A genoux, je dois écouter ça
— Je vais jouir sur elle, partout Du sperme sur ses seins, son ventre, ses fesses, ses reins, et même sur son visage Et plus tard, je lui inonderai même la chatte de sperme ! Elle en prendra plein le ventre !!
— Tu vas voir, tu vas aimer ça d’être cocu !! Toi aussi, tu en redemanderas, tu verras !!
Il se remet à rire.
— Quand tu seras bien soumis, tu auras peut-être le droit de nous regarder baiser, et de la voir bien bouger, empalée sur mon pieu !
— Bon, il se fait tard ! Sandra va s’inquiéter ! Lève toi et rhabille-toi !
Je me lève. Il me regarde enfiler mes sous-vêtements et vêtements.
— A l’avenir, tâche d’être plus soumis ! Je te trouve encore très rebelle ! Sache que je peux te punir si je ne suis pas satisfait de toi.
Je rentre chez moi totalement abasourdi.
Ainsi, il veut ma femme. Toute cette histoire où je dois être cocu, c’est en fait pour baiser ma femme.
Mais jamais Sandra n’acceptera ses avances.
Et pourquoi dois-je lui obéir ? Encore aujourd’hui, il m’a fait mettre entièrement nu devant lui, a pris des photos perverses de moi.
Et s’il s’en servait contre moi ?
Je devrais réfléchir, et mettre les choses au point avec lui.
Le lendemain matin en me levant, je pense encore à cette histoire.
Dans la voiture pour me rendre au bureau, je reçois un SMS.
C’est lui.
"Je vais inviter ta femme à prendre le café après le déjeuner".
"Je vais commencer la drague".
Non II continue.
Je ne sais quoi faire. Je sens cette boule revenir dans mon ventre et dans ma gorge.
Que faire ?
10 heures. Nouveau SMS.
"Je n’ai même pas eu à appeler ta femme, elle est venue me rendre un outil".
"Rendez-vous est pris pour 13h 30. Penserai à toi en la draguant".
12h 15. Au restaurant d’entreprise, j’ai peine à avaler le plat du jour.
Je n’y tiens plus. 12h 30. J’appelle Sandra. Répondeur.
L’angoisse m’étreint. Et si elle était chez lui ??
12h 45. Répondeur.
Je sors de la cantine. Rejoins mon bureau.
13h 15. Toujours répondeur.
Alors que je m’angoisse, nouveau SMS.
13h 35. "Elle vient d’arriver, plus belle et excitante que jamais !".
"Jean moulant, t-shirt moulant, talons hauts".
Il veut me rendre jaloux. Il y parvient totalement.
13h 40. SMS.
"Je prépare dans le café. Elle m’attend sur le canapé. Elle est bandante".
13h 45. SMS
"Je vais servir le café. Je te laisse. J’ai mieux à m’occuper".
J’appelle Sandra. Répondeur !
Les minutes durent des heures. Je m’imagine le pire.
Je mets la tête la première dans mes dossiers, pour occuper mon esprit.
16h 30. SMS.
"Ta femme vient de partir. Tout s’est très très bien passé !".
"Rendez-vous chez moi dès que tu sors du bureau".
A mon retour à 18 heures, je me gare directement chez lui.
Il m’ouvre, j’entre dans le salon.
Il me regarde fixement.
J’enlève mes chaussures. Mes chaussettes.
Bientôt, je suis nu. Il s’assied dans le fauteuil. Moi, face à lui, nu, place mes mains derrière ma nuque.
— Très bien. Ca commence à rentrer.
— Je suis sûr que tu es venu dans le but de me demander des explications, pas vrai ?
Je hoche la tête. Il éclate de rire.
— Mais mon pauvre Philippe, tu n’es qu’un soumis, un cocu. Ici, c’est moi qui commande !
— Tu n’es pas venu pour rien. Je vais te raconter mon après-midi avec ta femme.
— Mais avant, A GENOUX !!
J’obéis, me voilà à genoux devant lui.
— Sandra est arrivée à 13h 30 pour le café, comme prévu. Diablement sexy pour une visite à son voisin, tu sais !! Jean moulant, t-shirt moulant et transparent, soutien-gorge blanc apparent, hauts talons. Drôle de tenue pour une visite de courtoisie tu ne trouves pas ??
— Donc je lui ai offert le café, moi assis à côté d’elle sur le canapé, bien sûr. Et nous avons parlé de toi !
— Comment ça de moi ???
— Oui. De tout ce que je t’ai dis. De la taille de ta bite. Du fait que tu ne devais pas "lui faire beaucoup de mal" avec une aussi petite bite. Elle a confirmé ce que je te disais. Elle a du mal à jouir avec toi. Elle ne te sent pas !
Je me mets à éclater en sanglots. Je baisse la tête. Il continue.
— Je lui ai dis ce que je t’avais expliqué, et que tu acceptais de devenir cocu.
— Elle m’a dit "Quoi ? Il accepte que j’ai des aventures ?? Il ne m’en a jamais parlé".
— J’ai affirmé que tu faisais de progrès chaque jour, et que tu étais entré en voie de soumission.
— Elle m’a répondu que ça ne l’étonnait pas, qu’elle avait remarqué que tu avais des "tendances à ça".
— Avons parlé longuement de votre sexualité, et elle a bien convenu que la meilleure solution pour votre couple était effectivement qu’elle devienne infidèle et prenne des amants. Elle a même dit que c’était mieux pour tout le monde !
— Voilà pour l’essentiel. Je peux te dire que ses yeux brillaient et qu’elle était délivrée d’un poids ! D’ailleurs je peux te dire qu’elle a envie de queue, vu comme elle s’est habillée pour venir me voir, et comme elle m’a regardé tout l’après-midi !
— Donc il se faisait tard, je l’ai raccompagnée à la porte, et, pour lui dire au revoir, je l’ai embrassé deux fois dans le cou!
— Elle m’a juste dit "Ohcoquin!".
Je continue à pleurer, à sangloter.
Il revient avec l’appareil photo. Prend des clichés.
— Mets toi debout ! Va t’allonger le torse sur la table de salle à manger, et tends le cul !
— Mieux que ça ! Cambre toi ! Offre toi bien !
L’appareil mitraille.
Puis
— Ecarte tes fesses avec tes mains !
— Oh nonPas ça Je vous en prie
— Ecarte tes fesses avec tes mains j’ai dis !!
La mort dans l’âme, mes mains arrivent sur mes fesses, les écartent.
L’appareil fait son uvre.
— Eh bien voilà ! Quelques photos de ton petit trou !!
Je me remets en position sur la table.
— Je ne t’ai pas dis de bouger !!!
Je recommence. J’écarte mes fesses avec mes mains.
Il me laisse ainsi au moins un quart d’heure. Bois un whisky.
— C’est bon ! A genoux devant moi !
Je me mets en position.
— Donc, voilà, c’est commencé la drague de ta femme. Je vais aller crescendo et bien la chauffer encore avant le repas de dimanche.
— Ne t’inquiètes pas. Maintenant, ça va aller vite. Tu vas être cocu très vite. Elle est bien chaude, elle n’attend que ça !
— Ca suffit pour aujourd’hui ! Lève-toi et rhabille-toi. Et chez toi, pas un mot de ce que je t’ai raconté, compris ?
Je hoche la tête.
Je rentre chez moi. Ma femme est joyeuse, ne me parle de rien.
J’ai énormément de mal à m’endormir.
Le lendemain, à 10 heures, au bureau, SMS.
" J’ai invité ta femme à déjeuner chez moi, en amoureux".
Le salaud !
Je sais qu’il est inutile que je bombarde Sandra d’appels. J’ai compris. Ce serait le répondeur.
Midi. Suis au restaurant d’entreprise. SMS.
"Sandra est là. Mini-short en jean, t-shirt léger, sous-tif apparent, hauts talons. Elle a tout ce qu’il faut là où il faut".
"Ca va être chaud !".
L’angoisse.
L’après-midi se déroule.
17 heures. SMS.
"Ca y est ! J’ai emballé ta femme !"
"Deux séries de mégas pelles et galoches, c’était chaud bouillant !!".
Le soir, je me rend directement chez lui.
En deux minutes, je suis nu et à genoux.
Dans son fauteuil, whisky en main, il raconte.
"Lorsqu’elle est arrivée, je lui ai fais un bisou dans le cou. Elle m’excitait avec sa tenue, les cuisses à l’air, le cul moulé dans son short et ses seins dans le t-shirt collant".
"Avons rapidement déjeuné. Au moment où j’allais aller préparer le café, la radio a diffusé un slow "Hôtel California". Je l’ai bien sûr invitée à danser.
Dès le départ on s’est collé. J’ai commencé à l’embrasser plusieurs fois dans le cou, à lui caresser les hanches. Puis ça été la première "pelle". Suivie d’une série de pelles et galoches à n’en plus finir pendant toute la durée du slow.
Puis je l’ai entraînée et allongée sur le canapé. Nouvelles séries de pelles. Je lui ai dis "j’ai envie de toi" tout en lui pelotant les seins et l’embrassant à pleine bouche. J’ai encore dit "envie de toi"Elle m’a répondu "Oh ouibaise moi !"
J’ai continué à la peloter, sa main a cherché ma braguette, elle m’a caressé la queue à travers le pantalon, m’a dit "mon salaud, tu bandes..", puis "elle est dure dis donc !!"
— Mais je te rassure, ça n’a pas été plus loin, car la première fois, je veux la baiser devant toi, c’est important ! Et je savais que si je la déshabillais ou si je me faisais sucer, je n’aurais pas pu me retenir et je l’aurais niquée !
Je baisse la tête. Vaincu.
-Après-demain, vous venez déjeuner à la maison. Ca va être chaud, autant t’y préparer!
— Rhabille-toi et rentre chez toi, je t’ai assez vu !
Pendant que je me rhabille, il me dit :
— Tu vas voir, je vais bien m’occuper de ta femme. Elle va devenir accroc à ma bite, tu verras !
Le lendemain samedi, nous allons faire des courses le matin. L’après-midi, appel sur le portable à Sandra. Elle s’isole dans la chambre. Au bout d’un moment je l’entend rire. C’est lui, c’est sûr.
Elle sort de la chambre au bout d’une demi-heure, sans rien me dire.
Dimanche matin.
Nous prenons le petit-déjeuner, suis très très angoissé à l’idée de devoir aller déjeuner chez Daniel.
Sandra, elle, ne manifeste aucune émotion.
11 heures. Elle se prépare, se maquille.
Arrive dans le salon. Robe crème moulante, décolletée et transparente. On voit son soutien-gorge noir et sa culotte noire en dentelle. Hauts talons.
— Eh bien ? Tu dors ? Tu as vu l’heure ? Il est midi moins dix !! On y va !!
La mort dans l’âme je mets mes chaussures. Nous sortons et sonnons chez Daniel.
Il ouvre la porte, souriant. J’entre. Me retourne.
Il embrasse Sandra sur la bouche ! Un baiser rapide.
— Bonjour toi !!
— Dis-moi, tu es toute belle aujourd’hui ! Diablement sexy !! C’est pour moi que tu t’es faite si belle ??
Pour toute réponse, elle envoie un baiser de ses lèvres en sa direction !
— Je vous ai préparé un bon déjeuner ! Saumon fumé et blinis, carpaccio de buf au parmesan, et moelleux au chocolat
Nous prenons place pour l’apéritif. Il dévore Sandra du regard. J’ai envie de me lever et partir.
Le repas se passe. Café.
— Avant le champagne, comme il fait beau, je vous propose de passer sur la terrasse pour bronzer un peu !
Arrivons sur la terrasse. Sandra s’exclame.
— Mais il faut passer chez nous chercher nos maillots !
— Pas besoin, Sandra, nous sommes entre amis. On peut bronzer en sous-vêtements, c’est tout aussi sympa !
Il enlève son short et sa chemisette. Apparaît en slip.
Sandra retire très vite sa robe. En soutien-gorge, culotte et hauts talons elle s’allonge sur le transat.
J’enlève mon pantalon, ma chemise et m’allonge en slip.