Vers 18 heures, j’ai terminé. Comme ils ont laissé la porte de la chambre ouverte et que je ne dois pas les déranger, je frappe au mur du couloir.
— Maître, Mademoiselle ? J’ai terminé le repassage.
— Très bien, j’arrive.
Il sort avec Sandra, en peignoirs tous les deux.
— Rhabille-toi, j’ai à te parler.
Une fois habillé, ils s’installent sur le canapé.
-Mets toi en face !
Pendant que je m’installe, il caresse les cuisses à Sandra.
— Avons des choses à te dire.
— Je vous écoute, Maître.
— Bien.
— Ca fait donc une semaine que Sandra vit chez moi. Une semaine que nous passons à baiser matin, midi et soir, nuits comprises.
— Alors je ne sais pas si tu as compris, mais elle prend son pied depuis qu’elle m’a comme amant.
— Oui je sais Monsieur, Mademoiselle et vous me l’avez dit.
— Très bien. Tu commences à comprendre et accepter la situation, c’est bien.
— Alors, autant te l’annoncer tout de suite, depuis une semaine que Sandra est là, nous sommes désormais EN COUPLE.
Je fonds en larmes. Mes mains couvrant mon visage. Je hoquète, sanglote, pleure.
— Oui, ça te fait un choc, c’est normal. Il faut que tu comprennes qu’à partir d’aujourd’hui, Sandra, c’est MA FEMME.
Je ne sais plus quoi dire, à part sangloter et pleurer toutes les larmes de mon corps.
— Rassure-toi, il n’y aura pas de divorce. Sandra tient quand même un peu à toi. Ce qu’il va se passer, c’est que nous allons "faire ménage à trois". Je serai l’amant régulier à Sandra, même un peu plus, puisqu’elle fera régulièrement des stages chez moi. Toi, de ton côté, lorsqu’elle sera chez vous, tu respecteras les règles imposées : un rapport intime le mardi soir, si tu accomplis bien les préliminaires, uniquement par sodomie, et avec préservatif. Au lit, autrement, tu ne la touches plus. Et tu dors en pyjama.
— Pour la suite, nous pratiquerons, à l’avenir, des variantes érotiques, serons un couple libertin. Nous pourrons pratiquer l’échangisme, le trio avec des hommes, ou femmes, la partouze, le gang-bang, irons en club libertin, en sauna. Bien sûr, ces pratiques seront faites entre moi et ma femme. Toi, tu n’auras droit qu’aux récits de nos escapades.
— Par contre, comme je te l’ai déjà dis, il pourra arriver que Sandra ait des amants, d’un soir ou non, qui viennent la baiser chez vous. Tu suivras donc les consignes que tu connais.
— Donc tu vas "digérer" tout ça. Je te conseille d’accepter rapidement la situation, ça t’évitera de te mettre dans des états pareils, encore que je te comprenne, toi qui étais jaloux. Ca fait un choc.
— La première chose à comprendre et admettre, c’est que Sandra n’est plus ta femme, mais la mienne. D’ailleurs, donne moi tout de suite ton alliance.
Je pleure, pleure encore.
Sandra vient près de moi, prends ma main gauche, enlève mon alliance.
Vas de l’autre côté du canapé.
— Avec un peu de chance, elle t’ira mon chéri
Elle lui passe la bague.
— Jackpot !! Elle te va à merveille chéri !!!
— Regarde cocu, mon nouveau mec !!
Je relève à peine la tête.
— Sandra passera demain chercher des affaires, elle s’installera à moitié chez moi. Normal, puisque nous sommes désormais en couple. Le mieux est qu’elle vienne habiter à la maison du jeudi soir au dimanche. Qu’en penses-tu ?
— SnifMais Sandra je t’aime.. Je ne veux pas te perdreSniff
— Ecoute Philippe Mon amant me baise super bien, je kiffe sa grosse queue. Et il sait s’en servir, crois moi ! Je n’ai jamais baisé et jouit comme ça en 7 ans avec toi. Alors c’est normal que j’aille vers lui. Normalement, je devrais m’installer avec lui et divorcer. Mais il accepte qu’officiellement, sur les papiers, nous soyons encore monsieur et madame, même si je suis aujourd’hui en couple avec lui Alors tu devrais plutôt être heureux et le remercier. D’autant que je serai à la maison les lundis, mardis et mercredis, ce n’est pas mal, non ? Alors, qu’en penses tu ?
— Sniff Je n’ai pas le choixJ’accepte. bouhhhhh..
Il prend la parole.
— Très bien. Je préfère te voir comme ça, soumis, c’est plus facile. Pour les jours de présence de ma femme à la maison, le jeudi c’est bien, ça nous laisse vendredi, samedi et dimanche soit pour baiser, soit pour des expériences libertines.
— Autre chose à t’annoncer. Puisque nous sommes désormais "EN COUPLE" et que tu acceptes la situation et acceptes d’être cocu, il va falloir officialiser pour tout le monde, notamment le lotissement, que nous sommes ensemble, Sandra et moi. Aussi dès demain, allons nous montrer dehors, "montrer notre amour", c’est-à-dire nous balader en nous tenant par la main, par la taille, nous embrassant Idem dans la ville, et auprès de nos amis respectifs.
— Sniff Oh non…Je vous en prie, ne faites pas çaPas çaNonJe vous en supplieSniff
— Hélas, c’est pourtant obligatoire, soumise. Il faut que les gens comprennent que nous sommes "en couple" Sandra et moi, et que tu es cocu.
— Ne sois pas inquiet. Ce n’est qu’un mauvais moment à passer, et ça ira vite. Une fois que les gens nous aurons vu en couple une fois ou deux, ils auront compris et ça jasera. Rien qu’au lotissement, la nouvelle se répandra comme une traînée de poudre, tu verras
— Si on te pose des questions, tu diras que je suis devenu l’amant de ta femme, et que tu as finis par accepter la situation pour ne pas la perdre totalement. Les gens te comprendront mieux.
— Bien. Tu vas rentrer chez toi. Nous, nous allons dîner, car Sandra rentre chez vous demain lundi, et nous avons encore une belle nuit de baise qui nous attend !
Ne tenant plus debout, sous le choc, je rentre à la maison. Je ne crois pas ce que j’ai entendu. Comment vais-je pouvoir accepter tout ça ? Que ma femme vive avec lui ? Tout ça parce que j’ai eu le malheur de ne pas avoir un gros sexe.
Cette nuit là, je ne dors pas.
Je pars travailler. Pas de nouvelles. Je rentre le soir, meurtri. Sandra est bien présente.
— Sandra, ma chérie !
Je ne vois pas la gifle arriver.
— Imbécile ! C’est le divorce, que tu veux ??
— Tu veux que j’appelle mon amant ?? Tu n’as pas encore compris ?
— Comment je m’appelle ??
— Mademoiselle.mademoiselle
— Alors arrête tes familiarités si tu ne veux pas rater le "rendez-vous du mardi", compris ?
— Oui Mademoiselle, oui.
— Tu as reçu les pyjamas, au fait ?
— Oui Mademoiselle ils sont rangés dans l’armoire.
— Très bien. Alors chaque soir, tu vas à la salle de bains enfiler ton "tue l’amour", avec un slip en dessous.
— Oui, j’ai compris.
J’ai donc commencé ce soir là ma "nouvelle vie". J’ai préparé le repas, mis et débarrassé la table, etc
A un moment le téléphone sonne. Je décroche. Le passe à Sandra.
"C’est votre amant, Mademoiselle"
Ils discutent pendant que je fais les tâches ménagères, elle rit.
-Oui, ça va à peu près. Mais elle a du mal à accepter. Bon, cela dit, au bout d’un moment, ca viendra, il faudra bien.
— D’accord chéri, je te la passe.
— Soumise ! Mon amant veut te parler.
Je prends le téléphone.
— Je voulais t’informer que demain mardi, pendant que tu seras au travail, nous allons commencer à nous afficher en couple avec ma femme. Donc ne sois pas étonné si les gens du lotissement te regardent d’un autre il. Nous allons nous balader et faire trois ou quatre fois le tour du lotissement main dans la main, nous nous arrêterons quelquefois pour nous embrasser quand nous verrons une voiture arriver ou quelqu’un dehors. Ensuite, une fois que deux ou trois nous aurons vus, ça va vite faire le tour. Commencerons le matin vers 9 heures, et une autre fois l’après-midi vers 15 heures.
— Ca va être une période difficile pour toi, à cause des voisins, bien sûr, mais il faudra également t’habituer à nous voir nous balader en amoureux.
— Faites ce que vous voulez, je n’en peux plus
— Très bien Tu commences à comprendreTu acceptes la situation, c’est bien. Dis toi que tu n’as pas le choix. Alors, il faut être soumis et obéissant, c’est ton intérêt. Plus tu seras soumis, moins tu souffriras, et mieux tu seras vu par ton "ex". Il faut que les lundis, mardis et mercredis se passent bien. Sinon, elle ne voudra plus de cet arrangement et viendra vivre définitivement avec moi. C’est ce que tu veux ?
— NonNon ! Je ne veux pas çaNon.
— Alors respect, soumission totale et obéissance totale à nos ordres et désirs ?
— Oui…Oui j’obéirai à tout, Monsieur.
— Très bien, j’aime mieux ça !!
— Passe moi ma femme s’il te plaît.
Je lui repasse Sandra.
— Très bien chéri. Tu as mis ça au point ? Parfait. Oui, le plus tôt est le mieux. On commence demain matin, d’accord. Et "piqûre de rappel" l’après-midi ? Oui ça vaut mieux, on double les chances. Encore qu’avec les grandes langues qu’ils ont dans le lotissement, la nouvelle va aller vite, lol !!!!
— Le cocu ? Il va s’habituer. De toutes façons, on ne lui laisse pas d’autre alternative. D’ailleurs je ne suis là les lundis, mardis et mercredis qu’à l’essai. Soit il fait ses preuves en étant soumis, obéissant, respectueux, soit l’essai peut ne pas de prolonger Il le sait. Il a pris une baffe en rentrant ce soir, d’ailleurs Pourquoi ? Eh bien figure toi, amour, qu’il rentre avec un grand "Sandra chérie !". Je me suis demandée si il le faisait exprès ou si il nous provoquait, mais ma main est partie toute seule. Oui, tu penses que j’ai bien fais !! OK, je lui dis. Des bisous là où tu aimes, au revoir amour !
— Mon amant veut te voir immédiatement !
J’étais en décontracté. Je m’habille. Je sonne. Il me fait entrer. Je me mets nu.
— Ma femme vient de me raconter que tu avais été incorrect avec elle en rentrant ce soir. Ca commence mal ! Je sens que les lundis, mardis et mercredis vont vite s’arrêter
— Non je vous en prie Monsieur, pas ça
— Je vais te punir. Cette fois c’est trop grave. Je suis à deux doigts de faire installer ma femme définitivement chez moi tu sais Alors je te donne une dernière chance.
— Tu vas prendre une punition. Tout d’abord, je vais accentuer ta soumission, je te veux vraiment obéissante à tout. Pour cela, nous allons commencer, Sandra et moi, ta FEMINISATION. C’est-à-dire que tu vas commencer à vivre et te comporter comme une femme. Ca va passer du port de sous-vêtements féminins, en passant par la lingerie, nuisettes transparentes, robes sexy et moulantes, hauts talons, porte-jarretelles et bas, etc Cette féminisation accentuera ta soumission, tu verras, c’est radical.
— Outre cela, il va falloir aussi agir comme une femme : tu vas connaître les jeux de godes, que tu vas prendre dans le cul. Ouvrir ton petit cul fait partie intégrante de ta soumission. Godes dont tu te serviras pour apprendre la fellation.
— Ensuite, lorsque tu seras bien soumise et féminisée, habituée à tout ça, il faudra penser à rencontrer des hommes.
— NON ! Pas ça, non !!!!!
— Ecoute, je te laisse 5 petites minutes pour me donner ta réponse : la féminisation ou le divorce.
Je me mets encore à pleurer. Le temps s’écoule.
— Alors soumise, les 5 minutes sont passées. Qu’as-tu choisis ? La féminisation ou le divorce ?
— SniffSalaudSalaud.
— Ta réponse, salope, vite !!!
— SniffLa féminisation.
— Très bien. Prends mon téléphone, et envoie un SMS à ma femme. Avons longuement parlé de ta féminisation, elle est au courant. Tu lui envoies un SMS. Tu ne lui parles pas de la punition, mais tu lui demandes d’être féminisée.
Je prends le clavier.
"Mademoiselle. Je viens d’en discuter avec votre amant. Il se trouve que je ne suis pas encore assez obéissante, pas assez soumise. Je crois qu’il a raison. Pour être plus soumise, il faudrait que je sois féminisée. Je crois que c’est la meilleure solution pour que je devienne vraiment obéissante, comme vous le souhaitez vous et votre amant".
Il lit le SMS.
— Très bien ! Tu vois quand tu veux Envoies !
J’envoie le message.
SMS !
"Je crois, vu ton attitude, que c’est effectivement la meilleure solution. Nous voyons ça très vite avec mon amant, et nous allons commencer ta féminisation le plus rapidement possible, car tu en as vraiment besoin".
— Parfait. Tu as vu sa réponse. Demain, on en discute et on te prend en mains très rapidement ! Rentre chez toi maintenant.
Je rentre chez moi. Sandra est au lit en train de lire.
Je passe directement à la salle d’eau. En slip, j’enfile le "tue l’amour" : pyjama veste et pantalon bleu foncé.
Je rentre dans le lit.
— Bonne nuit Mademoiselle. Dormez bien.
— Bonne nuit salope. Pense que bientôt, tu auras peut-être droit à une jolie nuisette noire transparente avec un joli string ficelle dessous. Tu seras très désirable, tu verras !
Elle rit.
Le lendemain n’est pas rose pour moi. Je pense à ce qui va se passer.
11 heures. SMS !
"Mission accomplie. Nous nous sommes baladés le matin à 9 heures durant une petite heure dans tout le lotissement. Main dans la main, se tenant par la taille, et même quelques pelles lorsque nous avons vu du monde. Je pense que 5 ou 6 personnes nous ont vus. On recommence cet après-midi".
Je vais manger le cur serré. Ca y est, c’est engagé. Tout le monde va savoir.
17 heures. SMS !
-Avons recommencé notre petit manège. Avec succès. Les gens partaient chercher les enfants à l’école, donc plus de monde. Au moins une dizaine de gens cette fois là. C’est bien parti ! Je pense que dans quelques jours, tout le monde sera au courant !".
Je rentre quelques temps plus tard à la maison. Sandra regarde la télé. Je me mets immédiatement aux tâches ménagères. Prépare le repas. Elle me rejoint.
-Mon amant t’a raconté pour nos deux balades ? Tout s’est très bien passé. On peut dire que pas mal de gens du lotissement nous ont vu "en amoureux". Donc, tu imagines la suite. Dans quelques jours, tu seras "le cocu".