Ils ne sont plus aussi fermes qu’auparavant, bégaya-t-elle, comme pour excuser la lourdeur de ses appas.
Terriblement excité par cette situation extraordinaire, Pierre posa alors sa main gauche sur le second sein et, sans un mot, de peur de rompre cette espèce de complicité tacite qui s’était établie entre lui et sa mère, il entreprit de palper les lourdes mamelles, objet de ses fantasmes d’adolescent Longuement, il caressa ainsi l’abondante poitrine de sa sensuelle mère, prenant un plaisir extrême à presser les deux énormes seins élastiques entre ses doigts. Tendrement, il malaxa les globes charnus, tout en surveillant le visage de sa mère pour y lire les émotions que ses caresses lui procuraient. Très vite, il constata que le regard de sa mère devenait plus trouble au fil des attouchements qu’il prodiguait à ses appas mammaires, tandis que sa respiration s’accélérait. Tous ces signes de plaisir quil percevait chez sa mère lui firent comprendre combien celle-ci appréciait les attouchements quil lui prodiguait. Jugeant le moment opportun, il tenta alors de déboutonner le corsage qui lui cachait encore les fruits de chair qu’il convoitait depuis sa plus tendre enfance.
Se rendant compte soudain que les doigts de son fils essayaient de faire sauter les boutons de son chemisier, sa mère, malgré le désir qui lui tenaillait le bas-ventre et lui gonflait les mamelons, dans un dernier mouvement de pudeur, tenta d’échapper à cette initiative. Dans sa folie sexuelle, la seule solution quelle imagina fut de se blottir étroitement contre ce fils trop entreprenant, écrasant ses volumineuses mamelles contre le torse dur et musclé du jeune homme.
Non, Pierre, il ne faut pas, gémit-elle dune voix plaintive Ce nest pas bien
Ne désirant pas brusquer sa mère qu’il sentait sur le point de capituler, Pierre laissa descendre ses mains le long du corps féminin lové contre lui, appréciant au passage la courbe sensuelle des hanches évasées en forme d’amphore grecque, avant d’atteindre la croupe charnue, ferme et opulente. Pour ne pas effaroucher sa mère dont il sentait l’émoi, il se contenta d’effleurer d’une caresse légère les rondeurs jumelles des fesses tendues, appréciant la dureté des chairs sous ses doigts. Puis, comme sa mère ne semblait pas s’offusquer de ses frôlements sournois, il accentua ses attouchements. Tel un boulanger pétrissant sa pâte, il pressa avec volupté cette croupe large et encore compacte malgré lâge de sa propriétaire.
Sous cette nouvelle caresse, pratiquée à l’encontre d’une de ses zones particulièrement érogènes, sa mère, le corps parcouru d’un long frémissement érotique, cambra ses reins afin de mieux se prêter aux attouchements virils et terriblement affolants dont son postérieur était l’objet. Accrochée à son fils, le visage dans son cou, elle ne put étouffer le gémissement de plaisir que lui procuraient les caresses voluptueuses que Pierre lui dispensait avec insistance. Le brasier qui, depuis un quart d’heure, lui dévorait les entrailles devint de plus en plus ardent. Entre ses cuisses moites, elle sentit sa vulve palpiter doucement comme pour réclamer une introduction qui l’aurait comblée. Dans un spasme, qui lui fit plier les genoux, un flot brûlant s’échappa de son vagin en fusion, prélude à une jouissance qu’elle sentait proche, trempant abondamment l’entrejambe de sa culotte de soie. Les sens exacerbés, elle ne put résister au désir de frotter langoureusement son bas-ventre contre ce membre dressé qu’elle percevait à travers le pantalon de toile. Ne se contrôlant plus, elle ondula du bassin, s’excitant à sentir cette force virile contre son pubis Aussi, lorsqu’elle se rendit compte qu’imperceptiblement son fils retroussait sa jupe sur ses cuisses, le désir qui lui tenaillait les entrailles fut plus fort que la raison qui lui enjoignait de repousser les avances incestueuses du jeune homme. Gémissant doucement sous l’impatience érotique qui la submergeait, elle s’immobilisa afin de ne pas entraver l’opération engagée par son jeune partenaire.
Si elle l’avait osé, elle se serait troussée elle-même pour accélérer l’instant où les doigts masculins viendraient palper ses fesses déjà frémissantes.
Comprenant, à son immobilisme soudain, que sa mère s’abandonnait enfin à ses sens en complet désarroi, Pierre ne prit plus aucune protection pour retrousser la minijupe sous laquelle l’attendait ce merveilleux fruit féminin, chaud et juteux. Ce sexe juteux que chaque homme rêve de goûter à un moment donné. L’étroit vêtement résista quelque peu au passage des hanches rebondies. Puis enfin, Pierre put saisir à pleines mains les fesses rondes et fermes, étroitement sanglées dans un slip de soie arachnéen qui crissa doucement sous ses doigts impatients. La gorge nouée par l’émotion, il empauma cette croupe encore si ferme qu’il pressa avec ardeur, prenant un indicible plaisir à sentir les chairs se modeler sous ses doigts impatients. Longuement, il fit glisser ses paumes sur la peau satinée et frémissante de ce cul affolant, la palpant avec douceur ou la pinçant délicatement. Sa mère, le visage enfoui dans son cou, gémissait furtivement, tandis que son bas-ventre se collait avec passion contre le sien dans une offrande pressante. Mais à sentir les fesses drues et chaudes s’écarter mollement sous ses doigts, Pierre fut saisi dun désir pervers. Sournoisement, il laissa glisser un doigt entre les masses fessières si dures de sa sensuelle mère pour explorer avec circonspection la profonde raie séparant les deux rondeurs jumelles, cherchant sournoisement l’orifice anal qu’il trouva étonnamment moite.
Terriblement excité par cette découverte, mais appréhendant la réaction de sa mère, ne sachant comment celle-ci allait accepter son excursion indiscrète, il appuya doucement son majeur contre la collerette qu’il trouva curieusement humidifiée, pour la forcer à s’ouvrir. Aussitôt il enregistra la soudaine immobilité de sa mère, comme si celle-ci attendait et espérait la suite qu’il allait donner à son attouchement pervers. S’enhardissant alors, il appuya légèrement sur la rosace qui donnait accès aux profondes et mystérieuses entrailles féminines. Constatant que son doigt s’enfonçait entièrement et sans aucune peine dans l’anus assoupli de sa mère, Pierre comprit que cette dernière nétait certainement pas hostile à la sodomie. Ce qui lui fut confirmé lorsque dans un gémissement, sa mère lança sa croupe en arrière, comme pour mieux se prêter à cette introduction indiscrète.
La facilité avec laquelle il avait réussit à forcer le cul d’une souplesse incroyable de sa mère fit comprendre à Pierre que celle-ci avait certainement l’habitude de se faire sodomiser. Malgré lui, il ne put s’empêcher de penser à son père, et aux nombreuses fois qu’il avait dû enfoncer son membre dans l’anus accueillant de son épouse.
Désirant, dans un accès de lubricité, savoir jusquà quel point sa sensuelle mère avait été élargie, Pierre présenta son index à l’entrée des intestins déjà perforés par son majeur. La facilité avec laquelle son second doigt s’enfonça dans le cul élargi de sa mère lui prouva que son père avait dû maintes fois enfoncer son membre dans lorifice relâché. Mais, comme il entamait un mouvement de piston dans l’anus évasé, sa mère cambra brusquement ses reins, lançant désespérément sa croupe à la rencontre des doigts qui l’enculaient, tandis qu’une longue plainte s’échappait de sa gorge.
Oh oui, mon chéri Cest bon !…
Lorsqu’elle avait senti l’un des doigts de son fils venir fureter entre ses fesses, sa mère avait ressenti une bouffée de chaleur l’envahir : son cul avait toujours été une zone extrêmement sensible et extraordinairement érogène, presque autant que les mamelons enflés de ses volumineux seins. Marc, son époux, lavait très vite compris et ne se privait pas den user lors de leurs ébats sexuels Aussi, lorsque ce doigt s’enfonça délicatement dans ses entrailles, sa mère sentit son cur saffoler, tandis qu’une onde de plaisir lui parcourait l’échine, la faisant longuement frissonner. Et, quand le second doigt vint prendre place aux côtés du premier entre ses fesses relâchées, lui dilatant l’anus dune façon délicieuse, londe voluptueuse la submergea toute, lui faisant perdre la réalité des choses. Un seul fait compta alors pour elle : atteindre cet orgasme qu’elle sentait prêt à exploser en elle, et qu’importe que celui qui lui dispensait soit son propre fils. Pour cela elle était prête à toutes les audaces, sans souci du lien de parenté qui l’unissait à son entreprenant complice.
Ce qu’elle espérait tant se produisit sans qu’elle ne puisse rien faire pour l’en empêcher. Alors que Pierre activait pour la troisième ou quatrième fois ses deux doigts accolés dans son cul dilaté, elle ressentit comme une explosion à l’intérieur de ses organes féminins qui la tétanisa toute. Incapable de se contrôler, elle poussa une longue plainte de bête blessée, libérant ainsi tout le flux sensuel emmagasiné en elle depuis de longues semaines. Les jambes soudain coupées par la violence de son orgasme, elle s’accrocha désespérément au cou de son fils qui l’avait si rapidement menée à la jouissance. Celui-ci, les doigts toujours enfoncés dans son anus, lenlaça tendrement en lui embrassant passionnément la nuque. Entre ses cuisses sa chatte n’était plus qu’un torrent brûlant et son vagin un magma incandescent.
Aux gémissements prolongés que sa mère poussa dans son cou, Pierre comprit aisément que cette dernière venait d’atteindre la jouissance. Et le fait qu’elle ait pu jouir aussi rapidement, sans qu’il n’ait fait autre chose que de lui explorer le cul, le surprit énormément. Doucement, il retira ses doigts de l’anus élastique, déclenchant un gémissement de la part de sa partenaire. Changeant de cible, il glissa, avec émotion, sa main dans la fourche brûlante et d’une douceur extrême de la jointure des cuisses de sa sensuelle mère. La moiteur qu’il y découvrit le laissa ébahi. L’entrejambe de la culotte qui protégeait ce sexe tant désiré était littéralement trempé, comme si sa mère dans son abandon sexuel avait uriné dedans. Peut-être était-ce ce qui s’était passé ?…
Jamais, lors des quelques aventures sexuelles qu’il avait eut avant son mariage, Pierre n’avait rencontré de femme qui lâche une telle quantité de foutre lors de leur jouissance. Excité par cette découverte, il sentit le désir qu’il ressentait pour sa mère croître un peu plus. Repoussant le morceau de tissu archi-trempé de la culotte, il glissa sa main dans l’entrecuisse moite de sa mère afin d’accéder à la vulve imbibée.
La jupe retroussée jusqu’au nombril, les jambes largement écartées pour permettre à son fils de l’atteindre au plus intime d’elle-même, Françoise, le bas-ventre en fusion, poussa un petit gémissement de contentement et d’impatience en sentant les doigts du jeune homme frôler les grandes lèvres de sa chatte ruisselante.
La gorge nouée par le désir, Pierre avança ses doigts dans l’abondante pilosité au cur de laquelle s’ouvrait la longue fente béante et dégoulinante d’un jus chaud et onctueux. Terriblement ému par ce qu’il osait entreprendre, il enfonça son majeur dans le magma liquide qui enduisait l’intérieur du sexe en fusion. Comme cinq minutes auparavant, lorsqu’il s’était rendu compte de la souplesse de l’anus de sa mère, il demeura de nouveau fort étonné en découvrant la largeur étonnante du vagin dans lequel il enfonçait son doigt : une véritable cavité démesurée et aux parois spongieuses et ruisselantes d’une liqueur brûlante. Son majeur barbota dans un océan de lave ardente avec un excitant bruit de clapotis. L’orifice sexuel dans lequel il avait entrepris d’agiter son doigt lui sembla d’une telle dimension et si spacieux qu’il décida d’y enfoncer aussi son index, arrachant un gémissement à sa mère. Puis comme ses deux doigts s’agitaient toujours aussi aisément dans l’antre féminin, il y ajouta son annulaire, auquel il joignit immédiatement son auriculaire. Si bien que ce fut sa main entière, à l’exception de son pouce, qui se trouva enfoncée dans le vagin béant et ravagé de sa mère écartelée. Tandis que de son pouce il écrasait et titillait sensuellement le merveilleux bouton de chair érigé de sa mère suffoquée, il commença à fouiller en profondeur le vaste vagin, repoussant avec délectation les chairs gorgées dun jus chaud et poisseux.
(à suivre)