La Merco arriva sur l’aire d’autoroute et Chris, le maître choisit un endroit un peu reculé et discret vers le fond… Afin que les jeux auxquels ils allaient pouvoir s’adonner, lui et sa soumise restassent à l’abri des regards…
Il fit sortir sa soumise toujours le torse nu, et lui prêta sa veste de cuir noir, avec néanmoins interdiction de la fermer, puis Jade prit place devant le capot, les deux mains en arrière posées dessus, et le corps légèrement cambré. Dans des concerts de klaxon, les poids lourds firent une entrée tonitruante sur l’aire, faisant lever la tête des familles, qui profitaient de la douceur du soir et savouraient leur diner, aux emplacements de pique-nique. Jade attendait plutôt nerveuse. Elle se voyait déjà dans les WC en train de faire des pipes à tous les routiers présents… Perspective qui loin de l’effrayer l’excitait à tout va.
L’humidité de son entrejambe était là pour en témoigner… Son maitre devinant peut-être son état émotionnel passa sa main sous la jupe, pour effleurer sa fente, et en retira des doigts humides qu’il fit aussitôt lécher à sa soumise.
Jade voyait son état d’excitation monter de minute en minute, en attendant l’arrivée des hommes. Elle avait déjà fait des trucs " sympas " durant sa période estudiantine, mais là elle devait bien avouer qu’elle allait explorer des « Terrae incognitae », et cela la mettait dans un état indescriptible.
Décidément elle ne regrettait vraiment pas d’avoir signé ce contrat, et d’avoir répondu à cette petite annonce sur ce site de rencontre. Sur le coup elle s’était dit qu’elle était complètement folle de répondre à une telle annonce: « Homme dominant recherche jeune femme qui n’a pas froid aux oreilles ». Et puis le style littéraire du mec l’avait progressivement emballée jusqu’à cet échange de photos. Lui, toujours habillé, lunettes de soleil, et elle s’étant effeuillée progressivement au long des envois…
Après elle était tombée sous le joug de sa domination et il avait commencé à lui faire faire des « choses » pas très catholiques… D’abord des trucs assez communs dans ce genre de relation : sortir dans la rue avec des vêtements courts, qui laissaient entrevoir la lisière de ses bas ou Dim-up. Puis nue sous ses vêtements, allant une fois jusqu’à se retrouver au restaurant seule, avec simplement une paire de bas et un porte-jarretelles, en dessous de son pardessus un peu court. Elle avait rougi quand le garçon s’était proposé, dans un geste de galanterie, de le lui retirer et d’aller le poser au portemanteau.
Elle avait eu alors la vision de se retrouver nue au milieu des convives du restaurant ; cela l’avait tellement émoustillé qu’elle avait dû se rendre aux toilettes pour une séance de masturbation qui l’avait laissée pantoise.
Le garçon, un beau brun aux yeux bleus avait compris, devant le refus de la jeune femme qu’elle était nue sous le vêtement. Il avait piqué un fard et avait été tous sourires et gentillesses pour Jade, tout au long du repas, allant jusqu’à lui offrir un digestif.
Alors la jeune femme, juste avant de sortir, lui avait fait signe discrètement de la suivre aux toilettes, et là avait entrouvert le pardessus, révélant au jeune homme ses charmes troublants. Lui prêtant son portable elle lui avait demandé de la prendre en photo en cet appareil, pour l’envoyer immédiatement à son maître. Le garçon avait essayé de s’approcher d’elle pour la caresser, mais elle lui avait notifié son refus… Son maître avait interdit tout contact avec ses « admirateurs ».
Il a avait aussi ordonné à Jade de séduire sa responsable de travaux dirigés en anglais, à la fac, une femme d’une quarantaine d’années, blonde aux yeux bleus, un peu coincée, mais qui se montrait toujours réceptive aux sourires et regards enjôleurs de Jade. Un soir, juste après le dernier TD de la journée, alors que tous les étudiants étaient partis, laissant les deux femmes seules dans la classe, elle avait prétexté une règle de conjugaison compliquée pour retenir la prof.
S’asseyant sur la première table en face du bureau contre lequel était adossée Marlène, la prof d’anglais, Jade avait patiemment croisé et décroisé ses jambes sous sa petite robe bleue moulante et très courte, révélant sans aucune pudeur le haut de ses bas et le départ des jarretelles.
Marlène, subjuguée par le spectacle offert par la jeune femme, cherchait ses mots et bafouillait, troublée par le comportement indécent et excitant de celle-ci. Elle avait vite compris que Jade ne portait pas de string. Faisant tomber « accidentellement » son stylo, dont elle mordillait nerveusement le bout, elle se baissa pour le ramasser, et jeta un regard furtif vers l’entrejambe de la jeune femme. Cette dernière, attendant cette réaction, ouvrit carrément le compas de ses longues jambes, révélant sa fente déjà brillante.
Marlène se releva, le rouge aux joues et le regard brillant. Jade savait qu’elle avait gagné. Elle se leva, se rapprocha de sa prof, les yeux dans les yeux et l’enlaçant, l’embrassa fougueusement. Dans un premier temps sa langue vint buter contre le « rempart » des dents, mais cette langue inquisitrice sut bientôt tailler sa route et venir caresser celle de la prof. Bientôt le baiser devint plus que passionné, et les jeux de langues, le goût des lèvres de l’autre, amenèrent les deux femmes au diapason. Alors des mains avides de sensations érotiques, du toucher du corps de l’autre, palpèrent, caressèrent et commencèrent deux effeuillages symétriques.
Jade fit sauter les boutons du chemisier de Marlène, dont les pans révélèrent une petite poitrine très agréable au regard. Marlène pas en reste remonta nerveusement la robe moulante de la jeune femme, qui se dandinait pour l’aider à l’enlever. La robe vint rejoindre le chemiser par terre, puis le soutien-gorge de Marlène. Une Jade nue, en lingerie minimaliste, défaisait la ceinture et les boutons du jean de la prof, qui tomba sur ses pieds, et sans hésitation se plaçant à genoux devant elle, elle descendit une petite culotte en coton blanc, et fourra instantanément son visage dans la toison blonde, bien taillée de la prof. Jade se régalait des effluves dégagés par le sexe de son ainée.
Elle n’avait jamais fait l’amour à une femme, c’était son maitre qui lui avait demandé de tenter l’expérience… L’idée l’avait instantanément fait mouiller.
Elle ne s’était pas trompée sur son instinct, déjà, elle était folle du sexe agréablement odorant de sa prof. Les phéromones lui activaient des zones de plaisir de son cerveau, provocant, sa propre moiteur en elle. Jade commença à lécher à petits coups de langue le clitoris de Marlène, pendant que celle-ci lui caressait les cheveux d’une main et ses seins à elle, de l’autre. Sous les délicieuses caresses de son élève, Marlène commença à gémir. C’est alors qu’un bruit venant du couloir fit sursauter les deux femmes : l’homme de ménage venait faire les classes. Saisissant leurs vêtements, les deux femmes se replièrent derrière le bureau, se rhabillant hâtivement, riant aux éclats, comme deux écolières espiègles prises avec la main dans le pot de confiture. Un dernier baiser torride et les deux femmes se séparèrent, en se promettant une prochaine « visite » de leurs deux corps, plus approfondie.
C’était il y avait seulement deux semaines, Marlène était en voyage à Londres et Jade avait été rappelée par son maître dans sa région d’enfance… Huit mois de relations de soumission virtuelle. Jade se rappelait tous ces récents souvenirs, alors qu’extrêmement nerveuse, elle voyait les routiers approcher, un grand sourire aux lèvres, ils étaient huit…
Là, plus de virtuel ou de personnes qu’elle choisissait elle-même d’allumer dans la rue, ou avec qui faire l’amour. Ici c’était son maître qui avait « recruté » ces types, elle ne les connaissait pas et allait devoir se soumettre aux caprices de ce dernier. Les routiers feraient ce que Chris avait décidé pour elle… Pas d’échappatoires possibles. Si ! Une seule, prononcer « rouge », et alors le jeu s’arrêtait mais définitivement… Elle perdait son maître, l’amour qu’elle avait pour lui, toutes ces sensations et ces émotions à la fois troublantes, dangereuses, excitantes et anxiogènes. Non elle allait obéir, pour qu’il soit fier de sa soumise !
Les huit routiers entourèrent Jade, adossée contre le capot de la Merco, aucun n’osait avancer à plus de deux mètres de la jeune femme, tout le monde attendait un signal. Le nordiste se tourna vers l’homme en noir :
« Alors min fieu, on peut la tripoter ch’l tiote ?
— Un instant, (haussant la voix), Gentlemen, you can play with my slave, But ! No kisses, no fuck ! Right ? Dobra ? ». (Messieurs, vous pouvez vous amuser avec ma soumise. Mais pas de baisers, ni de baise… Compris ? D’accord ?
Les hommes acquiescèrent et sur un signe de la main, Jade laissa tomber la veste de cuir, révélant sa poitrine nue. Puis dégrafant sa petite jupe légère, elle la laissa tomber sur le sol.
Très excitée, impressionnée par les gabarits des mecs autour d’elle, nerveuse, mais attendant la suite avec délectation… Jade était nue, offerte, au milieu de types qu’elle ne connaissait pas. C’était Sa première fois en groupe.