Je m’appelle Claude, et voici mon histoire.
J’ai vingt huit ans, je n’ai jamais été très grand, seulement 1 mètre 75, très mince, très fin même, doublé par un visage androgyne…
Presque équivoque.
J’ai vécu deux ans avec Agnès, mais très vite notre relation c’est ralentie puis arrêtée…
Elle était féminine, trop peut-être, et parfois dans nos étreintes, je pensais que c’était mon aspect un peu trouble qui l’attirait…
Elle aimait sans complexe mon côté féminin, et j’avais fini par la soupçonner d’avoir des penchants saphiques, et cela me troublait également.
Un matin, nous nous sommes séparés, tout en restant en bon terme…
Je me suis alors perdu dans mon travail, créateur de site web, en statut d’auto-entrepreneur.
Les affaires marchaient très bien.
A l’époque Aude, une amie de ma mère, m’avait proposé de venir m’installer chez elle.
" – La maison est bien trop grande chez moi ", m’avait elle lancée.
Aude vivait seule depuis la mort de son mari, il y a 10 ans.
Elle me vanta son intérieur, une grande maison à étage, avec un sous sol entièrement aménagé que je pourrais sans nul doute transformer en local professionnel…
Certes elle habitait à 80 kilomètres de mon domicile, mais argumenta en me précisant que j’occupais l’essentiel de mon temps chez moi dans le petit bureau de mon petit appartement en télétravail, ou pour des clients dans toute la France que je ne rencontrais jamais, et puis chez elle, il y avait le raccordement ADSL par la fibre optique…
Un déménagement ne changerait rien assurément au fonctionnement de mon entreprise…
Elle parlait en connaissance de cause, ancienne haute fonctionnaire, elle avait également dirigé plusieurs entreprise du temps ou elle était active.
Un week-end, je suis descendu la voir, avec quelques macarons et une bouteille de Champagne…
Aude était une femme ravissante de 53 ans.
Plutôt grande, un mètre soixante dix, un peu ronde peut-être, mais cela lui allait tellement bien.
Elle était d’une élégance folle, avec toujours autour du cou, dans ses longs cheveux blonds, ou au revers de sa veste la petite touche d’originalité qui faisait tout son charme.
Aude laissait dans son sillage de voluptueuses effluves d’un parfum capiteux, j’en étais fou.
La maison était charmante, meublée avec soin, quand au sous-sol il avait été refait à neuf.
Un grand bureau, un local serveur avait été installé et toute l’électricité avait été repensée pour une installation informatique.
Elle avait même installé une partie de son matériel dernier cri, pour aller parfois surfer sur internet, me précisa t-elle.
Le reste du séjour se passa sans nuage, Aude sexcusant au préalable de me loger dans l’ancienne chambre de sa nièce.
La décoration y était très féminine selon elle, mais dès le retour de son décorateur attitré; parti pour un séjour de trois mois en Inde, il serait prévu de revoir l’agencement.
La grande pièce était meublée avec goût, les murs couleur chocolat et anis lui donnait son cachet, en son centre se trouvait un grand lit pour deux personnes à baldaquin, drapé de toile écrue, une salle de bain y était attenante.
Je pourrais mettre toute mes affaires dans les grands placard et le dressing, seuls quelques dessous de sa chère nièce était resté pour le moment dans la petite commode d’acajou en face du lit: mais Aude promis de les ranger ailleurs si cela devenait mon désir.
Dix jours plus tard, je m’installais chez elle.
Les journées de travail se succédaient, et le soir venu Aude et moi dînions ensemble.
Elle me mitonnait de bon petit plats, sortait toujours une bonne bouteille de sa cave, que nous finissions toujours en digestif, assis sur le sofa, face à la cheminée.
Nous parlions boulot, de la vie, de mon nouveau look aux cheveux longs que je laissais pousser, mais aussi d’Agnès, de son attirance ambiguë envers moi, de mes doutes à son sujet… sur les miens aussi…
Elle me rassurait en m’affirmant que j’étais très beau, une véritable beauté, et que c’était cela que mon ex avait dû tant aimer.
Un soir ou nous venions de déguster un petit Chinon délicieux, elle me fixa du regard et me dit sans détour que j’avais une magnifique peau.
Elle m’avoua en être jalouse, elle que les années commençaient à rider, un peu, juste au coin des yeux, par de belles petites pattes d’oies facétieuses.
" – Il faut prendre soin de toi Claude, tu mérites de garder le plus longtemps possible ce teint merveilleux, ce visage si fin, ces grands yeux de biche ! "
Je finissais la bouteille dans nos verres quand elle surenchérira.
" – Prends-tu soin de ta peau, hydrates-tu ton derme comme il faut, chaque matin et chaque soir ? "
Je répondis non de la tête, en précisant que de toute façon je n’avais pas le temps de courir les boutiques, encore moins celles vendant des produits de beauté pour homme.
Elle parut un peu triste l’espace d’un instant, et au moment ou je m’approchais pour l’embrasser tendrement sur la joue, elle lâcha dans un demi silence tremblant.
" – Je vais m’en occuper… si tu veux bien ? " .
" – Ensuite tu verras bien comment tu te sens après. c’est divin crois moi… ".
Je pris congé en balbutiant un oui un peu timide, et allais me coucher…
Le lendemain, je prenais mon petit déjeuner seul.
Sur la table de la salle, près des viennoiseries, posé contre la bouteille de jus d’orange, un petit mot sur lequel était écrit.
" – Je pars faire les boutiques, Bisous mon beau jeune homme, bisous ma beauté, lol ! "
Je travaillais dur, et ne déjeunais pas ce midi là, trop absorber par ma tâche…
Professionnellement ça marchait bien, très fort même.
Vers les 19 heures, je remontais dans la salle.
Il y flottait une odeur très agréable, Aude nous préparait un petit pique-nique antillais, avec acras, samussas, beignets et brochettes à la créole.
Sur la table du salon, il y avait plein de petits paquets.
" – C’est pour toi " me lança t-elle.
Je m’assis, elle en fit autant, tout contre moi…
J’ouvris tout les paquets, il y avait des baumes hydratants, des masques de beauté, des crèmes de jour de nuit, des cotons démaquillants, tout ce qu’il fallait pour parfaire un physique de rêve.
J’étais un peu embarrassé, mais elle prit les devant en me proposant de la laisser faire… me précisant que les produits étaient tous fait pour la délicatesse de mon épiderme.
Je découvris alors le plaisir du nettoyage de peau, tout en étant étonné de tant de salissures laissées sur les petits cotons.
Le plaisir de se faire bichonner.
Le parfums envoûtant, des crèmes, des lotions…
Je plongeais parfois mon regard dans son décolleté quand elle se penchait pour me prodiguer ses soins.
Parfois je l’interrompais une seconde pour prendre une petite goulée de Ti’ punch.
Sa dextérité sur mon derme me fascinait, la douceur de ses caresses, son ton un peu professoral qui me vantait les biens faits de tel ou tel produit…
Ce fût toutes ses attentions, et l’accumulation de tant de choses qu’il fallait employer pour assurément garder cette beauté qu’elle me reconnaissait, qui acheva de dissiper mon trouble…
Elle me fixa, me regarda droit dans les yeux et me dit…
" – Demain matin, je m’occuperais de nouveau de toi, tu dois rester beau, si beau" .
Mais je sentais qu’un détail la chagrinait…
" – Tu as de si beaux yeux, des petits océan bleus, ou l’on rêverait de nager, de sombrer même" .
" – C’est un crime que de ne pas relever un tel regard !", rajouta t-elle.
et immédiatement, elle attrapa son sac et en sorti sa trousse de maquillage.
Elle me posa délicatement un peu de Rimmel sur les cils, un peu de couleur aux paupières, et ensuite, finit le tout par un trait de crayon fin.
Elle me dévorait du regard, l’air hypnotisée…
Elle prit alors un petit miroir et me laissa me contempler…
J’étais stupéfait…
Je ne me reconnaissais à peine…
C’était pourtant moi, mais mon visage androgyne était tellement plus beau… si proche de ce moi que je n’assumais pas…
Elle approcha sa bouche de la mienne et m’embrassa doucement, délicatement, puis de plus en plus vite.
Sa langue tournait dans ma bouche et la mienne lui répondait au diapason.
Je sentais son envie, je devinais le trouble qui se levait enfin dans les vapeurs du rhum que nous avions bu sans modération, au fil de la séance d’esthéticienne improvisée.
Elle me murmurait entre chaque baiser:
" – Tu est beau, tu es une beauté, tu es ma petite beauté !"
Elle enleva son chemisier, puis dégrafa son soutien-gorge laissant apparaître sa poitrine magnifique.
Elle enleva mon T-shirt et commença à me sucer les tétons lentement avant de finir par téter goulûment ma poitrine, comme pour s’y abreuver.
De mon côté javais relevé sa jupe, et au hasard de mes caresses, je découvris entre la soie des bas et des jarretelles qu’elle ne portait pas de culotte.
Je serrais fort ses fesses, et elle en réponse elle se collait contre moi, comme une seconde peau. Elle laissait échapper de petits cris entre l’étau de ses lèvres collées sur ma poitrine, et qui semblaient tant à son goût.
" – J’ai envie que tu me touches, que tu me caresses avec douceur, avec finesse…" .
" – J’ai envie que tu me lèches, que tu me suce, que tu m’aspires… que tu me boives" .
" – J’aimerai que l’on se frotte l’un contre l’autre, jusqu’à en jouir… et puis recommencer… encore et encore" .
Le temps s’est alors accéléré, et l’instant d’après, sans que je sache comment, nous nous sommes retrouvés totalement nus, à l’exception d’Aude qui ne portait plus que sur elle ses bas noires et sa jarretière.
Elle se lovait contre moi, jouait avec sa langue sur mes tétons durcis par le plaisir, m’embrassait à pleine bouche, puis lentement je sentis sa main descendre sur mon sexe.
Elle le caressait de bas en haut, descendant toujours plus loin sur mes bourses, puis sur mon anus qu’elle titillait de ses doigts malicieux.
Elle fouillait mes cuisses, furetait sur mes fesses… tout en me murmurant à l’oreille de merveilleux mots doux.
" – Tu es tout doux mon amour, tu es tout doux Ma Beauté !"
Et sa main revenait immanquablement sur ma verge en érection et redescendait tout droit jusqu’à mon petit trou.
Moi je pensais à mon sexe en érection, à sa petite taille, légèrement inférieure à la moyenne, à ce petit braquemart ridicule qui ne la satisferait sûrement pas.
Mais ce n’étais pas là sa préoccupation…
Aude me fixa de son grand regard doux, me sourit, et tout en me fixant, elle porta alors ses doigts à sa bouche pour les lécher, pour les lubrifier.
Elle repris alors le chemin de mon vit durcit, de mes bourses, de mon rectum dilaté et y engouffra d’abord un doigt, puis un deuxième.
Elle me fouillait lentement, mais sûrement, je sentais ses phalanges s’enfoncer de plus en plus profondément. Moi pendant se temps là, je fondais dans ce nouveau plaisir, je m’abandonnais de plus en plus, à sa main qui devenait de plus en plus gourmande.
C’est au quatrième doigt enfoncé dans ma chair, que je n’ai pu retenir ma jouissance.
Je me suis cambré sur le canapé, sentant chaque goutte de mon jus chaud atterrir sur mon ventre.
L’éjaculation fût copieuse, comme à chaque fois, le sperme inondait mon abdomen.
Elle retira ses doigts, assaillit mes lèvres de ses baisers, et recommença ses caresses en étalant peu à peu ma semence sur ma verge ramollie, sur mes testicules, dans ma raie puis dans mon derrière.
Moi je l’enlaçais tendrement sans rien dire, une main cramponnée à son sein si doux.
Nous nous fixions droit dans les yeux rien n’existait plus.
Elle s’est alors redressé, c’est mise à califourchon sur ma bouche, m’offrant ainsi sa divine vulve, que je me suis empressé de prendre en bouche…
Sa chatte était trempée de mouille, son jus délicieux, et maintenant je buvais avec plaisir ses fluides liquoreux…
Rien ne semblait étancher ma soif.
Elle couchée sur moi, et me lança innocemment:
" – Je t’ai tout sali, laisse moi te nettoyer !"
Elle repris alors de sa langue, le chemin que sa main avait mainte fois parcourue, et me lécha sans relâche, ne laissant derrière elle aucune trace de mon foutre, pas même dans les recoins les plus intimes.
Aude se délectait de mon sperme étalé sur mon corps, et moi, tout en dégustant dans ma gorge son plaisir qui me submergeait, jappréciais la douceur de sa langue sur les plis de mon petit orifice.
Moi je continuais ma tâche, pourléchant ses lèvres intimes, son petit clitoris qui se dressait maintenant sous ma langue, buvant sa liqueur jusqu’à m’en saouler.
Je caressais aussi ses fesses, son rectum et parfois je m’enhardissais en enfonçant quelques doigts tout au fond de sa chatte dégoulinant, jusqu’à ce qu’enfin elle s’écroula dans un râle assourdissant, en enfonçant profondément sa tête au creux de mes fesses.
Elle vint se coucher dans mes bras, me serra fort, puis tout en caressant mes cheveux longs, elle m’embrassa passionnément.
Lovés l’un dans l’autre, nous nous endormîmes sur le divan.