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Comment ma femme s'est dévergondée – Chapitre 11

Comment ma femme s'est dévergondée - Chapitre 11



-Avons aussi parlé d’une chose importante. Comme tu le sais, pour accélérer ta soumission et la rendre définitive, nous souhaitons, mon amant et moi, te féminiser. Et nous pensons que le plus rapidement est le mieux. Plus vite tu seras féminisée, plus vite tu seras entièrement soumise et obéissante, et aussi plus vite tu pourras participer peut-être à nos jeux érotiques qui sait !

— Alors nous allons regarder dès ce soir, au lit, quelques catalogues qui vont beaucoup nous intéresser. A ce sujet, la soirée sexe du mardi est annulée. D’abord parce que je te punis pour ton irrespect de l’autre soir, mais aussi car il ne faut pas perdre de temps et commencer à te féminiser. Donc, après le repas, tu iras dans les toilettes te branler. Ensuite douche, pyjama et au lit avec les catalogues. J’ai tout ce qu’il faut tu verras.

Je me remets à la cuisine. Sert le repas, débarrasse la table.

— Allez, salope, c’est l’heure. Direction les toilettes. Vas te branler, et dépêche-toi, on ne va pas y passer la nuit.

La mort dans l’âme, je me rends aux toilettes, baisse mon pantalon et commence à me masturber. Je jouis rapidement. Nettoie la cuvette, tire la chasse et ressort.

— Ca y est ? Tu t’es vidée ?? Alors, à la douche et pyjama !

Je prends ma douche, enfile un slip et le pyjama et rejoint Sandra au lit.

J’ai envie d’elle. Terriblement. Mais je sais que je ne peux pas.

— Avant de commencer, prends ce carton que j’ai préparé, ouvre l’armoire, et mets tous tes slips, caleçons, boxers, dedans. Tout ça, c’est fini. A partir de demain, tu ne porteras exclusivement que des dessous féminins. Avant de recevoir tes commandes, je te prêterai quelques anciennes culottes à moi.

J’obéis.

— Mets ça dans le container poubelle. De suite.

Une fois fait, je reviens au lit.

Elle prend les catalogues.

— On va commencer par les dessous. Tu vas prendre un crayon et cocher des culottes dentelles, des brésiliennes, des tangas, des strings et strings ficelles. Tâche de choisir les plus féminins et plus excitants possibles !!

Je feuillette, le cur serré et coche des choix.

— Très bien. Encore que celle-ci, tu devrais plutôt la prendre en rouge, c’est plus glamour et plus excitant !

— Pour les culottes, c’est plié. On passe maintenant aux soutien-gorge. Car tu en porteras aussi, moins souvent, mais tu en porteras quand même.

-Très bon, tes choix. Celui là est vraiment mignon.

— Passons à la lingerie de nuit. Allez, les nuisettes !!

Je choisis des nuisettes satins. Sandra m’impose de cocher des nuisettes entièrement transparentes. Noires, roses et rouges.

— Prends ce déshabillé long transparent également, il mettra tes formes en valeur !

Puis vînt le tour des robes.

Elle m’en fait choisir quatre. Moulantes, ouvertes, sexy.

Plus cinq ou six mini-jupes.

Le catalogue des chaussures.

Que des talons minimum 13 centimètres.

— Très importants, les talons ! D’une part ça excite les mecs, et d’autre part, dans l’intimité, ça te creuse les reins et te fait bien cambrer !!

J’en choisis trois paires.

Viennent ensuite les porte-jarretelles, et les bas.

— Te voilà équipée, dis donc, ma salope !! Tu vas faire des ravages auprès des mecs !

Elle prend le téléphone.

— Appelle mon amant et raconte lui !

J’obéis.

— Maitre, bonsoir. C’est fait. Ma commande est prête. Toute la lingerie, les bas, les robes, les chaussures

— Parfait salope. Ma femme commandera tout ça demain sur le web.

Nous nous endormons. Le lendemain matin, mon "ex" est déjà debout.

— Bonjour salope. Tiens, dans ce carton, tu as un assortiment de petites culottes. Tu as de quoi tenir jusqu’à la réception de la commande. Tu en mets une propre chaque jour et tu les laves à la main.

J’enfile ma première culotte pour aller travailler !!!

Ca me gratte un peu, et j’ai très honte. Si quelqu’un pouvait deviner ça

La journée se passe bien. Même si j’ai beaucoup d’amertume à être séparé de ma femme, car c’est bien de cela qu’il s’agit.

Je rentre assez tôt, vers 16 heures.

— Bonjour Mademoiselle ! Vous avez passé une bonne journée ?

— Oui ça va, soumise, je me suis reposée, j’ai appelé mon amant et regardé la télé.

Je me mets aux tâches ménagères. Je passe l’aspirateur. Lave les sols. Fais la lessive.

— Au fait, soumise, j’ai passé toutes les commandes. Il n’y a plus qu’à attendre que ta nouvelle garde robe arrive !

Et elle rit, assise dans le canapé devant une série.

— Mon amant m’a fait remarquer que nous avons oublié une chose importante dans les commandes : il faut acheter quelques godemichés pour ton éducation sexuelle, c’est important. Nous verrons ça avec lui, je crois que c’est mieux de lui demander son avis.

La lessive tourne. Les sols sèchent. Je prépare le repas, épluche les légumes.

Je mets la table, nous dînons. Sandra prend la parole.

— Dis moi, ma soumise Je trouve que tu as fais de gros gros progrès ces derniers jours, vraiment La séance de fouet ne doit pas y être étrangère d’ailleurs, non ??

Je baisse la tête.

— Tu commences à te faire à ta nouvelle condition de cocu Tu acceptes que Daniel soit non seulement mon amant, mais mon nouveau mec et que je vive en couple avec lui, je deviens donc officiellement ton "ex", tu acceptes ta soumission toujours mieux de jour en jour, et tu es beaucoup, beaucoup moins rebelle qu’avant

— Tu sais, c’est mieux de réagir comme tu le fais. Ca évite le divorce, le fait que tu sois devenue une soumise obéissante simplifie les choses et excite tout le monde, et de toutes façons, tu n’avais que ce choix possible. Mon amant est un homme, un vrai, la semaine dernière, avons passé notre temps à baiser, et je peux te dire qu’il m’a fait prendre des pieds d’enfer, à m’accrocher aux rideaux ! Tu sais, il n’y a pas photo avec toi Alors bon, même si mon amant et moi on est ensemble maintenant, on conserve tous les deux une petite relation. A toi de tout faire pour la sauvegarder en étant très très obéissante !

— Car si j’avais écouté mon amant, je m’installais à temps plein chez lui, et je te quittais ! C’est moi qui ai "arrondi les angles" en lui promettant que tu allais accepter ce ménage à trois, accepter d’être cocu au vu et au su de tout le monde, et surtout que tu n’allais pas faire le cirque

— Alors comme tu es bien soumise, que tu acceptes tout, je vais quand même te faire plaisir Je ne suis pas un monstre quand même, lol ! Alors ce soir, même si nous sommes pas mardi, je vais lever la punition d’hier, et, si tu as envie, tu pourras me faire l’amour Avec les conditions habituelles bien sûr : longs préliminaires, savoir te servir de ta bouche et de ta langue pour me donner du plaisir, mettre un préservatif, et me prendre uniquement dans le cul Ca te plaît comme programme pour ce soir ??

Je me jette soudainement à ses pieds, lui embrasse.

— OhMerci Mademoiselle Merci Mille mercis Oui Oui Ca me plaît.. Ca me plaît beaucoup Enormément Suis heureuse. J’ai très envie

— Bon Tu vois, tu es à mes pieds, tu as eu la bonne réaction On dirait que c’est le "métier qui rentre" dis donc !

— Je te précise quand même que pour lever ta punition et faire l’amour hors le jour imposé, j’en ai parlé avec mon amant, et que c’est avec l’accord de mon mec que ça peut se faire !

— Il a trouvé comme moi qu’il fallait aussi savoir assouplir ta condition si tu progressais et si tu mettais de la bonne volonté, et savoir aussi quelquefois te faire plaisir sexuellement, tu en as besoin, même si tu as une petite bite.

— Cela dit, ne vas surtout pas te mettre des choses en tête ! Tu es mon "ex" et tu le resteras ! Mon mec, c’est mon amant ! Il faut que tu comprennes ça et que tu ne te mettes pas de faux espoirs en tête Compris ?

— D’ailleurs, quand je t’ai enlevé l’alliance pour la mettre au doigt de mon mec, je pense que tu as compris ce symbole très fort

— Oui Mademoiselle Bien compris. Vous êtes mon "ex", je l’ai bien compris, et vous êtes la femme à votre amant. Je resterai à ma place je vous le jure. Je ne veux pas vous perdre totalement et j’ai besoin des lundis, mardis, mercredis.

— Très bien ! C’est tout ce qu’on te demande ! Continue à réagir comme ça et tout ira bien !

— Mais bon ! Que ça ne te fasse pas oublier ta condition de soumise. Débarrasse vite la table et fais la vaisselle.

J’obéis.

— Allez, à la douche ! Je t’attends au lit pour faire l’amour.

Je prends la douche rapidement. J’arrive nu dans la chambre. Sonia est nue sur le lit.

— Non !! Tu n’arrives pas nu dans la chambre ! Tu me respectes !

— Tu files dans la salle de bains, tu mets une culotte et tu enfiles ton "tue l’amour" ! C’est moi qui te dirai si tu peux l’enlever. Rappelle toi que je ne suis plus ta femme, tu arrêtes les familiarités tout de suite !

— Oh pardon Mademoiselle Je m’excuse.. Je ne savais pas

— C’est bon pour cette fois. File à la salle de bains te préparer.

Je reviens en pyjama, la culotte en dentelle sous le pantalon.

Monte sur le lit. Embrasse Sandra dans le cou (je n’ose pas sur la bouche, je suppose que c’est réservé à son amant). Puis je descends sur les seins, commence à lécher et sucer les tétons Je bande, j’ai envie d’elle

Je suce longuement chaque téton. Elle soupire, gémit

-OuiContinue comme ça Tu me fais du bien

Puis je descends, descends

Et commence à lui lécher la chatte Consciencieusement Longuement

— Ah !!…C’est bon ce que tu me faisOui Comme çaAhhh!

Au bout d’un long moment, je la sens mouiller encore plus Elle se cabre, bouge, hurle

Elle jouit. Je lape avidement la cyprine acide qui coule dans ma bouche, puis termine en léchant et suçant le clitoris, lui arrachant des soubresauts

— Oh salaud Tu t’es surpassé dis-donc Tu m’as fais prendre mon pied Dis donc, tu sais mieux te servir de ta langue que de ta bite on dirait !!!

Elle soupire, gémit. Se repose, allume et fume une cigarette.

— Tu bandes encore, soumise ?

Rien que la voir nue maintient mon érection. Je hoche la tête affirmativement.

— Eh bien, on dirait que l’abstinence te réussit !!

— Je vais me mettre en levrette, tu vas me manger le cul, compris ?

— Oui Mademoiselle.

Elle se met en position. J’embrasse les fesses une à une. Les écarte.

Je vois son mignon petit trou. Mon visage plonge vers lui. Je lèche la rosette. Quand elle est bien mouillée, j’entre ma langue autant que je peux. Puis la sort, lèche et recommence.

— Huuummm Oui, bouffe moi bien le cul Continue

Il se passe bien 20 minutes ou je lui dévore l’anus. Je prends une pause.

— Je t’ai demandé d’arrêter ??? Bouffe moi le cul tout de suite !!

Je me remets à l’ouvrage. Elle jouit. Crie.

— Bon, salope, maintenant, prends moi !!

— Mais tu ne te déshabille pas. Tu sors ta bite de la culotte, tu la passes par la braguette. Tu restes habillée. Et tu n’oublies surtout pas la capote, c’est obligatoire !!

J’obéis. J’ouvre la pochette du préservatif et l’enfile.

La pénètre. C’est délicieux. Ma queue entre doucement, je ne veux pas lui faire mal. Glisse dans son fondement. Je la tiens par les hanches et commence le va et vient

— Allez, vas-y ! Baise moi ! Plus fort !!!!

Je la prends bien. Puis tout à coup, je ne peux plus me retenir.

— Ahh Ca y est ! Je jouisje .. jouis.

Je me soulage dans le préservatif et me retire.

Sommes allongés côte à côte. Je retire le préservatif.

— Vas me jeter ça et vas te laver !

Je fais ce qu’elle me dit. Puis elle prend ma place à la salle de bains.

Revient se coucher à côté de moi.

— Ca t’a fait plaisir, soumise ?

— Oui, énormément. J’avais tellement envie.

— Tu t’es bien occupée de moi et tu m’as bien léchée recto-verso ! Tu fais des progrès, tu m’as bien faite jouir ! Je raconterai tout ça à mon mari !

— Je t’ai un peu senti dans mon cul, mais bon, ce n’est pas la queue à mon mec, c’est sûr !! Et quand tu me prends, n’aies pas peur, vas-y ! Sois un peu plus viril !!!

Nous nous endormons.

Le lendemain matin, je fais ma toilette, change ma culotte.

Sandra prend le petit déjeuner en peignoir.

— Je vais partir travailler Mademoiselle. Nous nous voyons ce soir. Je crois que vous partez chez votre amant ?

— J’irai le rejoindre dès ton départ. Ce n’est pas la peine que je t’attende jusqu’à 17 heures, pour partir chez lui dès que tu arrives. Pas la peine de te faire du mal pour rien.

— Donc je vous dis à lundi, Mademoiselle ?

— Oui, c’est ça, je reviens dans 4 jours, lundi soir.

— Je voulais vous dire Merci, pour hier soir.

— C’est normal, c’est ta récompense. Tu nous tiendras au courant de l’arrivée des commandes, au fait.

— Oui. Bonne journée, Mademoiselle.

— Merci ! Mais comme tu te doutes, elle va être "agitée" !! Ca 3 jours que je ne me suis pas faite baiser par mon amant, et je commence à avoir sérieusement envie de sa grosse queue et de ses coups de reins ravageurs !!!

Je pars travailler. Ainsi, elle va déjà aller le rejoindre.

Je pense à hier soir. A un moment elle a dit "je raconterai tout ça à mon mari". Dans son esprit, c’est donc définitif : Daniel m’a remplacé. C’est lui désormais son "mari". Je sens les larmes monter alors que je conduis.

Et bien que j’ai aimé la baiser, j’en avais tellement envie, j’aurais tellement aimé qu’elle me fasse une fellation ! Mais que faire ? Demander pour être punie et tout gâcher, et certainement ne pas pouvoir faire l’amour ? J’ai préféré prendre ce qu’elle voudrait bien me donner. J’ai eu peu, mais c’était tellement bon. Je n’ai même pas eu le droit de me déshabiller et ai du garder cet horrible pyjama. Mais ce fût si bon quand même !!

Le jeudi se passe bien, même si j’angoisse de rentrer et trouver la maison vide, et de savoir Sandra tout à côté, dans les bras et le lit d’un autre.

Il a bien su tisser sa toile, le salaud. Depuis un an et demi, il a lui-même avoué qu’il voulait baiser Sandra. Et aujourd’hui il fait même beaucoup mieux. Non seulement il l’a baisée, mais il est devenu son amant, et a décidé se mettre "en couple" avec elle. Et pour parachever le tout, il m’a soumis, et fait de moi un cocu parfait.

Ca va être long, d’attendre 4 jours que Sandra revienne. Surtout le week-end, où je ne travaille pas, et où je la sens si loin et si proche en même temps. De l’imaginer faire l’amour avec lui.

Quand je rentre, je suis amer. J’ai le cur gros de voir que Sandra n’est plus là.

Je regarde dans les placards, elle a laissé le strict minimum de vêtements.

Je pourrais refaire ma vie, mais je l’aime tellement. Depuis que nous sommes ensemble, ça fait 7 ans, je n’ai jamais regardé une autre femme et n’en regarderai jamais une autre, suis trop amoureux de Sandra.

C’est vrai, même si elle m’a dit le contraire, j’espère secrètement qu’elle me reviendra. Alors je pourrais lui pardonner tout. Oublier son amant, oublier cette épreuve.

Il fait chaud. J’ouvre la porte-fenêtre je les entend parler de l’autre côté. Je me demande si je dois aller sur la terrasse. Ca va me faire mal d’entendre Sandra de l’autre côté. Et ils vont penser que je les espionne.

La soirée se passe ainsi.

Le vendredi, vers midi, SMS ! C’est l’amant.

"Tu passeras ce soir, il y a du ménage à faire, et nous devons te choisir quelques godemichés".

La journée passe. Je rentre. Vais sonner.

— Salut soumise !

— Bonjour Maître.

Je me déshabille tout de suite entièrement.

— Vas voir ma femme sur la terrasse, elle va te dire ce qu’il y a à faire.

Je me rends sur la terrasse. Sandra est en mini-short et t-shirt, hauts talons rouges.

— Bonsoir Mademoiselle

— Tiens te voilà, toi ! Tu as une tonne de repassage à faire ! Allez, vas y !

Je repasse pendant trois heures, de 17 h à 20 heures.

Lorsque je viens dans le salon pour leur dire que j’ai terminé, j’entends des gémissements.

Il sont nus tous les deux. Lui est assis sur le canapé, tandis que Sandra, à genoux sur le carrelage, le suce consciencieusement.

— Euh Excusez-moi, j’ai terminé le repassage

— Tu vois bien que nous sommes occupés, bordelahhoui.c’est bon.

— Assieds toi en face et profites du spectacle !!

Je m’assieds juste en face.

Je vois Sandra continuer longtemps la fellation. Il grogne, soupire. Elle prend sa grosse queue en bouche, la lèche, lèche les couilles, titille le gland.

Puis il la fait se relever.

— Viens t’empaler sur moi !

Sandra me tourne le dos, l’enjambe, et se laisse tomber sur le membre.

Il la tient aux hanches, lui imprime le mouvement.

Je vois ma femme se faire baiser par son amant. Ils prennent beaucoup de plaisir tous les deux.

Il la fait changer de position. Toujours empalée sur lui, mais dos à lui. Sandra me fait face. Je vois clairement la queue enfoncée dans sa chatte. Elle se lève et se laisse retomber en rythme Ses seins balancent au rythme de la baise Seins qu’il pelote quelquefois. Tous deux gémissent et crient Il la fait se retirer.

— Mets toi en levrette !!

Elle se met à quatre pattes sur le canapé.

Il la besogne. Fort. Elle crie, hurle.

Et soudain, il part.

— Ahhh Ca y estTiensTiens, prends tout, ouiii.

Il reste planté en elle. Sandra a tout pris dans la chatte.

Au bout de quelques minutes, il se retire. Toujours en érection.

— Putain Ca fait du bien de tirer un coup !!

Sandra réclame de l’essuie-tout et se met debout.

Je vais lui chercher le rouleau. Elle prend des feuilles et s’essuie le sexe, puis va à la salle de bains.

Il reste bien 10 minutes la bite dressée. Je ne sais pas comment il fait pour maintenir si longtemps une érection après avoir éjaculé, et surtout à son âge !

Elle revient, l’embrasse longuement sur la bouche, et il va se laver à son tour. Sandra enfile une nuisette en satin.

Puis il revient.

— Bon ! Il est trop tard pour regarder les godemichés, nous verrons ça plus tard. Rhabille toi et rentre chez toi, nous allons dîner.

Le lendemain samedi, le facteur livre plusieurs colis. Je sais ce qu’il y dedans !!

Je les entrepose dans la chambre.

J’ai une envie folle de voir Sandra. La séparation est vraiment très très difficile. Mais je ne peux rien faire, qu’attendre que lundi arrive enfin.

L’après-midi, je vais faire la sieste, histoire d’oublier. A mon réveil, un SMS. Accompagné de quatre photos. Sandra en train de sucer son amant, à quatre pattes lui en train de la prendre, les fesses et les reins souillés de sperme la queue sortie sur les fesses, et la dernière, le visage à Sandra maculé de sperme : joues, paupières, front, cheveux, lèvres, menton.

Il n’y a pas de texte. La dernière photo me tord les tripes. Le beau visage à Sandra plein de sperme, c’est dégoûtant et humiliant.

Je me demande si je dois répondre. Je m’assied sur le lit et tapote.

"Merci pour les photos. Je vois que vous prenez beaucoup de plaisir tous les deux, je suis heureuse pour vous".

Je reçois la réponse.

"Merci ! Effectivement, n’arrêtons pas de nous envoyer en l’air. Regarde bien les photos de ma femme et branle-toi. Ca te fera du bien, tu verras. Jouis sur ton ventre et envoie nous la photo du sperme sur toi.".

Il a gagné. Les photos m’excitent. Je n’en peux plus. Je me déshabille entièrement et m’allonge sur le lit. Je me masturbe en regardant les clichés. Celui du visage à Sandra maculé de sperme déclenche mon éjaculation.

Je crie. Ferme les yeux, épuisé. Au bout de dix minutes ou j’ai soupiré et haleté, je reprends conscience. J’ai le ventre et la cuisse gauche plein de sperme. Je prends vite le téléphone et fais deux photos.

J’envoie vite le SMS.

"Voilà les photos demandées Maître et Mademoiselle. En espérant qu’elles vous plairont".

Ils ne répondent pas.

Vers 20 heures, SMS !

"Pas mal ton ventre couvert de sperme ! Il faudra faire ça plus souvent. Tu as aimé nous voir faire l’amour, hier ?".

Je réponds.

"Oui, bien sûr, j’ai beaucoup aimé regarder vos ébats. C’était très beau et excitant. J’ai beaucoup aimé voir votre femme empalée sur votre grosse bite et l’entendre prendre son pied. Et vous voir éjaculer dans sa chatte m’a beaucoup excitée".

"Eh bien tu vois ! Tu commences à prendre du plaisir à voir Sandra se faire défoncer à fond ! Il faudra que tu assistes plus souvent à nos séances de baise, ça te fera progresser et t’excitera à mort. Ainsi quand tu rentreras chez toi, tu pourras mieux te branler. Bye".

Le dimanche, je fais la grasse matinée prend mon petit déjeuner vers 10 heures.

10 h 30. Téléphone.

C’est lui.

"Il faut que je te raconte ! Suis allé ce matin à la boulangerie et j’ai rencontré Laurent, tu sais, du 14, en haut de la rue des Acacias. En sortant, on a discuté pas mal de temps sur la place, et il en est venu à ce que tu penses, car il nous a vus main dans la main avec Sandra l’autre jour

— Dis moi Daniel, je t’ai vu passer avec une jolie nana, l’autre jour, une jeune Ce n’est pas la petite d’à côté de chez toi, j’ai cru la reconnaître ?

— Si, si, c’est bien elle, c’est Sandra.

— Excuse moi si je suis indiscret, mais bon, vous aviez l’air"très proches" quand je vous ai vus Vous vous teniez par la main je crois

— Tu as bien vu Laurent ! En fait, on se promenait "en amoureux" !

— Ah bon ? Rien que ça ??

— Oui, en fait, je l’ai remarquée dès qu’ils sont arrivés il y a un an et demi. Elle m’a plu de suite. Il faut dire qu’elle est plutôt attirante Tu as vu la paire de nibards qu’elle se traîne ? Et son cul d’enfer ?

— Et alors, que s’est-il passé ?

— Dès qu’ils sont arrivés, je l’ai draguée doucement, par des petites allusions, de plus en plus précises

— Et ça a marché ?

— Oui ! Plus que de raison ! Et même si j’ai mis un an et demi, je suis arrivé à mes fins ! Tout récemment, je suis devenu son amant.

— Oh dis donc !!! Et tu t’affiches dehors ouvertement avec ??

— Oui, bien sûr ! Il faut dire que depuis dimanche dernier, nous nous sommes mis officiellement "en couple".

— Ah bon ??? Et le mari, comment il réagit ???

— Le mari a eu du mal à admettre la situation au début, d’autant qu’il était jaloux. Mais pour tout te dire, il n’est pas "gâté par la nature" et a toujours eu du mal à faire jouir sa femme. Je lui ai expliqué tout ça et il a fini par comprendre.

— J’ai commencé par devenir l’amant de sa femme, il l’a accepté, mais le plus dur pour lui, ça lui a vraiment procuré un choc, c’est quand dimanche je lui annoncé que sa femme et moi étions "en couple". Là il chialait toutes les larmes de son corps.

— Alors ça y est, c’est le divorce ?

— Non, pas du tout. Ils ont la maison à payer, tout ça. Et sa femme ne voulait pas se séparer comme ça. Alors on a convenu de plusieurs choses, comme par exemple qu’elle vive la plupart du temps chez moi, mais elle va passer les lundis, mardis, mercredis avec lui.

— Vous faites un peu ménage à trois alors ?

— Non, pas exactement. Car quand elle passe les trois jours chez lui, il n’a droit qu’à un seul rapport sexuel, et encore si il s’acquitte bien des préliminaires -c’est Sandra qui prend la décision-, et il doit utiliser impérativement un préservatif, et la pénétrer par derrière exclusivement, sa chatte m’étant réservée.

— Oh dis donc !! Il accepte tout ça ????

— Oui, il n’a pas le choix. Il est devenu cocu-content. Il faut dire qu’il a un naturel soumis que j’ai su révéler. Je suis en train de le "prendre en mains".

— Ah bon ? En plus il est soumis ??

— Oui ! Un peu plus chaque jour ! D’ailleurs l’autre jour, il n’avait pas été assez obéissant à notre goût, et Sandra a eu l’occasion de le fouetter ! Ca s’est passé sur notre terrasse.

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