Je m’appelle Sandra, j’ai 34 ans et ceci est ma confession.
J’avais 18 ans à l’époque, j’étais une jeune étudiante en terminale. Mes compères me qualifiait de sexy et je ne m’y opposais pas vu que j’aimais m’habiller de manière élégante, limite provocante.
Mes tenues préférées étaient une jupe courte, des bas collant à motif, des bottes hautes, des chemisiers ouverts et léger, le tout avec un petit blouson en jeans.
Ce qui avait pour effet de provoquer beaucoup de torticolis lorsqu’on déambulait en rue.
Un matin d’été, j’étais sur le chemin de l’école, seule car mon amie était malade.
J’avais décidée de me rendre à l’école à pied afin de profiter du beau temps.
Les rues étaient encore calme, pas beaucoup de voitures, bref une belle matinée.
J’avais mis pour l’occasion une jupe en jeans très courte, des bas en soie couleur chaire, mes haute bottes brunes à talon, un chemisier bleu ciel et ma petite veste en jeans.
Alors que je marchais tranquillement, une main ferme à appuyé un tampon…et j’ai sombré dans un profond sommeil.
A mon réveil, je ne sais pas combien de temps après, j’étais attachée, debout, par les poignets et les pieds.
Mon corps ainsi tendu avait fait remonter mon chemisier, dévoilant mon nombril et l’aube de mes seins. Ma jupe remontait légèrement.
Un bâillon m’empêchait d’émettre le moindre son.
La pièce était sombre, j’avais du mal à distinguer quoique ce soit.
Ca ressemblait à une cave, carrée, sans fenêtre. Tout au plus une lampe pendait au plafond.
Il faisait froid et humide.
Après un long moment, alors que mes muscles commençaient à me faire sentir qu’ils n’appréciaient pas d’être tendus dans cette position, j’ai entendu un bruit. Quelqu’un venait d’entrer dans la pièce.
— Mmmmm! Mmmmmm!!
Une voix grave, issue d’un coin sombre de la pièce s’exclama immédiatement
— Tais-toi sale garce! Tu es attachée, dans une pièce sans fenêtre, totalement à ma merci.
J’étais pétrifiée, le ton de la voix était ferme et sec.
Une lampe très puissante s’alluma devant moi, m’aveuglant totalement.
Je ne distinguais plus rien.
Je sentais une respiration derrière moi, toute proche et deux mains rugueuses et froides se glissaient sur mes hanches, soulevant mon chemisier.
— On va bien s’amuser toi et moi, quand j’en aurai terminé avec toi, tu ne seras plus qu’une loque…
Je commençais à pleurer, mordant mon bâillon, tentant d’hurler. Je me débattais tant bien que mal.
Une horrible douleur remonta de mes fesses…il venait de m’assener une claque magistrale.
— Bouge, pleure ou tente de te débattre et tu souffriras encore plus petite garce!
Il était toujours derrière moi. Ses doigts déboutonnaient mon chemisier laissant apparaître mon soutif.
Il glissa ses mains sur mes seins et commença à les malaxer.
— Belle poitrine, il est dommage de la cacher par un soutif!
Il dégrafa mon soutien gorge et recommença à caresser ma poitrine dénudée.
Il pinçait mes têtons, tirait dessus, les malaxait…
— Mais je vois que la petite garce apprécie ça…
En effet, mes seins réagissaient aux caresses, ils pointaient fièrement.
Je me sentais salie, honteuse de me faire trahir par mon propre organisme.
Il glissa un bandeau sur mes yeux et le serra assez fortement.
Il murmura au creux de mon oreille :
— je n’ai pas envie que tu me vois, surtout que ce que je vais te faire est loin d’être légal ma petite garce…
Je me débattais à nouveau, pleurant de plus belle…et une claque sur mon visage cette fois me fit comprendre que cela ne servirait à rien.
Une main se glissa sous ma jupe, remontant entre mes jambes.
J’ai serré mes genoux pour retenir cette main.
— écarte les cuisses ou tu vas le payer chèrement!
Dépitée, je desserrais mes cuisses, laissant la main remonter, explorant mon entrejambe.
Il posa sa bouche sur mes seins, suçant mes têtons durcis pendant que sa main caressait mon slip au travers de mes bas.
Il entreprit de « travailler » mon têton, le mordillant, suçant de plus en plus fort.
Avec son autre main, il pinçait l’autre têton et son autre main pressait contre ma petite chatte, encore « protégée » par mon slip et mes collants.
— je pense qu’il est temps de retirer cette jupe inutile
Alors qu’il parlait, je sentais ma jupe glisser sur mes cuisses.
— Mais que c’est mignon, une petite garce attachée, bâillonnée, avec des bottes, des collants, un beau slip en dentelle et une poitrine généreuse.
— Je parie que tu n’es même plus vierge? réponds-moi petite garce
J’ai hoché la tête en guise de oui, confirmant que je n’étais plus vierge.
— petite garce, j’aime ça.
Il glissa sa main sur mes fesses, serrant, palpant et mordilla le lobe de mon oreille.
J’entendais quelques clics.il me prenait en photo le salaud.
Puis la chaine qui me tenait les poignets au dessus de ma tête se détendit brusquement, faisant basculer mon corps vers l’avant, je pouvais deviner que j’étais positionnée en oblique. Mes bras étaient tendus derrière moi. Ma tête bascula vers l’avant.
Il me murmura :
— Je vais retirer ton bâillon, ne t’avise pas de parler ou crier…ou il t’en coûtera.
Le bâillon tomba sur le sol, libérant ma bouche. Mais j’avais toujours le bandeau sur mes yeux.
— Ouvre ta bouche petite garce.
Alors que je refusais il m’asséna une claque sur les fesses.
— Ouvre ta bouche te dis-je!
Bouche grande ouverte, les larmes coulaient doucement sur mes joues.
Il fixa un appareil qui m’empêcha de fermer ma bouche, une sorte d’appareil métallique, très serré derrière ma tête.
— Sors la langue!
Ne souhaitant plus souffrir, j’ai sorti ma langue.
Puis il glissa son membre en une fois au fond de ma gorge, je manquais de m’étouffer tellement il l’avait glissé avec force.
— Suce moi salope, suce moi bien!
Il effectuait un va et viens au fond de ma gorge, l’appareil fixé m’empêchait de fermer ma bouche. A chaque fois je sentais son membre heurter ma glotte. Il me tenait par les cheveux et forçais sa bitte de plus en plus profondément, de plus en plus violemment.
A plusieurs reprises j’ai manqué de m’étouffer, à chaque fois, il sortait sa bite, me laissant reprendre mon souffle quelques instants et me l’enfournait à nouveau avec force.
Je subis ce viol buccal pendant de long moments, alternant les coups de bite violent avec des vas et viens saccadés.
De temps en temps, il poussait ma tête pour que j’avale complètement son membre.
Après un long moment, un liquide chaud et visqueux se rependit au fond de ma gorge malmenée.
Il poussa un long râle de jouissance, son sperme giclait par à-coups, je le sentais dégouliner.
Il se retira et frotta sa bite sur mes joues en larmes. Sa semence coulait légèrement sur la commissure de mes lèvres ouvertes.
— tu es une bonne bouche à pipe, j’aurai du le parier.
— Ne t’avise pas de recracher petite garce.
Un hoquet de dégout remonta de mon estomac alors que j’avalais son fouttre chaud.
Il me laissa tel quel, attachée et courbée, alors que mes bras me faisaient horriblement mal
Il arracha mon collant et découpa ma culotte avec un couteau.
Les chaines bougeaient et écartaient mes jambes.
Ses doigts rugueux glissèrent sur ma toison et remontaient sur mon petit trou.
Il prit d’autres photos de moi.
— Tu sais que tu es belle ma petite garce
— Je vous en prie, laissez-moi partir, je promets de ne rien dire…
Dis-je en larme.
— Ta gueule salope!
Une violente gifle me fit presque perdre conscience.
Il fixa ce qui semblait être des ventouses sur mes têtons et provoqua une aspiration assez forte.
La douleur était assez sévère.
Un doigt explora mon inimitée, forçant le passage sec de ma chatte, m’arrachant par la même un petit cri de douleur.
— On dirait que mademoiselle à besoins de se faire lubrifier la chatte…
Il étala un liquide visqueux et froid sur ma chatte, glissant ses doigts entre mes lèvres, les écartant sans ménagements. Il força un doigt dans ma vulve.
Le lubrifiant lui facilitait les choses, ma chatte était détrempée.
Il glissa un doigt puis un deuxième au plus profond de ma chatte.
Son pouce pressa sur mon clitoris, ce qui m’a fait pousser un petit cri…qu’il réprima par en tirant sur les ventouses scotchée sur mes têtons.
— Ferme la garce!
Ses doigts trituraient ma vulve, entrant, sortant, tournant…puis il glissa un troisième doigt avec force, poussant violement.
— Tu aimes ça…hein petite garce.
Il n’attendait pas ma réponse et continuait son va et viens avec ses 3 doigts dans ma chatte lubrifiée pendant que son pouce tournait autour de mon clitoris.
Mon corps me trahissait encore car je sentais le plaisir monter petit à petit et ce malgré la rudesse de ses gestes et le fait que je n’étais pas consentante.
Petits à petits des râles de plaisirs que j’avais du mal à masquer du fait de l’appareil qui me forçait à garder la bouche ouverte.
Il continuait à me pénétrer de ses gros doigts rugueux. De temps en temps il glissait un doigt sur ma petite rosace.
Je sentais ma chatte s’ouvrir de plus en plus, lubrifiée par le produit et par la propre jouissance de mon corps trahissant ma volonté.
Il retira ses doigts de ma chatte et après quelques instants il enfonça violement un objet assez gros et long au plus profond de celle-ci.
J’émis un râle de douleur sous la violence de la pénétration.
Puis il commença à le faire bouger, je le sentais au plus profond de moi…il le sortait, le rentrait avec force, effectuant des vas et viens à répétitions, poussant de plus en plus fortement.
A certains moments il effectuait des mouvements circulaires.
Ces manuvres faisaient de l’effet, je sentais ma chatte s’ouvrir de plus en plus, s’humidifier tellement que le lubrifiant ne servait plus à rien.
Je sentais son souffle froid s’approcher de mon inimitée violée et une langue courir le long de mon clitoris en feu. Alors qu’il me ravageait la chatte, sa langue titillait mon petit bouton.
Je pleurais de plus belle, les larmes coulaient le long de mes joues…alors que mon corps tout entier m’abandonnait, toute résistance était vaine, j’étais son jouet et la seule échappatoire possible était de subir.
J’ai sentis ses lèvres se poser sur mon clitoris et effectuer des suçons. A chaque fois je réprimais un petit cri…de plaisir.
Pendant qu’il continuait à m’enfoncer le gros objet dans ma chatte ouverte et suintante.
Il retira l’objet et glissa 2 doigts dans ma chatte, ses doigts rentraient à présent sans problème…mon corps n’offrait plus aucune résistance.
— sors ta langue garce!
Il glissa ses doigts sur ma langue
— nettoie moi mes doigts, goute ton propre jus de garce.
Je léchais ses doigts, goutant à ma propre jouissance.
Vu que je ne semblait pas m’appliquer, il prit ma tête et enfonça ses doigts directement au fond de ma gorge, les frottant sur ma langue et mon palais.
Une fois qu’il avait terminé il s’approcha de mon oreille et me murmura :
— es tu encore vierge du cul ma petit garce?
J’étais horrifiée, où allait-il s’arrêter.
— Non pitié, non, ne faite pas ça…je vous promets de faire tout ce que vous voulez mais pas ça. Je vous en prie….
— Je ferais de toi ce que je veux garce! tu m’as bien compris.
Il posa ses mains sur mes hanches et je sentis son membre durci se présenter à l’entrée de ma vulve trempée
— Voyons voir comment tu peux jouir sous mes coups de bites
A peine eut t’il fini sa phrase qu’il enfonça son membre d’un coup sec et puissant.
Arrachant un hoquet de douleur.
Il sortait complètement et rentrait avec force sa bite, poussant à chaque fois au plus profond.
Il allait de plus en plus vite, s’aidant de ses mains rugueuses posées sur mes hanches. Ses mains tiraient vers lui pendant qu’il avançait son bassin afin de me pénétrer à chaque fois de manière forte.
Ma chate avalant sa bite d’un coup.
A chaque coup de boutoirs un « han » s’échappait de sa bouche…pendant que je haletais.
Il effectua plusieurs vas et viens, alternant des mouvements rapide et des mouvements lents.
De temps en temps je sentais un doigt titiller ma rosace.
— J’espère que tu prends la pilule ma petite garce, car je ne compte pas me retirer
Après quelques minutes je sentais qu’il me faisait jouir….j’allais avoir un orgasme alors qu’il me violait.
Mon corps fut pris de spasme violent, une chaleur intense se faisait sentir dans mon bas ventre alors qu’il me pénétrait.
Je jouissais comme jamais je n’avais jouie. Il m’avait donné un orgasme tellement puissant que j’avais du mal à contenir mes râles de plaisirs.
Puis il éjacula en moi, je sentais son liquide chaud se répandre dans ma chatte en feu, il finissait son « travail » par plusieurs coups de boutoirs, éjaculant à chaque fois.
— Haaaa ma petite garce, quel plaisir de te défoncer la chatte….tu es étroite et j’adore ça. Tu vas maintenant me nettoyer ma bitte et me la rendre bien dur à nouveau.
Dit-il en empoignant ma tête et en glissant son membre dans ma bouche béante.
— Suce-moi à fond, avale tout sale garce!
Cette fois, ne voulant plus être frappée, je l’ai sucé comme demandé. M’appliquant pour que tout son fouttre sorte et se répande dans ma gorge.
A chaque mouvement de sa bite dans ma bouche, je pouvais sentir son liquide chaud couler hors de ma chatte, glissant le long de mes cuisses dénudées.
— Je vais te détacher et tu vas te rhabiller avec le peignoir qui se trouve face à toi. Ensuite tu viendras te mettre à table ou tu mangeras.
Cette nuit, tu dormiras sur la paillasse qui se trouve dans le coin de la cave. N’essaie pas de t’échapper car je n’hésiterai pas à te tuer.
Demain nous reprendrons notre petite partie de plaisirs…tu m’as compris garce?
— Oui, j’ai compris…
Il me détacha, retira l’appareil qui maintenait ma bouche ouverte, ôta le bandeau qui masquait mes yeux. Je me jetai sur le peignoir avec difficulté…aveuglé par la puissante lampe.
— Va t’asseoir et mange garce. Tu auras besoins de force pour demain.
Je ne pouvais pas le voir, il était caché derrière la lampe. Je m’assis et commença à manger et boire.
Puis j’ai entendu une porte se refermer, il était sorti de la pièce.
Je m’effondrai en larmes, pleurant comme jamais je n’avais pleurée.
Peu de temps après, mes forces m’abandonnait et je m’endormis sur la paillasse qu’il avait laissé dans un coin.
Après de longues heures à dormir, bien que j’aie perdue toute notion du temps, il me réveilla.
— Debout garce! face contre le mur.
Il m’attacha les mains avec des menottes devant moi, me posa à nouveau un bandeau sur les yeux et fixa quelques choses sur mes chevilles, une sorte de barre pour les forcer à rester écartée.
— Tes parents ont reçu les photos que j’ai prise de toi…ils ont pu voir quel genre de salope tu es.
— Que comptez-vous faire? pitié, laissez moi partir, je suis certaine que mon père vous paiera.
— Ferme là je t’ai dis! je n’en ai pas fini avec toi…
Il m’attrapa par le bras et me traina sur le sol. Et fixa mes menottes sur le sol.
J’étais à quatre pattes, jambes écartées par la barre de métal entre mes chevilles.
Je me rendis compte aussi que la barre en question était à présent fixée au sol aussi…de sorte que je ne pouvais plus bouger, ni avancer, ni reculer, ni même étendre mon corps. Il m’avait fixé de telle sorte que j’étais coincée à quatre pattes.
— Tu sais que tu as un joli cul de garce!
Dis-t-il en assénant une claque sur mes fesses.
— Je ne vais pas te bâillonner, car j’ai envie de t’entendre hurler et jouir de plaisir.
Alors qu’il prononçait ses paroles, je sentis à nouveau le liquide visqueux et froid du lubrifiant sur ma peau, sauf qu’ici ce n’était pas sur ma chatte, mais entre mes fesses.
Avec ses doigts il s’appliquait à le répandre sur ma petite rosace, poussant de plus en plus fortement dessus. Finalement, le lubrifiant aidant, un doigt glissa dans mon petit cul, puis un deuxième. Il les faisait tourner, rentrer, sortir, par de petits mouvement pour commencer, puis il amplifia le va et viens.
Je me mordais les lèvres pour ne pas crier mais la douleur était atroce, je sanglotais en continu.
Il força un troisième doigt dans ma rosace qui se dilatait petit à petit, je ne pu retenir un cri de douleur…ce qui l’encouragea.
Il plongeait ses trois doigts au plus profond de mes entrailles, les écartant pour mieux me dilater.
Il besognait ma rosace avec vigueur et violence, m’arrachant à chaque fois des cris tellement la douleur était atroce.
Mais à la longue la douleur fit place au plaisir…mon corps me trahissait à nouveau.
De cris de douleurs, je passai à des miaulements de plaisirs. Ses doigts glissaient au fond de mes entrailles, dilatant mes sphincters lubrifiés par le produit qu’il avait utilisé.
— tu aimes ça..petite garce, je m’en doutais.
Je miaulais de plaisir de plus en plus fort et à chaque fois, il me doigtait plus en avant.
Je pouvais sentir ma chatte devenir humide à nouveau, mes seins se durcir, une chaleur monter depuis mon bas ventre…ce salaud me donnait du plaisir.
— Passons aux choses sérieuses à présent!
Il présenta son gland à l’entrée de mon anus légèrement ouvert par ses traitements et l’enfonça brusquement jusqu’au bout.
J’hurlais de douleur…mais ça ne le retenait pas.
Il commença à me chevaucher, donnant des coups de boutoirs avec sa bite. Ses couilles frappaient à chaque coup sur ma chattes détrempées.
Il me déchirait les entrailles, me ravageait le cul.. Mais comme pour ses doigts, la douleur fit rapidement place au plaisir.
Il attrapa mes cheveux alors que sa bite effectuait de sauvage va et viens au plus profond de mes entrailles.
— Mmmmm ouiiii….Mmmmmmm!
Le plaisir était tel que je me lâchais complètement.
Il me martela le cul pendant une longue période, alternant les coups sec au long et lent va et viens, je sentais sa bite plonger tout entier dans mon cul.
Il se retira et m’enfonça rapidement sa bite au fond de ma gorge où il éjacula avec force.
Son jus chaud et visqueux glissait le long de ma gorge, remplissait ma bouche.
Il me forçait à conserver sa bite au plus profond de ma gorge…j’étouffais sous le traitement et les jets de sperme qui giclait.
Il retira son membre de ma bouche et me laissa tel quel…je pouvais sentir que mon cul restait ouvert, ma chatte dégoulinait et ma bouche était pleine de sa semence chaude et visqueuse.
— Tu es une belle garce…au cul bien étroit.
Quand j’en aurai fini avec toi, ton cul sera aussi accueillant que ta chatte.
Je t’ai apporté une bassine et un savon. Je t’ai préparé à manger aussi.
Repose-toi, lave-toi..Car je n’en ai pas encore fini avec toi sale garce.
Il me détacha et quitta la pièce.
Mon cul me faisait mal des suites du traitement qu’il m’a fait subir.
Je m’effondrais à nouveau en pleurs sur ma paillasse.
Je me suis lavée et j’ai mangé en sanglotant..Puis le sommeil pris le dessus et je me suis endormie, nue sur la paillasse que mon bourreau m’avait installé.
J’avais perdue toute notion du temps, tout au plus je m’endormais assez rapidement après avoir mangé…
A chaque fois, je me réveillais en forme, certes j’avais encore quelques douleurs au niveau de mon cul, mais c’était normal, surtout après le traitement qu’il m’avait fait subir.
L’angoisse du réveil était immense, qu’allait-il me faire? Pourquoi m’avait t’il enlevée? Et mes parents…ma surs? Je voulais tellement les revoir, oublier ce cauchemar.
— Debout petite garce, j’ai une surprise pour toi.
Tourne-toi, mets tes mains sur le mur et cambre ton petit cul de garce.
A chaque fois qu’il me parlait, le ton de sa voix glaçait mon sang. Pourtant je ne pouvais qu’obéir à mon geôlier, de peur de subir sa colère.
A nouveau il me banda les yeux et me fixa des sangles aux poignets et chevilles.
Je pouvais deviner que les sangles étaient en cuir, toutefois il ne les relia pas à quelque chose d’autre.
— Comme vous le constaterez, elle est parfaite en tout point. Je suis certains que vous en aurez pour votre argent.
D’autant qu’elle n’est pas encore totalement docile…donc si elle résiste, n’hésitez pas à la brutaliser un peu.
A qui parlait-il?…il me vendait à quelqu’un??? Mon dieu non!
Il s’approcha de moi et me murmura à l’oreille :
— Je vais rentabiliser mon investissement…ne me déçois pas où ta sur en paiera le prix.
— Non! pitié, pas ma sur…je ferai tout ce que vous voudrez mais ne touchez pas à ma sur.
— A la bonne heure. Bien messieurs, je vous la laisse. Amusez vous bien.
Très vite je sentis plusieurs mains parcourir mon corps dénudé, je pense qu’ils étaient trois.
Des doigts se glissèrent entre mes fesses, d’autre courraient sur ma vulve pendant qu’une main triturait mes seins.
— Comment t’appelles-tu?
— Sandra Monsieur.
— Bien Sandra, on a payé pour prendre notre pied avec toi…tu vas donc satisfaire nos moindres désirs..sinon il se pourrait que ta sur te remplace.
— Oui Monsieur, pitié, laissez ma sur hors de tout ceci, je ferais ce que vous voudrez.
Plusieurs doigts entraient et sortaient de ma chatte qui commençait à mouiller, un autre doigt c’était glissé dans mon cul…et une main pinçait mes têtons.
— Bien, j’aime une garce qui se laisse faire…
Je ne pu restreindre un petit cri de douleur lorsque des doigts pinçaient mon clitoris.
Une main me serra le bras et me déplaça.
Je pouvais sentir les personnes qui étaient devant moi et derrière moi.
Leurs doigts se faisaient de plus en plus entreprenants.
2 doigts coulissaient à présent dans ma chatte pendant qu’un autre doigt était logé dans mon anus, effectuant un léger mouvement rotatif.
Une bouche se posa sur mon sein droit, sa langue tournait autour de mon têton endurci préalablement.
Toutefois cette langue, ces lèvres étaient très douces.
— Tu as des seins formidable ma belle…
Dis une voix féminine.
Elle me mordillait les têtons pendant que les deux autres mains exploraient mon intimité.
A présent je pouvais sentir 3 doigts aller et venir dans ma chatte qui mouillait de plus en plus…et 2 doigts dans mon cul, écartant ma rosace.
Je commençais à ressentir du plaisir, mes seins étaient tendu, ma chatte commençait à dégouliner sur mes cuisses.. Je me mordais les lèvres pour contenir mes envies d’exprimer mon plaisir.
Une paire de main m’attrapa par les hanches et me tira vers le sol…accroupie.
Il se glissa en dessous de moi et je sentis illico un gland se présenter à l’orée de mon cul.
Il m’empala d’un coup sec et commença illico à me ramoner l’anus avec force et rapidité.
Je pouvais sentir des mains féminines titiller mon clitoris pendant que la bite me défonçait le cul.
— Ouvre ta bouche garce
Je n’ai pas eu le temps de faire quoique ce soit que déjà une paire de main attrapa ma tête et poussa une bite au fond de ma gorge.
J’avais à présent une bite qui me ravageait le fion et une autre qui me bourrait la gorge.
Les deux membres effectuant des mouvements de va et viens alternatifs.
La bouche de la femme était descendue de mes seins à ma chatte et je pouvais sentir sa langue explorer ma vulve chaude et moite.
Je suçais le membre présenté comme je pouvais, il faut dire que l’homme me facilitait la tâche en me maintenant la tête et en effectuant des mouvements du bassins, faisant glisser sa longue et grosse bite entre mes lèvres et sur ma langue.
L’autre n’arrêtait pas de me défoncer le cul à grand coup de bite.
Je jouissais allègrement des coups de langues sur mon clitoris, de temps en temps elle glissait un doigt dans ma chatte.
— A mon tour maintenant.
— Attend, on va la prendre en double…elle doit aimer ça cette garce!
En double???? Mais où donc vont t’il s’arrêter.
On me bascula un peu plus, de sorte que ma chatte était bien présentée, jambes écartées.
J’avais toujours la bite bien enfoncée dans mon cul quand je sentis le bout du gland de l’autre homme se présenter à l’orée de ma vulve humidifiée par la langue de la femme.
Il ne me ménageait pas non plus…car il s’enfonça d’un coup sec.
Je sentais mes entrailles se déchirer, mais je ne ressentais pas de douleurs, bien au contraire…
Les deux bites ainsi plantées au plus profond de ma chaire commencèrent à me labourer en alternance.
La femme m’embrassa goulument, tournant sa langue dans ma bouche.
Puis elle attrapa ma tête et la tira un peu en avant.
— Bouffe-moi la chatte la garce, bouffe-moi!
Elle appuyait sa chatte sur ma bouche, j’ai commencé à la lécher, lui sucer le clitoris, glisser ma langue doucement dans sa chatte déjà bien dégoulinante pendant que les deux hommes continuaient à me déchirer le cul et la chatte.
Ma langue glissait sur la chatte qu’on me forçait de lécher.
Bien que je ressente du dégout, la jouissance provoquée par les 2 membres qui me ramonaient les entrailles était plus forte que tout.
La douleur et le dégout étaient masqués par le plaisir que ces 3 personnes me donnaient.
Je m’appliquais à lécher et sucer la chatte qu’on m’offrait, suçant le clitoris, goutant au plaisir que je donnais.
— On échange nos place, j’en ai marre de ramoner le cul de cette garce, je veux gouter sa chatte aussi.
— Tu verras, elle n’est plus aussi fraiche que ça…
Dit l’autre en ricanant.
On me souleva et je senti l’autre glisser en dessous de moi pendant que celui qui m’avait ramoné le cul se présenta devant moi.
La femme continuait de frotter sa chatte sur ma bouche et ma langue.
La bite de l’autre, de celui qui m’avait défoncée la chatte étais plus grosse, plus longe que celle du premier.
Mais ça ne l’empêcha pas de forcer l’entrée de mon cul alors que l’autre était déjà bien enfoncé dans ma chatte.
La femme jouis sur mon visage, je pouvais sentir les spasmes de plaisir que ma langue et ma bouche lui provoquait. Son jus se rependit sur mon visage.
Elle m’embrassa à nouveau goulument, mêlant sa salive à sa cyprine, tout en torturant mes têtons.
Au bout d’un temps que je n’ai pas su estimer, les deux hommes éjaculèrent quasiment simultanément au fond de moi. Je sentis mon cul et ma chatte se remplir de foutre chaud.
La femme m’agrippa par les cheveux et me traina sur le sol.
— Nettoie-moi leur bite sale garce. Lèche les biens.
J’entrepris immédiatement de lécher et sucer les bites qu’on me présentait successivement.
Avalant le sperme, léchant les couilles.
En même temps, je pouvais sentir le sperme couler hors de mon cul dilaté et de ma chatte ouverte.
J’étais ruinée, épuisée, fatiguée…je me sentais souillée de partout.
J’avais du sperme chaud sur mes seins, mon visage, ma chatte, mon cul, mes cuisses…
— Superbe garce…je ne regrette pas. Tu as bien tout filmé?
— Ho oui, rassure toi, j’ai même des gros plan de son cul ouvert et dégoulinant.
Un film?? Ils avaient filmés leurs actes???
— Bien ma salope, tu peux retourner te coucher, on en a fini avec toi.
A quatre patte, rampant comme un animale je retournais sur ma paillasse.
Après leur départ, je me suis lavée, tentant de retirer toute les souillures que ces 3 personnes m’avaient laissées.
Puis je me suis endormie…
Après un laps de temps que je qualifierai de long, vu que je me suis réveillée en pleine forme, enfin, en pleine forme…mon corps était encore engourdis des viols successifs que j’avais subis, mais il ne me faisait sentir aucune fatigue, mon geôlier me réveilla.
— Ecoute moi bien ma garce. Dorénavant tu es ma propriétés et je t’utiliserai comme bon me semblera.
Je vais te libérer, mais tu ne raconteras à personne ce que nous avons fait.. À personne tu m’entends?
— Heuu…oui monsieur
— Si tu parles à qui que ce soit de ce que nous avons fait, je t’assure que ta mère et ta sur subiront un sort pire que toi. Tu m’as bien compris sale garce?
— Oui monsieur, je vous en prie ne faite pas de mal à ma sur et ma mère, je ferais ce que vous voudrez.
— Bien. J’ai ton numéro de gsm…il devra être allumé 24h/24 et tu devras me répondre au moindre appel. Je ne tolérerai aucune excuse ni retard.
J’ai de grand projet pour toi…de très grand projet.
Je t’ai apporté une paire de bas collant, une culotte quasi identique à celle que tu avais quand je t’ai amenée ici. Rhabille toi et bois le verre qui est sur la table…ça t’aidera à dormir un peu.
— Mais monsieur et les photos que vous avez données à mes parents?
— Tu t’imagines que j’allais les donner directement? je t’ai mentis petite garce. Toutefois je me ferai un plaisir de les diffuser sur internet, de les envoyer à tous le monde dans ton école et dans ton quartier si tu oses me défier…
— Non, non, monsieur, je ferai comme vous voulez. J’obéirai je vous le promets.
— Bien petite garce…tu deviens très docile et j’aime ça.
Fini de t’habiller et bois ton verre..Je n’ai pas que ça à faire.
Après avoir bu le verre, une profonde torpeur m’envahit et je sombrai dans un sommeil profond.
Je me suis réveillée dans un bois, pas loin de chez moi.
Comment j’allais justifier mon absence? Déjà que je ne savais pas combien de jour avait duré mon calvaire….
Et bien la solution vient d’elle-même, quand j’ai appris que ma copine avait fuguée, j’ai prétexté la même excuse mais prise de remords, je suis rentrée.
Pendant une semaine, à chaque fois que mon gsm sonnait j’avais des frissons…pourtant il me laissait tranquille.
La vie avait repris son cour normal, j’étais retournée à l’école, je m’habillais un peu moins sexy…mais ça ne m’empêchais pas de repenser au plaisir que j’avais eu lors des viols successifs que j’avais subi.
A chaque fois que j’y pensais, un profond sentiment de dégout montait en moi…accompagné par une sensation de plaisir.
Pire que tout, il m’arrivait de me masturber dans ma chambre la nuit en repensant aux outrages qu’on m’avait fait subir.
Un mois s’écoula depuis ma libération avant que mon ex-geôlier me téléphona.
C’était en pleine journée, j’étais à l’école.
Une chance pour moi c’était entre deux cours. Je me suis donc réfugiée dans les wc pour répondre.
(à suivre)