Bonjour, c’est William. Avant que vous ne lisiez ces lignes, je tiens à préciser que le premier chapitre de mon histoire sert uniquement de mise en place. La vraie histoire commence dans ce second chapitre. Bonne lecture à toutes et à tous.
Toujours blessé dans mon cur et dans mon âme par la trahison de Sarah, je pleurais toujours sans honte. Cependant, mon projet de vengeance ne m’avait pas quitté, au contraire. Milena demeurait toujours dans mes pensées et les images mentales que je me faisais d’elle et moi en train de nous envoyer en l’air comme des animaux en rut devant ma traîtresse de copine me faisaient bander comme un cerf. À tel point que, n’en pouvant plus, je décidai de passer à l’action et de séduire Milena. Pour cela, j’avais déjà échafaudé un plan dans ma tête. Nous étions dimanche et le lendemain, j’avais deux heures de cours en moins grâce aux options que j’avais choisies. Sachant que Milena avait pris l’espagnol en option et qu’elle avait seulement une heure de cours en moins par rapport aux autres élèves, je décidai d’aller au lycée lors de ma deuxième heure de repos. Le lendemain arriva et je me rendis au lycée comme je l’avais prévu. En arrivant devant ma salle de classe, je trouvai Milena en train de réviser. Je me dirigeai vers elle et la saluai en ajoutant un poli « Tu es très jolie aujourd’hui.» Elle me remercia et se replongea dans ses révisions. Jolie, elle l’était. Ses longs cheveux bruns superbement coiffés lui tombaient jusqu’aux épaules. Sa poitrine que j’estimais à 95D était magnifiquement soulignée par un pull noir moulant. Son jean moulant également mettait ses jolies jambes en valeur. Quant à son visage, ses yeux noirs pétillaient d’une énergie indescriptible et, maquillés très légèrement par du mascara, ils étaient tout simplement magnifiques. Je lui proposai ensuite de l’aider à réviser son espagnol. Elle accepta et je lui fis répéter son vocabulaire. Milena sut tout et je lui rendis son cahier. Je lui proposai de travailler en tandem. Elle me faisait réviser ma physique tandis que moi, je lui faisais réviser son espagnol. Elle accepta ma proposition et me proposa d’organiser notre tandem chez elle. J’acceptai tout de suite. La sonnerie retentit et les cours commencèrent. La journée se déroula banalement. À la fin des cours, Milena et moi sortîmes du lycée et prîmes la direction de sa maison. Nous posâmes nos affaires dans sa chambre et commençâmes à réviser. Je lui fis réviser son vocabulaire et ses conjugaisons d’espagnol tandis qu’elle me faisait réviser mes formules de physique. Après trois quarts d’heure de révisions, Milena me demanda si je voulais boire quelque chose. Je lui répondis que je voulais boire un coca en ajoutant un «Merci!» poli. Ma camarade alla préparer nos boissons. Tout à coup, une idée me traversa l’esprit. Je me trouvais dans sa chambre, dans son intimité. Alors, pourquoi ne pas prendre un souvenir de ce bel endroit? Je me ruai sur son armoire à vêtements. J’en sortis un soutien-gorge rouge, un porte-jarretelle blanc et une petite culotte verte. Parfait. Je me dépêchais de refermer l’armoire et de planquer la lingerie de ma belle dans mon sac. Milena revint avec les boissons. Nous bûmes nos cocas en parlant de choses et d’autres puis, l’heure tournant, je dus quitter la demeure de ma camarade non sans avoir emporté un petit souvenir. Nous nous fîmes la bise et je répartis en direction de chez moi avec mon précieux butin. L’envie de me branler devenait de plus en plus forte. À tel point que, arrivé chez moi, je me ruai dans ma chambre et me déshabillai de pied en cap. Ma queue était dure et mes bourses pleines. Je sortis les sous-vêtements de Milena de mon sac et les disposai sur mon lit de façon à pouvoir m’imaginer son corps. Je mis le soutiens gorge près de mon oreiller, le porte jarretelle juste en-dessous et la petite culotte près de moi. Rouge, blanc et vert. Le drapeau de la Hongrie. Le pays de Milena. Je me mis à genoux sur mon lit et me branlai devant la lingerie de Milena en m’imaginant son corps juste en-dessous du mien. Je compressai les deux arrondis du soutien-gorge de mes mains et mimai une branlette espagnole. Je me branlai dans ces seins imaginaires durant une bonne quinzaine de minutes puis je descendis sur le porte-jarretelle et le couvris de baisers. En arrivant à la petite culotte, je me branlai intensément en léchant la partie du sous-vêtement où était située sa chatte puis mimai le geste de la pénétration. Je fis des ça et vient sur la petite culotte de Milena durant vingt minutes avant de me branler au-dessus de sa lingerie et d’y éjaculer dans un dernier râle de plaisir. Apaisé par ma jouissance, je regardai le résultat de ma branlette. Toute la lingerie de ma camarade était couverte de mon sperme. Quelle belle vision! Après avoir rangé les sous-vêtements sous mon lit, je m’endormis en songeant au lendemain et à mon tandem avec Milena. Lorsque le coq chanta, je me réveillai plein d’énergie et positivais, ce qui ne m’était plus arrivé depuis la découverte de l’adultère de Sarah. La journée se déroula banalement puis, à la fin des cours, Milena et moi retournâmes chez elle et préparâmes nos affaires pour réviser. Cependant, l’attitude à mon égard avait radicalement changé. Elle me fixait à présent d’un il noir interrogateur. Lorsque je croisai son regard, elle me dit:
«William, j’ai une question à te poser. Pourquoi as-tu pris mes sous-vêtements?»
Ne pouvant nier l’évidence, je décidai de lui répondre franchement et sincèrement avec mon cur.
«Oui, je l’ai fait. Je te trouve sublime et j’ai des sentiments pour toi. Je t’aime, Milena. Je veux te faire l’amour, te dire à quel point je t’aime, te protéger. Je veux tout avec toi.»
Elle ne sembla pas à l’aise avec ce que je lui avais déclaré.
« Et Sarah, tu en fais quoi? C’est ta copine et ma meilleure amie. Je ne peux pas, nous ne pouvons pas la trahir comme ça.»
C’est alors que je lançai mon arme ultime:
« Sarah m’a trahi. Elle a couché avec Marc après la fête. Alors, nous n’avons plus aucune raison de nous retenir. J’ai senti cette alchimie entre nous pendant que nous dansions. Le genre de chose que l’on ne sent pas tous les jours. C’est toi que je veux, Milena. Et je sais que c’est c’est ce que tu veux, toi aussi.»
Ce qu’elle me répondit m’emplit de joie et de désir.
« Je l’avoue, tu me plais. Tu sais que je me suis touchée plein de fois en pensant à toi? Si tu as aimé ma lingerie, tu vas adorer ce que tu vas voir.»
Sur ces mots, elle commença à se déshabiller. Bouillant de désir, je l’imitai et nous nous retrouvâmes tous les deux nus en un éclair. Fou de désir, je saisis Milena par les hanches et lui roulai une pelle qu’elle me rendit fougueusement. Nos corps étaient liés l’un à l’autre dans la plus belle intimité. Nous ne parlions pas. Nous nous aimions sans mots. Juste avec nos bouches. Je caressai le corps de ma belle tout en l’embrassant avec passion. Je décollai ensuite mes lèvres de sa bouche et les posai sur ses seins. Je suçai tour à tour ses mamelons de déesse avec désir et application. Milena soupira de plaisir et glissa sa main pour caresser mon sexe dur. Je quittai les seins de ma belle en leur donnant un baiser puis je soulevai ma partenaire de terre et la posai sur le lit. Je la couvris ensuite de mon corps et lui présentai ma queue à sucer qu’elle mit immédiatement en bouche. Les mouvements de ses lèvres sur ma queue me firent soupirer de plaisir.
«Oh oui, continue. J’adore ta bouche. Oh ouiiiiiiiiiiiiiii!!!!»
Milena ne se gêna pas d’exaucer mon souhait et me pompait à présent jusqu’à la garde en massant mes bourses pleines de foutre. Je mis ma main sur la tête de ma partenaire afin de lui imposer un rythme et de faire sortir ma queue de sa bouche. Milena s’allongera ensuite sur le dos et, sentant instinctivement ce que je désirais, compressa ses seins et m’invita à m’y branler. J’introduisis ma bite dans l’espace séparant ses deux mamelles et me mis à me branler. Après un bon quart d’heure de branlette espagnole, je descendis sur son corps et couvris son corps de baisers. En arrivant vers son entrejambe, mes baisers devinrent coups de langue. Je m’appliquai donc à lui administrer le plus beau cunillingus qu’elle n’avait jamais connu. Milena cria de plaisir sous mes coups de langue. Ma bite prit ensuite le relais de ma langue et je pénétrai Milena. Ma belle jouit sous mes coups de boutoir. Après dix minutes de va et vient dans sa chatte étroite à souhait, je sortis du corps de ma partenaire et enfonçai d’un coup mes 19 cm dans le cul de la meilleure amie de ma copine. Milena hurla de plaisir sous les assauts de ma queue. Je la sodomisai durant encore vingt minutes puis, sentant le sperme monter en moi, je me branlai au-dessus de son corps et il ne me fallut que quelques secondes pour jouir sur le corps de mon amour. Le corps de Milena était couvert de mon foutre. Comme sa lingerie. Apaisés par notre jouissance, nous nous allongeâmes côte à côte et nous enlaçâmes.
« Alors, tu comptes plaquer Sarah?
— Oui, mais j’ai besoin de toi pour cela. Si tu vois à quoi je pense…
— Oui, j’ai compris. J’ai hâte de te voir la plaquer et de sortir avec toi. Je t’aime tellement.
— Je t’aime aussi, mon amour.»
Je lui déposai un long baiser sensuel sur ses lèvres puis quittai à regret la demeure de ma belle après m’être rhabillé.
La suite dans le prochain épisode
William