(Antonin a le langage d’un adolescent de 19 ans, de ce fait son français est loin d’être parfait)
Rudolph déposa avec vigueur sa main de poker sur la table :
« Quinte !
— Pas mieux (paire d’as)
— Moi non plus, (brelan de reines)
— Et merde ! (pas une main)
— Double paire, messieurs et madame !
— Désolée les jeunes ce n’est pas moi qui me foutrait à poil la première (paire de rois) »
Je fus alors obligé de monter sur ma chaise, bien au vu de tous et d’enlever mon teeshirt, sous les regards goguenards de tous, même de ma mère , en face de moi
De rage je l’envoyais dans la figure de Kevin ; ce dernier ne broncha pas, il savait qu’il avait tous les atouts en main, dans la vie réelle j’entends.
En effet rien ne s’opposait alors a ce que Caroline, ma mère ne se dévête devant ces mâles basiques et stupides
La question était de savoir jusqu’où elle irait
Mais si ça devait se terminer en partouze, j’allais péter un câble, je lui exploserais la tête a ce conard de Kevin, et ma mère, je lui ferai la gueule pendant très longtemps.
Mais ce qui me mettait le plus en rage, c’était que si les choses se déroulaient ainsi, c’est parce que c’était moi qui avait présenté ma mère « sur un plateau » à l’appétit lubrique de ce merdeuxen définitif, il se pouvait que le merdeux en question, ce soit plutôt moi.
Au poker, c’est toujours le type à ta gauche qui parle. La table était disposée de la façon suivante,à partir de Rudolph, en allant vers la gauche :
Jean-Louis, Denis, moi, Kevin de l’autre côté et enfin cette chère Caroline, je ne savais pas encore si je devais la considérer comme ma génitrice ou une pute de bas étageles deux heures suivantes allaient me donner la réponse.
Kevin et Rudolph qui ne devaient pas être à leur première partie de « Strip » avaient choisi la version « poker à allure modérée », c’était plus abouti que le poker version rapide, mais plus jouable que la version avec les jetons.
C’est-à-dire que c’est celui qui a la plus mauvaise main, ou qui se couche qui se fout à poil.
Les seconds et troisièmes tours virent Rudolph et Denis se retrouver eux aussi torse nu.
L’alcool coulait à flot, car une fois le punch terminé, ma mère m’envoya chercher des bières. 2 caisses de 24 il y avait de quoi faire
Ma mère n’était pas la dernière à se rincer, moi qui ne l’avait jamais vu boire une goutte d’alcool, mais était-ce ma mère, la femme que j’avais devant moi ?
Je ne savais plus qui c’était !
Seul, je préférais ne pas me retrouver « cartable » et garder un il lucide au cas où les choses dégénéreraient ! Je n’en étais qu’a ma deuxième, tandis que j’observais caroline vider déjà 3 canettes
Elle avait le regard brillant, les joues rouges et sa diction était parfois un peu embarrassée, mais à part cela elle savait encore se tenir.
Kevin ne pouvait plus la tripoter sous la table, puisque le jeu imposait une distance de discrétion entre les joueurs et de toute façon, il ne faisait aucun doute dans son esprit qu’il parviendrait à ses fins !
Moi, lugubre, je continuais ce poker de merdela prochaine fois j’invite des moines tibétains et on jouera au Monopolyau moins cela devrait être plus calme et pudique !
Plusieurs tours après, tous les garçons étaient plus ou moins dévêtus, avec la palme qui revenait à Rudolph, alors en slip.
D’ailleurs la situation semblait beaucoup plaire à Caroline, qui ne cessait de lui lancer des illades suggestives !
Kevin semblait en prendre ombrage lui qui était encore habillé.
Cette situation m’amusait beaucoup
Pour fêter ce petit retournement de situation, je décidais de m’en rouler une.
Alors que je sortais mon paquet et tournais la cigarette, ma mère me regarda avec effarement et me dit :
« Dis donc Antonin, tu ne vas quand même pas fumer ici ?
— Et pourquoi pas, vous vous bourrez bien la gueule devant moi ! Surtout toi maman, tu m’as beaucoup déçutu te laisse tripoter par ce type, tu lui fais les yeux doux, et tu bois trop d’alcool.
Mais que dirait papa de ta conduite ?
— Écoute Antonin, tu laisses ton père en dehors de ça ! Continue dans cette voie de provocation et tu peux me croire que tu t’en mordras les doigts.
Tu ne crois pas que j’ai compris ton petit manège quand tu es venu me chercher tout à l’heure pour arranger tes affaires ?
D’abord tu n’avais pas à inviter des types inconnus dans la maison, et ensuite te faire arnaquer comme ça !
Tu me dis que je ne te considère pas comme un homme, et tu crois que venir chercher ta maman pour te retirer de la merde, dans laquelle tu t’es mis tout seul, n’est pas une conduite de gamin attardé ?
Ensuite j’ai très bien compris que tu avais pour instruction de mon voisin de droite, de me conseiller de m’habiller sexy pour les amadouer.
Tu crevais tellement de trouille quand tu es venu que tu m’aurais littéralement prostituée à ces types pour te tirer d’affaire
Et bien tu peux être content, ta manuvre a parfaitement réussie, au-delà même de tes espérances. Et tu vas en voir et en payer les conséquences !
Je ne sais pas si tu fantasmes sur moi, si tu as envie de baiser ta mère en secretmais en tout cas tu ne vas pas être déçu du petit spectacle que je vais vous offrir tout à l’heureet ce sera toi le seul et unique coupable !
Alors s’il te plait laisse ton père en dehors de ça, tu es aussi veule et lâche que lui ! »
Me répondit ma mère avec colère et détermination.
J’étais abasourdi, sa réponse m’avait liquéfié sur place, je ne sus quoi répondre.
Kevin, Jean-Louis et Rudolph étaient eux, aux anges, ils attendaient avec impatience la reprise du jeu.
Denis quant à lui se « terrait dans son trou »
La partie repris, j’allumais et fumais la cigarette, avec morosité au moins la fumée me fit du bien,anesthésiant un peu la peine que je ressentais.
Ma mère avait dit la stricte vérité, il n’y avait rien à rajouter ! Comment allais-je me tirer, nous tirer de ce mauvais pas ?
Bientôt je me retrouvais aussi en slip, et Rudolph lui était a poil.
Quand il monta sur la chaise, pour retirer son boxer, il le fit avec lenteur et délectation en regardant Caroline, le rouge aux joues, dans un état d’excitation pas possible, qui ne perdait pas une miette du spectacle.
Il faut dire que Rudolph bandait comme un âne, et qu’une fois le boxer retiré, il libéra une bite de fort belle conformation
Ma mère quant à elle, avait une chance de cocu, j’eus une pensée émue pour mon père qui aurait été bien impressionné de voir sa femme prise dans une partie de strip poker de son plein gré.
C’est clair que toutes les aventures adultères que lui prêtait ma mère devaient être une réalité
Au moins cela aurait eu pour résultat de protéger sa vertu !
J’en eu presque le sourire aux lèvres, en pensant à cette déduction débile et peu cartésienne !
Les garçons aussi étaient troublés, comment réussissait-elle à se préserver ainsi de l’effeuillage ?
A leurs mines chagrines, je compris que de la suspicion de triche était dans l’air.
Jean- louis s’en émût, il dit tout haut ce que les autres pensaient tout bas :
« Dis donc Caro, t’aurais pas un truc pour échapper à ton destin ?
Hein, Kevin, moi je trouve pas ça normal, elle se fout de notre gueule la mère de famille bien sous tous rapports. Ça commence à me faire chier cette histoire !
— Non Jean-Louis, elle ne triche pas, je l’observe discrètement depuis tout à l’heure et je peux t’affirmer qu’elle respecte les règles. J’ai eu des doutes moi aussi, mais je t’assure que ce n’est pas le cas.
On peut dire qu’elle a une chance de cocue ! » lança Kevin en me regardant goguenard.
Ce salopard avait compris les dynamiques internes de notre foyer, et à son air de triomphe, je voyais bien qu’il allait exploiter toutes les failles pour « conclure » avec caroline. Il faut dire que des femmes mûres de moins de 40 ans avec cette plastique, ce joli petit minois, cette classe naturelle, il ne devait pas en trouver beaucoup dans son taudis.
Ses petites copines ne devaient pas arriver à la cheville de ma mère !
Le fantasme de la femme bourgeoise classe et sensuelle, qui se dévoie et s’offre à la convoitise d’hommes peu recommandables, faisait certainement partie de son logiciel de petit truand
« Bon les garçons on joue ou on boit le thé, je commence à avoir très chaud moi ! » décidément ma mère faisait tous les efforts possibles pour calmer ces jeunes males en rutpétasse !
Vint alors le tour de jeu fatidique
Rudolph présenta un carré de valets, Jean-Louis une couleur, Denis un brelan de rois, votre serviteur une quinte
Au fur et à mesure que chacun posait sur la table un jeu plus que correct, des regards enfiévrés se posaient sur ma mère, qui elle, restait très à l’aise et maitresse de ses émotionselle aurait pu faire du tricot que son état d’esprit aurait été plus échauffé !
Vint le tour de Kevin, qui prit son temps pour étaler son jeu.
Il regarda tous les hommes, et fixa ma mère calmement avec un grand sourire aux lèvresbrelan d’as.
Je ne suis pas très bon en maths, surtout en probabilités, mais le calcul d’hypothèses restait simple.
2 brelans hauts placés, une couleur, une quinte, un carrévraiment difficile de faire mieux et de passer au dessus des autres.
Un autre brelan, impossible, une autre couleur, elle était la dernière donc a égalité, elle perdait quand mêmerestait l’hypothèse de la quinte flush plus que difficile au vu des cartes déjà déposées.
La conséquence en était que j’allais bientôt voir ma mère se foutre à poil sous mes yeux ébahis. Et je savais qu’elle allait le faire avec toute la perversité et l’intensité érotique dont elle était capable, rien que pour m’humilier et me faire payer mes fautes et ma responsabilité.
Est-ce que j’avais envie de voir celama mère nue devant moi faisant son petit spectacle érotique voire pornographique ?
Une partie de moi-même, le bon fils aimant avait envie de hurler non et de partir en courant.
Mais une autre partie de moi même se délectait déjà de voir sa mère se compromettre de façon irréversible, car je savais que si elle cédait aux demandes des garçons la suite allait être homérique !
Je l’imaginais déjà nue, allongée sur la table en train de se faire baiser par ces mecs en rut, rendus fous par sa plastique que j’imaginais magnifique !
Il faut dire que son petit exercice d’exib, lorsqu’elle m’avait montré la lisière de son porte-jarretelle m’avait mis dans un certain état d’excitation, pas besoin de se le cacher.
Alors la fuite ou la honte du voyeurisme d’un fils pour sa mèreje n’allais pas tarder à prendre ma décisionà moins que la quinte flush providentielle ?
Ma mère se tourna vers Kevin et le regarda en clignant de l’il.
Puis elle fixa chacun des autres garçons de façon énigmatique. Tout le monde retenait son souffle !
Moi, elle me lança une illade lubrique et goguenarde .je lisais dans ses yeux : « attends tu vas voir, tu t’es comporté comme un sale con avec moitu vas le payer maintenant ! Regarde ! »
Puis elle leva les mains et les ouvrit en signe d’impuissance :
« Ben non les garçons, je n’ai pas de jeu. »
Puis elle monta sur sa chaise.
Tous les mecs étaient cramoisis, on aurait pu entendre voler une mouche, l’intensité érotique du moment était incroyable.
Je pris ma décision, je ne pouvais voir ce qui allait suivre, et me levai de ma chaise et arrivai à la porte du garage :
« Antonin, tu restes ici !
— Non maman, je ne veux pas voir ce que tu vas faire, je préfère partir !
— Lâche jusquau bout, je te préviens si tu pars maintenant je leur laisse faire tout ce qu’ils veulent de moi, je les ferai même te forcer à me baiser !
Alors petit con, que décides- tu ? »
Vaincu je me rassis et me roulai une autre cigarette, mon sang me battait aux tempes, je me sentais au bord de la nausée.
Caroline se tenait droite et fière, sa robe rouge lui moulait parfaitement le corps, ses seins pointaient avec orgueil, tant son excitation était grande.
« Voyez-vous les garçons, grâce à mon imbécile de fils, je suis nue sous ma robe
Je pensais enlever un bas après l’autre, puis mon porte-jarretelle, vous auriez dû attendre 4 tours de plus pour me voir nue.
Mais je pense satisfaire à la demande générale en enlevant directement ma robe. »
Elle tourna sur la chaise, présentant son dos à l’assemblée et descendit la fermeture éclair sur le côté de la robe.
Elle la descendit langoureusement présentant la nudité de son dos.
Les garçons à part Kevin qui avait « tâté » le terrain, se demandaient si Caroline ne les provoquait pas en prétendant être nue sous sa robe.
Ils purent déjà vérifier ses dires pour le haut, restait le bas.
Arrivée à la taille Caroline marqua une pose et dit :
« Bon alors je continue ? Après tout si je vous montre ma poitrine, j’ai déjà rempli « le contrat ! »
« Fous-toi à poil » lui fut il réponduune soirée de poètes
Alors caroline reprit son effeuillage et descendit la robe qu’elle laissa choir sur la chaise .elle présentait une chute de reins magnifique, ses fesses étaient splendides, sa nudité semblait naturelle, sans une once de vulgarité.
Puis doucement elle se retourna et leva ses bras au ciel.
Ma mère était nue en face de moi, ses bas et son porte-jarretelle rendant son corps désirable et érotique au delà de tout !
Tous les garçons détaillaient avec envie les seins en forme de poire, les aréoles rosées et les petits tétons. Son ventre était plat, ses hanches très féminines sans excès et son pubisune bande de poils bien taillés, séparait son triangle d’amour en deux parties.
Caroline le rouge aux joues, souriait de bonheur, toute honte bue de s’exhiber ainsi devant son fils, ses copains et deux inconnus.
Elle descendit de la chaise et comme une danseuse de cabaret, la retourna s’assit dessus, les jambes bien écartées :
« Antonin mon chéri, tu pourrais rouler une cigarette pour ta jolie petite maman ? »
N’étant plus à un étonnement prés, je la roulais de dépit et la jetais devant Kevin qui s’empressa de la donner à Caroline, ainsi qu’un briquet.
Caroline prit la cigarette et la porta à sa bouche pendant que Kevin la lui allumait.
Elle tira des bouffées de façon voluptueuse, rejeta la tête en arrière et de son autre main elle se caressa les seins puis la porta à son sexe dans lequel elle s’introduisit 2 doigts sans aucune difficulté ,tellement elle était excitée.
Sa petite séance de masturbation dura 1 minute puis elle se leva et fit le tour des garçons.
Elle commença par chauffer Rudolph en s’asseyant sur ses genoux, celui-ci en profita pour prendre les deux seins à pleine mains, et les serrer.
Caroline feula comme une chatte en chaleur.
Elle se releva et s’approchant de Jean-Louis, elle resta debout, écarta les cuisses et se pencha vers lui.
Il l’embrassa à pleine bouche et lui passa la main sur la vulve qu’elle avait déjà bien humide.
Vint le tour de Denis, tétanisé par la peur (ah on les voyait tout de suite les petits puceaux !) se plaçant devant lui, elle lui fit un sourire enjôleur et devant son absence de réaction lui prit les deux mains, en plaça une sur son pubis et l’autre sur son sein gauche.
Un peu enhardi Denis caressa le sein doucement mais ne put visiter la chatte de ma génitrice.
Puis elle vint vers moi, j’étais rouge de honte et de confusion, elle n’allait quand même pas
Elle se plaça devant moi, puis du pied poussa la chaise, je dus la reculer pour ne pas tomber en arrière.
Elle s’assit sur le rebord de la table, me regarda intensément et me dit :
« Tu vas avoir ce que tu veux Antonin »
Alors elle écarta les cuisses et j’avais devant les yeux, à 50 centimètres de mon visage la vision prodigieuse et extatique de sa chatte, aux lèvres gonflées par le désir, ruisselante de cyprine, le vagin ouvert sur le monde, comme une invitation au plaisir des Dieux.
Je ne bougeais plus j’étais tétanisé par cette vision paradisiaque, mes yeux étaient rivés sur sa vulve, ses effluves de femelle en rut me parvenaient aux narines, fragrances épicées de cumin, de curcuma, de curry.
Ces senteurs délicieuses épicées et Océanes, produisaient un effet aphrodisiaque colossal sur mon système nerveux central, je passais en mode « reptilien », femelle/mâle, chatte/bite, intromission/jouissance/plaisir
Mon néocortex cérébral était complètement déconnecté, j’étais un « zombi de la baise » je ne pensais plus, il fallait que je défonce cette femelle offerte et en rut.
Le fait qu’il s’agisse de ma mère, m’était complètement indifférent.
Cette dernière, qui me dominait par son pouvoir de femme, et sa position haute, me fixait sans aucune compassion, elle comprenait le combat qui se livrait dans ma tête j’étais son esclave, elle le savait et en jouissait profondément.
Je tendis la main pour caresser et doigter sa chattes’attendant à mon geste, elle me poussa sur ma chaise avec son pied et je tombais en arrière :
« Ça n’est pas pour toi pauvre con ! »
Puis elle se leva et apostrophant Kevin :
« Kevin, on va changer d’air, j’ai pas envie de me faire démonter devant des connards de petits puceaux, ça leur ferait un trop beau spectacle qu’ils ne méritent pas ! »
Aussitôt les 3 hommes se rhabillèrent sauf ma mère qui resta nue.
Kevin passa son bras autour du cou de Caroline, en possesseur, tandis que Rudolph, l’entoura par la taille.
Précédés de Jean-Louis, les quatre quittèrent la pièce.
Ni Denis, ni moi n’avions esquissé un geste, nous étions trop sonnés pour réagir !
Je me serais claqué la tête contre le mur ; ces 3 salopards emmenaient ma mère, consentante, dans leur taudis pour la baiserà 3 !
Et c’est moi qui en étais responsable ! Et ce putain de poker !
Pris d’une soudaine impulsion, je sautai sur la chaise de Caroline et regardai la main face contre tableje retournai les cartes et me mis à vomir comme un malade, pris de convulsions !
Quinte flush !!