Je vais conter cette fois, la cause de ma débauche, de ma dérive sexuelle. Ma deuxième religion, la luxure !
Je n?ai parlé de cette histoire à personne. C?était un secret jalousement gardé, et pour cause.
J?avais à l?époque 21 ans. Je suis allée passer mes vacances d?été chez ma soeur, Sonny, de 8 ans mon aînée, qui venait de s?installer à Toulouse avec son homme.
La première semaine s?est assez bien déroulée. Tous les soirs, on sortait dîner et la nuit finissait par une virée dans la boite branchée du coin. C?était idyllique ! Le mercredi de la semaine suivante, nous étions, tous, un peu, beaucoup fatigué et nous avions décidé de passer la soirée à l?appart. Mike, le chevalier servant de ma soeur, nous proposa de faire une partie de rami. Nous acceptâmes, surtout moi qui avais les cartes dans l?âme.
Le jeu de carte commença tranquillement, et pour étancher notre soif, nous avons opté pour du gin tonique.
A force de jouer et de perdre et surtout de se fendre la gueule, nous commencions à être un peu, je ne dirais pas ivre, mais pas loin.
Après 1 heure de jeu, Mike dit :
– Et si on corsait le jeu ? Ceux qui perdent doivent se soulager d?une partie de leurs habits qui sera désigner par le gagnant.
Ma soeur me fixa du coin de l?oeil. Et avant même, qu?elle ait le temps d?exclamer une protestation quelconque je m?empressai d?approuver la décision.
Et je finis par dire :
– Tu es avec moi, Sonny ! Pour la rassurer.
Au bout de la première partie que ma soeur et moi perdîmes, Mike nous intima l?ordre de se défaire de la robe pour ma soeur et de ma jupe pour moi.
J?étais surprise, agréablement surprise, de constater que ma soeur, une fois sa robe à ses pieds, ne portait pas de sous-vêtements. Et je l?avoue, boisson aidant, que cela eu un effet excitant, du moins sur moi car je ne pus voir l?effet sur Mike.
– Mais c?est de la triche ! M?écriais-je, elle n?a plus rien sur le dos !
– C?est toi qui as voulu jouer. Dit ma soeur en riant.
Au bout de 5 parties, assez coquines, je me suis retrouvée aussi nue que Sonny. Alors que Mike, pour sa part, portait encore son tee-shirt et son slip.
– Non arrêtes ! Dit Mike. On n?est pas seuls.
Moi qui avais les yeux plongés dans mon jeu de carte, je relevai la tête et je vis Mike qui faisait des grimaces de torture. Je ne mis pas longtemps à comprendre que la main de ma soeur s?était saisie du membre de Mike et qu?elle lui imprimait un va et vient assez majestueux. Mike poussait des soupirs, des gémissements qui s?intensifièrent de plus en plus. D?un coup, il rejeta sa chaise en arrière et se mit debout. Sa verge en l?air et il la présenta à ma soeur qui l?emboucha copieusement.
N?y tenant plus, je me dirigeai vers eux. Je sentais ma vulve s?humidifier.
Je regardais ma soeur, s?acharner sur cette tige de chair que je mourrais d?envie de la palper à mon tour. Il me prit la main droite qu?il dirigea vers ses testicules.
– Vas-y ! Touche ! Me dit-il.
Après 30 secondes, je ne sentais plus mes jambes, et je me retrouvai à genoux près de la connexion des deux corps. Et je me mis à lécher la bite de Mike quand elle sortait de la bouche de Sonny.
Par moment, ma soeur emprisonnait ma bouche pour me gratifier d?un long et doux baiser.
– J?aimerais que tu aies deux pines, dis-je, comme ça je pourrais te sucer l?autre… Sonny a l?air de te l?accaparer…
En effet elle s?appliquait de son mieux sur le gland turgescent, le baisant, le léchant, le suçant en le prenant entièrement dans sa bouche… En entendant mes supplications, ma soeur me tendit la verge que j?avalai aussitôt. Et je commençais à pomper comme si ma vie en dépendait.
– Tu sais qu?elle suce bien, l?entendis-je dire à Sonny.
– Elle doit tenir de famille, fit ma soeur. Je suis sûre qu?elle y prend goût.
– Sab, dit Mike, viens… Arrête… J?ai envie de te sucer…
J?hésitais un moment, car le membre était succulent, mais le désir de sentir sa langue frétiller dans mon minet fut plus puissant.
Mike s?allongea et m?intima l?ordre de me mettre sur son visage. J?enjambais son visage et j?abaissais les fesses tout en écartant les lèvres de ma vulve de mes doigts.
Je m?en souviendrai toujours de cette soirée.
Ainsi, Mike plongea de suite sa langue vers ma vulve, toute humide, échauffée. Je la frottais contre sa bouche. J?étais ivre d?excitation. Ma soeur, je le vis sans mal, lui pompait le dard avec une louable application. Je me sentais transportée par la langue de Mike qui me lutinait la chatte. Et en voyant ma soeur tout près, aspirant puis reflouant la verge tendue de notre étalon, creusant les joues, suçant voracement sans omettre de gratifier les testicules de quelques passages humides, je sentais une boule, un désir qui remontait et qui n?attendait que d?exploser.
J?entendis Mike haleter et je sentis que sa jouissance était proche. Aussi, je me dégageai de son étreinte et murmurai à l?oreille de ma soeur :
– Dis… Laisse-moi le finir…
Elle suçait toujours la belle queue en me regardant.
– Laisse-moi, insistais-je.
– Si tu veux, fit-elle en abandonnant la grosse verge.
Je l?embouchais aussitôt et je la découvris encore plus mouillée, plus chaude que tout à l?heure. Je m?appliquais sur-le-champ à imiter ma soeur, pompant des testicules au gland. Quand je sentis les soubresauts furieux du membre emprisonné dans ma bouche, je fis un mouvement de recul. Mais je n?étais pas assez rapide pour éviter le premier jet qui atteignit mes lèvres. Le second atterrit sur ma joue, le reste dégoulina sur mes seins.
Ma soeur se précipita sur moi et étala outrageusement le sperme sur ma poitrine tout en pinçant les auréoles durcies de mes seins, ce qui me fit un bien fou, comme si je flottais. Je me mis à jouir en tressautant et en poussant de petits cris de voluptés.
Je ne sais pas combien de temps j?ai mis à recouvrir mes esprits. En ouvrant les yeux, je vis ma soeur allongée à côté de Mike. Elle lui caressait le torse tout en riant doucement. Sa main descendait vers le bas ventre de Mike, elle alla même caresser délicatement la verge ramollie.
Quand elle m?aperçut, elle dit :
– Alors de retour sur Terre ?
– Oui, ai-je répondu. C?était trop bon. Merci !
Elle se releva, et nous prépara 3 verres de gin bien tassés. Pendant près d?une demi-heure, nous bûmes, tout en discutant de choses et d?autres.
– Venez les filles, dit Mike, nous serons plus à l?aise sur le lit ! .
Sonny et moi, nous le suivîmes, après avoir reposé nos verres. On se tenait par la taille, et de sa main libre, ma soeur s?est mise à masser délicatement mes seins, dont les bouts durcissaient à vue d?oeil.
Arrivées dans la chambre, nous nous jetâmes sur le lit, où Mike nous attendait, on dirait, impatiemment.
– Regarde, dit ma soeur, branle-le un peu, il grossit à nouveau.
C?était visible. Elle n?avait nullement besoin de le dire. Mais cela montrait qu?elle était aussi excitée que moi sinon plus. Je pris donc la queue de Mike en main, la serrai, la manipulai de sorte qu?elle atteigne une vigueur intéressante, qui ne pouvait nous indifférer. Aussi, quand je la sentis bien raide au creux de ma main, j?en baisai le gland, le léchai pour accroître l?excitation.
D?un geste, ma soeur repoussa ma tête, enjamba la bite bien raide et le chevaucha délicatement.
– Ouvre-moi le sexe, me dit-elle doucement.
Je lui obéis. D?une main je lui ouvris la moule. Je pus apprécier la chaleur et l?humidité de ce lieu saint. De l?autre main, je portai le gland jusqu’à l?orifice béant. En s?abaissant, ma soeur fit introduire la verge toute raide dans le temple des mille et une nuits.
Elle se mit à gémir un peu en tortillant des fesses, si sublimes que je ne pus résister à l?envie de les peloter.
Bientôt mon doigt s?introduisit au plus profond de sa croupe. Il chatouillait doucement l?orée de son anus.
Me l?ayant déjà fait auparavant, je savais combien un doigt qui s?activait à cet endroit pouvait accroître la sensation de plaisir.
– OOHHH OUIIII !… Que c?est bon… Dit-elle.
A vive allure sa croupe se soulevait et s?abaissait en faisant disparaître la verge vigoureuse de notre amant. Elle atteignait des sommets de volupté. Elle jouissait à perdre haleine, comme une jument en rut. Et elle s?écroula sur Mike. Au bout de quelques instants, elle reprit son chevauchement avec la même intensité. Dans ses yeux je pouvais lire l?intensité du bonheur qu?elle éprouvait et j?en été toute chaude aussi. J?avais écarté les cuisses
et je me caressais le clito au rythme des mouvements que ma soeur prodiguait.
Mike n?était pas en reste. De temps en temps, il lui caressait ou lui pétrissait les seins qui dansaient avec fugueur.
Ils forniquaient avec une rare vigueur que je devais pas souvent retrouver par la suite. C?était admirable !
En plus, pour moi, qui tenais les fesses de ma soeur et qui lui masturbais le cul, je me sentis particulièrement échauffée en voyant ma soeur se démener sur cette queue sans retenue.
Puis, après 5 bonnes minutes, elle s?écroula sur le côté en laissant échapper la chair jouissif du jeune homme, qui se ramollissait. Je n?avais pas senti le nouvel orgasme du couple. Je me mis donc à happer cette chair qui mourrait entre mes mains. Je ressentis le liquide visqueux du vagin de ma soeur et je recueillis la dernière goutte de sperme de notre baiseur. Que c?était bon ! !
En relevant les yeux après avoir bien astiqué la pine de Mike, je m?aperçus qu?il était dans un profond sommeil. A ses côtés, gémissait doucement, Sonny. Elle retourna la tête en ma direction et me murmura avec douceur :
– Sab chérie, tu es très excitée, n?est ce pas ?
– Oui… J?en peux plus…
– Je te comprends… Et en plus il ne peut plus rien faire…
Elle se releva et quitta la pièce, en faisant mollement onduler ses fesses. Je trouvais ça très excitant.
Elle revint avec un verre de coca qu?elle me tendit et s?assit à mes côtés.
Je lui ai dit qu?elle était très excitante lorsqu?elle se déhanchait.
– Dis-moi… As-tu déjà couché avec des filles ? Me demanda-t-elle
– Oui, pour savoir ce que c?était ! Et ce n?était pas si mal que ça.
J?étais tellement troublée par cette question que le souffle me manquait.
– Pauvre chérie !… Tu es si excitée et il ne peut pas te venir en aide, dit-elle en jetant un coup d?oeil au corps de Mike affalé près de nous.
En finissant ses paroles, elle se lova contre moi. Je ressentais la tiédeur et le parfum de sa peau . Je me laissai caresser, sans déplaisir, le flanc et le dos, tout en repoussant les notions de perversité qu?on m?a inculquées. J?étais aux anges, du moins à mon avis. On me dorlotait comme un petit bébé. Elle m?embrassa au coin des lèvres sans trop insister.
Son bas-ventre se plaqua tout contre le mien. Que c?était doux de ressentir ses poils ainsi que ses gros seins sur mon corps tout en éveil. Assez rapidement ma bouche s?ouvrit pour laisser passage à sa langue. Mes mains, instinctivement, éprouvaient l?arrondi de ses fesses.
– Viens me dit-elle en glissant au bas du lit tout en me pinçant le bout du sein gauche.
Encore heureux que l?appart. soit tapissé d?une moquette. Je m?assis près d?elle.
D?un geste de la main, elle me fit signe de l?observer. Elle entreprit de se caresser le ventre, puis les seins dont elle irritait les tétons avec ses ongles.
– Fais comme moi ! Me dit-elle.
Je ne demandais pas mieux et je l?imitais. Quand mes tétons furent bien raides, ma soeur les prit entre ses doigts et les pinça un peu. Je fermais les yeux de plaisir et de bonheur.
Je sentis ses mains se poser sur mes épaules, elle m?attirait contre elle et me fit étendre à ses côtés. Je sentis son corps doux et chaud, tout contre moi, ce qui intensifia encore plus mon trouble.
Bientôt, sa bouche se posa sur l?un de mes seins et l?honora si paisiblement que j?en frémis.
Une main m?écarta les cuisses, s?emparant aussitôt de ma chatte, et se mit à me caresser diaboliquement. Un doigt, puis deux s?introduisirent dans mon sexe, s?y activèrent… Je remuais le ventre, ivre de joie, de bonheur… L?autre main prit la mienne et la guida vers son minou que j?agitais aussitôt, comme elle le faisait avec moi. Nous, nous engageâmes dans une masturbation harmonieuse, qui ne tarda pas à me faire jouir intensément.
Pour éviter mes cris de jouissance, ma soeur plaqua sa bouche sur la mienne et nous échangeâmes un long baiser, aussi long que mon orgasme, à grands coups de langue.
Vicieuse, Sonny, me titillait l?étroit orifice de mon cul ce qui eut pour effet de m?échauffer davantage. Elle me lécha bientôt le ventre, enfonçant sa langue dans mon nombril. C?était délicieux !
– J?espère que ce que faisons… Ne te choque pas trop ?
– Pas du tout, murmurais-je, où est le mal quand c?est bon !
Je me rappellerai toujours de ces instants torrides, car ils sont uniques. Il n?y a pas eu de suite, à mon grand regret.
En relisant ce que je viens d?écrire, je me découvre un nouvel art, ou plutôt une certaine facilité à écrire. Vous me donnerez votre avis !
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