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Claudia, Bradley, Émile, Tommy et les autres – Chapitre 1

Claudia, Bradley, Émile, Tommy et les autres - Chapitre 1



Je m’appelle Claudia, je suis maintenant une femme de 48 ans, et je vais vous raconter quelques aventures, alors que j’étais encore une jeune fille de bonne famille. J’avais les cheveux châtains, mi-longs et ondulés, je mesurais un mètre soixante pour quarante-huit kilos, avec une poitrine généreuse (95 bonnets B), et un derrière bien rebondi, j’avais ce qu’il fallait et où il fallait, j’étais très désirée par les garçons de mon âge, puis par la suite lorsque j’étais plus vieille, les hommes me tournaient autour, ils appréciaient mon physique et surtout mon corps, celui-ci les attirait comme du papier « attrape-mouche ». J’étais très demandée par la suite, lorsque j’étais plus âgée. On me dit être une belle femme, et souvent les hommes se retournaient sur mon passage, pour reluquer mon arrière-train, ce que j’aimais relativement beaucoup, car je faisais très attention à ma ligne, j’étais et je suis d’ailleurs toujours très coquette, et puis j’aime être désirée par les hommes, depuis ma première fois, je suis devenue très portée sur le sexe que j’aime surtout pratiquer.

Je n’ai aucune gêne à être prise par un ou plusieurs hommes à la fois, j’aime la vie et surtout le sexe, par contre j’ai horreur de la vulgarité et je n’aime pas être traitée comme une chose, ni qu’on ne respecte pas ma personne, et je ne supporte pas non plus la grossièreté.

Je vais vous raconter l’histoire de mes débuts sexuels et ensuite ce que je suis devenue par la suite. À une certaine époque où tout ce qui concerne la sexualité, les désirs, les relations entre hommes et femmes, étaient encore très tabou. Je suis comme je suis et j’aime pratiquer l’amour, que ça soit seul, avec un homme ou même avec plusieurs hommes à la fois, je n’y peux rien, c’est comme ça, et je l’assume. J’ai perdu ma virginité assez tôt, j’étais encore très jeune à l’époque, et ça s’est passé avec Bradley, un copain du même âge que moi, que j’aimais beaucoup, nous étions inséparables, toujours ensemble à faire les quatre cents coups, j’ai perdu ma virginité avec lui, surtout parce qu’il insistait énormément pour être « le premier » à pouvoir me posséder, il voulait à tout prix être celui qui me transformerait de jeune fille en véritable femme, je dois dire que moi aussi de mon côté, je voulais que ça soit lui « mon premier », je voulais enfin savoir ce que c’était que de faire l’amour avec un garçon, j’étais une des rares filles de notre âge à n’avoir pas encore couché avec un garçon. En ce temps-là comme toutes les filles de notre village, je ne savais pas grand-chose concernant la sexualité, et à la maison, mes parents n’en parlaient jamais, il faut dire aussi que c’était un sujet tabou chez nous à la campagne.

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Chapitre II : mes premières règles :

Cependant lors de mes premières pertes de sang, je fus effrayée, et j’en avais honte, je décidais d’en parler à ma mère Pauline. Celle-ci m’expliqua alors un peu le fonctionnement du corps féminin. En ce temps-là on n’apprenait pas encore à l’école ce genre de choses, nous n’avions pas encore d’éducation sexuelle, nous apprenions tout cela pratiquement par nous-mêmes, et sur le tas comme on dit. Si nous avions la chance d’avoir une mère sympa, celle-ci nous expliquait certaines choses sur la vie féminine, mais à sa manière, quant au père il n’était pas question de lui parler de ce genre de problème, car pour les hommes c’était particulier, c’était féminin disait-il. Par chance, j’avais une mère assez compréhensive, qui par la suite me fit certaines révélations, et elle me fit découvrir mon corps et son fonctionnement. Donc je montrais à ma mère les taches de sang dans mon slip, je ne vous dis pas, comme j’étais honteuse d’avoir souillé mon sous-vêtement, ma mère m’expliqua alors que j’étais sur le point de devenir une femme, qu’à partir de ce moment-là et cela durant plusieurs jours, j’allais encore perdre du sang, qu’en général tous les vingt-huit jours, ça allait se reproduire, et cela tous les mois, que c’était un phénomène tout à fait naturel et normal, et que maintenant je pouvais tomber enceinte, si je couchais avec un garçon ou avec un homme.

Au bout d’un certain temps, mon corps se mit à changer et à me faire savoir qu’il avait certains besoins, qu’au début je ne comprenais pas bien, celui-ci me réclamait des caresses, des attouchements, j’avais souvent chaud, j’avais des frissons, mes seins aimaient que je les masse et que je les caresse de temps en temps, je prenais mes tétons entre les pouces et les index et je les roulais entre mes doigts, puis je les tirais vers le haut, j’y prenais beaucoup de plaisir, et plus je le faisais, plus je devenais chaude et plus j’avais des envies, des envies d’aller plus loin, des envies de savoir comment satisfaire les demandes de mon corps, c’est comme cela que j’appris sur le tas la transformation du corps féminin et après la sexualité, les caresses, les attouchements des points sensibles où ça me faisait du bien. J’appris comment satisfaire les exigences de mon corps, ce n’est pas à la maison, ni avec ma mère, que je pus en parler, nous en parlions entre filles, on échangeait ce genre d’événement encore tabou pour l’époque, entre nous, on se racontait nos expériences et nos avancées dans ce domaine, nous étions toutes très excitées sur les progrès et les essais des unes et des autres, nous étions impatientes d’essayer de notre côté ce qu’on nous racontait.

Les dires des unes et des autres, nous étions surtout impatientes du ressenti et des sensations que cela devait nous procurer. Pour l’instant nous n’étions encore qu’aux attouchements individuels entre filles, et d’avancée en avancer le massage et les caresses de nos seins ne nous suffisaient plus, nous allions de plus en plus loin, nous commencions à nous toucher le minou, d’abord nous le caressions et nous frottions la vulve, puis devenant plus hardies nous avons enfoncé un doigt entre nos lèvres vaginales, nous le faisions coulisser entre celles-ci et nous l’enfoncions de plus en plus profondément, cela n’avait plus rien à voir avec ce que nous faisions auparavant, lors de nos attouchements avec nos seins. C’était beaucoup plus jouissif, et cela nous procurait beaucoup plus de sensations. Cela dura un certain temps, qu’on se satisfaisait comme cela, soit seule, soit entre filles, moi de mon côté j’étais un peu en retard par rapport aux autres du fait que j’habitais à la campagne, nous devions être très discrètes, car personne ne devait le savoir, sinon ça aurait fait un scandale sur la voie publique. Et puis au bout de quelques années, une fois que cela ne nous suffisait plus, et surtout sous la pression et l’insistance des garçons qui devenait plus pressante à vouloir coucher avec les filles, quelques-unes d’entre nous franchirent le pas et couchèrent avec des garçons.

Les unes après les autres nous y passions, et nous franchissions le pas.

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Chapitre III : ma première fois :

Ben comme j’étais dans un groupe de filles qui avaient déjà franchi ce pas, et qu’il ne restait que moi à ne pas encore l’avoir fait, je me décidais à mon tour à franchir le pas, et donc à perdre ma virginité, et comme Bradley mon copain de toujours, devenait lui aussi de plus en plus impatient et pressé de passer à l’acte, nous décidions de le faire à notre tour. Je me rappelle encore comme si c’était hier. C’était en été, un jeudi après-midi, alors que mes parents étaient en train de faire le foin dans un de nos prés, assez éloigné de notre domicile, prétextant que j’avais quelque chose d’important à faire, et qu’il fallait absolument que je le fasse pour le lendemain, je racontais cela à mes parents uniquement pour pouvoir rester seule à la maison. J’avais tout prévu ce jour-là, j’ai aussi demandé à Bradley de passer à la maison pour les treize heures. Mes parents étant assez confiants, et ne sachant rien de mes prévisions, ils me laissèrent donc à la maison, mon plan avait bien fonctionné, sachant que mes parents en auraient pour plusieurs heures avant de revenir au domicile, j’avais largement le temps de faire ce que j’avais prévu ce jour-là avec mon copain.

Bradley connaissait la maison, du fait que nous nous retrouvions souvent chez moi, il vint donc me rejoindre dans ma chambre, nous avions presque toute l’après-midi pour réaliser ce que nous avions décidé de faire ensemble.

Bradley entra donc dans ma chambre où je l’attendais impatiemment et fébrilement, il frappa à ma porte et entra sans attendre d’y avoir été invité. J’étais en robe légère, il me félicita d’abord sur ma tenue et me dit qu’elle était à son goût, et qu’il l’aimait bien. Nous nous sommes ensuite embrassés durant de longues minutes, il m’embrassait dans le cou, ses mains étaient posées sur mes fesses et ils me les serraient, il les massait vigoureusement, puis je me suis serré davantage contre lui. Puis devenant plus hardies, et voyant que je le laissais faire, ses mains remontèrent le long de mon dos, puis elles vinrent vers mon buste et se posèrent sur mes seins, par-dessus le tissu fin de ma robe. Je devenais de plus en plus brûlante et fiévreuse, j’avais des frissons dans tout le corps, mon Dieu que c’était bon de se sentir touchée par un garçon et être aimé de la sorte, de sentir ses mains sur ma poitrine, je sentais comme mes tétons devenaient de plus en plus durs, ils étaient tellement durs qu’ils me faisaient mal.

Au bout d’un moment une de ses mains délaissait ma poitrine, elle descendit vers mon entrejambe, elle vint se glisser sous ma robe, puis elle se posa sur le tissu de ma petite culotte, seule protection entre mon minou tout trempé maintenant, et ses doigts. Bradley frotta sa main dessus de temps en temps, je sentis comme un doigt s’enfonçait avec une pression plus importante, sur le seul rempart qui séparait encore sa main de ma chatte. Cela me procura une sensation incroyable, et j’en demandai encore, je commençais, même sans m’en rendre compte, à faire des hum, et à gémir légèrement, tellement j’aimais cette pression de son doigt sur ma vulve. Il me souleva ensuite et me coucha sur mon lit, puis il se remit à m’embrasser goulûment, Bradley recommença à me mettre une main sur mon entrejambe. Puis tout à coup il s’arrêta net et il me posa les questions suivantes : es-tu toujours prête à franchir le pas ? Et veux-tu toujours le faire avec moi. À ces questions je ne pus dire que Oui ! Je dis alors à Bradley, prends-moi, je suis toute à toi, faite moi connaître l’amour, fait de moi une vraie femme.

Je dois dire que Bradley a toujours été très doux avec moi, en plus il est tout à mon écoute, et ne brusquait jamais rien avec moi, il a toujours été très patient, très doux et très sensuel, je ne pouvais souhaiter un meilleur garçon pour « ma première fois » ! À ces mots, il se positionna entre mes jambes, puis il se mit à retirer le seul obstacle qui séparait encore ma vulve de sa vue, ensuite il me fit me lever, Bradley prit le bas de ma robe et la passa par-dessus ma tête, ensuite il se remit à m’embrasser tendrement, tout en défaisant mon soutien-gorge, laissant ainsi apparaître pour la première fois mes seins volumineux à son regard, celui-ci n’en revenait pas, car pour lui c’était aussi la première fois qu’il voyait une fille toute nue devant lui. Bradley fit un pas en arrière pour pouvoir mieux me reluquer et observer mon corps, il était fasciné par celui-ci, de par sa consistance musculaire et de par sa beauté, me disait-il. Il me complimenta sur mes courbes et sur la beauté de mes seins et de mes fesses.

Ensuite il se déshabilla à son tour, je voyais à mon tour et pour la première fois un garçon tout nu, comme il se trouvait à un mètre de moi, je pus voir en détail comment était fait un garçon, il était pareil que nous, sauf que la poitrine n’était pas développée comme chez nous les filles, par contre il était poilu, contrairement à nous, et entre les jambes, se dressait une grosse tige à l’horizontale, qui de temps en temps se relevait davantage, il faut dire que Bradley était bien musclé et il était lui aussi bien bâti et bien membré. Puis il revint m’embrasser encore plus tendrement qu’avant, je sentis même qu’il me désirait de plus en plus, nous nous remîmes sur le lit, continuant à nous embrasser, ses mains sur mes seins, de temps en temps il prenait mes tétons entre ses doigts et les roulait, puis il les tirait comme je le faisais quand j’étais seule, mais à la différence que cela me paraissait beaucoup plus jouissif avec lui, j’aimais cette sensation. Ensuite une de ses mains descendit vers mon entrejambe qui devenait de plus en plus humide, suite à ces embrassades et aux attouchements de Bradley.

Sa main vint se poser sur ma vulve, et il commença à frotter avec la paume de celle-ci sur mon bouton dressé et envieux de caresses, puis il mit son visage sur celle-ci et il commença à me lécher le minou. Quelles indescriptibles sensations j’eus alors, je n’ai jamais connu ça auparavant, il s’attardait sur mon bouton, celui-ci devenait dur et très sensible, ensuite il enfonça sa langue entre mes lèvres vaginales, cela me fit connaître encore d’autres sensations, j’avais des soubresauts incontrôlables dans le ventre, mon intérieur frissonnait entièrement, ensuite un doigt vint se faufiler entre mes lèvres vaginales, ce qui déclencha en moi une vague que je ne pus retenir, puis il se mit à faire des allés et venu de plus en plus profond dans mon intimité, encore vierge jusque-là. Bon sang que c’était bon, je gémissais maintenant et j’en redemandais encore, je voulais qu’il aille de plus en plus profond et de plus en plus vite. Au bout d’un moment il se mit à me mettre un deuxième doigt dans ma chatte, puis un troisième, je sentais comme mon minou s’étirait, Bradley se remit à faire des va-et-vient dans mon intimité, cela me rendait folle, et j’en voulais toujours plus, je désirais maintenant sentir sa verge en moi, je souhaitais l’avoir en moi et je lui en fis part.

Bradley ne se fit pas prier et il se rapprocha, il présenta ensuite sa verge à l’entrée de mon minou, puis il se mit à la frotter d’abord sur puis entre mes lèvres vaginales, avant de s’enfoncer entre celles-ci, millimètre après millimètre tout doucement jusqu’à venir buter contre mon hymen, il revint m’embrasser goulûment, puis il me demanda, « es-tu prête Claudia »? Je lui répondis que Oui, je voulais qu’il aille plus loin. Après cette approbation je sentis ensuite comme son sexe ressorti, puis d’un coup sec il revint dans ma chatte, déchirant par cette intromission le seul bouclier, prouvant que j’étais encore vierge. Lors de cette pénétration, je poussais un cri de douleur lorsque mon hymen se déchira, mon cri fut étouffé par notre baiser. Je sentais maintenant la verge de Bradley dans mon antre, je sentais comme mes muscles vaginaux se déformaient et laissaient ce phallus prendre possession de mon corps, je le sentais encore grossir en moi, il était dur et chaud, de temps en temps je le sentais tressauter en moi.

Bradley resta un instant immobile au fond de ma chatte, attendant que mon minou s’adapte à son sexe. Puis il se mit à faire des allés et venu en moi, la douleur du départ fut assez vite estompée, puis transformée en sensations étranges, sensations que j’appréciais de plus en plus, je me surpris même à gémir et à lui demander qu’il aille de plus en plus vite et de plus en plus profond en moi, j’adorais le sentir en moi, j’adorais ces allées et venu dans ma chatte, j’adorais le sentir en moi et le bien qu’il me faisait, je ne contrôlais plus mon corps, j’avais chaud, j’avais des frissons et des tremblements dans tout le corps, j’aimais cela et je ne voulais plus que cela s’arrête, j’en voulais encore et j’en demandais de plus en plus, j’étais devenue insatiable, je n’en avais jamais assez. Heureusement que Bradley était endurant et n’éjaculait pas aussi rapidement que la plupart de nos copains, car d’après ce que mes copines me racontaient, lorsqu’elles faisaient l’amour avec eux, cela ne durait jamais très longtemps.

Mais bon, comme toutes les bonnes choses ne durent hélas jamais longtemps, Bradley sent qu’il allait venir, et comme je lui avais dit que je ne prenais encore aucun contraceptif, il se retira à contrecur et éjacula sur mon ventre, son sperme s’éparpilla sur celui-ci, il était blanchâtre et visqueux, voulant connaître son goût, je pris un peu de celui-ci entre mes doigts et je le portai à mes lèvres, ensuite je me mis à le goûter. C’était âpre, ça avait un goût salé, mais j’aimais bien. Ça y est j’étais maintenant devenu une vraie femme, car il est vrai je n’étais pas encore une adulte, lorsque j’ai fait l’amour avec Bradley, la première fois. Après cela, je voulais à mon tour lui prodiguer du plaisir, je me suis donc mise à genoux et je vins prendre son sexe en mains, il était maintenant flasque et mou, je décidais d’abord timidement, puis après quelques minutes, j’y allais plus franchement, je prenais sa verge en bouche et ensuite je l’ai sucé comme je le ferai avec une glace. Je compris rapidement qu’il aimait ça, car son sexe se mit presque instantanément à devenir à nouveau dur.

Je continuais à le sucer, faisant à mon tour des allés et venu sur celui-ci. Bradley vint poser ses mains sur ma tête et il me montra à quelle vitesse il souhaitait que je fasse les va-et-vient. Au bout d’un moment, je sentis comme son sexe se gonflait et sans avoir le temps de me retirer, il m’envoya son sperme au fond de ma gorge, il y en eut tellement que je faillis m’étouffer. Bradley me releva ensuite et vint m’embrasser à pleine bouche, nous échangeâmes nos salives ainsi qu’un restant de son sperme. Nous avons ensuite été prendre une douche ensemble, tout en nous embrassant goulûment, en nous touchant, en nous caressant, en nous câlinant et en nous lavant mutuellement ! En revenant de la salle de bain vers ma chambre, je demandais à Bradley, s’il n’avait pas envie de recommencer, car je trouvais cela si bien et si bon, que je voulais le faire à nouveau, pour bien me rendre compte du bienfait que j’éprouvais lors de ce premier rapport sexuel.

Bradley avait la même idée que moi, et d’ailleurs il voulait lui aussi me poser la même question, mais je l’avais pris de vitesse. Cette après-midi-là Bradley et moi, nous avons refait l’amour une deuxième fois, mais cette fois-ci au lieu qu’il se mette sur moi, Bradley m’a demandé de me mettre à quatre pattes sur le plancher, et il est venu se positionner derrière moi, il m’a ensuite pénétrée ainsi, comme le font les chiens dans la rue, et je dois dire que je préfère de loin cette position, car je sens son sexe me pénétrer plus profondément, et j’éprouve d’autres sensations agréables elles aussi, d’autant que dans cette position Bradley m’avait mis un doigt dans le cul, et cela me rendait dingue, je devins folle de désirs, sentir une bite me ramoner la chatte, et un avoir un doigt dans le cul, c’est incroyable, enivrant, ça me faisait grimper au septième, j’adore vraiment ça. Bradley sorti ensuite de ma chatte, lorsqu’il sentit qu’il allait éjaculer à nouveau, pour pas que je me retrouve enceinte.

Cette après-midi-là, ce fut tout ce que nous avions fait, mais nous nous sommes juré que nous n’en resterions pas là, nous devions d’abord parer au fait que je ne puisse pas tomber enceinte, je devais donc persuader mes parents de me faire prescrire la pilule, chose pas évidente à faire à l’époque, néanmoins il fallait passer par là, si nous voulions continuer à refaire l’amour ensemble. Tous les deux nous n’avions pas confiance dans les condoms de la fois-là, car ils se déchiraient facilement d’après ce que me disaient mes copines. Une fois que mes parents m’avaient fait prescrire la pilule, Bradley et moi nous nous sommes remis à refaire l’amour ensemble, et vu mon jeune âge, nous prenions plutôt deux protections qu’une, Bradley mettait un préservatif et moi je prenais la pilule contraceptive. C’était mon âme sur et nous nous entendions très bien ensemble, et sexuellement c’était pareil, nous n’avions pas besoin de nous parler pour savoir comment il devait me prendre, ni ce qu’il attendait de moi, nous nous comprenions sans mot dire, nous avons fait l’amour dans toutes les positions possibles, et un peu partout, et je crois que nous en avons même inventé de nouvelles, nous étions accros au sexe et l’un à l’autre, nous étions devenus insatiables.

En ce temps-là nous nous suffisions à nous-mêmes et je lui étais fidèle. Dès que nous le pouvions, nous nous retrouvions en cachette et nous faisions l’amour. Mon Dieu quelle belle époque ce fut, nous avons ainsi durant de longues années poursuivi notre relation sexuelle, sans jamais avoir le besoin de nous marier ! Mais bon comme toutes les bonnes choses ont une fin. La vie suivant son cours, Bradley partit à l’étranger et nous dûmes trois fois hélas, nous séparer et terminer notre si belle relation.

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Chapitre IV : mes relations après Brandy :

Étant devenue maintenant une accro du sexe, je dirais même que j’étais devenue une nymphomane, et n’ayant plus d’amant attitré, je dus me résoudre à m’en chercher un nouveau. Durant de nombreuses années, je n’ai jamais réussi à retrouver un autre Bradley. J’ai fait l’amour avec un bon nombre de mecs, j’ai baisé avec beaucoup d’hommes, je me suis fait sauter à deux, à trois, à plusieurs, j’ai été prise dans toutes les positions possibles, en simple, en double, en sandwich, je peux dire que j’ai tout essayé, j’ai avalé des litres de sperme, j’ai eu dans ma chatte des petites bites, des moyennes, des longues, des courtes, des grosses, des bien membrées, des noires, mais rien ne me satisfaisait totalement. Il y avait toujours quelque chose qui me manquait, un je-ne-sais-quoi  ! Étais-je devenue une femme insatisfaite par les hommes  ! Que se passait-il avec mon corps  ! Que devais-je faire pour retrouver un bien-être. Et puis un jour en discutant avec d’autres femmes dans mon cas, j’appris alors, que dans une ferme, pas trop loin de chez moi, un paysan avait un verrat (cochon mâle) et que des femmes venaient se faire monter par celui-ci.

Étant curieuse de nature et voulant essayer à mon tour, je pris mon courage à deux mains et je décidais d’aller y faire un tour, afin de voir ce que ça pouvait donner. Je pris donc rendez-vous avec le paysan en question, il ne semblait pas surpris de ma demande. Émile était son prénom, il me proposa de nous rencontrer un jour, et après un entretien avec lui, je décidais de me laisser tenter par la chose, et donc de me faire saillir par son verrat. À mon arrivée à la ferme, Émile avait un sourire en coin, il vint m’accueillir chaleureusement, puis il m’expliqua le déroulement de cette séance avec Tommy, le verrat en question, ensuite il me dit qu’il faisait cela pour le bien de son verrat, pour que celui-ci puisse continuer à produire de la bonne semence pour ces truies, que cela ne me coûterait rien, mais qu’il y avait deux conditions pour cela. Il me dit alors, voilà mes conditions,

1) Claudia tu me laisses regarder la séance, et puis tu me laisses y participer après !

2) À la fin de la saillie, je dois me laisser baiser par lui (Émile, le paysan)), cela ne me coûterait rien du tout ! Sinon la somme qu’il me demanderait sera assez conséquente, du fait qu’il n’y a que chez lui qu’on peut faire ce genre de relation zoophile, et qu’il ne connaît personne d’autre qui pratique ce genre de séance zoophile.

Je dois avouer que je ne suis pas particulièrement partisane de la zoophilie, je n’y avais jamais pensé à le faire ni à en arriver là. Je ne l’ai d’ailleurs jamais envisagée ou fait, et jusqu’à cet instant je n’ai jamais été attirée par la zoophilie, mais j’étais prête à tout essayer pour assouvir mes pulsions sexuelles, étant donné que je ne suis plus satisfaite dans mes relations avec les hommes, et j’entendais le résultat des femmes, étant déjà passé à la pratique, d’après les récits d’Émile, qui me disait aussi que certaines d’entre elles, revenaient même pour y regoûter et se refaire prendre. Ma nature curieuse prenant le dessus, et voulant à mon tour essayer la chose, je donne mon accord à Émile. Celui-ci se mit à rire et me dit, vous les femmes vous êtes donc toutes pareilles, lorsqu’on vous raconte quelque chose d’incroyable, vous voulez à tout savoir et surtout vous voulez essayer à tout prix, je me doutais bien que toi aussi Claudia, tu voudrais le faire, et que tu essayerais toi aussi de passer par là !

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Chapitre V : Émile et son verrat Tommy :

Étant donné que nous étions maintenant d’accord avec les tenants et les aboutissants de notre marché, Émile me prit par la main et m’entraîna vers le hangar où se trouvait Tommy le verrat. Tommy était une grosse, très grosse bête, je fus tout de suite surprise de voir pendre entre ces pattes arrière une espèce de grosse poche, je supposai que ça devait être ses testicules, ce qu’Émile me confirma, puis il ajouta qu’elles étaient bien pleines, et qu’en général il produisait beaucoup de sperme. Tommy devait bien peser dans les 500 kilos, voire 650 kilos, Tommy pèse exactement 558 kilos ma chère, me dit-il alors. J’eus un mouvement de recul lorsque j’entendis le paysan me donner le poids de l’animal, et je lui répondis, mais jamais de la vie je n’arriverai à porter un tel poids sur mon dos. C’est à ce moment qu’Émile me dit, Claudia, ne t’inquiète surtout pas ma belle, tu ne sentiras rien de son poids lorsqu’il se mettra sur toi, puis il me montra dans un box à côté de celui de Tommy, une espèce de tunnel métallique avec de la peau de vache par-dessus, en dessous il y avait un espace vide, et il me dit, toi Claudia tu vas te glisser dans cet espace entre le sol et la peau de vache, puis lorsque le verrat viendra te prendre, il grimpera dessus, ne t’inquiète pas tu ne sentiras même pas son poids, c’est en métal et c’est du solide, ça, je te le garantis, car il a déjà fait ses preuves, ce tunnel je l’ai fait expressément pour ce genre de saillie.

Ensuite Émile reprit ma main et il me mit un peu à l’écart, puis il commença à me déshabiller doucement, profitant au passage pour me toucher, par-ci et par-là, je me laissai faire sans rien dire, vu que je lui avais donné mon consentement quelques minutes plus tôt. Émile prit tout son temps lors de mon effeuillage. Durant ce moment-là j’étais anxieuse, impressionnée et en même temps terrifiée par la taille de cet animal, qui allait me saillir dans les minutes à venir, je me demandais quel pouvait bien être la taille du sexe de celui-ci. N’allait-il pas me défoncer ou déchirer mon vagin. Enfin je me posais mille et une questions, sur le déroulement de cette saillie zoophile, durant le temps quÉmile mettait pour me dévêtir et me rendre entièrement nue. Il embrassait tendrement mes chairs, me faisant de petits bisous dans le cou, sur mes seins puis sur mon corps, au fur et à mesure qu’il faisait apparaître ma peau. Je dois dire que c’était assez agréable et je dois reconnaître que le bougre savait bien y faire, et qu’il n’était pas à sa première fois.

Je prenais maintenant du plaisir à être effeuillée de la sorte, et petit à petit mon anxiété disparut, je ressentais dans tout mon corps des tressaillements m’envahir, et je devenais impatiente de rencontrer mon amant animal. Une fois mes vêtements retirés, le paysan se mit derrière moi et commença à me peloter un sein d’une main tout en m’embrassant dans le cou et de l’autre main, il descendit de ma poitrine, longeant mon ventre pour venir se poser sur ma vulve, il s’y attarda, irritant mon clitoris au passage, puis il me mit un, puis deux doigts entre mes lèvres vaginales, ensuite il commença à faire des va-et-vient dans ma chatte avec ses gros doigts. Je me suis mise à gémir sous la pression de ses allés et venu. C’est alors qu’Émile me souffla à l’oreille, Claudia mets-toi à quatre pattes et je vais te prendre en position de levrette. Sans trop réfléchir je lui obéis instantanément, j’avais trop envie de sentir un sexe en moi pour me refuser à lui, certes Émile n’était pas trop propre en apparence, il sentait la transpiration et la merde de fermier, mais je m’en foutais, je voulais être baisée, et je vous garantis que je ne l’ai pas regretté par la suite.

Émile avait une bite hors du commun, elle était très grosse, mais pas très longue, il avait du mal à trouver mon antre et à me pénétrer, et lorsqu’il était en moi, c’est là seulement que je sentis le morceau de chair qui envahissait mon intimité, je sentis comme mes muscles vaginaux s’écartaient pour laisser la place au chibre d’Émile. Une fois bien ancré en moi, il se mit à me pilonner rapidement, en poussant des hum et des oh ce que tu es bonne… Toi ! Puis il rajouta, j’ai rarement baisé une femme comme toi, ces mots m’allèrent droit au cur et j’en étais ravie. Émile me ramona alors énergiquement, il avait une main sur un sein et tiraillait mon téton, tandis que de l’autre main il fouillait ma chatte en même temps qu’il me baisait, venant de temps en temps irriter mon clitoris. Je vous assure que j’ai été souvent baisée, dans toutes les positions possibles, mais jamais je n’ai eu autant de sensations comme ce jour-là avec Émile. Par contre Émile n’était pas endurant, et il vint rapidement se déverser en moi, je sentis de gros jets de sperme taper contre mon utérus et venir inonder mon vagin.

Émile se retira et me dit ensuite, Claudia, je crois que maintenant tu es prête pour la saillie avec Tommy, il va sentir la femelle en chaleur que tu es actuellement, après cet acte avec moi. Émile se leva et reprit une de mes mains, il m’aida à me relever et nous allâmes tous les deux dans le box où se trouvait le fameux tunnel de saillie, il me demanda de me glisser à l’intérieur de façon à ce que mon postérieur dépasse d’un côté, puis il me dit encore de ne pas bouger, et d’attendre gentiment que Tommy se mette en place, de ne pas avoir peur, car ce ne sera que du bonheur pour nous deux, qu’il n’y a aucun risque que je tombe enceinte, car nos spermes ne sont pas compatibles, et que je n’allais pas regretter d’être venu tenter cette expérience. Ensuite il ajouta, au fait le sexe de Tommy n’est pas comme le sexe d’un homme, il a plusieurs particularités, 1) leur sexe n’est pas bien gros, donc pas de risque qu’il te déchire la chatte, il est long, très long même, et il est en forme de tire-bouchon, ensuite lorsqu’il pénètre une chatte, son sexe se tourne comme un tire-bouchon, il vrille, de plus quand il t’a pénétré, tu sentiras comme son tire-bouchon te fouille les entrailles.

Et 2) du fait qu’il est long et fin, il a le pouvoir de pénétré l’utérus des femelles, afin d’y déverser sa semence pour faciliter la fécondation, en plus lorsque son sexe est dans votre utérus, à vous les femelles, il vous injecte son sperme dans celui-ci, son jus est presque pareil à celui des hommes, mais en plus grande quantité, et une fois que le sperme est en place, dans votre utérus, il vous injecte après, un liquide plus épais, de façon à bloquer le sperme dans votre utérus.

Tu sentiras même comme c’est bon et tu en redemanderas, je te l’assure. Jusqu’à maintenant toutes les femmes qui sont passées par là m’ont toutes dit la même chose, c’est incroyable le ressenti, et le fait qu’il aille dans votre utérus pour y déposer son sperme, c’est tout bonnement unique et inimaginable, ça vous fait un effet monstre et vous vous croyez au septième ciel. Voilà ma belle Claudia, ce que je peux encore te dire, mais ça, tu le verras ou plutôt tu le sentiras par toi-même ?

Puis il partit dans le box d’à côté pour chercher mon nouvel amant zoo. D’après l’attitude et les explications dÉmile, je compris que Tommy avait l’habitude de saillir des femmes, car dès qu’il fut rentré dans le box où je me trouvai, il vint renifler mon derrière et ma chatte encore remplie de la semence d’Émile. Je sentis le groin froid de l’animal contre ma chatte et mon cul, après quelques minutes d’une bonne inspection de mes orifices, Tommy se mit à monter sur le tunnel métallique, puis je sentis comme son sexe cherchait une ouverture pour s’y engouffrer, au bout d’un certain temps, je sentis enfin quelque chose de fin envahir ma chatte. Je sentis comme une vrille qui fouillait dans mon ventre, effectivement il n’était pas gros, mais ça bougeait frénétiquement en moi et ça bougeait tout le temps, fouillant chaque recoin de mon ventre, c’était chaud, il y avait une sensation inconnue qui m’envahit, c’était incroyable, c’était nouveau, et terriblement jouissant, durant tout le temps que cette vrille fouillait mon ventre et mes entrailles, je gémissais de bonheur, elle ne cessait de déverser en moi des litres de liquide, j’avais l’impression d’avoir un petit tonneau à la place du ventre, tellement je ressentais cette quantité impressionnante de liquide inonder mon vagin et remplir mon ventre.

Tommy descendait du tunnel de temps à autre, puis venait renifler mon derrière, ensuite il se remettait à nouveau sur le tunnel, pour me saillir à nouveau, pour mon plus grand bonheur. Cette saillie était bien comme me l’avait décrit Émile, et je repensai à ce qu’il m’avait dit, à chaque mot prononcé, et c’est ainsi que durant sa recherche pour passer dans mon utérus avec son sexe en forme tire de bouchon, puis à un moment donné, je ressentis effectivement une chose bizarre, une chose INCROYABLEMENT BONNE, qui me faisait ÉNORMÉMENT DE BIEN, et je crois que c’est à ce moment que le sexe de Tommy était entré dans mon utérus, pour y déverser son sperme, ça ne pouvait être qu’à ce moment-là, et c’est bien comme ça que ça s’est passé, ce fut exactement comme Émile me l’avait dit. Je ne peux pas vous décrire toutes les sensations que je ressentais à ce moment présent, mais je peux vous garantir que j’ai vraiment ADORÉ, ce qui était en train de se passer en moi. Durant tout le temps que j’étais sous ce tunnel, Tommy m’a pénétré plusieurs fois la chatte, mais je n’ai ressenti qu’une seule fois cette incroyable sensation, qu’il était entré dans mon utérus, cette sensation phénoménale de bonheur, les autres pénétrations étaient certes jouissives, mais jamais comme lorsqu’il était entré dans mon utérus.

Émile avait bien raison lorsqu’il me disait que je n’allais pas regretter d’être venue, et le fait de me faire sauter par cet animal. Après trois ou quatre saillies de suite, j’étais épuisée. Tommy m’avait pris toutes mes forces, et je demandais à Émile de venir retirer le verrat, afin que je puisse souffler un peu, ce qu’Émile fit sans hésiter. Une fois l’animal sorti du box, je sortis laborieusement du tunnel, et je me couchais avec le dos, sur la peau de vache du tunnel métallique, une quantité impressionnante de liquide s’écoulait alors de ma chatte, les sensations étaient si fortes et si intenses que je crois être tombée dans les vapes durant un certain temps, durant tout ce temps, j’étais là toute nue et offerte à la vue d’Émile, qui n’en perdait pas une miette, il pouvait faire de moi ce qu’il voulait, je n’avais plus la force de faire quoi que ce soit pour l’instant, Tommy m’avait effectivement épuisée lors de cette saillie, durant cette baise j’ai abondamment joui, j’ai eu de nombreux orgasmes, et ils étaient intenses, le paysan était fasciné par mon corps, il était impressionné par ce que Tommy m’avait fait subir, et le nombre de fois où celui-ci est revenu pour me reprendre, Émile que j’entendais vaguement me parler, me dit encore que jusque-là, aucune femme n’avait tenu aussi longtemps, et surtout qu’aucune femme n’a été tant désirée et remontée autant de fois par Tommy son verrat, il dit encore, toi ma belle Claudia, tu es vraiment une bonne et belle cochonne, c’est pour ça que mon cochon t’aime comme ça.

J’étais toujours couché sur le tunnel en train de récupérer, et c’est là qu’Émile voulait encore disposer de moi, surtout que j’étais bien positionnée, et c’est ce qu’il fit d’ailleurs, car au moment où je revenais à moi, je sentis qu’Émile était revenu visiter ma chatte avec son sexe, il était en train de me baiser, sans que je puisse rien y faire, d’ailleurs je n’en avais ni la force, ni même le désir que ça ne s’arrête, et puis comme Émile m’avait déjà donné tellement de jouissances, lors de la première prise en levrette, que de toute manière je ne l’aurai pas arrêté. Et honnêtement j’étais trop heureuse de ce que je venais de prendre avec Tommy, ça restera gravé dans ma tête jusqu’à la fin de mes jours, ce genre de chose ça ne s’oublie pas.

Cette baisse zoophile avec le paysan et le verrat, fut pour moi une découverte et une expérience hors du commun, moi qui n’avais jamais pensé, ni même imaginé un jour en arriver là. Cette nouvelle expérience me permit enfin de satisfaire mes pulsions sexuelles, et même plus encore, comme le disait Émile, tu verras tu ne vas pas le regretter, tu aimeras et si ça se trouve, tu reviendras. Eh bien OUI, il avait raison, je suis bien revenue, et cela même à plusieurs reprises, et je ne l’ai jamais regretté, et à chaque saillie par Tommy ce fut des plaisirs intenses et très agréables, c’est fou ce qu’un animal comme ça, peut vous injecter comme sperme dans votre chatte, à chaque fois ce fut une quantité impressionnante comme sperme que je recevais dans mon ventre, et j’adorais cela, aussi invraisemblable que cela puisse paraître. C’était carrément génial à chaque fois avec Tommy, avec Émile d’ailleurs aussi. Le moment crucial pour moi, ça a été à chaque fois, lorsque le sexe de Tommy, le sexe tire-bouchon comme je le nomme, est entré dans mon utérus pour y déposer son épaisse crème, c’est au moment du passage dans l’utérus que pour moi, c’était le moment le plus fort et le plus intense, et je crois même que c’est pour ce moment-là, que je revenais à chaque fois, c’était réellement trop bon, trop enivrant et trop jouissif pour moi.

Fin de cette histoire, qui n’est qu’une pure invention de ma part, du début à la fin, et dont je suis personnellement l’auteur.

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