C’est avec plein d’enthousiasme que je me rendais chez Max en cette fin d’après-midi du samedi. Je savais qu’à partir du moment où j’allais franchir le palier de sa porte, ma vie ne serait probablement plus jamais la même. Dans le doute, j’avais ramené un sac avec plusieurs affaires et vêtements, car je ne savais pas quand je serai autorisée à rentrer chez moi. Il m’accueillait avec son habituel sourire charmeur. Sur sa petite table basse, l’apéro ainsi que le vin étaient déjà servis. Comme d’habitude, nous discutions de tout et de rien lorsqu’il me demanda de sortir le contrat. Il le prit dans les mains et le lut attentivement.
Alors comme ça, je n’aurai pas le droit de te chier dessus et te faire de belles cicatrices… ? Je suis un peu déçu, mais ça me semble être plutôt deux choix raisonnables, me dit-il en souriant. Tu as déjà signé et écrit la phrase, je te félicite. Je vais me lever chercher mon stylo pour signer le contrat. Sache que ceci sera mon dernier effort. Tu devras tout me faire ensuite.
Il se leva et alla chercher dans un petit meuble de son salon un stylo bic des plus banaux. Il s’assit à côté de moi sur le canapé, posa le contrat sur sa table basse, écrit sa phrase et signa le contrat. Mon cur battait à 100 à l’heure. Ça y est, c’était donc officiel : je venais de donner ma liberté à cet homme et désormais je lui appartenais. Si l’on m’avait dit ça quelques mois auparavant… !
– Tu vas me donner ton sac à main et ton sac de vêtements. Désormais, tout ce qui est à toi m’appartient. Tu n’auras plus le droit d’utiliser ton téléphone sans mon autorisation. Donne-moi ton code PIN et de déverrouillage.
— Le code PIN est 4563 et pour le déverrouiller c’est 2763
Il prenait le temps de noter ces deux codes dans son propre téléphone. Il récupérait l’ensemble de mes affaires pour les mettre au pied du canapé.
Maintenant, lève-toi et déshabille-toi totalement. Comme je suis un Maître très généreux, je vais t’offrir deux cadeaux pour commencer.
Je m’exécutais directement et cette fois, je n’essayais pas de me déshabiller de manière sexy : je suis allée au plus vite. Mon Maître, car c’est désormais ainsi que je devais l’appeler, me laissait un petit moment dans le salon et partait trifouiller dans sa chambre. Lorsqu’il revenait, il tenait un collier ainsi qu’une laisse. Il me l’enfilait en me le serrant bien contre ma gorge. En tenant la laisse, il me dit :
– Désormais, ce collier représente ton appartenance à ton Maître. Tu devras le porter à chaque fois que tu passeras cette porte. Ta tenue est simple : c’est la même qu’actuellement, nue. Si un jour je rentre et que tu n’es pas dans cet accoutrement, je ne te fais pas de dessin, tu seras punie sévèrement. J’ai bien été clair ?
— Oui, très clair, lui répondais-je avec un grand sourire.
Sans que je n’aie eu le temps de comprendre ce qu’il s’est passé, je recevais une énorme gifle qui m’a retourné la tête. Surprise, je tombais directement à la renverse sur le canapé. Le bruit sourd de la baffe résonnait encore dans mon cerveau et des larmes se mettaient à couler toutes seules le long de mes joues. Ne semblant pas du tout être ému de mon état, il m’attrapait d’une grosse poignée par les cheveux et me criait dessus :
– Tu n’as pas oublié de me dire quelque chose sale pute ?????
— Je… je ne sais pas…, balbutiais-je encore sonnée
Il essayait de me donner une seconde gifle, mais j’ai eu le réflexe de me protéger et de contrer son geste. Chose que je n’aurai jamais dû faire…
Alors là… Je crois que tu n’as pas bien compris les règles. Tu es nouvelle, tu n’as peut-être pas encore tout assimilé, mais je crois bien que je vais être obligé de te dresser, comme on le fait avec les animaux au cirque. Cette gifle, tu l’as reçue, car tu ne m’as pas dit : Oui Maître. Maintenant, mets-toi à genoux et suis-moi à 4 pattes.
Il tirait sur la laisse et m’emmenait dans la chambre dans laquelle nous avions l’habitude de faire nos séances. J’aimais appeler cette pièce : « la chambre du sexe ». Cette fois, le matelas n’était pas posé au sol, il était à sa place, sur le canapé. Mon Maître me laissait à 4 pattes et mettait mes poignets à mes chevilles. Il prenait un gros scotch pour lier mes poignets aux chevilles. Avec la laisse, il faisait un nud au pied du canapé. Ainsi, j’étais totalement bloquée. Il me laissait comme ça quelques secondes et revenait avec un fouet que je n’avais encore jamais vu. Il le faisait claquer au sol à quelques centimètres de mon oreille. Le bruit m’a glacé le sang. Il s’agissait d’un fouet prévu spécialement pour les chevaux. Il était long, une bonne soixantaine de centimètres et était très fin.
Tu vas recevoir 50 coups de ce petit bijou. Tu connais les règles. Je veux t’entendre compter. Si tu oublies de compter, si tu t’avises à ne pas tenir ta position, tu en recevras davantage.
Slash ! Le 1er coup me faisait tressaillir tout le corps. Les coups s’enchaînaient et effectivement, ce fouet était extrêmement douloureux ! Dès le 3ème ou 4ème coup, je ressentais des brûlures sur mes fesses. Bien entendu, il était impossible au bout d’un certain temps de tenir la position. Je suis tombée plusieurs fois sur le côté, ce qui avait pour effet de m’étrangler complètement avec la laisse qui était attachée au canapé. Dans mes souvenirs, mon Maître a dû rajouter une vingtaine de coups supplémentaires. Je vivais un véritable supplice. Cela ne faisait qu’une demi-heure que j’avais signé ce contrat et je commençais déjà à le regretter. Il prenait du plaisir à me faire du mal. Je le voyais se branler avec sa main gauche tandis que sa main droite s’acharnait avec le fouet sur mes fesses ensanglantées. Pervers, il s’amusait à me rentrer le fouet dans ma chatte et faire des petits mouvements très rapides. Ce geste m’excitait énormément ! Dès qu’il voyait que je prenais du plaisir, le coup redoublait d’intensité. Une fois les coups terminés, les larmes ne s’arrêtaient plus de couler le long de mes joues. Il s’approchait de moi avec son gros gourdin et s’asseyait sur le canapé.
En me tenant par les cheveux, il frottait sa bite sur mon visage. Il semblait s’amuser avec mes larmes. Il enfonçait ensuite sa bite au fin fond de ma gorge. J’étais habituée désormais, car à chacune de nos séances, j’avais droit à des gorges profondes. Au bout d’une dizaine de minutes, il se levait pour gicler une bonne dose de sperme sur mon cul. Après s’être bien vidé, il prenait son téléphone pour prendre en photo mes fesses. Il détachait le nud du canapé et enlevait le scotch à mes poignets. Me tirant par les cheveux, il m’obligeait à me redresser et à me mettre debout. Il ne s’était pas contenté de fouetter mon cul, mais mon dos et mes jambes avaient également bien morflé, ce qui rendait la tâche de se tenir debout plus compliquer.
Il m’entraînait dans son couloir pour que je me regarde dans la glace. Le résultat était horrifiant : j’avais des traces partout sur le dos, les fesses et les jambes. Comme j’en avais la sensation, mon cul saignait bien. Le sperme coulait sur les plaies, ce qui me piquait davantage. Il reprenait la parole :
– est-ce que la leçon a bien été apprise ?
— Oui Maître. Je vous ai manqué de respect, j’en suis profondément désolé. Cela ne se reproduira plus.
— C’est dans ton intérêt que ça ne se reproduise pas. Je vais reprendre ce que j’étais en train de t’expliquer tout à l’heure, mais sache que ta punition n’est pas encore terminée. Je veux être certain que ce soit bien rentré dans ta petite cervelle de cruche ! Reprenons… Je te disais donc que ta tenue serait d’être nue avec le collier. Tu ne pourras t’habiller et enlever ce collier que si je t’en donne la permission. Je souhaite que tu sois là avant moi tous les soirs de la semaine à mon retour du boulot. A quelle heure finis-tu le travail ?
— 18 heures Maître
— Alors, dès lundi, tu iras voir ton patron et tu te débrouilleras pour changer tes horaires pour finir plus tôt. Moi je rentre vers 17h30 et tu as intérêt d’être là à chaque fois que je rentre parce que sinon cela risque de me mettre de très très mauvaise humeur, surtout si j’ai passé une sale journée…
— Oui Maître, je modifierai mes horaires et je commencerai plus tôt si cela vous fait plaisir.
— Ferme ta gueule, je ne t’ai pas demandé de faire de longues phrases ! me dit-il en me giflant. Tu réponds Oui Maître à chaque question, ça t’évitera de trop réfléchir et de faire quelque chose dont tu n’es pas capable sale idiote ! Pas vrai que t’es une idiote ???
— Oui Maître, je suis idiote, répondais-je, humiliée.
— Le deuxième cadeau que je vais te donner sera donc les clés de mon appartement, dit-il en trifouillant dans sa poche pour les sortir. Par contre, j’ai un petit souci… Comme tu es nue, tu n’as pas de poche ou de sac pour les garder. Je vais donc devoir trouver un endroit pour te les remettre. Ah, je crois que j’ai une idée ! Ecarte tes jambes !
Non… Il n’allait pas me faire ça… Je n’osais rien lui dire, mais mon regard apeuré lui implorait la clémence. Il me souriait et m’enfonçait sans ménagement les deux clés dans la chatte. Je poussais un vrai cri de douleur !
– Tu les gardes ainsi pour ce soir, les autres jours, tu auras le droit de les poser sur le meuble de l’entrée. Par contre, attention : tu n’as pas intérêt de les faire tomber ce soir sinon je serai obligé de m’énerver… C’est clair ??
— Oui Maître… répondais-je en sanglot
— Très bien. Maintenant, tu vas te mettre à genoux puisque les chiennes ne se baladent pas debout, mais à 4 pattes. Et toi, tu peux me rappeler ce que tu es ???
— Une chienne… Je suis une chienne Maître, lui dis-je en me mettant à 4 pattes directement.
— Tu sembles comprendre assez rapidement finalement, tu n’es peut-être pas aussi bête que ce que j’avais imaginé. Je vais te faire faire un peu le tour de l’appart. En réalité, tu n’as connu que le salon et la chambre du sexe. Je vais te montrer ce qui sera tes principaux centres d’intérêt : les produits ménagers et la cuisine.
A 4 pattes, je faisais le tour du propriétaire. J’étais vraiment réduit à l’état de chienne, d’esclave. Après tout, c’est ce que j’avais cherché. Une fois le tour terminé, il me ramenait dans le couloir. Il avait récupéré le contrat.
– Je veux m’assurer que tu aies bien retenu la leçon que je t’ai donnée tout à l’heure. Comme je n’en suis pas sûr à 100 %, la punition va continuer, dit-il en ouvrant les portes coulissantes de son placard. Tu vas attendre ici bien sagement jusqu’à ce que je vienne te chercher. Je te laisse le contrat pour le relire attentivement…
Il me faisait rentrer dans le placard en me mettant un coup de pied au cul pour me faire aller plus vite puis refermait les portes. Une fois les portes fermées, le placard était minuscule et il y faisait très sombre, c’était impossible de lire le contrat, mais je m’efforçais tout de même à le faire puisque c’était l’ordre que mon Maître m’avait donné… Je ne sais pas combien de temps je suis restée ainsi dans le placard, je dirai au moins 3 heures… Cela m’a semblé être une éternité. Lorsque la porte s’ouvrit, mon Maître prit ma laisse et me dit simplement : J’ai faim, va faire à bouffer. ».
A 4 pattes, il m’emmenait dans la cuisine (qui était ouverte sur le salon) et je me mettais au fourneau. Je lui avais préparé des pâtes. Une fois son assiette prête, il me ramenait dans le placard m’expliquant que j’étais privée de nourriture pour ce soir. Ces longs moments, seule dans le noir, me permettaient de réfléchir à ma situation. Comment ai-je pu me fourrer dans cette affaire, surtout en étant pleinement consciente et consentante ? Pourquoi, malgré la douleur (j’avais du mal à rester assise sur mes fesses…) et l’humiliation qui m’étaient infligées je ressentais un certain bonheur et une satisfaction à être ainsi ?
Après encore de longues heures enfermée dans ce placard, l’envie de pisser devenait insoutenable. Il était écrit dans le contrat que je devais demander l’autorisation à mon Maître. Il le fallait d’autant plus que j’étais actuellement punie. J’ai attendu aussi longtemps que je le pouvais, mais au bout d’un moment, ce n’était vraiment plus possible. D’une petite voix, je décidais donc d’appeler mon Maître. La porte du placard s’ouvrait :
– Pourquoi me déranges-tu sale chienne ??
— J’aimerai vous demander l’autorisation d’aller aux toilettes Maître. Je ne peux vraiment plus me retenir.
— Autorisation refusée, dit-il en commençant à refermer la porte.
— Maître, je vous en supplie, il faut vraiment que j’y aille sinon je vais me faire dessus.
— Ah oui ? A ce point ? » dit-il avec un grand sourire.
Il plongeait la main dans sa poche et sortait son téléphone.
– Si tu ne peux pas te retenir alors vas-y, pisse ici.
— Maître… S’il vous plaît… Laissez-moi aller aux toilettes, je vous en prie…
— Tu ne m’as pas fait lever pour rien ! Je t’ordonne de pisser ici, assise par terre. Et dépêche-toi, ne me fais pas perdre plus de temps sinon tu vas morfler !!
Je n’avais donc pas le choix… Je devais me pisser dessus, sous le regard et la vidéo que mon Maître allait prendre avec son téléphone. La vessie vraiment pleine, j’ai pissé pendant un bon moment. Le placard était rempli de pisse, j’en avais partout sur les jambes. Il me félicitait, refermait la porte et me laissait seule dans ma pisse. Je flottais assise dans ma propre pisse. Sacré bizutage pour un premier soir d’esclave ! Il revenait me chercher au moins deux heures après :
C’est bon, tu peux sortir. Je pense que tu as bien retenu la leçon, je l’espère en tout cas. Sache que la punition que tu as subie ce soir n’est rien par rapport à ce que je pourrai te faire. Réfléchis bien la prochaine avant de me désobéir ou me défier. Maintenant, tu vas nettoyer toute la pisse que tu as foutue dans mon placard et exceptionnellement, lorsque tu auras fini, je te donne l’autorisation d’aller te doucher. Tu viendras ensuite me rejoindre dans la chambre
J’étais soulagée, la punition était enfin finie pour ce soir. Je prenais les produits ménagers et nettoyait toute la pisse que j’avais déversée sur le carrelage. Une fois fini, je suis allée prendre une douche. L’eau chaude sur mes fesses ravivait les flammes causées par le fouet, mais ça m’a permis de nettoyer le sperme qui avait séché depuis de longues heures.
A la sortie de la douche, je me dirigeai donc vers la chambre de mon Maître. Il était allongé sur son lit, complètement nu et en train de se branler. Viens m’aider ! m’ordonna-t-il. Ma bouche alla se poser directement sur sa grosse bite. Je le pompais de manière tranquille, c’est-à-dire qu’il ne me baisait pas la bouche comme il en avait l’habitude. J’allais avoir sûrement droit à un peu de repos… Il me demandait ensuite d’enlever les clés qui étaient encore dans ma chatte et de me mettre en levrette. Il m’agrippait fermement les fesses et me pénétra de manière brutale. J’ai rêvé lorsque j’espérais un rapport plus en douceur. Les clés m’avaient fait vraiment très mal à la chatte et ses coups de bites n’arrangeaient rien. Ils étaient d’ailleurs de plus en plus violents.
Puis, il se mettait à cracher une fois, deux fois, trois fois sur mon anus. Non… Il n’allait quand même pas me faire ça ce soir, moi qui n’ai jamais été sodomisée… Je ne pensais pas qu’il me le ferait dès le premier soir… A peine ai-je pu finir cette pensée qu’il mit un doigt dans mon trou du cul. Très rapidement, un deuxième plongea au fond de mon cul. J’étais extrêmement serrée et il ne se privait pas de me le dire. Les deux doigts me brûlaient énormément l’anus, mais ce n’était rien par rapport à ce qui allait venir. Brusquement, il retira sa bite de ma chatte et me l’enfonça sans aucun ménagement dans mon cul. Son rythme était le même dans mon cul que dans ma chatte. Je gémissais de douleur, je pleurais même, mais plus ça allait et plus je prenais du plaisir à me faire défoncer ainsi. Mon trou du cul se dilatait et la bite passait mieux. Ça y est, là je suis vraiment sa pute !! Jamais nous n’avions fait ça auparavant. Ce n’est plus un bout de papier que j’ai signé, là c’est du concret et cette pensée me fit jouir.
J’oubliais la douleur des brûlures sur la peau de mes fesses, j’oubliais la douleur de mon anus, j’oubliais la douleur que les clés ont faite à l’intérieur de mon vagin… J’étais dans une autre planète, celle de l’orgasme dans la perversité. Il m’obligeait à lécher ses doigts qui avaient trifouillé mon trou du cul. Je sentais la propre odeur de ma merde et même si je refusais la scatophile, cette petite odeur m’excitait… Après 15 bonnes minutes où mon cul a été totalement laminé, mon Maître se retira et éjacula sur mon visage. Waouh, quelle partie de sexe énorme !!! Instinctivement, je remerciais mon Maître. Il était ravi ! Puis il se leva et alla chercher un duvet dans l’armoire de sa chambre.
Les chiennes n’ont pas le droit de monter sur mon lit, car elles sont sales. Là, je t’ai acceptée, car tu sortais de la douche. Je t’autoriserai, peut-être, à revenir d’autres fois dans mon lit, mais ce sera uniquement pour te baiser. Ton lit, c’est au pied du mien, comme une chienne. Installe le duvet. Ah oui, et interdiction de t’essuyer le visage. Tu gardes le sperme sur ta gueule toute la nuit.
C’est ainsi que se termina ma première soirée en tant qu’esclave. Je ne m’attendais pas à quelque chose d’aussi intense dès le premier soir. Je me disais que cela promettait pour la suite ! Et je n’ai pas été déçue…