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Comment je suis devenue Monica – Chapitre 8

Comment je suis devenue Monica - Chapitre 8



— « On est arrivé chez toi, Robert. Réveilles-toi », lança Dan, en garant l’auto.

— « Allez, ma p’tite. On y va ! » répondit Robert, à mon intention.

Je m’extirpai avec une certaine difficulté de la voiture, à cause des souliers et du corset. Robert me suivit. Dan vint nous rejoindre.

— « C’est à mon tour maintenant, ma p’tite… T’as intérêt à m’le faire aussi bien qu’à lui. Parce qu’à vous regarder, dans l’auto, j’en suis tout excité ! »

— « T’en fais pas, mon beau, répondis-je; t’auras ta chance aussi. Moi, tout ce que je demande, c’est de vous faire jouir tous les deux, en même temps. Un par en haut, un par en bas. Ca

vous intéresse ? »

— « Alors, là ! T’es vraiment une dégénérée, toi ! »

— « Bien ! Qu’est-ce que tu crois ? »

Nous étions à peine entrés chez Robert, que déjà les deux hommes s’étaient dévêtus complètement. Le pénis de Robert, qui m’était paru si énorme dans l’auto, n’était guère tendu qu’à moitié. Celui de Dan, en érection totale, était plus long, mais plus effilé, et je me dis qu’il s’insèrerait sans trop de heurt dans mon anus.

Ils ne perdirent guère de temps en mondanités. Robert vint m’aider à retirer ma robe. Je déposai mes boucles d’oreilles sur une table, mais je gardai ma perruque, mon corset, mon soutien-gorges avec les faux seins qui y étaient enserrés, mes culottes, mes bas et mes souliers. En marchant vers la chambre, je fis un effort pour maintenir ma queue coincée entre mes cuisses, afin de rompre le moins possible à leurs yeux l’illusion que j’étais femme.

Dans la chambre, une psyché renvoya mon image, et je la jugeai convenable. Je fis coucher les deux hommes, côte-à-côte, sur le lit, et caressai leur sexe, simultanément, les passant à tour de rôle de mes doigts à mes lèvres. En quelques minutes à peine, Robert fut à nouveau excité. Je m’attardai un peu plus sur le pénis plus étroit de Dan, le baignant de salive, pour qu’il s’insère en douceur dans l’orifice de mes fesses. Puis, une fois l’organe lubrifié, j’abaissai mes culottes et dirigeai la chose à

l’entrée de mon anus.

Ce fut un plaisir instantané. Aucune douleur, contrairement au godemiché trop généreux de Monica. Juste la sensation agréable de posséder totalement ce pénis, de l’enserrer entre mes fesses, jusqu’au plus profond de moi, et de sentir son gland à l’intérieur de mon cul, venir masser ma prostate. Je sentais mon propre pénis durcir entre mes jambes, à chaque phase de son va et viens anal. Je serrai désespérément mes fesses sodomisées, pour sentir un peu mieux le mouvement de cette trop mince colonne de chair qui fouillait mes intestins.

Je fis alors signe à l’autre, étendu à côté, pour qu’il vienne insérer son pénis dans ma bouche. Je reconnus aussitôt l’odeur qui m’avait donné tant de satisfaction, juste auparavant, dans l’auto. Et en parcourant de ma langue la surface de la bête agitée, j’en reconnus les formes, devenus familières, déjà.

Alors, les deux hommes se mirent à gémir et à s’agiter, presque en phase, l’un couché sous moi, avec son sexe dans mon derrière, l’autre à genoux, son sexe dans ma bouche. Le double mouvement

des corps m’hypnotisait presque. Et je fus prise par surprise lorsque Robert eu une seconde éjaculation, dans ma gorge.

Mon corps doublement transpercé était-il devenu un canal de communication privilégié entre ces deux hommes en chaleur ? En tout cas, à peine eus-je senti le jaillissement du sperme de Robert dans ma gorge, que Dan explosa à son tour, au plus profond de moi. Quelques instants de tension, puis relâchement de tous mes muscles ! Déphasage de la baise. La double étreinte se relâcha; les deux organes, désormais rétrécis, se retirèrent. Dan et Robert firent une pause, reprenant leurs forces, à nouveau étendus sur le lit. Je n’avais pas éjaculé, mais je me sentais formidablement bien, mes forces refaites de m’être abreuvée à la source même de la vie. La nuit blanche de la veille était

oubliée. Je n’aspirais qu’à redonner vie à ces deux sexes taris, reprendre la scène, goûter à nouveau au sperme de ces hommes.

Dans la salle de bain, je refis en vitesse mon maquillage défraîchi. J’en revins avec une serviette et du savon et lavai avec soin la queue flasque de Dan. Puis, je recommençai à les masturber tous les deux. De mes mains d’abord, puis avec ma bouche, en alternance. Ils commencèrent à se parler de boulot, de vacances, d’aventures, de rêves. Conversation molle, entre de vieux amis, qui semblaient oublier pour un temps que j’étais là avec eux. Mais pourquoi en auraient-ils tenu compte ? Je n’étais qu’une esclave de passage, affairée à redonner à leur organe sa virilité fonctionnelle. Alors, il se laissaient servir, appréciant sans le dire la douceur de mes caresses, la moiteur de ma bouche qui butinait d’un à l’autre.

Quant à moi, je m’imaginais en masseuse professionnelle, concentrée sur le seul plaisir de mes clients. Et je regardais les deux hommes rassasiés. Lorsqu’ils redevinrent silencieux, je devinai comme une tristesse dans leurs yeux. Ils étaient déçus, sans doute, que leur organe résiste tant au retour du désir. Je les trouvai beaux comme des princes.

Il fallut plus d’une demi-heure, avant que je ne sentes leurs lances se dresser à nouveau. Quand, à force de patience et de caresses persistantes, ils furent enfin prêts pour la baise, je les fis changer de place.

Avec ma salive, je complétai la lubrification du pénis de Robert, que je voulais dans mon cul cette fois. La pénétration fut plus difficile, l’organe étant plus trapu. Mais les sphincters, forcés par l’autre juste avant, se relâchèrent bientôt. Quel moment délicieux que celui de la pénétration lente et profonde d’un sexe d’homme, ouvrant son chemin entre les fèces, jusqu’aux premiers replis du colon, massant au passage, puis en allers-retours successifs, la prostate et les muqueuses sensibles de l’anus ! J’enfonçai dans ma bouche la longue queue de Dan, et me retrouvai dans cette position unique, en équilibre entre ciel et terre, avec deux hommes sur le point de jouir en moi, sans autre pensée que celle de laisser mon corps se faire bercer, défoncer, labourer, emporter finalement par deux corps en extase.

L’étreinte dura plus longtemps, cette fois, mais je n’avais aucune hâte qu’elle cesse. Je prenais plaisir à laisser dans mon cul aller et venir le pénis de Robert, qui remplissait tellement mieux l’espace. Chaque retrait me laissait un peu frustrée par le vide intérieur qui se créait; chaque retour de l’organe me procurait une nouvelle bouffée de plaisir.

En même temps, avec ma langue et entre mes dents, je m’amusais à découvrir le pénis de Dan, ma seconde conquête, si différent de celui de Robert, plus mince, au goût salé moins prononcé, me sembla-t-il (ou était-ce simplement le lavage que je venais de lui accorder ?), et aussi plus nerveux, plus délicat. Et plus je me concentrais sur cet organe à explorer, plus l’autre forait mes entrailles, et plus je sentais ma propre excitation s’accroître. Jusqu’au moment où je perçus les dernières vibrations saccadées, annonciatrices du double orgasme, en phase une fois encore, qui viendrait bientôt me combler.

— « Aaaahhh ! T’es une vraie putain… » cria Dan, en éjaculant à pleine pression une décharge de sperme au goût prononcé. « Aaarrghh ! C’est bon ! »

Au sous-sol, l’autre aussi gémissait. Je fermai les yeux. Quel moment de bonheur ! Pourquoi est-ce toujours si court ? J’avalais, le plus lentement possible, pour mieux le savourer, le liquide de passion de l’homme qui se défonçait dans ma gueule. Troisième fois ce soir là. Quelle initiation mémorable !

Quand les deux hommes eurent extirpé de leur sexe jusqu’à la dernière goutte de sperme, quand ils retombèrent, épuisés, sur le lit, mon pénis était si rigide et tendu que je sentis que j’allais exploser aussitôt. Je vins le placer à l’entrée de la bouche de Robert. Allait-il me rejeter ? Il en aurait eu le droit, après tout : il avait payé pour mes services, pas pour me rendre la pareille. Et c’est en tant que femme qu’il m’avait louée. Je n’avais pas à attendre de sa part le moindre égard pour mon sexe d’homme. Pourtant, Robert entrouvrit les lèvres, me laissant insérer mon organe dans sa bouche.

L’éjaculation fut presque instantanée, libérant une charge de sperme telle qu’il ne parvint à l’avaler qu’à demi. Quel soulagement ! Depuis la veille, je n’avais pas passé une heure sans que mon pénis ne soit bandé. Pas une heure sans expérimenter quelque nouvelle torture, ou subir les séductions cruelles de Monica, puis la voracité de ces deux hommes. Plus de 24 heures de tension se libéraient d’un seul coup dans la bouche de Robert.

Mais le flux était d’une violence trop soudaine. Robert s’étouffa, et je dus retirer mon sexe de sa bouche. Je serrai alors mon pénis avec force entre mes doigts, pour en couper le flot, et me retournai vers Dan. Il refusa d’abord l’offrande, en me repoussant violemment : « J’suis pas une tapette, moi ! Va te faire voir ailleurs ! »

— « J’suis pas une tapette, moi non plus. Je suis une femme. Seulement… disons que j’ai le meilleur des deux mondes. Allez ! Laisse-toi faire. C’est entre nous trois. Ça sortira pas d’ici ! »

Robert comprit que, ayant sucé ce pénis de femme, il aurait à subir toute sa vie les sarcasmes de Dan, si ce dernier ne tombait pas à son tour sous mes charmes. Il insista : « Allez, Dan ! Sois pas straight… Y’a pas mieux que ça pour se refaire ses forces après l’amour ! » Alors Dan ouvrit la bouche à son tour, plus par épuisement que par goût, je crois, et j’y insérai aussitôt mon pénis endolori, qu’il suça avec une énergie retrouvée.

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