2 j’y vais ou j’y vais pas ?
Inutile de dire que en rentrant, je me suis isolé du mieux que j’ai pu, tentant de mesurer l’ampleur des dégâts.
Je suis homosexuel ? Je n’avais pas envisagé ça. Comment le présenter à la famille et aux amis ?
Mon père est militaire et je ne suis pas sur qu’ il accepte ce genre de chose.
Homosexuel pour une bite sucée ? C’est peut être un peu rapide comme jugement.
Ceci dit, me revient en mémoire que lorsque je jouais avec ma sur jumelle, c’était assez souvent à la poupée ou à des jeux de fille dans lesquels elle m’entraînait.
Il faut dire que ma sur a du caractère et qu’à cette époque comme nous étions dans la même chambre, c’est elle qui imposait sa loi.
Alors que suis-je.
La semaine se passe, et je traîne mon mal être, ce qui ne va pas sans se faire remarquer.
Je rentre comme d’habitude à la maison pour le week-end, et je m’enferme dans ma chambre.
Ma jumelle perspicace, n’arrête pas de me dire, mais qu’est ce qui va pas, tu fais la tête etc.
Et moi :
Boudin, fout moi la paix. (quand j’ai envie de l’énerver j’utilise ce qualificatif au lieu de son prénom Abigail ou Abi.)
ce qui ne manque pas de la faire exploser et de finir par un va te faire foutre qui me va bien.
J’hésite encore, je fais du stop au même endroit à la même heure ou bien je me défausse. Je prends l’option de partir cette fois plus tard et tant pis si j’arrive tardivement.
Je me poste au carrefour habituel avec une demi heure de retard par rapport à mon heure habituelle.
Quelques voitures passent sans s’arrêter, et voilà le gros 4X4, qui passe et s’arrête. Merde, je suis piégé.
La porte s’ouvre, j’hésite à monter, mais à son regard, je pense qu’il vaut mieux que je mexécute.
Une fois installé et ceinture bouclée, il se retourne vers moi et me donne une gifle magistrale.
Écoute moi bien, tu ferais mieux d’être à l’heure si tu veux pas qu’il t’arrive des bricoles, compris ?
Une fois de plus, aucun son ne sort de ma bouche, et ma tête dodeline timidement.
Nous reprenons la route qui se passe dans le silence le plus complet. La radio diffuse une musique plutôt relaxante, et je me détends au fur et à mesure. Après tout, cette semaine j’étais partagé entre doute et envie. Et toujours, je sentais l’excitation présente. Je ne saurais dire quoi, mais c’était manifeste.
Après tout, je suis bien content qu’il m’emmène.
Nous passons à sa maison, et je suis inquiet car je ne sais pas ce qui va m’arriver.
Comme la fois précédente, il se sert un thé à la menthe et me sert un soda.
Cette fois-ci, il revient dans une robe de chambre brodée en coton.
Je suis assis et mes jambes et bras sont sagement rangés le long de mon corps. Je ne sais pas quelle attitude prendre.
Le silence se brise
déshabille toi complètement.
Je le regarde interloqué, je fais signe que non et me protège le visage pour parer une éventuelle gifle.
Ça l’amuse, il réitère sa demande sur un ton ferme.
Je mexécute lentement, depuis mon enfance, il y a longtemps que je ne me suis pas mis nu devant quelqu’un d’autre, et je suis assez prude.
Il fait bien chaud dans la maison. Une fois nu comme un vers, je mets ma main devant mon sexe par pudeur.
Décidément, ça l’amuse, il me prend par la main, et m’emmène et me fait traverser les couloirs de la maison.
Une porte s’ouvre et un nuage de fumée chaude en sort. Il accroche avec soin son peignoir, et nous fait entrer dans le hammam.
Je ne suis pas habitué de ce genre de lieu et ne sait pas trop comment m’y prendre.
Il nous installe sur un banc, et je me laisse aller aux bienfaits du hammam.
La sueur vient faire luire nos corps, ce qui leur donne une autre allure.
Il mattrape par les cheveux et plaque sa bouche contre la mienne. Ma bouche ne tarde pas à lui céder et le balais de nos langues déchaînées reprend de plus belle.
Une fois de plus, je m’abandonne à cet homme car j’ai bien conscience cette fois que j’aime ça.
Me sentant plus docile, il n’a pas à appuyer longtemps sur ma tête pour que je me mette à genoux, et que j’avale son sexe.
Moins effrayé que la fois précédente, je constate qu’il sent bon.
Jengloutis le membre épais, et m’applique à le sucer du mieux que je peux. J’ai envie qu’il soit content de ma prestation.
J’ai à nouveau quelques hauts le cur quand il arrive au fond de ma gorge. Ces moments me déstabilisent, je ne sais pas comment réagir.
Il saisit les pointes de mes tétons et les travaille durement. Je n’oppose aucune résistance sachant que ce serait vain, je suis fluet, et lui visiblement il fait de la musculation, ce qui lui donne une fière allure.
Soudain, il sort de ma bouche, me retourne, m’enserre dans ses bras.
Il m’embrasse le cou, caresse mon corps sous toutes ses coutures.
Il me penche en avant, je prends appui sur l’un des bancs. Je sens ses doigts qui caressent mon anus.
Je me raidis ne souhaitant pas aller plus avant.
Il crache dans sa main, je sens qu’il enduit son sexe de sa bave, puis me maintenant plié en deux, je sens son gland se présenter à l’entrée de mon anus.
non ! Non ! Je crie,
Tu vas voir, je vais juste me mettre à l’entrée t’auras pas mal.
Je n’ai pas vraiment moyen de lui résister, et je sens des petits mouvements aller et venir.
Je sens mon anus qui petit à petit s’ouvre sous ses va et viens.
La douleur est supportable mais toute ma concentration est à cet endroit. Je sens mes sphincters s’ouvrir et se fermer.
Puis, une fois le passage un peu fait, il me pince avec ses ongles la pointe de mes seins, la douleur est telle que je suis obligé de me recroqueviller pour essayer d’échapper à la douleur, et d’un coup de reins, il m’empale. La douleur est vive, et dans un cri de douleur je demande pitié et fond en larmes.
Je suis un pantin accroché à sa bite. .
Le va et vient reprend sans ménagement. Il me pistonne ardemment.
Les douleurs toujours présentes, s’amenuisent peu à peu. Jusqu’au moment où je constate que l’excitation est belle et bien de la partie. Je sens le jeu de son sexe dans mon anus, les spasmes annonçant son plaisir, je le sens jouir en moi puis il se retire.
Nous sortons du hammam, nous conduit dans une douche dans laquelle nous tenons tous les deux.
Il nettoie mon corps en le caressant avec le gel douche.
Nous nous rhabillons et remontons en voiture.
Sur le chemin, je risque quelques coups d’oeil dans sa direction, mais rien ne paraît sur ce visage.
Partagé entre la honte et le constat qu’un volcan est allumé en moi, je comprends qu’il s’agit de plaisir, ce qui me fait bander sans que je ne puisse le contrôler. Ma chemisette frôle la pointe de me s seins et c’est bon. Quand à mon cul, je sais ou il est tellement j’ai mal.
Nous arrivons à l’endroit ou il m’a déposé la dernière fois.
tu vois, tu es une petite salope
je le regarde de façon négative
si ! Si! En plus, tu es une belle petite salope. Tu m’appartiens, tu es ma petite femme, et je vais te traiter comme tel. Une objection ?
Je fais signe que non !
bien, je vois que tu commences à comprendre. Tu es fine, tu as les cheveux longs, ça va être facile.
Pourquoi me parlez vous au féminin, je suis un garçon !
TAIS TOI, je te parle au féminin parce que tu es une belle salope. Tu en connais beaucoup toi qui se font sauter comme une vraie femelle au bout de deux rencontres ?
Je suis mort de honte.
n’oublies pas, si tu ne veux pas que tes amis aies connaissance de ce que tu es vraiment, tu obéis, compris ?
Oui
tu vas devenir une vraie femelle. Tu vas commencer par t’épiler le corps, ça va pas être dur vu que tu n’est déjà pas très velu. Quand je dis le corps, c’est intégralement, compris ?, d’autre part, je veux que tu portes des dessous féminin ?
Je le regarde surpris, et j’esquisse un non que je ravale de suite.
des dessous féminins ?
Oui ma femme doit porter des beaux dessous pour penser à moi tout le temps, quelque chose à redire ?
Non,
Maintenant tu vas aussi m’appeler Monsieur Max, ok ?
Oui Monsieur Max, dis-je timidement.
Et toi tu veux tappeler comment ?
Colin
Non ça c’est masculin, alors ce sera Coline, compris ?
Oui
OUI QUI ?
Oui Monsieur Max.
Je sors de la voiture, j’ai conscience de vivre quelque chose d’exceptionnel pour moi.
La semaine est encore difficile, partagé entre deux choses, abandonner, mais d’un autre côté je me sens piégé, de l’autre, il y a cette excitation qui me poursuit. J’ai le cul en feu qui me rappelle l’aventure et monsieur Max.