Histoires de baise Histoires érotiques de couples amateurs Histoires tabous

Coline – Chapitre 7

Coline - Chapitre 7



La situation commence quand-même a me turlupiner. Je suis entre fille et garçon et ça devient compliqué à gérer.

J’ai mes études à finir , mais d’un autre côté, je suis bien quand je suis en fille et que je suis avec mon amant.

En rentrant à la maison, j’en discute avec Abi.

Qu’est-ce qui te pose un problème ?

Je sais pas, ça me fait un peu peur !

Allez, arrête tes chichis, c’est quoi la différence entre passer une soirée ou un week-end ?

Je sais qu’elle a raison, j’ai toujours hâte de le retrouver et de me faire ramoner. Après j’y pense toute la semaine jusqu’à la fois suivante.

Je sais pas trop, tu as peut être raison, tu crois que je devrais accepter ?

Mais bien sur ma chérie !

J’envoie un sms à Monsieur Max pour accepter son invitation le week-end suivant.

Abi, s’est débarrassée d’un certain nombre de ses affaires,Pantalons, shorts, tee-shirt ou polos…à mon profit, que j’ai récupéré et qui ont gonflé ma garde robe et commencent à déborder de mon armoire.

Mes cheveux ont bien poussés, et Abi me les à coupés, ou plutôt épointés, et mis en forme.

Je garde le serre-tête qui me dégage le front et met en lumière mes yeux, et derrière, elle m’a fait une coupe un peu arrondie mais pas trop. Mes cheveux arrivent maintenant un peu plus bas que mes épaules, ce qui ne manque pas de faire râler mon père. En revanche, ma mère me regarde différemment je ne saurais pas dire quoi exactement, mais il y a du changement dans notre relation. A-t-elle remarqué que je portais de plus en plus souvent les affaires d’Abi ?, que je devenais de plus en plus féminin ?

Alors que nous faisons des courses, ma mère s’arrête devant la boutique d’un tatoueur qui fait aussi des piercing.

je me ferais bien un petit tatouage, me dit-elle

si tu fais un tatouage, je fais un piercing dis-je du tac au tac

Elle me regarde amusée

on commence par quoi ? Les oreilles ?

Je suis pris à mon propre piège !

Allez entrons, on va jeter un coup dil, ils ne vont pas nous manger, me fait-elle.

Bonjour, que puis-je pour vous

j’aimerais faire percer les oreilles de cette jeune personne.

Oui sans problème, vous préférez or jaune ou titane ?

Chéri, tu choisis ?

Je suis éberlué et ne sais quoi répondre.

Allez, Colinou !

Ben or ?

Une ou deux oreilles ?

Pardon ?

On perce une ou deux oreilles ?

Ben les deux ?

En sortant de la boutique, je demande à Maman ce que Papa va dire ?

t’occupes, j’en fais mon affaire, après tout, j’ai envie d’un petit tatouage moi aussi, j’ai regardé ce qu’ils proposent et il y en a de mignons. Ça te va bien ces boucles !

C’est bizarre comme sensation, d’une part, j’ai le lobe des oreilles qui me chauffe et se rappelle à moi, d’autre part, je ne sais comment prendre la réaction de ma mère.

Nous continuons les courses, Nous entrons dans un magasin de vêtements, je laisse ma mère regarder les portants, elle me montre un ou deux pantalons, le style d’affaires que porte Aby en général, et s’arrête sur un pantalon en tergal gris foncé assez sympa. Elle le prend et le paye.

Une fois dehors, elle me fait avec un large sourire :

tiens, c’est pour toi !

Pour moi ?

Oui chéri, si tu crois que je n’ai pas remarqué votre manège ta sur et toi !

Mais…

Tais toi, tu vas faire exactement ce que je te dis à partir de maintenant, mais avant, écoutes moi. Déjà quand vous étiez bébés, je m’amusais à vous habiller avec les vêtements de l’autre pour semer la confusion chez les gens. Même ton père s’y trompait.

Vous avez toujours eu le même gabarit, alors c’est facile. Après vous avez grandi, et je te voyais jouer avec ta sur.

Maintenant, pour commencer, tu vas assurer toutes les corvées de la maison, compris ?

oui m’man

Je suis abasourdi par ce discours, je suis perdu, je ne sais pas comment prendre tout ça. Il n’y a que moi qui me pose des questions alors que tout le monde autour de moi semble trouver tout ça normal.

Nous rentrons à la maison, et a la vue des prothèses sur le lobe de mes oreilles, Abi pouffe de rire, et me fait,

ben là, c’est la totale, ma chérie ! Allez, je te charrie, ça te va super bien, tu nous le présentes quand ton chéri ?

Abi, arrête !, Maman m’a acheté un pantalon, j’ai cru que c’était pour toi, et elle me l’a tendu en sortant du magasin en me disant qu’il était pour moi, et elle veut que je lui obéisse aussi !

Hmm, ma chérie, faut que je te dise, j’ai dit à Maman que tu me piquais mes petites culottes et mes fringues !

Quoi ? Mais t’es malade ! Ça devait rester entre nous !

Je sais, mais maintenant, c’est elle qui devra mettre Papa au courant

t’es barge ma sur, mais c’est pas si bête que ça. Maintenant c’est moi qui suit dans la merde.

Je passe le reste du week-end aux corvées ménagères, dont la lessive à la main de la lingerie de la maison, avec en fond de toile la situation qui m’échappe.

Je prépare mes affaires pour passer deux semaines en dehors de la maison, et vais attendre Monsieur Max au lieu habituel. Le rendez-vous a été avancé pour qu’on passe un peu plus de temps ensemble.

Il aperçoit tout de suite les boucles,

ma chérie s’ encanaille je vois ! Tu es sublime aujourd’hui !

La route se poursuit en papotant de choses et d’autres.

Je peux vous tutoyer ?

Non pas question, tu vas continuer à me vouvoyer.

Le ton est ferme sans être agressif.

Nous allons chez Pablo ce soir, je te veux la plus belle possible.

Une fois arrivés, je monte dans ma chambre, m’assieds sur le lit et fais le point.

Au final, ce shopping avec Maman, m’a fait du bien. Comme si une barrière tombait dans ma tête.

Je regarde le dressing et j’hésite devant les tenues. Je ne sais pas comment, mais elles sont toutes plutôt à ma taille.

Je choisi une combinaison en coton imprimé. Si le devant est sage, en revanche, le dos est décolleté jusqu’au ras des fesses.

Les jambes sont courtes et lâches et les manches ballon donnent un peu d’ampleur au devant, masquant mon manque de poitrine. La sensation est agréable, sentir le tissus léger et libre caresser le corps est nouveau pour moi qui ait plutôt l’habitude des tee shirts ou des polos.

Je trouve des petites chaussures en cuir avec des tout petits talons.

Fort heureusement, du haut de mon mètre soixante, je n’ai pas l’air d’une perche. Pas facile de marcher avec ça, mais ça va encore.

Je termine avec un foulard que je noue à ma taille, ce qui permet de blouser un peu le haut.

Je passe à la table de toilette et me maquille, ce coup-ci, un peu plus que d’habitude.

J’accentue le mieux que je peux mon côté féminin.

Je redescends, ce qui me vaut des sifflements admiratifs.

Ben dit donc, il va te falloir des gardes du corps, me fait il en riant, ce qui me fait rire également.

Il va falloir aussi que tu te mettes en robe ou en jupe un de ces jours !

Je ne sais toujours pas pourquoi je suis bien comme ça, et je décide d’en profiter le plus possible. En revanche, ça me paraît encore un peu tôt pour les jupes.

Après le rite du thé, nous faisons l’amour de façon rageuse, j’aime quand il m’a pris et que mon fessier s’en souvient, j’ai l’impression qu’il est resté planté en moi. J’ai également les seins qui sont devenus hyper sensibles.

Je répare les dégâts faits au maquillage pendant cette séance houleuse, et nous partons pour l’auberge chez Pablo.

En cours de route, il me demande d’ouvrir la boite à gants

il y a un petit paquet, c’est pour toi.

Qu’est ce que c’est ?

Regarde, ouvre !

un sac à main ?

Oui, plutôt une pochette, c’est plus classe

merci, elle est jolie !

Ça me fait plaisir, je ne saurais dire pourquoi je suis touché?

Pour le remercier, je me penche sur sa braguette, et lui fait une super pipe. Je fais attention au moment où il vide son jus à ne pas en mettre partout.

Je nettoie son sexe avec ma langue.

Nous nous arrêtons à une station service qui est également un vaste parking.

on prend de l’essence ?

Non, tu vas descendre prendre un peu l’air.

Comme ça ? Dans cette tenue ?

Oui ma chérie, tu vas apprendre à sortir un peu seule.

Mais il y a plein de monde !

Justement, tu discutes pas. Je passe te reprendre dans une demi-heure.

Il m’ouvre la portière, je descends pas rassuré, une fois descendu, il remonte et démarre.

Merde, qu’est ce que je vais faire ? Je reste là planté sur ce parking. Je me rends compte que je ne peux pas rester ainsi. Je me dirige dans un coin un peu isolé du bâtiment qui fait office d’alimentation.

Je ne réponds pas aux : hmm mignone, ou aux je peux avoir votre téléphone mademoiselle et j’en passe.

Je décide de rentrer dans la boutique, et me dirige vers les toilettes.

Instinctivement, je rentre dans les toilettes homme, et quand je comprends mon erreur, une main puissante me repousse en me disant,

non petite, tu ne t’es pas trompée !

il me pousse dans un toilette, je tente de protester, mais devant la carrure du mec, je ne peux guère résister. Il ressemble à ces routiers costauds.

La porte se ferme, il m’assied de force sur le toilette, sors son sexe et me le secoue sous le nez.

Je comprends que pour en sortir, il va falloir que je le suce. Je tente en vain de me dégager pour sortir, mais c’est peine perdue.

Je m’exécute, il sent mauvais, et il est long à venir. Une fois son venin craché, je me lève pour cracher dans les toilettes.

La porte s’ouvre enfin, je me dis que je vais pouvoir sortir, mais quelqu’un arrive pour prendre la place

allez y, la place est chaude.

L’homme est costaud, mais plutôt musclé, il me regarde un peu étonné, et ne perd pas de temps à entrer et bloquer la porte. Au moins, il sent bon, et son sexe est dur et de bon calibre.

Je mets un peu plus de cur à l’ouvrage. Je joue avec son gland, il a l’air d’aimer ça.

oh oui chérie, suce moi bien à fond, t’es bonne… je vais te la mettre profondément…

Une fois fini, je lui demande de m’escorter jusqu’à la sortie des toilettes.

Sympa, il m’accompagne et me laisse tranquille.

Une fois sorti, je file dans les toilettes des filles, pour voir un peu si les dégâts ne sont pas trop visibles. Ouff tout va bien.

Je sors, et me dirige là ou Monsieur Max m’avait laissé.

J’attends en faisant des ronds en marchant. Il arrive enfin.

Alors ma chérie, ça va ?

Je lui explique ce qui s’est passé.

Eh beh, je te laisse un peu, et tu ne perds pas de temps. Ça t’as plu ?

Je sais pas trop, un peu excité quand même.

Eh mais t’es une vraie pute ma chérie.

Je n’ose pas répondre, mais je crois que ce qu’il vient de me dire m’excite de façon inattendue. Est ce l’expression ou la situation ? Je ne saurais dire.

Nous reprenons la route, et il me demande de lui relater dans les détails comment ça s’est passé.

J’essaye de m’exécuter du mieux que je peux.

Passent ensuite les questions sur mon week-end et les boucles d’oreilles. Je lui dit que j’ai pris sur moi de me faire percer les oreilles, je n’ai pas envie qu’il soit au courant de mes affaires de famille, c’est déjà bien assez compliqué comme ça.

A propos de l'auteur

HistoiresDeSexe

Laissez un commentaire