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Comment je suis devenu(e) moi – Chapitre 2

Comment je suis devenu(e) moi - Chapitre 2



Après cette merveilleuse première fois, je me branlais souvent en y repensant mais n’osait pas encore retourner au sauna.

Néanmoins, rapidement frustré par la masturbation, je finis par y aller à nouveau. Deux fois j’y entrais, tremblant de retrouver Marc. Mais il n’y était pas. Je connu donc d’autres amants. Le premier fut doux, gentil. Mais finalement trop doux. J’aimais sa queue en moi mais il me manqua la poigne, les mots, la virilité puissante de mon premier amant. La deuxième fois, ils furent deux. Deux copains, venus ensemble "chasser la salope" comme ils me dirent. Je me sentis délicieusement proie. Ils étaient sans finesse et ne m’excitaient individuellement pas autant que Marc mais le fait qu’ils soient deux, que j’en suce un tout en me faisant prendre par l’autre tandis qu’ils échangeaient des commentaires vulgaires sur la pute que j’étais m’excita fort. Tout comme leur double éjaculation sur mon visage que je dus me retenir de ne pas lécher.

La troisième fois quand je franchis la porte, le patron du sauna me tendit une petite enveloppe. Elle contenait un mot de Marc.

"Petite pute,

Je sais que tu es venuE te faire baiser deux fois. Je sais aussi que tu as testé le trio. Tu confirmes ainsi ce que je t’ai dit en te quittant, tu as trouvé ta place. Mais tu n’es encore qu’au début de ton chemin. Je te laisse mon numéro. Nous verrons donc si Tu confirmes le fait que toi et moi n’en avons pas fini. Une condition toute fois pour que tu sois autoriséE à m’appeler. Dans le casier que t’attribuera le patron du sauna (qui est un ami, tu l’auras déjà compris, tu trouvera un sac. Tu l’ouvriras chez toi et si tu acceptes son contenu, tu peux m’appeler. Sinon, continue seulE ta vie de salope.

Marc."

Fébrile et nanti de la clef donnée par le patron, je descendis au vestiaire en me demandant à quoi rimaient ces "E" dans son message. Dans le casier je découvris un sac. Dans le sac il y avait une perruque, de la lingerie et une boîte de chaussures. Des talons hauts, pointure 39. J’en restais estomaqué. Je me décidais à rentrer chez moi réfléchir à tout ça mais un beau papy entra dans le vestiaire.

Il me regarda et me dit:

"J’espère que tu arrives et que tu n’es pas sur le départ…"

Il se déshabillait rapidement et je vis son sexe. Gros, veiné. La goutte qui en perlait me chavira. Sans un mot je me mis à genoux et à quatre pattes avançais vers l’objet de mon fantasme immédiat. Mais il se déroba et me dis "rejoins moi dans la douche fermée".

Je l’y suivis. Il fit couler le jet et se plaça derrière moi. "A quatre pattes!". Je mexécutais me demandant si j’allais me faire tringler dans la douche. Un jet chaud me frappa le dos. il me pissait dessus en me traitant de salope. Jeus conscience que j’étais exactement ça et que ça me rendait heureux. Puis il présenta son sexe à ma bouche et je le suçais avidement. Plus tard il, m’a défoncé dans une cabine, me tirant les cheveux et me traitant de femelle juste bonne à se faire sauter. C’était vrai. Avant de partir tandis que son foutre ruisselait sur mon visage, il me dit "Dis à Marc que tu as satisfait René". J’en restais abasourdi. Et hypocritement un peu vexé que Marc ait su que je ne résisterais pas à cette belle queue.

De retour chez moi j’étalais le contenu du sac sur le canapé. Une perruque du même blond à peu prés que mes cheveux, une paire de bas, une guêpière, la culotte assortie et des talons hauts très classes et sexy. Je résistais une heure puis commençais à les enfiler… En me disant que je me déguisais pour rire… La perruque ne ressemblait pas aux articles pour faire la fête. Je dus aller devant le miroir pour l’ajuster. Jeus un choc. J’étais un mec gringalet un peu plus tôt et là j’avais devant moi une fille, grande, mince, sexy, plutôt jolie. Mon visage fin s’harmonisait à la perruque. Même s’il restait quelque chose de masculin dans mes traits. Ce qui me choqua le plus? Mes poils fins se devinant à travers les bas gris fumés. La sensation fantastique de leur matière sur ma peau en était gâchée. J’eus l’idée bizarre de les raser. Et finis par le faire. Ce qui me donna envie de le faire partout. Je dus me rhabiller pour aller acheter de la crème dépilatoire à la supérette du coin. Deux heures plus tard j’étais lisse, doux. Et de nouveau vêtu comme Marc le souhaitait. Je tremblais à l’idée de l’appeler. Et le fis.

"-Marc..? C’est moi…

-Qui moi?

-Manu. Le gars du sauna.

-Tu veux dire Emmanuelle, la salope du Sauna?

-Oui…

-Tu portes mes cadeaux?

-Oui…

-Tu veux les mériter?

-Oui…

-Habille toi en gardant tes dessous et rejoins moi ce soir. J’habite à………………. Je te présenterais quelqu’un de très important pour moi. N’oublie pas la perruque et les talons!"

A 19h, je sonnais au portail d’une belle et grande maison. Visiblement Marc avait les moyens. Il vint m’ouvrir et exigea que je change sur le champ mes baskets pour les talons et que je coiffe la perruque qu’il ajusta lui même.

"Tu es belle Emmanuelle. Et tu vas l’être encore plus."

Nous pénétrâmes dans un salon douillet et faiblement éclairé.. Une femme sublime, grande, rousse et au regard doux m’envoya un sourire magnifique et chaleureux depuis le canapé où elle trônait.

"-Tu ne m’avais pas menti chéri, elle est très belle. Viens tasseoir ici beauté. Je suis Virginie, la femme de Marc. Je crois que nous allons nous plaire."

Je tombais instantanément amoureux (se) de ses grands yeux verts rieurs. Elle se leva et vint m’embrasser, avec une sensualité et une douceur qui me donnèrent envie de pleurer. Puis elle me prit la main pour que je la suive.

"-Laissons un instant Marc, nous avons besoin d’un instant entre filles…"

Je me laissais conduire, hypnotisé par l’ambiance, Marc et cette femme sublime. Être traité en femme était à la fois excitant, nouveau et tout à fait normal… Nous entrâmes dans la salle de bains. Virginie me fit asseoir sur le rebord d’une grande baignoire et me dit qu’il ne me manquait (pour l’instant) que le maquillage. Et elle me maquilla en m’interdisant de chercher à me voir dans la glace. 15 minutes plus tard je vis dans le miroir, maquillée, magnifique. Elle me reprit la main et nous rejoignîmes Marc occupé à servir des flûtes de champagne. Il m’en tendit une que je vidais à moitié.

"-Non! le champagne s’apprécie! Cela fait partie des choses que tu devras apprendre. Si tu veux que ça dure.

-Ne sois pas trop dur avec elle, chéri, je suis sûre qu’elle apprendra, elle semble aussi jolie que pleine de bonne volonté."

Et elle m’embrassa à nouveau, me caressant. je m’enhardis à répondre à son baiser mais elle dut prendre mes mains et les poser sur elle pour que j’ose la toucher.

"-Elle est timide ta jolie recrue mon chéri.

-Tu devrais la voir avec une bite dans la chatte, elle se décoince! Allez les filles, faites vous du bien et faites moi plaisir!"

-Déshabille moi Emmanuelle, fais glisser ma robe."

Je dévoilais son corps sublime, mature et ferme. Je lui donnais 34/35 ans (elle en avait 39 soit 10 de moins que Marc). J’eus envie de lécher ses seins majestueux, laiteux, parsemés de tâches de rousseur. Elle baissa ma tête vers eux et j’y plongeais, dans un bonheur indicible. Je m’enhardis, caressais, puis embrassais son ventre. je continuais ma descente pour embrasser sa fine culotte, sentant son mont de Vénus, son pubis fourni mais limité à un ticket de métro. Je baissais lentement sa culotte, enfouissant sa bouche dans sa toison soyeuse, découvrant petit à petit les mystères du sexe féminin.

"-Regarde Amour, elle découvre! Ça te plaît jolie Emmanuelle?

-Oh oui Virginie! J’adore!

-Appelle la Madame. Et moi Monsieur!

-Bien Monsieur. Oui Madame je suis aux anges de vous découvrir.

-Alors lèche moi petit ange."

A quatre pattes à ses pieds, j’enfouis mon visage dans son sexe épanoui et trempé. Je léchais sans plus m’arrêter, agaçant son clitoris, lapant sa mouille, fourrant ma langue dans son vagin. Quel bonheur! Elle jouit en étreignant mon visage. Puis le regard chaviré, elle m’attira contre elle et m’embrassa, goûtant ses parfums intimes sur mes lèvres. Marc nous regardait, le slip gonflé d’une bosse qui me rendait folle.

"-A mon tour! Viens ici ma salope.

-Bien Monsieur."

Je vins à quatre pattes entre ses jambes, et libérais son sexe tendu que j’enfournais illico. Je me mis à le sucer avec passion.

"-Tu vois ma chérie, elle est dingue de la bite. René en redemande. On la lui prêtera de temps en temps.

-Avec plaisir. Elle me plaît beaucoup. Et si elle l’accepte, elle me plaira encore plus plus tard.

-Veux tu que je la prenne pendant qu’elle te lèche à nouveau?

-Ouiii!"

Et cela fut fait, il me fit avancer entre les jambes sublimes de celle que j’aimais déjà et j’y plongeais le visage. Puis il vint derrière moi et me massa la chatte avant de me pénétrer. Ses va et vient lents me faisaient trembler mais me permettaient de lécher doucement Virginie. Elle finit par jouir à nouveau, trois de mes doigts fichés en elle. Marc commença alors à accélérer ses mouvements, me défonçant sans pitié. Je sentis une étrange et fantastique sensation naître en moi. je hurlais "encore!, plus vite".

Et il s’arrêta.

"-Tu n’as pas compris Emmanuelle. Tu es là pour notre plaisir, pas pour le tien. Tu jouiras si nous l’autorisons. Est ce clair?

-Oui Monsieur.

-Bien."

Et il reprit ses mouvements, plus lentement. Et tout à coup, tandis qu’il continuait ses délicieux aller retours en moi, il se mit à parler.

"-Nous avons une proposition à te faire. Tu nous plais à tous les deux. Nous cherchons depuis longtemps une femelle comme toi pour être notre jolie chose. Nous aimerions que ce soit toi.

-Oh oui Monsieur!

-Attends de tout savoir salope. Quand je dis notre chose, je ne plaisante pas. Tu seras à nous. Notre jouet. Il te faudra être obéissante, salope, câline. Toujours prête. Dire non ne fera pas partie de tes choix. Nos désirs seront les seuls qui comptent. Tu ne baiseras que sur notre autorisation ou notre demande."

J’avais du mal à réfléchir, son sexe me comblait de bonheur et ses mots m’excitaient. Il reprit:

"-Si tu acceptes nous temmènerons vers celle que tu es vraiment. Tu seras heureuse, comblée et choyée. En contre partie tu seras docile, soumise, obéissante. Je me suis renseigné sur toi. Boulot de merde, pas d’avenir, pas d’ami. Rien. Tu n’as rien à perdre. Manu disparaît et Emmanuelle s’ouvre à la vie. Accepte le, tu es femelle. Ton corps n’est pas le bon. Nous changerons ça."

Il sortit de moi et me demanda de regarder l’écran de l’ordi.

Durant une heure je visionnais des vidéos de "sissy trainer". Qui me rendirent folle d’excitation. Marc m’ordonna de revenir vers lui et lui ouvrir mon cul. Je le fis et il s’y engouffra.

"-On va tester ça quinze jours. Tu restes ici et tu suis le programme suivant. Vidéos deux heures par jours, Virginie t’apprend à te maquiller et à t’occuper de ton corps. Ton sexe est encagé, interdiction de te masturber. Tu obéis à toutes nos demandes. Toutes. Et pour tous les gens qui passent ici, tu es Emmanuelle. Si après ces quinze jours, tout le monde est content, tu restes et les choses sérieuses commencent. Féminisation, traitement hormonal, et éducation parce que tu manques de tenue et de savoir-vivre. Je ne vais pas tarder à jouir. Si tu te retires, c’est que tu refuses, si je jouis en toi tu es à nous pour les 15 jours qui viennent."

Ses mains ont quitté mes hanches. J’ai glissé vers l’avant jusqu’à sentir son gland sur le point de sortir puis me suis empalée brutalement sur sa queue.

"Monsieur, par pitié, défoncez moi. Faites moi la joie de jouir en moi, de m’inonder de votre sperme. Rendez moi femelle à tout jamais!"

Ses mains m’ont agrippée, et il m’a défoncée comme jamais jusqu’à éclabousser ma chatte de son foutre de mâle viril dans un hurlement. Quel bonheur! Je le sentais couler hors de moi, le long de ma cuisse, tâchant mes bas.

"-Merci ma belle" Virginie, des larmes dans les yeux, venait m’embrasser. Elle me fit allonger, et me masturba doucement sans que ses yeux ne quittent les miens. Je jouis plus fort que jamais auparavant et me répandis sur sa main aux si longs doigts. Qu’elle porta ensuite à ma bouche pour que j’y lèche chaque goutte de mon plaisir.

"-Nous serons très heureux tous les trois, tu verras ma chérie"

C’était il y a six ans et elle ne s’était pas trompée.

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