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"Contrat" pour une jeune etudiante de 19 ans … – Chapitre 4

"Contrat" pour une jeune etudiante de 19 ans ... - Chapitre 4



Avertissements :

Est-il besoin de le rappeler, la conduite dangereuse sur l’autoroute est sévèrement sanctionnée par les tribunaux françaisun exemple à ne pas suivre.

J’ai écrit en polonais (du moins les bribes plus ou moins exactes qui me reviennent à l’esprit), et en patois picard, ne considérez pas cela comme des fautes de syntaxe ou d’orthographe de ma part !

Jade prit place à côté de celui qu’elle appelait son maitre.

« Tu n’as pas froid aux oreilles ma petite Ombre.g ?

— Non Maitre, jamais quand je suis avec vous

— Bien, je vois que tu as retenu l’essentiel de nos conversations sur le Net ! »

L’homme actionna une commande et le toit ouvrant coulissa pour mettre la voiture en décapotable.

Jade mit ses lunettes de soleil, car le temps était radieux.

« Nous allons prendre l’autoroute ma petite Ombre.g, longer les poids lourds et j’aurai peut-être une ou deux idées amusantes

— Comme il vous plaira Maitre ! »

Jade était indécise, elle se demandait quelle idée plus ou moins perverse avait pu germer dans son esprit. L’homme était très imaginatif et très vicieuxelle en avait eu de multiples exemples dans leurs échanges virtuels.

Il fit hurler le moteur 3 fois, puis partit sur les chapeaux de roues, mettant la musique à fond.

Une fois sur l’autoroute il enclencha la 6 °, se plaça sur la voie du milieu et le compteur s’affola.

Un peu stressée, le vent dans la figure, Jade regardait la vitesse augmenter : 130, 140, 160l’homme stabilisa son véhicule autour de 190 km/h.

Jade sentait le délicieux frisson de la peur et du risque, ce qui l’avait tellement attirée dans cette relation, un peu hors normes.

Alors que la SLK doublait des lignes presque ininterrompues de camions, l’homme s’adressa à sa « soumise » :

« Ombre.g, déshabille-toi

— Ici ? Vous êtes sûr Maitre ?

— Oui ! Mais fais attention que le vent n’emporte pas tes vêtements, si tu ne veux pas te retrouver à poil sur une aire de repos

— Bien Maitre ! »

Timidement Jade déboutonna le chemisier, le retira

Le tissu battait l’air comme un drapeau sur un champ de bataille, Jade faillit le lâcher quand elle l’eut carrément retiré, puis prudemment le plaça dans la boite à gants devant elle.

Elle était seins nus, elle sentait le vent venir lui caresser délicieusement ses petits seins, dont les pointes s’érigeaient elle sentait le frisson de l’interdit et de l’exhibeune excitation sourde venait poindre dans son ventre.

Elle leva les bras qui furent poussés vers l’arrière par le souffle de l’air, jamais elle n’avait senti une telle sensation de liberté.

L’homme regarda sa soumise, heureuse, il lui demanda d’enlever son tanga, ce qu’elle fit en se tortillant sur son siège. Elle le lui donna et lui, le mit dans le vide-poche de sa portière.

« Comment te sens-tu Ombre ? Cela t’excite ?

— Oui Maitre.

— Comment est ton entrecuisse ?

— Cela commence à devenir humide Maitre.

— Tu vas relever ta jupe au-dessus de ton mont de Venus et écarter les cuisses, je vais me faire ma propre opinion. »

L’homme lui passa deux doigts sur la vulve, qui était déjà bien humide et les déposa sur les lèvres de Jade, qui ouvrit la bouche pour les sucer.

Un petit sourire aux lèvres, il se dit que jade avait bien appris les leçons et tous les conseils qu’il lui avait transmis par mail, ces 3 derniers mois

Il voulait maintenant la mettre à l’épreuve et voir ce qu’elle avait dans le ventre, quels pouvaient être son degré d’obéissance ainsi que sa perversité naturelle.

Ayant repéré une longue suite de poids lourds, toujours à 180 km/h, il ralentit et se stabilisa au niveau du premier, sur la voie du milieu et mit les warnings.

Étonné, le chauffeur du poids lourd qui était polonais, jeta un regard sur cette « merco » qui après être arrivée à grande vitesse à son niveau n’avançait plus.

Il sentait le coup fourré, des problèmes à l’horizon

Le polonais allait commencer à déverser des chapelets d’insultes sur le cabriolet, il baissa sa vitre et cria :

« Francuz ! scurvasan ! (hé le français, fils de pute !) »

Puis ayant saisi le spectacle de la jeune femme seins à l’air, jupe relevée qui laissait apparaitre son sexe épilé et son porte jarretelle, il se prit d’un grand sourire.

L’homme dans son cabriolet lui fit un grand signe de la main, sourire aux lèvres et lui dit :

" Dzen dobre, przijiacelu ! moya kubieta, moya scurva ! (Bonjour mon petit pote, voilà ma femme, ma pute en désignant Jade.)

— (Le polonais en mettant son pouce vers le haut), Bardzo dobrj, tuya kubieta !

(trop bonne ta gonzesse !)"

Les deux véhicules, qui étaient côte à côte sur l’autoroute, avaient doucement réduit leur vitesse et se retrouvaient à 70/80 km/h, créant un mini embouteillage de camions, et déchainant l’ire des autres, derrière le poids lourd polonais ; un concert d’appels de phares et de klaxons révéla le mécontentement des autres.

Jetant un coup d’il dans le rétro l’homme dit au polonais :

« Davai ! Pzrijaciel ! Next exit ! (en avant, vas-y mon potela prochaine sortie). »

L’homme ayant compris, reprit de la vitesse, permettant aux suiveurs de continuer à vitesse adéquate.

L’homme dans son cabriolet, lui, restait sur la voie du milieu à la vitesse des poids lourds.

A chaque fois, pour les 5 camions suivants, le scénario se répéta.

Le camion arrivait au niveau de la « merco, le conducteur baissait sa vitre, prêt à insulter l’homme, et voyant le spectacle émouvant des charmes de Jade offerte, prenait un grand sourire, matait la jeune femme quelques minutes, et l’homme lui disait de sarrêter à la prochaine sortie sur l’autoroute, dans les langues qu’il connaissait à peu près (polonais, espagnol, et anglais pour l’allemand et le balte suivant sur la file.)

Le dernier routier était un français du Nord, immatriculé dans le Pas de Calais, là l’homme se rappelant ses racines ch’ti, s’amusa à parler un peu patois au conducteur :

« Salut ti’z’autes, te l’ querre ch’tiote ? (Salut mon pote, elle te plait la fille ? »

Le routier passablement énervé comme ses prédécesseurs se prit au jeu du parler ch’ti, avec ce mystérieux type tout en noir qui exhibait sa compagne.

Alors tout en reluquant tant qu’il pouvait la jeune femme, il répondit en ch’ti :

« Salut mes gins, faudro ête fin babache pour n’po l’querre ch’l’file !

J’arreto po d’l’arluquer, vin dieux ! Chin tchul, ches tototes, ch’nenette !

J’sus fin bénache !

(Salut messieurs-dames, il faudrait vraiment être con pour ne pas l’apprécier cette jeune femme. Je ne peux m’empêcher de la mater, bon sang ! Son cul, ses seins, sa chatte ; j’ai jamais été autant heureux !)

— Saques eud’ din ! Min bradé ! a’l procheune sortie !

(Alors avance, vas- y mon cher, à la prochaine sortie !) »

Jade était sidérée ; son maitre non seulement l’exhibait comme une vulgaire prostituée dans une vitrine d’Amsterdam, mais en plus il « tapait la discute » avec les routiers, et en plusieurs langues encore !

Elle se trouvait entre excitation sexuelle d’être le centre du désir d’autant d’hommes à la fois, d’ admiration pour son maitre qui semblait avoir une très grande culture , au moins linguistique, extrême étonnement devant la tournure de la situation, et franchement elle avait eu une envie démentielle de rire aux éclats, quand les deux hommes s’exprimèrent dans cet improbable patois picard.

Jade était de plus très excitée, mais aussi un peu angoissée de savoir ce que son maitre avait prévu pour elle sur cette aire d’autoroute : allait-il déjà l’offrir à plusieurs mâles c’était en tout cas l’impression qui ressortait de la situation !

L’homme qui était au niveau du dernier camion de la file, « mit le turbo » et dépassa toute la file à plus de 140 km/h sous le vacarme des sirènes des camions, et des hourras de leurs conducteurs, pour atteindre la sa vitesse de croisière de 180 km /h.

Il s’adressa à Jade :

« Ma petite Ombre, tu vas prendre ton chemisier dans la boite à gants.

— Vous voulez que je me rhabille Maitre ?

– Pas exactement, lève ton bras et fais-le flotter tel un étendard au vent ! »

Jade s’exécuta, le chemisier flottait dans le souffle du vent, elle avait d’ailleurs du mal à le garder entre ses doigts

L’homme ralentit son allure et passa sur la voie de droite, il attendit que la file des poids lourds soit à environ 800 mètres derrière lui et dit à Jade :

« Maintenant lâche-le ! »

Celle-ci sur le coup de la surprise obéit et le précieux chemisier s’envola majestueusement derrière la « merco » pour atterrir sur le bord de l’autoroute à environ cent mètres derrière.

Les routiers qui avaient toujours l’il acéré sur leur prochaine aubaine, comprirent le sens du geste de l’homme.

Les premiers se mettant en warning s’arrêtèrent, bientôt suivis par les autres et les conducteurs sortirent de l’habitacle de leur véhicule, pour se lancer « à la conquête du morceau de tissu ».

D’instinct ils avaient tous compris que le premier qui l’aurait et qui le rapporterait à la demoiselle, se verrait certainement gratifier d’une récompense

Jade, tétanisée dans la voiture était arrivée aux mêmes conclusionselle allait devoir vraiment donner de sa personne pour faire plaisir à son maitre !

Qu’allait- il donc lui faire faire ? Cela l’effrayait un peu, mais la faisait encore mouiller davantage si cela était encore possible !

L’homme regarda Jade un grand sourire aux lèvres :

« C’est romantique n’est pas ?? »

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