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Confession d'un Maître ; La révélation – Chapitre 1

Confession d'un Maître ; La révélation - Chapitre 1



Voilà, je me lance à mon tour.

Je suis Jérôme, marié, 50 ans. Une amie me demandait comment jétais devenu un Dominateur, pourquoi étais-je un amant si dirigiste et sadique, bref son Maître doù mettait venu ce goût?

Je lobservais, à genou devant moi, les yeux baissés, mains dans le dos, tenant ses coudes, comme je le lui avais appris. Cest à ce moment que jai décidé de commencer à écrire ces histoires, à raconter mes expériences de Maître, pour en savourer à nouveau le doux poison, sentir la vibration de la possession, du pouvoir parcourir mon âme.

Je vais donc prendre au début le chemin de ma vie de Maître, en commençant aujourdhui par ma première fois, ma première soumise, mon premier vrai amour.

Depuis toujours, depuis mon adolescence, je suis quelquun de gentil, doux et serviable.. Je me souviens à 18 ans, en terminale dans une école privée à létranger, javais une copine, Geneviève, avec qui les jeux sexuels étaient normaux, vanille, mais je ne connaissais rien dautre Nous nous enfermions des jours entiers dans ma chambre, explorant nos sensations, analysant nos expériences, parlant sans tabous de nos envies, de nos ressentis. Sans être puceaux, ces échanges francs étaient pour tous les deux une découverte et lanalyse de nos véritables goûts et phantasmes une exploration vraiment excitante Je parle dune époque où internet nétait pas si accessible, où parler sérieusement de sexe en termes crus passait pour de la perversion et pourtant

Javais déjà le goût de guider Geneviève par les mots, les encouragements

– Retourne toi, mets toi à quatre pattes, suce moi, avale moi

de son coté également, les mots étaient libres ;

– Oui, vas-y, prends moi, ouvre moi, entre fort, lèche moi, entre tes doigts plus loin, encule moi

Lors des pauses, nous faisions le bilans en riant Je lui disais avoir adoré lentendre me demander lenculer, me dire de la doigter, de la prendre, et de son côté, elle disait également aimer me demander, me guider dans ses envies, mais surtout elle aimait que je dise ou demande ce que je voulais Elle me confessa, mavoua que si je le demandais, elle pourrait faire nimporte quoi nen étant pas responsable A priori pas de limite puisque cétait de ma faute si elle se comportait comme une salope. En repensant à ses mots je bande encore. En me déléguant la responsabilité de ses actes, elle se laissait guider vers tous les vices, acceptant par avance mes jeux, mes envies, mes lubies les plus folles. A moi de faire delle ce que je voulais, à elle le rôle de victime de mes phantasmes amoureuse elle était mienne. Entièrement. Je sais aujourdhui combien ce lien entre nous a conditionné ma vie sexuelle. Je peux maintenant comprendre mon goût si particulier pour labandon, le don de soit de mes soumises.

Je pris donc très à coeur mon rôle de guide, la guidant, la menant toujours plus loin dans nos jeux. A force de pratique, d’après midi, de soirée, de week-end enfermés dans ma chambre, nos séances se firent de plus en plus débridées, de plus en plus folles. Mes demandes devinrent plus fermes, plus directives, plus impératives

– A poil!,

– Suce!,

– Donne moi ton cul!.

Son ardeur à obéir, à se laisser entraîner toujours plus loin me comblait. Elle me confiât aimer que je sois ferme, dur, et finalement, que mes mots soient crus, soient des ordres, que je mimpose à ma proie sans défense. Elle mavoua rêver être mon esclave, mon jouet. Les choses finirent par déraper, par sortir de ce que nous imaginions être la norme.

Alors que dans la vie courante, nous semblions être un couple dadolescents normal bien que fusionné, dès que la porte de ma chambre se refermait, nous devenions autre chose. Elle était mon esclave, ma chose et moi son Maître, son Dieu …

– A poil salope, fout toi à genou les mains dans le dos pour servir ton Maître.

Sans un mot, presque religieusement, elle s’exécutait rapidement, devançant mes envies, elle ouvrait la bouche, sortait sa langue pour mhonorer. Moi déjà nu, bandant et possesseur, je mavançais et prenait sa bouche me servant de la bouche de mon esclave comme dun sexe à prendre, sans tenir compte delle, ni de ses envies, ni de ses sensations. Je rentrais en elle, maître de son corps, dominateur forçant la limite de sa glotte, entrant naturellement dans sa gorge. Pour contenir ses réflexes de rejets et ses hoquets, je maintenais sa tête de mes mains dans ses cheveux, sur sa nuque ou sur son front, lui ordonnant de garder ses mains dans le dos, de fermer sa gueule de chienne lorsquelle faisait mine de protester…

Je me servais delle pour assouvir mes envies, littéralement pour me vider les couilles. Je lui faisais remarquer, que dans nos jeux elle était réellement à ma merci, quelle nétait là que pour me vider les couilles, pour me servir Fièrement elle mouillait dêtre ma vide couilles, mon sac à sperme

Elle dégoulinait réellement entre ses cuisses, en filets le long de ses cuisses

– regarde Maître, je coule de te boire, de t’avaler, de tappartenir entièrement, de ne plus être quun objet pour toi, un animal dressé, une chienne.

Je me penchai, passant mes doigts le long de ses lèvres, jouant de ses frissons sous le contact recueillant de sa cyprine je la buvais à mon tour, Puis la faisait goûter son jus

– Bois aussi,

et je rentrais mes doigts dans sa bouche, loin, plusieurs doigts, parfois presque ma main entière

– ouvre ta gueule de pute dégoulinante pour ton Maître…

je jouais à déformer son visage, ses joues. A présent je sais que ce simulacre de fist humiliant était un prémisse

Jadorais aussi la prendre bien sur, mais je trouvais également incroyablement excitant de la laisser en manque.. de la forcer à rester tremblante denvie, jouant à la caresser, à lui ordonner de se mettre à quatre pattes et attendre que je la prenne

Je lui faisais prendre les poses les plus obscènes.

– Ouvre ta chatte avec tes deux mains que je vois la pute en chaleur que tu es réellement, rentre tes doigts bien au fond pour ouvrir ton trou à pine!

Haletante, excitée de me servir et finalement de savilir, elle sexécutait.

– Maître pitié, prends moi, Jérôme remplie moi, utilise moi !

Ces mots firent toujours sur moi un effet incroyable, souvent je cédais, attrapant ces hanches pour menfoncer en elle, posant mon gland dans son sexe grand ouvert ou sur sa rosette exposée et offerte, ou poussant lhumiliation je lui ordonnais de venir sur mon sexe :

– empale toi sur ma pine, encule toi, viens chercher cette queue dont tu as tant besoin petite pute !!

Dautres fois, je jouais à la pousser plus loin, à la rabaisser davantage.

– Non tu ne me mérite pas que je te prenne, tu nes pas assez excitante à mon goût, je préfère me branler que de me salir dans tes trous ou alors ouvre toi plus, montre moi que tu as envie, dis le moi vraiment, prouve moi que tu mérites ma pine.

Connaissant mes goûts et devançant mes envies, elle souvrait encore plus, entrait ses doigts plus loin, tirait sur ses fesses ou les lèvres de son sexe.

– Maître Jérôme, je te supplie de me remplir, de me défoncer, de prendre ta chienne, ta pute, ma chatte et mon cul sont à toi, fais moi ce que tu veux, fais de moi ta pute, ta chose, ton esclave, salie moi par pitié.

Prenant des poses encore plus perverses, la tête sur le sol, les mains entre les cuisses, elle attrapait ses chevilles, se rabaissant

Cest dans cette position que je lai attachée la première fois liant chaque poignet à ses chevilles, pour enfin la prendre à ma guise, lutiliser, défoncer sans précaution son petit cul ou sa chatte son visage enfoncé dans le lit ou sur le tapis, je jouais de ses trous en linsultant

– voilà sale pute, tu as ce que tu mérites, je moccupe de tes trous, remercie moi, dis-moi si tu en veux encore ou si je dois m’arrêter!

– Non Maître continue, je mérite dêtre ta pute et de prendre ta bite dans mon cul, de me faire défoncer le cul, merci!

Mais selon mes envies, quelques fois, je la laissais continuer à senfoncer plus loin dans la perversion, la guidant à goûter encore plus le poison de la soumission.

– Non tu nes pas digne de ma pine, pas assez chienne pour que je moccupe de toi branle toi salement comme la pute lubrique que tu devrais être.

Elle se laissait alors aller, enfonçant toujours plus loin ses doigts dans ses trous, dilatant sa chatte ou son anus devant moi, élargissant sa bouche de son poing, malmenant son clitoris, roulant sur le dos pour se retrouver cuisses relevées, genoux sur le ventre et doigts dans la chatte, comme une chienne soumise. debout au-dessus delle, je me branlais linsultant, il mest arrivé dans ces moments, de jouer de son anus avec mes doigts de pieds, ou de les poser sur son visage, de les entrer dans sa bouche Jai découvert aussi que jaimais lui pincer les tétons, et que cela accentuait son excitation ou sa jouissance.

En pause, nous en parlions, analysions nos ressentis, nos plaisirs et nous sommes tombés daccord Dans nos jeux elle ne serait que ma chose, mon jouet. Cela la comblait de nêtre quune chienne au pied de son Maître, plus besoin dassumer ses phantasmes pour les réaliser, juste à se laisser sombrer plus bas, à accepter de subir, à se livrer entièrement pour jouir pleinement de ces moments.

De mon côté, jai découvert que guider, contrôler, diriger nos ébats, assumer de choisir les positions, les contraintes, les douleurs, imposer ma jouissance et mes perversions, disposer de ma partenaire, en faire ma chienne, ma chose, mon jouet, bref assumer dêtre le Maître des plaisirs et des douleurs, possesseur de son corps, son guide vers l’abîme de la perversion était ce que jaimais dans notre relation.

Ces instants dabandon mutuel étaient ce que nous attendions tout au long de la journée. Nos rapports en dehors de ses moments nous semblaient fades. Aujourdhui encore, en période Vanille, je ressens régulièrement le manque, le vide qui me pousse à retrouver ces sensations, ce vertige de marcher le long dune crête…au sommet du plaisir, si proche du gouffre de la perversion, à guider ma soumise sur les deux faces de sa jouissance entre plaisir et douleur.

Ce sont ces manques, la fadeur des moments sans nous voir ou nous toucher qui nous ont poussés à poursuivre en dehors de la chambre, hors de labri des murs clos nos jeux pervers.

La première idée, je men souviens fut pour moi de choisir ses tenues nocturnes Je lui ai ordonné de dormir avec sa culotte baissée sur les genoux lorsque quelle devait dormir chez elle. Ce geste innocent devait dans mon esprit la rabaisser, la faire revenir à létat de petite fille dépendante, immature mais surtout obéissante à son Maître jusque dans son sommeil.

Elle mavoua adorer cette idée

Pour poursuivre, je lui imposais de tracer un point rouge au feutre indélébile sur son périnée. Ce sceau invisible pour tout le monde, était la marque de son appartenance à son Maître.

Selon elle, une chaleur irradiante partant de ce point lui rendait le sommeil paisible impossible, comme si jy tenais mon doigt en permanence, lobligeant à se doigter profondément toute la nuit, à se pincer les tétons et le clitoris, et même à se griffer les cuisses ou les seins à se fesser comme si je lobservais.

Ce point ma excité, jen bande encore. La savoir souvrir et soffrir à moi en dehors de ma présence nous franchissions des étapes Jai pris conscience dune éducation mutuelle et je me suis vu comme un Maître dressant son esclave.

Assumant tous les deux nos rôles, qui devenaient nos vraies vies, je décidais de la pousser plus loin, de continuer le dressage, et de jouer avec son masochisme et ses frustrations.

A partir de ce jour, elle ne devait plus jouir que sur mon ordre, et si je nétais pas présent, pas de jouissance, mais par jeux je lui imposais de se caresser tout de même, par exemple dix fois vingt secondes espacées de vingt secondes pendant les quelles elle devait pincer fortement ses tétons. Avec une interdiction formelle de jouir !

En contrepartie elle me demanda de moi me branler en pensant à elle si heureuse de mobéir et de jouir dans un petit verre, quelle boirait le lendemain soir devant moi. La perversion de ses envies me comblait.

Régulièrement, le lendemain au lycée, je la découvrait marquée griffée, fière de sa soumission, fière dobéir.

Pour certaines périodes, comme des vacances scolaires où nous ne pourrions pas nous voir, (à cette époque, pas de portable, par dinternet) je concevais un programme à chaque fois plus humiliant, plus dur ou plus directif.

Certaines fois elle devait rester en levrette la tête sur le sol de sa salle de bain pendant de longues minutes sa broche à cheveux plantée loin dans le cul en pensant à moi mais sans se faire jouir, dautres fois elle devait ensuite lécher sa brosse. Régulièrement se pincer, se griffer Et pendant ses périodes disolement interdiction de jouir.

Il est arrivé, plusieurs fois quà notre retour de vacances, elle mavoua avoir joui, par accident, en se pinçant trop fort le clitoris, ou s’enfonçant trop loi sa brosse Ces aveux furent loccasion de punitions les plus sévères.

Accepter loffrande de la douleur de ma soumise, la lier, lattacher pour recevoir son impuissance, jouir du don de son corps…et en abuser. Voila quels étaient mes vices, mes fantasmes, le vrai sens de ma vie sexuelle et secrète. La douleur donnée nest pas un plaisir en elle même Cest le don, lacceptation de ma soumise de la recevoir, son abandon à ce point à son Maître qui est pour moi la source de la jouissance de mon (léger) sadisme, mais je reparlerai plus tard de cette exploration.

Lhumiliation physique ou verbale est au moins aussi importante pour moi que les rapports sado-maso. Jaime et jadore lhumiliation verbale et les comportements imposés…. jaime aussi le contrôle à distance… imposer des tenues, des gages, des confessions. J’aime découvrir la perversion de ma soumise…apprécier son envie de me surprendre en dévoilant la profondeur de sa perversion.

Ces jeux de découverte adolescent furent à lorigine de lorientation particulière de ma sexualité. Bien que souvent Vanille, je reviens régulièrement à ces penchants, avec de régulières partenaires.

Si ce premier texte trouve un accueil favorable, je poursuivrai ces confessions pour partager et échanger avec mes lecteurs.

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