Dix minutes que tu m’attends lorsqu’enfin tu reçois un sms dans lequel je te fixe un autre lieux de rendez vous. Ce n’est pas très loin et de mauvaise grâce tu te mets en route.
Ce n’est pas encore le soir et il fait encore clair mais la lumière décline. Tu tapes une réponse à mon sms en marchant sans trop faire attention à la route.
Soudain quelqu’un te bouscule et te pousse vers une porte entre-ouverte. Les choses vont vite et tu n’as pas le temps de trop comprendre ce qui tarrive que tu es dans une sorte de ruelle.
La personne qui t’a bousculée se trouve entre la porte et toi. Elle est moins grande que toi, assez maigre et sale, une tox en manque probablement. D’une voix rapide, nerveuse, elle te demande ton sac.
Tu fais semblant de lui donner mais tu la frappes avec et la touches au visage. Pas assez fort malheureusement pour la faire bouger mais bien assez pour l’énerver. Elle sort un cutter de sa poche et te menace avec. La bousculer pour sortir n’est plus possible, appeler à l’aide pourrait lui faire peur et la pousser à devenir dangereuse.
Fuir est la meilleure solution, la ruelle doit bien mener quelque part.
Tu files mais ta course n’est pas bien longue malheureusement, une barrière en grillage galvanisé ferme le chemin juste après un tournant, tu ne le vois que trop tard, il n’y a nulle part où aller et la tox approche avec son cutter, lame sortie.
"t’aurais pas dû me frapper, j’aurais juste pris ton sac. Là je vais te saigner salope".
Tu es terrifiée, il n’y a probablement pas moyen de raisonner une tox. Tu laisses tomber ton sac, tu recules mais très vite tu es contre le grillage. La tox te menace toujours mais n’avance plus.
"file moi ta veste aussi" tu ne peux que t’exécuter. Gagner du temps est la seule solution, je vais bien remarquer que tu n’es pas là et venir à ta rencontre, peut-être que je parviendrai à la faire fuir.
"retourne toi et agrippe le grillage, pas envie que tu essayes encore de me frapper".
Tu ne réfléchis plus, tu te retourne et agrippes la clôture comme elle te l’a demandé. Avant que tu aies récupéré tes esprits, elle a attaché tes mains avec des lacets assez solides.
Que tu le veuilles ou non, tu ne pourras plus aller nulle part.
Tu sens une main se poser sur tes fesses.
"Tu n’es pas mal foutue." Elle parle vite, le manque peut-être.
Sa main passe entre tes jambes, tu ne peux rien faire pour l’en empêcher et tu sens le contact répulsif de sa main sur ton sexe à travers le tissus de ton pantalon. Malgré toi cela te fait frémir. La main revient sur tes fesses puis remonte sous ton top blanc et se saisit de ton sein gauche.
"Très bien foutue même, je suis sure que Youri t’appréciera"
"Assez au moins pour me laisser tranquille et me refiler quelque doses"
Chaque fois que tu veux crier, tu sens le contact froid de la lame du cutter contre ton ventre ou contre ta gorge.
Elle remonte ton top jusque sous les bras puis coupe les bretelles de ton soutien gorge et l’arrache, laissant pendre tes seins totalement exposés. Elle recule et va chercher ton gsm. Il est tombé mais visiblement pas cassé.
Elle écrit qq chose, reçoit une réponse, prend deux photos de toi, attachée à la grille, terrorisée, penchée en avant et la poitrine exposée. Elle les envoie et reçoit un autre message.
Elle approche, ses mains sales caressent tes seins qui pointent bien malgré toi. Puis elle descendent. Tu pries pour qu’elle arrête mais sans succès. Tu la sens défaire la ceinture, ouvrir la braguette puis à ta plus grande honte, elle descend ton pantalon, tout en bas et te fais même lever les jambes pour l’enlever complètement.
Nouvelles photos, en string, le haut relevé, penchée en avant, la tête baissée, les mains attachées au grillage.
"il aime beaucoup, j’aurai deux dose"
Elle te donne une claque sur la fesse, cinglante, douloureuse, tu ne peux l’empêcher, puis sa main repasse entre tes jambes et te caresse à travers ton string.
"Ben dis donc, on dirait qu’il n’est pas le seul à apprécier, tu es trempée".
La main continue à te caresser à travers le tissus et tu sens la lame passer sous l’élastique de la taille et couper le côté droit puis le côté gauche. Le string ne tient plus que par la main qui te caresse et tu la sens qui te pénètre et pousse une partie du tissus en toi.
Lorsqu’enfin elle se recule, plus de la moitié de ton string est entré dans ton sexe trempé et le reste pend entre tes jambes écartées. Lumière de flash, elle a du prendre d’autres photos de toi dans cette position.
Tu as les larmes aux yeux, tu crèves de peur et en même temps tu es terriblement excitée.
Tu l’entends s’éloigner puis parler très vite à quelqu’un à l’entre de la ruelle. Youri?
Ils discutent mais tu ne parviens pas à suivre ce qu’ils disent.
Des pas approchent.
Une main que tu ne reconnais pas et qui n’est pas celle de la tox se promène sur tes fesses et sur tes seins. Une main d’homme. Deux doigts enfoncent sans ménagement ce qui reste du string dans ton sexe puis il les essuie dans ton dos.
Il joue avec tes seins, pince les tétons, descends sur le clitoris qu’il frotte sans ménagement. C’est à la limite de la douleur mais cela te fait un effet monstrueux.
Lentement il retire le string déchiré qui te remplissait. Tu sens la dentelle qui te chatouille en sortant et tu voudrais que cela ne te fasse pas autant d’effet.
Il te prend par les cheveux et tire ta tête en arrière. Tu vois une silhouette à contre jour mais rien de plus et lorsque tu veux crier, il pousse la culotte trempée dans ta bouche et en fait un bâillon.
Tu ne peux plus crier et tu as ce goût auquel tu ne peux échapper. Tu voudrais recracher mais c’est impossible et maintenant tu sens quelque chose de dur, un sexe?, forcer tes lèvres et te pénétrer.
Le contact n’est pas familier, c’est trop dur, un objet que tu n’identifie pas va et vient dans ton sexe et te fait terriblement du bien.
Il le ressort et l’appuie contre ton petit trou, poussant de plus en plus jusqu’à ce que ton anus s’ouvre et la laisse entrer. C’est long et large mais un peu moins qu’un vrai sexe. Il le pousse sur toute sa longueur et ne s’arrête que lorsque tout est entré. Seule une petite partie doit encore dépasser, moins large que le reste pour que l’objet reste bien en toi.
Tu es complètement perdue, la peur même semble avoir disparu, tu ne peu échapper à ce qu’il te fait et c’est horriblement bon.
Un autre objet frotte contre ton clitoris. Cette fois il te semble bien que ce soit son gland et effectivement tu ne tardes pas à le sentir entrer en toi et commencer à aller et venir lentement, profondément et à chaque fois il termine son mouvement en appuyant sur l’objet dans tes fesses te donnant cette terrible impression d’être prise des deux côtés.
Il va de plus en plus vite et tu ne peux t’empêcher de sentir une jouissance phénoménale monter en toi.
J’attends de sentir sur ma verge les contractions de ton orgasme avant de t’embrasser dans le cou comme j’aime le faire.
Peut-être me reconnaîtras-tu mais tu semble tellement bouleversée par l’ampleur de ce que tu viens de ressentir que je n’en suis pas certain.
Je retire ton bâillon et je continue mon va et vient en toi.
Je t’embrasse et te caresse le clito jusqu’à ce que tu jouisses à nouveau.
J’espère que tu y arriveras avant moi.
Je ralentis le rythme de mes allées en venues en toi, sortant lentement puis rentrant d’un coup sec jusqu’à ce que je cogne contre tes fesses. Je te soulève presque dans ces moment là et l’objet dans ton derrière doit bien te rappeler sa présence.
Ma main sur ton clitoris continue son ouvrage et tu te sens partir à nouveau, violemment, alors que je m’enfonce une dernière fois au plus profond de tes deux orifices.
Tu trembles et tu bégayes, tu sembles avoir perdu tout sens de ce qui t’entoure en dehors de ces points qui te font jouir. Peu importe le contexte, rien d’autre ne compte en cet instant que ce plaisir immense qui tenvahit, vague après vague.
Tu es toujours dans cette semi absence lorsque tu es forcée à un brusque retour à la réalité. Je t’ai détachée et tu es maintenant à quatre pattes lorsque j’enfonce ce sexe gonflé qui vient de te faire tellement jouir dans ta bouche.
Tu veux reculer mais des mains se posent sur tes hanches et tu sens qu’on te pénètre à nouveau. Si tu pouvais tourner la tête, tu verrais la tox harnachée d’un gode ceinture qui te prend en levrette. Elle est plutôt jolie sans ses habits crasseux mais tu ne peux la voir, mon sexe dans ta bouche empêche tout mouvement de la tête.
Tu es prise de partout, maintenue dans cette position pas ses mains et les miennes, tu ne peux que subir ces assauts, encore et encore.
La pénétration est douloureuse et tellement excitante. Tu sens ce sexe de plastique t’envahir et frotter à la fois ton point g et cet objet toujours coincé dans ton derrière. Elle va et vient en toi et tu ne veux qu’accompagner le mouvement même si cela veut dire aussi laisser mon sexe aller et venir dans ta bouche.
Jamais tu n’aurais imaginé cela mais en cet instant rien d’autre n’existe que ce plaisir qui te prend de partout et cette certitude que tu vas jouir à nouveau.
J’éjacule.
Cette apparition soudaine dans ta bouche, qui la rempli et que tu ne peux contenir, qui te dégoute et qui t’excite terriblement déclenche une nouvelle vague de frissons, de tremblements et de larmes, un orgasme si fort que tu en perds presque conscience.
Lorsque tu reprends tes esprits, tu es debout à nouveau, les mains attachées ensembles au grillage et une barre où quelque chose de semblable est attachée à tes chevilles et t’empêche de fermer les jambes.
Tu ne vois personne près de toi, ni la tox (qui tout comptes faits ressemble tout de même beaucoup à Sandra, la vendeuse du magasin de chaussures) ni moi.
Il fait presque noir, tu es seule et nue, attachée à un grillage métallique, les jambes maintenues écartées et lorsque que tu te dis que ça ne pourrait être pire, l’objet que tu as dans le derrière commence à vibrer.
La ruelle est déserte. Au loin, tu entends les bruits de la circulation, la porte n’est pas fermée. Tu pourrais appeler à l’aide mais qui viendrait? Les choses ne pourraient-elles encore empirer si un groupe de gamins te trouvait dans cet état.
Tu ne peux pas en être certaine mais tu sens que je ne permettrais pas qu’il t’arrive quoi que ce soit que je n’aie pas voulu et que tout ceci, pour étrange et terrifiant que cela puisse être, je ne l’ai mis en uvre que pour te faire jouir. Cela te donne chaud rien que d’y penser.
Cela et cet instrument diabolique qui te rempli le cul et qui ne veut pas arrêter de vibrer. En plus la partie qui dépasse est assez large quand même et cela va faire presque une heure que tu n’as pas pu te refermer.
Sensation étrange et terriblement excitante.
Tu sens ton sexe entre-ouvert qui se mouille à nouveau et rien ni personne ne peut venir apaiser cette chaleur qui commence à monter mais qui n’est pas assez forte pour t’embraser. Encore quelque chose que je contrôle ne peux-tu t’empêcher de penser et à nouveau cette idée augmente ta satisfaction et ton envie de jouir.
Le temps passe mais personne ne vient. Tes pensées se concentrent sur ton sexe et ce besoin déchirant qu’il te donne de jouir. Le bourdonnement ne cesse pas et il te semble que toute la zone n’est plus qu’une masse de sensations imprécises, presque engourdies à force de répétition et pourtant tes seins pointent, ton clitoris gonflé appelle la caresse et tes lèvres entre ouvertes réclament des attentions. L’intérieur de ton sexe est en feu et exige d’être pénétré.
Plus rien d’autre ne compte que cette envie désespérée, ce besoin de te faire foutre, de jouir encore une fois, pour toi et aussi parce que je le veux et que tu veux te montrer à la hauteur de mes propositions.
L’attente est intenable. Tu te tortilles dans tous les sens pour essayer de te procurer un peut de stimulation mais c’est impossible.
Enfin des pas.
Peut importe qui vient, tu veux être touchée, tu n’en peux plus.
Les pas s’arrêtent, personne ne te touche.
Tu te retournes, dos au grillage, bras au dessus de la tête et tu nous vois, Sandra, c’était donc bien elle, et moi. Elle a visiblement pris une douche et s’est changée. Je suis habillé également.
Je te plaque au grillage et je t’embrasse tout en manipulant tes seins. Ta langue essaye de me communiquer ton besoin mais je ne l’écoute pas ou refuse de comprendre.
Tes yeux sont furieux et implorants tout à la fois.
Sandra s’agenouille près de toi, sur ta gauche et pose une main sur ta fesse et l’autre sur ta cuisse. Elle te caresse à peine de ses douces mains et sait très exactement quand elle doit arrêter. Elle ne fait qu’augmenter ton excitation mais elle ne sera pas la source de ta libération.
Nous ne nous quittons pas des yeux. Je vois ton envie désespérée et tu devrais percevoir mon calme et ma résolution.
Sensation froide sur le bout de ton sein droit. Odeur alcoolisée et sensation de pression lorsque la pince se referme sur lui.
Un grand froid passe en toi et calme fortement ton envie. Tu n’as pas besoin de baisser les yeux pour savoir ce qui va venir. Je vais te percer.
Tu fais non de la tête, le regard est apeuré mais tu ne me quittes pas des yeux. Je suis calme, j’attends ta décision.
Tu continues à faire non de la tête mais tu prends une grande inspiration et tu bloques. Tes yeux descendent à peine, toujours inquiets mais ils disent oui. La douleur est fulgurante mais tu ne cries pas, juste une ou deux larmes quand la pince se retire laissant l’aiguille qui te traverse le téton.
La barrette qui remplace l’aiguille ne fait presque plus mal mais t’a complètement distrait de ce qui se passait autour de ton sexe.
Sandra a introduit deux doigts en toi et pince ton clitoris puis elle retire l’objet qui vibrait entre tes fesses. L’orgasme est immédiat et très puissant, j’aurais voulu le provoquer moi même.
Je te détache enfin les mains et tu tombes dans mes bras en tremblotant. Sandra a retiré la barre qui entravait tes chevilles et est partie, elle n’a plus rien à faire ici.
Je mets ma veste sur tes épaules pour te couvrir puis nous rejoignons une porte qui donne sur un hall d’hôtel. L’ascenseur nous emmène très vite vers une suite où un bain chaud t’attend.
Lorsque tu finis par sortir de la salle de bains, tu es à nouveau fraiche et délicieuse dans ton grand peignoir blanc.
Tu t’assieds sur mes genoux et tu m’embrasses. "merci" me dis-tu.
Je glisse une main dans ton peignoir et je découvre ton sein droit. Il faudra un peu de temps pour qu’il ne soit plus douloureux mais les deux billes argentées de part et d’autre du téton son du plus bel effet.
"Je ne pensais pas que tu accepterais"
"Je ne voulais pas et puis, je ne sais pas, tout d’un coup j’ai voulu savoir. Ca fait un mal de chien et en même temps je suis trempée rien que d’en parler".
"Content que tu aies apprécié, je ne pourrais pas faire ce genre de chose tous les jours"
"moi non plus" me réponds-tu en te levant et me prenant la main.
"Je te veux encore une fois avant de m’endormir" et tu laisses tomber le peignoir avant de te coucher sur le ventre. "J’ai eu ce truc bizarre qui m’a fait un effet ouf ouf mais maintenant c’est ta queue que je veux là".
Tu as un sourire délicieux, je souris également, j’en avais très envie, je ne me fais pas prier. Je me couche près de toi, je te caresse un peu mais je ne veux pas te préparer trop. Un peu de gel pour faciliter la manuvre et je prends tout mon temps pour entrer.
Plus d’envie de te brusquer pour le moment, juste de te faire délicieusement l’amour et de m’endormir à tes côtés.