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Claire et sa tendre Mamie – Chapitre 8

Claire et sa tendre Mamie - Chapitre 8



Le matin, Colette s’est levée de bonne heure pour aller aux toilettes, puis dans la salle de bain, Marcel continuait à dormir, et il n’a pas tardé à prendre tout le lit, les bras en croix.

J’ai rejoins Colette alors qu’elle se lavait soigneusement l’entrejambe, en faisant attention de ne pas faire de bruit. Je me suis glissée sans bruit derrière elle, et je l’ai surprise en lui passant la main entre ses cuisses. Elle a sursauté puis m’a souri, elle était perdue dans ses pensées, et m’a confié que depuis mon arrivée en vacances, elle ne se reconnaissait plus, elle qui était une dame bien rangée, vivant un petit bonheur quotidien avec Papy, avec des relations sexuelles assez rares, Marcel semblant plus préoccupé par son jardin et sa télé, que par ses besoins sexuels. Maintenant, elle se surprenait à avoir des désirs à n’importe quel moment, et était désireuse de ressentir de nouvelles sensations. Elle avait l’impression d’être de nouveau une adolescente. Et Marcel, lui avait aussi une libido qui la comblait.

Elle m’a dit qu’elle aimerai me faire ma petite toilette, je me suis bien sûr prêtée à ses investigations, elle m’a demandé de me pencher avec les cuisses largement écartées, et elle m’a passé son gant de toilette partout entre les cuisses, sans oublier mes fesses.

Colette m’entraîna dans ma chambre, et m’a proposé de voir si nous avions une même particularité physique. Elle m’a allongé sur mon lit, les cuisses écartées, et elle m’a caressé toute ma fente, en jouant avec mes petites lèvres, descendant jusqu’à mon anus, dans lequel elle mettait juste le bout de son doigt, j’ondulais du bassin pour suivre ses caresses, elle me regardait intensément avec un regard plein de douceur et d’amour, puis soudain, ses doigts se sont arrêtés à un endroit très précis de mes petites lèvres, pour être plus précis sur le premier quart de ma petite lèvre gauche, et elle m’a pincé cet endroit en faisant rouler entre son pouce et son index la peau de la petite lèvre! Son geste a déclenché une contraction fulgurante dans tout mon sexe, jusque dans mon cul! J’en étais éblouie!

Mamie, continuait à me regarder dans les yeux, et se délectait de ma jouissance, elle m’a embrassée et m’a dit en se couchant contre moi, j’ai la même réaction au même endroit! Quand je te touche, j’ai l’impression de toucher mon propre corps quand j’avais ton âge! Tu ne peux pas savoir comme c’est excitant!

Ma Claire chérie, j’aimerai que tu me fasses découvrir plein d’autres aspects de la sexualité, je me suis mariée très jeune, et malgré mon grand âge, je ne sais pas grand chose! Pousse-moi à aller plus loin, n’hésite pas à me forcer un peu la main, chaque fois que je suis troublée, que je me sens honteuse, je ressens un plaisir tout à fait nouveau pour moi, il y a des moments où je serais heureuse si tu pouvais exiger de moi encore plus, et si je suis réticente, j’accepterais avec plaisir d’être punie par toi, j’aimerai être une vilaine gamine qui a besoin d’être dressée! Je t’aime, comme une mamie, bien sûr, mais aussi comme une femme qui ressent le besoin de t’appartenir, de t’être soumise.

J’étais très excitée par ces propos, moi qui avais toujours été soumise, j’avais maintenant la personne que j’aimais le plus au monde, qui voulait m’offrir sa soumission, c’était merveilleux!

J’ai demandé à Colette si elle était vraiment prête à être bien obéissante, que chaque incartade serait punie avec sévérité, elle a promis.

Pour la mettre à l’épreuve, je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes, les jambes écartées, ainsi je pouvais voir ses fesses, ses cuisses, toute sa fente avec les petites lèvres qui pendaient, son ventre puis son importante poitrine qui pendait, avec les pointes qui partaient sur les côtés. Je lui ai demandé de bouger ses seins, les deux globes blancs ont commencé à se balancer de plus en plus fort, puis à claquer l’un contre l’autre, ce spectacle me fascinait, et j’ai pris ses deux pointes et le les ai pincées assez fort, Colette a soupiré : Oh, oui, punis mes gros nichons, ils sont tous mous! Là je lui ai donné une forte claque sur chaque fesse, et j’ai dit: tu ne dois plus jamais te dénigrer, j’aime tes seins, et si je les pince, ce n’est pas pour te punir! Puis j’ai mis mes doigts dans sa chatte béante, pendant que mon autre main cherchait l’endroit si délicat de ses petites lèvres, pour la pincer là où c’est si sensible chez elle comme chez moi! D’un côté ma main rentrait presque complètement dans son vagin, avec mes doigts, je grattais la face antérieure du vagin, maintenant trempé de jus, Colette haletait en me disant combien c’était bon, quand mon autre main a pincé très fort sa petite lèvre, juste là où il faut, elle a contracté son vagin autour de ma main, et a poussé de petits cris, je lui ai ordonné le silence, et j’ai recommencé à gratter l’intérieur du vagin, et repincé la petite lèvre, elle donnait des coups de bassin, et ne pouvait plus retenir ses petits cris de plaisir, elle a joui longuement, son jus ruisselait entre ses cuisses! Je l’ai traitée de petite vicieuse, de cochonne! Ces mots crus ont décuplé son plaisir, elle m’a dit : oh oui je suis une vicieuse, je t’aime!

Elle s’est allongée, tout essoufflée, je léchai toute sa fente, et ses cuisses, puis je l’ai embrassée tendrement, et je lui dis qu’elle aurait d’autres occasions de m’obéir dans la journée, qu’elle devait aller préparer le petit déjeuner, et pour cela elle devait mettre sa chemise de nuit, le décolleté ouvert, et bien sûr sans culotte. Je l’ai suivie en mettant ma petite nuisette, et une fois en bas, je lui ai demandé d’aller dehors pour ouvrir tous les volets, et d’aller à l’autre bout du jardin pour voir si le facteur était passé, bien sûr en laissant ses seins divaguer dans son grand décolleté, sans chercher à les cacher, même si un voisin devait passer!

Mamie est sortie et a fait le tour de la maison, il y avait beaucoup de vent, et sa chemise de nuit flottait au vent, laissant voir toute sa poitrine par moment, quand il a fallu descendre à la boîte aux lettres, notre voisin d’en face était dans la rue entrain de discuter avec le facteur, Colette m’a regardée, avec les yeux désespérés, elle ne pouvait quand même pas passer devant le voisin comme cela! J’ai ouvert la fenêtre et j’ai crié : Mamie, merci de voir s’il y a du courrier! Elle est descendue jusqu’à la fameuse boîte aux lettres, et quand un grand coup de vent à fait envoler son décolleté, elle a serré sa chemise sur elle et a caché ses seins au regard du voisin et du facteur! En remontant, à la maison, elle était toute penaude, elle m’a embrassée, en me disant, je n’ai pas pu! Pardon ma chérie.

Je lui ai répondu, Colette, tu as désobéi, tu connais le règlement, tu vas être punie! Pour la peine, tu vas ressortir toute nue dans le jardin, derrière la maison, et tu vas faire pipi debout, en écartant bien tes cuisses, en essayant de projeter ton jet le plus loin possible! Et, moi je vais te prendre en photo! Cela nous fera un souvenir!

Je lui ai retiré sa chemise de nuit, et elle est sortie par la porte de la cuisine, et sur la pelouse, elle s’est mise en position, et a commencé à uriner. Je l’ai rejointe avec mon petit appareil photo, je me suis mise accroupi devant elle, en écartant largement mes cuisses, comme cela elle voyait toute ma chatte, son long jet de pisse partait droit de sa fente largement ouverte, et tombait en éclaboussant, j’ai pris plein de photos. Quand elle a eu fini, je lui ai donné mon appareil, et j’ai pissé comme elle, elle a pris aussi des photos. Quand j’ai eu fini, je lui ai demandé de me faire ma petite toilette avec sa langue, elle a hésité, puis s’est mise à genoux devant moi, et elle a passé sa langue dans ma chatte. Je lui ai dit, alors est-ce que tu désobéiras encore? Non, je ferai tout ce que tu veux! Nous verrons cela cet après-midi.

Mamie, m’a embrassée en rentrant dans la cuisine, visiblement heureuse de sa mésaventure.

Nous sommes rentrées dans la cuisine, et une fois remises nos chemises de nuit, nous avons préparé le petit déjeuner, et nous avons appelé Papy qui est descendu dans un de ses nouveaux pyjamas.

A suivre………………………….

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