leur membre. Je peux à peine prendre une queue dans ma bouche. Mais celui qui a choisi mes lèvres tire sur mes cheveux pour enfoncer son gland dans ma gorge. J’étouffe, mais déjà je sens un autre mandrin me défoncer la chatte. Il me soulève et m’empale sur son membre, puis il m’attire à lui de ses bras entourant mes reins, me cambrant à outrance. Mon cul ainsi tendu devient une cible parfaite pour une troisième verge qui entre dans mon anus. Je suis ainsi défoncée pendant une heure. Les clous des harnais labourent ma chair, me piquant sans cesse…lorsque la Maîtresse de maison fait tinter sa clochette. Alors trois des hommes se mettent face à moi. Un quatrième se place sous moi et enfonce sa queue dans mon anus. Je sens souffle du cinquième dans ma nuque. Où peut-il aller? Mais le voilà qui presse son gland contre mon anus. Ils veulent entrer à deux dans mon trou du cul. Il force, pousse. Pendant ce temps, je suis assaillie de bites se qui se succèdent dans ma bouche. Mon cul est totalement dilaté par la double anal. Je sens alors leur sperme se mêler dans mon cul tandis que les trois autres, un à un, giclent dans ma bouche ouverte. Tintement de clochette.
-Cette chienne baise-t-elle bien?
Un des hommes s’avance et confirme que je suis une "bonne chienne".
-Voyons si cela est aussi valable avec Zomba
L’homme va alors chercher un danois, chien magnifique qu’il amène sur le lit. Mon excitation est à son comble. Être baisée par un chien vigoureux devant cette femme autoritaire et ces 5 hommes…et mon Maître….
Je me mets immédiatement à 4 pattes et caresse le ventre de la bête, touchant sa verge encore gainée. Je vois apparaître le gland rouge sang que je lèche immédiatement. La bête frémit. Cette queue devient immense, totalement sortie de sa gaine, l’animal frétille, me contourne. Il me veut. Je m’offre alors cambrée au maximum, cuisses écartées. Il me chevauche et commence un va-et-vient. Mais la double anal et le sperme des deux hommes ont laissé mon anus ouvert et lubrifié. La bête entre alors dans mon cul. Cette queue énorme que j’ai tendue de mes lèvres entre sans ménagement dans mon anus, le pénètre profondément. L’un des hommes le remarque.
-La petite chienne se fait enculée par son mâle…
La femme sourit, satisfaite. Je glisse ma main sur mes lèvres et je me branle pour jouir avec le chien qui me rempli de sperme. Je sais que je serais punie pour cela. Mais l’envie est trop grande et l’envie de punition à venir me rend encore plus excitée. Je pars, je hurle, je m’affale sur le lit.
-Tu as bien joui petite chienne?
-Oui Madame
-En avais-tu la permission?
-Non Madame
-Écartelez- moi cette chienne
Les hommes s’emparent de moi. Ils accrochent des chaînes à mes attaches de poignets et de chevilles et tirent. Je suis écartelée, réellement. Mon corps est tendu. La femme ordonne
-Plug et poids
Un homme apporte un plateau. Elle choisit un plug énorme que l’homme vient enfoncer dans mon cul. Il est si gros qu’un autre de mes bourreaux doit se mettre devant moi, poser ses mains sur mes hanches et appuyer pour que le plug entre en moi. Pus ils fixent quatre pinces aux lèvres épilées de mon sexe. Encore une fois la femme ordonne
-2 kg
Quatre poids de 500g sont alors fixés à chaque pince. Je sens mon sexe étiré monstrueusement. Je ne dis rien, je suis une "sans limites".
-L’oeuf
Un homme vient alors glisser un uf télécommandé dans mon vagin. Pour que celui-ci ne glisse pas de mon sexe ouvert par les poids et ruisselant, une chaînette est attachée à l’anneau de mon capuchon de clitoris, passée entre mes lèvres et fixée enfin au plug. Tendue, la chaîne pénètre en moi, écrasant mon clitoris. Mais l’uf ne tombera pas…
Un ordre encore
-Cette chienne sera fouettée au snake. Cent coups sur chaque face.
Deux hommes prennent alors ces fouets australiens redoutables qui brûlent la peau sans la faire éclater. Ils se placent devant et derrière moi. Mon supplice peut alors commencer. Les fouets s’abattent sur mon cul, mon dos, mes cuisses, mes seins, mon ventre, mon sexe. Les coups sur le sexe font sursauter les poids, étirant douloureusement. La femme prend une télécommande et joue avec l’uf qui est en moi. Mais je comprends, à l’expression de son visage que cette télécommande agit aussi sur un uf placé en elle. Elle se donne du plaisir en le modulant pour jouir. Et je suis soumise à cette modulation.
Au Cinquantième coup de fouet, j’ai joui. Au 80ème une fois de plus. Au centième, elle ordonna de poursuivre la flagellation. Au 127ème coup, elle partie avec moi dans un long orgasme, hurlant comme une louve. Je reçus encore quelques coups de fouets qui se déchargèrent en moi comme des échos de cet orgasme. Puis les hommes cessèrent sur son ordre de me fouetter. C’est à cet instant seulement que je me suis évanouie.