Bonjour, je m?appelle Céline, mariée, 48 ans. C?est en lisant les aventures érotiques que vous publiez que je me suis décidee à raconter la mienne. Ces suites ont eu des conséquences inattendues, à la fois embarrassantes un temps et qui ont boulèversé totalement notre vie de couple.
Cela s?est passé un après-midi du mois de mai, là où j?habite, dans le sud près de la mer. Il faisait déjà très chaud, mon mari et les enfants ne reviendraient pas avant le soir et je m?ennuyais. J?ai passé une petite robe d?été très légère, très courte et très décolletée, transparente aussi. On pouvait voit la toute petite culotte blanche que j?avais mis en dessous et on devinait que je ne portais pas de soutien-gorge, je n?en ai vraiment pas besoin malgré mes gros seins qui pendent comme des mamelles. C?est mon mari qui me l?avait achetée dans une boutique à la mode le samedi précédent. Elle me plaît beaucoup et à lui aussi, sauf qu?il m?a dit qu?il ne voulait surtout pas que je sorte avec sans une combinaison dessous. Ridicule ! Ici les femmes se baladent à moitié nues dès qu?il fait beau et je suis encore suffisamment bien faite pour me le permettre moi aussi. Je suis un peu ronde, surtout côté cul, mais je plais à beaucoup d?hommes. D?ailleurs j?aime ça, j?aime voir le regard des hommes qui me détaille quand ils me croisent dans la rue ou que je me prélasse les seins nus sur la plage. Mon mari aussi aime ça, il me l?a dit et il aime aussi me montrer, par moments mais le reste du temps, il est assez jaloux. Pourtant, il me dit que cela l?excite de savoir que d?autrès hommes aient envies de moi et, de temps en temps il me demande même, pendant qu?il me fait l?amour si j?aimerais me faire sauter par d?autrès hommes. Je lui dis que oui si cela lui plaisait et s?il le voulait, cela le fait jouir beaucoup mais ça ne va pas plus loin mais moi j?y pense sérieusement.
J?étais d?une humeur un peu bizarre, j?avais envie de quelque chose et je ne savais pas bien quoi ou peut-être si mais je ne voulais pas me l?avouer. En fait j?avais envie de faire l?amour mais pas de me caresser moi-même. Je me maquillais légèrement et j?allongeais un peu mes cils. Je m?examinais dans le miroir, je tournais, je faisais voler ma robe. Oui, pas mal, bandante comme disent les hommes et je sortais mais pour aller où ? La plage ? Non, à cette époque, il n?y a que des mères avec leurs bébés, des vieux et des dragueurs professionnels. A la ville ? Je me fais toujours accoster par des voyous lorsque j’y vais seule et ils se croient tout permis. Je me décidais pour le centre commercial, j?avais quelques courses à faire et les femmes y sont plus tranquilles. Et je l?ai vu ! Le coup de foudre, une chaleur me remplit d?un seul coup le bas du ventre quand nos yeux se sont croisés.
J?ai eu immédiatement envie de lui. J?avais bêtement fait tomber plusieurs jupes du portant et je m?étais accroupie pour les ramasser quand il est arrivé juste en face de moi avec son chariot. Tout à fait consciente de ma position, cuisses écartees, je devais lui offrir une vision parfaite de mon entrejambe et de ma petite culotte. Au lieu de me relèver, je suis restée ainsi tout en faisant semblant de m?affairer maladroitement. Il s?est précipité pour m?aider mais je remarquais au passage qu?il ne perdait pas de vue le spectacle de mon impudeur. Nos regards se sont rencontrès et je lui ai souri timidement me moquant de ma maladresse et le remerciant de m?aider. Il m?a souri aussi, nous étions toujours accroupis l?un et l?autre, ses yeux ont glissé vers mes cuisses toujours ouvertes, puis vers les miens, je me suis regardée, j?ai pouffé mais j?ai gardé la position et je l?ai à nouveau regardé. Il ne souriait plus, il me prit la main, m?aida à me relèver et me demanda si je voulais bien qu?il m?accompagna. J?acceptais, bien sûr. Il était marié, lui aussi, j?avais remarqué son alliance. Nous ne disions rien jusqu?à la caisse. Je tremblais. J?étais mariée depuis douze ans et je n?avais jamais trompé mon mari. Le seul homme que j?avais connu autre que lui fut celui qui m?avait dépucelée, un garçon de mon âge dont je pensais être amoureuse et qui devint mon premier mari.
Nous étions arrivés à ma voiture et il m?a embrassée, d?abord presque timidement, puis constatant que je fondais, il s?enhardit en me pressant contre lui et en me plongeant sa langue dans la bouche. Il bandait et j?ai eu peur. Je le repoussais gentiment en lui disant que j?étais connue et que quelqu?un pourrait me reconnaître. Trop tard ! Quelqu?un, un collègue de mon mari en congé maladie était, paraît-il, à quelques mêtrès de moi, entrain de charger ses courses dans le coffre de sa voiture. Ignorante de cela, nous sommes montés dans la mienne et je suis sortie du parking pour rouler vers la plage. Il me caressait les genoux, sa main me remontait ma jupette et il me découvrait entièrement les cuisses, je savais que je mouillais et j?ai eu un sursaut quand sa main se posa sur ma vulve, puis ses doigts s?insinuèrent sous ma culotte. Il me rentra un doigt à l?intérieur, je devenais folle, je n?arrivais pas à l?empêcher de me toucher. Je le désirais autant que lui avait envie de moi, je me suis garée dans un endroit peu fréquenté que je connaissais. Il s?est précipité sur moi en m?ôtant les bretelles de ma robe et me dénuda les seins, je lui ai sorti son membre raide du pantalon, il me déchira ma culotte, m?écarta les cuisses et bien qu?inconfortablement installé, il m?a pénêtree d?un seul coup. Il m?a fait l?amour violemment et il m?a fait jouir assez vite. Lui aussi a joui assez rapidement et il a éjaculé en moi.
Nous sommes repartis vers le supermarché et je l?ai laissé près de sa voiture. Je me surprenais de m?être donnée si vite à cet inconnu, je venais de tromper mon mari pour la première fois depuis notre mariage et je n?étais pas très fière. Je me suis aperçue en rentrant à la maison que ma robe était déchirée et maculée de sperme. Je me suis douché et j?ai caché la robe en espérant que mon mari ne me demande pas de la mettre tout de suite.
Je me jurais de ne jamais recommencer et je déchirais le numéro de téléphone que m?avait laissé mon bonhomme. Je ne le trouvais plus du tout aussi séduisant maintenant et je me demandais ce qui m?avait pris. Mais ! Eh oui ! Mais, car il y a une sale tuile qui m?est tombée sur le nez peu de temps après. Le collègue ’ malade ’ de mon mari. Ce sale type est un maniaque en tout et en premier de la photographie. Il m?avait suivie jusque sur les lieux de mon coin discret et ne s?était pas gêné pour prendre un tas de photos pendant que je me faisais sauter dans la voiture. Il m?a courageusement téléphonée quatre jours après mes galipettes adultérines. Le chantage était d?une simplicité décourageante : ou j?écartais les cuisses, il m?a d?ailleurs galamment dit que cela ne me changerait pas beaucoup, ou il distribuait les clichés à qui voudraient les voir et à mon mari en premier, bien sûr.
Que faire ? La police ? Difficile. Céder ? Pas si facile et écoeurant. Parler à mon mari ? Très difficile, non. Négocier ? J?optais pour cette solution. Mal m?en a pris ! Je n?ai rien négocié du tout, au contraire. J?étais arrivée très en colère au rendez-vous que nous avions convenu, encore dans un coin discret. Je voulais l?impressionner en le traitant de lâche, de pauvre type, d?obsédé, de pédé, de refoulé et même de résidu larvaire certainement impuissant. Je lui ordonnais de me donner les photos sous peine des pires ennuis. La gifle m?avait démoli la mâchoire. Je portais un jean assez serré et je me suis retrouvée cul nu, sur un de ses genoux, avant même de dire ouf ! Il m?a carrément foutu une fessée magistrale et j?ai pleuré comme une petite fille. Tout en sanglotant comme une malheureuse, je sentais une énorme bosse qui déformait son pantalon tandis que sa main se faisait plus caressante sur mon postérieur dénudé, ses doigts s?insinuaient dans le sillon de mes fesses jusqu?à ma fente toute humide bien malgré moi. L?un d?eux trouva mon petit bouton et j?en frémissais de plaisir, un autre s?aventura assez loin dans ma chatte et son pouce s?enfonça dans mon anus. Je me relevais d?un bond en me dégageant maladroitement de ces humiliantes intrusions digitales dans mon intimité prête à le gifler à mon tour Mais je ne faisais évidemment pas le poids et c?est tout étonnée que je me suis retrouvée emmanchée par son énorme mandrin bien enfoncé au fond de mon vagin avec mes jambes autour de sa taille et mes bras autour du cou, baisée à fond et gigotant comme une possédée. Il me labourait le ventre en me pistonnant de toute la masse de son engin comme s?il voulait me le faire éclater. J?aurais hurlé de jouissance s?il ne m?en avait pas empêché en me bâillonnant de sa bouche. Il me soutenait par les fesses et il m?avait enfoncé deux de ses gros doigts dans le cul. Il me soulevait et me laissait retomber sur toute la longueur de sa verge à une cadence folle. Jamais je n?avais joui de la sorte. Mes orgasmes me venaient de loin, du plus profond de moi, je ne savais plus rien du tout, à moitié inconsciente. Un ouragan de plaisir m?emportait vers des spasmes d?une intensité presque insupportable. Il me tenait toujours par les fesses, mes jambes autour de sa taille et mes bras autour de son cou et il me faisait aller et venir sur sa queue qui m?empalait le ventre. Je n?arrêtais pas de jouir, je ne pouvais pas m?empêcher de hurler tellement c?était bon, jamais mon mari ne m?avait baisée comme ça, je voulais qu?il me décharge tout son foutre au fond du con. Mais il m?a déclouée de sa bitte et déposée sur le sol, puis il m?a fait me pencher sur le capot de ma voiture, me tenant solidement, il m?a écarte les fesses, il m?a barbouillé l?anus de mon jus et il a placé son gland monstrueux juste dessus. Je ne pouvais pas croire qu?il connaissait mes goûts (j?adore me faire enculer) mais il me força et il m?encula d?un seul coup jusqu?aux couilles, j?avais au moins vingt centimêtrès de son salami planté bien à fond et il m?a labouré le rectum pendant que je gueulais comme un folle de plaisir. C?est dans mon ’petit’ trou, qui devait être incroyablement élargi, qu?il a choisi d?éjaculer une quantité invraisemblable de sperme. Il m?a dit qu?à partir de maintenant je devais faire tout ce qu?il me disait, sinon qu?il ferait écouter à tout le monde l?enregistrement qu?il venait de faire pendant qu?il me ? violait ?. Il a ajouté qu?il me téléphonerait plus tard.
Rentrée à la maison, je me douchais, j?avais mal partout, au derrière particulièrement, il me brûlait, ce type est tellement plus gros que mon mari, j?espérais qu?il n?aurait pas la mauvaise (? ) idée de vouloir me sodomiser lui aussi ce soir, il aime ça. J?ai reçu l?appel deux jours après, il m?ordonnait de me rendre chez lui à sept heures du soir et il a ajouté de ne pas m?inquiéter pour mon mari, il ne pourra pas rentrer avant très tard, il s?en occupait. Il me recommandait de porter des bas avec un porte-jarrêtelles et pas de culotte ni de soutien-gorge. ’Mets une robe courte par-dessus, c?est tout ’, précisa t?il. Je protestais, je lui disais que je ne voulais pas, que j?avais fait une bêtise avec le type du supermarché, qu?il avait suffisamment profité de moi et que c?était tout. Il s?est marré au téléphone et m?a répondu que j?oubliais les photos et l?enregistrement dans lequel je hurle ma jouissance en lui demandant de me défoncer le cul encore plus fort. Il ajouta qu?il me faudrait me maquiller plus qu?habituellement et surtout ne pas mettre mon parfum puis il m?affirma que je ne le regretterais pas, salope comme j?étais et que ce sera la fête à mon cul de bourgeoise ! Mariée depuis douze ans sans avoir trompé mon mari une seule fois, je m?étais fait sauter par deux hommes différents en quarante huit heures ! Je me demandais dans quelle histoire je m?embarquais bien malgré moi et quand ça finirait.
Je m?attendais au pire, quand je suis arrivée devant sa villa du bord de mer, je m?étais habillée comme il me l?avait demandé, avec une mini robe noire très décolletée, des bas qui montent haut sur la cuisse, les seins nus et quand même une petite culotte blanche mais très transparente, très sexy. Il m?examina, me pelota les seins pour vérifier qu?ils étaient bien nus sous la robe qu?il me troussa sans complexe, il tiqua quand il vit la culotte mais sourit, satisfait, en me donnant une claque sur les fesses. Il m?a même dit que je ferais bander un mort. Sans aucune explication, il m?a fait attendre dans une chambre en étage en m?ayant aspergée d?un parfum assez agréable et coiffée d?une perruque. Il m?a quand même précisé que j?allais me faire mettre comme jamais je n?avais pu l?être, rassurant ! Pour me réconforter j?avais une bouteille de champagne que j?entamais sérieusement mais je me demandais ce qu?il m?avait préparé. Curieusement, l?idée d?être soumise m?excitait et je me suis dit que ça n?avait plus beaucoup d?importance, au point où j?en étais. Il est venu me chercher dix minutes plus tard et il m?a fait descendre l?escalier en colimaçon qui menait en bas quand, d?un seul coup, deux projecteurs se sont allumés. J?étais éclairée comme sur une scène et je ne voyais rien de ce qu?il y avait en bas, par contre, j?ai entendu une clameur s?élèver.
Plusieurs voix d?hommes qui appréciaient le spectacle que j?offrais, commentaient ma descente par de ’putains, quel morceau ! Tu t?es pas foutu de nous ! Si elle est aussi salope que tu le dis. ! Amène-la-nous, putain, que je me la fasse tout de suite, je bande comme un cheval. ’ Et parmi toutes ses voix, il y en avait une que je reconnut immédiatement, celle de mon mari ! Oh la la ! Toujours juchée à mi-hauteur de l?escalier, tout à fait consciente que l?on voyait d?en bas très bien jusqu?à ma petite culotte, j?ai failli tomber s?il ne m?avait pas retenue. Il y avait de la musique et un lit au centre de la pièce, je supposais, bien, que ce serait le lieu de mon ’supplice ’. Sept hommes s?y trouvaient et sirotaient leur verre, on me présenta à chacun d?eux et chacun d?eux me pelota les seins et les fesses en me complimentant sur ma beauté de salope et tous m?affirmaient qu?ils se feraient un plaisir de me bourrer le cul et le con comme ils aimeront me baiser ma jolie bouche. Galants ! Sept bonhomme plus l?organisateur, huit ! Dont mon mari qui me reconnaîtrait forcément, le salaud ! Mais non, il ne pouvait pas imaginer me voir là mais quand même, je me voyais très mal partie. Il m?a pelotée comme les autrès mais en plus, il m?a fourré un doigt dans le vagin et il a constaté que je mouillais pour ma plus grande honte. Il faisait sombre, j?étais parfumée et maquillée différemment, je portais une perruque brune mais je ne comprenais pas qu?il ne découvre pas qui j?étais ! Sans savoir ni comment, ni par qui, je me suis retrouvée au centre avec la robe troussée à la taille, les seins à l?air avec plein de mains et de doigts qui me caressaient, me palpaient, m?exploraient partout mais vraiment partout ! J?en avais qui avait écarte la culotte, des doigts me fouillaient le vagin, d?autrès s?enfonçaient dans l?anus, quelqu?un me fourra sa queue dans la bouche enfoncée jusqu?à la gorge. Je me liquéfiais, je fermais les yeux et je m?abandonnais, je m?ouvrais, je me donnais, jamais je n?avais connu de telles sensations, c?était incroyablement excitant, j?ai joui très vite et ils s?en sont aperçus. Ma culotte disparut très vite, déchirée pat des doigts pressés et toujours avec un sexe dans la bouche, on me culbuta sur le lit, un des types m?écarta les cuisses et il me pénétra d?un seul coup, je l?attendais et j?en avis envie. J?ai râlé de plaisir et de satisfaction quand il s?est enfoncé en moi. Il me pistonnait brutalement, il me labourait durement et c?était ce que je voulais, qu?il me possède à fond. Il était pressé de jouir, de se vider dans mon ventre, je jouissais encore quand je l?ai senti éjaculer et se répandre au fond de moi. Un homme me présenta à nouveau sa bitte devant les lèvres, je le happais goulûment et il m?investit la bouche jusqu?à la gorge, je me suis empalée sur la queue d?un deuxième quand il me retourna sur lui et je sentis qu?un autre m?écartait les fesses, il me titillait l?anus pendant que le premier me refourrait sa verge dans la bouche, un gros doigt s?enfonça dans mon anus, puis j?ai compris qu?il avait remplacé son doigt par sa grosse bitte et qu?il s?enfonçait dans mon rectum. Par un grand coup de rein, il m?encula à fond. Pour la première fois de ma vie et ce ne sera pas la dernière, je me faisais baiser et sodomiser en même temps pendant que je pompais le noeud d?un troisième, Trois bittes d?un coup, pour une femme qui était encore fidèle il y a une semaine, ils profitaient de moi vraiment fort. Tous mes orifices comblés et tous mes sens sollicités ensembles me provoqua un orgasme inconnu qui me fit rejeter la queue qui me remplissait la bouche pour hurler de plaisir. Ils me bousculaient, ils me secouaient dans tous les sens, les deux queues me limaient de plus en plus vite et mes orgasmes se succédaient les uns après les autrès sans discontinuer. Je gobais à nouveau la queue que je venais de lâcher et le type me déchargea tout son jus au fond de la gorge. Je m?étranglais, je crachais mais je fus bien obligée d?en avaler une partie. Les deux autrès me traitaient de tous les noms et je sentis gicler celui qui m?enculait, Celui qui me baisait finit par jouir aussi au fond du con et j?étais entourée des cinq autrès types la queue en érection à la main, dont mon mari. Avant même que les deux types qui m?envahissaient le ventre eurent totalement finis d?éjaculer, on m?arracha à eux, un homme s?empara de moi, me souleva de terre et s?assit sur le lit en me faisant descendre comme s?il me prenait sur ses genoux, en fait son sexe dressé s?est enfoncé dans mon cul complètement dilaté et graissé de foutre, son énorme salami m?empala de toute sa longueur et je ne savais pas jusqu?où il pouvait aller, il bascula en arrière en m?entraînant avec lui. Un mec m?écarta les cuisses et m?enfila immédiatement, je me refaisais baiser et enculer une nouvelle fois et je vis mon mari qui me fourra sa queue dans la bouche. Il me regardait en me traitant de salope et de pute pendant que je le suçais et que les deux autrès me pistonnaient comme des dingues. Je fermais les yeux, c?était tout ce que je fermais d?ailleurs, pendant qu?il s?activait dans ma gorge qu?il utilisait comme un vagin en me tenant par les cheveux. A force de me secouer, il m?arracha la perruque et il me reconnut quand celui qui me baisait me jouissait dans le con ! ’Célinda ! Toi ! Non, c?est pas vrai ! Oh ! Putain, c?est pas toi ? ! ’ Mon enculeur me foutait et se foutait bien de lui et il me déchargea tout son sperme au fond de mes entrailles pendant que je hurlais mon orgasme aussi. Je maintenais la bitte de mon mari dans la bouche et je le suçais le mieux que je le pouvais, ses mouvements m?indiquèrent qu?il allait jouir, je me l?enfonçais au plus loin dans la gorge et il m?y déchargea tout son sperme à grosses giclées bien épaisses, j?absorbais tout quand un autre vint me retirer pour me culbuter sur le dos et me baiser encore, lui, c?était le collègue, je reçus une nouvelle queue dans la bouche pendant qu?un troisième, qui rebandait, réussit à me rentrer son mandrin dans le cul en me prenant sur le côté et c?était reparti. Mon mari me regardait me faire prendre de par tous les côtés en se masturbant et en m?insultant le plus salement que je n?avais jamais entendu, il me traitait de garage à bittes, de traînée bouffeuse de queues, d?essoreuse de couilles, de pompe à foutre, de réservoir à sperme, etc. il me promettait de me prostituer à tous les types de la ville et d?ailleurs que j?étais la pire des salopes, j?aimais beaucoup tout ce qu?il disait, espérant qu?il tiendrait parole, et je jouissais encore et encore. Les huit hommes se sont vidés les couilles dans moi toute la nuit. Puis nous sommes rentrès tous les deux à la maison sans dire un mot, je me suis douchée et couchée pour ne me réveiller qu?à midi, seule dans la maison dont je ne bougeais pas de toute la journée. Puis mon mari m?appela à 18 heures pour me demander de le rejoindre dans un café que je ne connaissais pas en me précisant qu?il fallait que je m?habille très court, sans culotte mais avec un porte jarrêtelles et des bas. Il y avait beaucoup de monde dans ce bar, presque uniquement des hommes qui prenaient un verre après le travail. Il me fit asseoir bien en vue de toute la salle et m?obligea à écarter les cuisses. Je le regardais, complètement effarée par son attitude, tout en devenant le centre d?attraction des tous les mâles qui pouvaient contempler le spectacle de ma nudité offerte. Il me dit qu?à partir de maintenant et puisque j?aimais autant me faire mettre, que j?aimais tant me faire enfiler par tous les trous, il m?offrira ou il me vendra à qui il voudra et pas plus tard que maintenant. Il fit signe de la tête à un groupe de trois hommes qui ne nous quittaient pas des yeux depuis mon arrivée dans le troquet et qui s?approchèrent de nous. Autant que ça lui profite j?allais devenir sa putain et il me prostituait tout simplement, je commençais tout de suite ! J?ai voulu lui expliquer la façon dont son collègue m?avait piégée en lui confessant ma première infidélité du supermarché mais rien y fit, il me dit qu?il m?avait vue la nuit dernière me faire baiser par tous ses copains et que personne ne m?obligeait à jouir autant donc il en déduisait, avec juste raison, que j?aimais me faire ramoner le cul et la chatte par toutes les queues qui pouvaient me fourrer. Moralité baisée pour baisée, cocu pour cocu, autant que ça lui rapporte et il me fit passer dans une minuscule chambre meublée d?un lit et d?une douche.
Ma nouvelle vie commençait. Une vie de putain ! . Céline