Je m’appelle Vanessa. Je vais vous raconter comment j’ai perdu ma virginité à 19 ans.
J’étais une jeune fille plutôt mignonne. J’avais une poitrine assez importante, 90D à peu près, plutôt ferme, des fesses rondes, quelques formes mais plutôt bien réparties. J’avais des longs cheveux châtains, des yeux verts… Bref, je plaisais déjà beaucoup aux garçons de ma classe, sans quaucun nait attiré mon attention.
Cela sest passé pendant les vacances d’été. Comme tous les ans, mes parents avaient loué une maison en bord de mer. J’ai aussi une sur, Melissa, qui avait 14 ans à l’époque, et un frère de 19 ans. Cette année, nous étions partis avec mon parrain, 56 ans, qui est aussi le meilleur ami de mon père. Divorcé de son ex-femme depuis 2 ans, il ne s’était toujours pas remis.
Je m’entends très bien avec mon parrain, Bernard, depuis ma plus tendre enfance. Je le surnommais Papou. Mes parents n’étant pas très affectifs, c’était mon parrain qui m’avait donné tout l’amour que je voulais. J’allais souvent chez lui et son ex-femme, et j’en étais très proche.
Ces dernières années, avec le divorce, ainsi que l’apparition de mes formes, je sentais que son regard avait un peu changé sur moi. Je le sentais plus lubrique, intéressé. Cela ne me dérangeait pas vraiment. Je lui vouais une admiration hors norme, malgré son embonpoint et ses tendances alcooliques. J’aimais savoir que je lui plaisais. Durant ses deux dernières années, ça lui était arrivé de frôler mes fesses, mes seins, de me prendre dans ses bras de manière un peu plus poussée que d’habitude, de passer sa main dans mes cheveux… tout cela à l’insu de mes parents, sans pour autant aller plus loin.
Ce matin-là, mes parents étaient partis faire des courses au centre commercial avec ma petite sur. Mon frère était parti rejoindre des amis. Moi, je dormais, comme souvent le matin, dans ma chambre à l’étage.
Le bruit de l’escalier qui craque puis de la porte de ma chambre qui s’ouvre m’ont sortie de ma torpeur. Faisant dos à la porte, je n’ai qu’à peine ouvert les yeux, encore fatiguée d’avoir veillé tard la veille.
Je sentis la couette se soulever, puis la présence d’un homme qui se glissa contre moi. Je sentis un corps, vraisemblablement nu.
"- Bonjour Vanessa ! Comment vas-tu ? Tu es réveillée ?
— Bonjour Papou ! Oui, je me sens encore bien fatiguée."
Je sentis sa main gauche passer sur mon grand t-shirt pour me serrer contre lui.
"- Tu sais que j’aime ton corps ma grande ? Cela fait tellement de temps que je rêve pouvoir le toucher…"
Je ne répondis rien et fermai les yeux. J’aimais sentir cette affection de sa part. Bernard profita de mon acquiescement silencieux.
-Tu as un corps très excitant tu sais ? Au fait, tu es toujours vierge d’après ce que tu me racontes ?
— Oui Papou ! Je n’ai jamais fait l’amour, les seuls qui ont pénétré mon intimité sont mes doigts de temps en temps le soir.
— Ah oui ? Tu te masturbes ? Petite coquine, tu m’avais caché ça…
Pendant ce temps, sa main avait commencé à me caresser à travers mon t-shirt, remontant de temps en temps sur mes seins. Son corps se pressait sur le mien, et je sentais son sexe se durcir contre la lanière de mon string en dentelle blanc.
-Tu as l’air d’aimer ça, ma Vaness. Tu aimerais que je te fasse découvrir les joies du sexe ?
Je répondis un petit oui, timide. Je ne savais pas trop ce que je voulais, mais j’aimais ses caresses, et je lui faisais totalement confiance.
Sa bouche vient trouver le lobe de mon oreille pour le mordiller. Sa main s’aventura en dessous de mon t-shirt, et alla attraper mes seins. Mes tétons pointaient déjà, sûrement excités par ce qu’il se passait.
Par réflexe, je me rapprochai de lui, pour me blottir dans ses bras. Son sexe se pressa d’autant plus contre mes fesses.
Sa main continuait son exploration, jusqu’à venir caresser la limite de l’élastique de mon string.
-C’est très agréable ce que tu fais Papou.
-Ah oui ? Ce n’est que le début ma beauté.
Et joignant les gestes à la parole, il fit passer ses doigts sous le tissu de mon string. Il commença à caresser mon pubis épilé, tandis que sa bouche s’aventurait dans mon cou.
-Si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en pensant à cet instant, ma petite puce…
L’un de ses doigts s’aventura près de mon intimité. J’écartais un peu les jambes, l’invitant à y pénétrer.
-J’aimerais que tu me montres, princesse, comment tu fais pour te masturber…
Et disant ces mots, il fit glisser mon string le long de mes jambes, me tourna sur le dos, et souleva la couette. Il dévora mon corps de ses yeux fébriles, puis se pencha vers moi pour m’embrasser langoureusement.
Sa main prit la mienne et la fit descendre sur mon sexe. Par habitude, je commençais à tortiller mon clito tout gonflé. Je commençais à mouiller.
-Mais tu mouilles cochonne ? Tu aimes ça hein ? Oh je vais te pénétrer comme personne ne l’a jamais fait. Je vais te prendre ton hymen, tu vas vivre le plus beau moment de ta vie de jeune fille.
Il descendit ma main à l’entrée de ma chatte et je fis pénétrer mon index. Pendant ce temps, Bernard revient m’embrasser.
-Tu as envie de me sucer ma puce ? Je vais te montrer comment faire.
Ne quittant pas mon parrain des yeux, j’acquiesçais, un peu inquiète cependant. La bite de mon parrain paraissait grosse.
Il se souleva un peu et vient placer son sexe devant ma bouche. Il me paraissait énorme. Je ne pensais pas qu’on pouvait avoir un membre aussi impressionnant à cet âge.
Il posta son gland à l’entrée de ma bouche. Je sortis la langue, et commença à lécher l’extrémité de sa queue. J’avais déjà regardé des vidéos sur des sites pornographiques. Je m’en inspirais à cet instant.
Mon parrain poussa un soupir, et sans plus attendre donne un coup de reins vers l’avant, et son engin rentra dans ma bouche. J’eus la sensation d’étouffer sur le coup, puis je trouvai vite mes repères. Je salivais vite, pendant que mon parrain effectuait des vas et viens dans ma bouche en gémissant.
Excitée, je continuais mon petit manège en insérant deux doigts de plus à l’intérieur de ma chatte. Je sentis mon parrain se crisper, puis ressortir de ma bouche.
— Mais c’est que tu es une vraie salope, ma Vanessa. Tu suces divinement bien, c’est prometteur ! Maintenant, laisse-moi te prendre ta virginité mon cur. Si tu savais comme j’en ai envie !
Il ne prononça pas un mot de plus et descendis pour positionner sa queue à l’entrée de ma chatte.
-Papou, j’ai peur que ça fasse mal…
-Ne t’inquiète pas mon ange, ça fera peut-être un peu mal, mais le plaisir que tu en auras sera bien plus important.
Et sur ces mots, il commença à me pénétrer. Son sexe énorme rentrait dans ma chatte pour me déchirer l’hymen. À ce moment, je sentis une douleur qui me fit un peu crier. Mon parrain vient m’embrasser goulûment.
Ses vas et viens furent de plus en plus rapide. Je sentais qu’il ne tiendrait pas longtemps. Depuis deux ans, il n’avait fait l’amour qu’avec quelques prostituées, et à son âge, c’était difficile d’être endurant après autant d’attente.
Il ferma les yeux, râla de plaisir, et je sentis quelques minutes après un long jet chaud qui me traversa la chatte. Sentant le plaisir que j’avais procuré à mon parrain, je fermai les yeux en gémissant. Mon corps se contracta de bonheur.
Il resta encore un instant à l’intérieur de moi, me serrant contre lui.
— Mmmm mais tu es une vraie chaudasse… c’est tellement bon. Tu as aimé ?
— Oh oui, Papou, c’était génial.
— Dorénavant, tu vas devenir ma salope. Ma salope à moi, c’est entendu ? Les autres hommes de ton âge sont tellement peu expérimentés qu’ils ne t’apporteront aucun plaisir. Alors que moi, je te ferais découvrir les joies du sexe. Tu veux être ma salope Vanessa ?
— D’accord Papou, je serais ta salope rien qu’à toi. J’aime te faire plaisir.
C’est ainsi que commença ma découverte du sexe.
À suivre…