Les vacances dété venaient de commencer et javais quitté linternat de mon lycée pour rejoindre mes parents qui avaient loué une villa sur la côte dAzur. Lannée passée, javais échoué de quelques points seulement au baccalauréat et mon père avait décidé que pour mon redoublement, linternat me donnerait toutes les chances de mieux travailler. Il mavait également promis quen cas de succès à lexamen et ma majorité récemment acquise, mon permis de conduire me serait offert. Durant cette année dinternat, javais non seulement suffisamment bien travaillé pour obtenir mon bac mais javais aussi révélé mes penchants bisexuels avec mes camarades de pensions. Plutôt grande et mince, des cheveux blonds coupés très courts qui mettaient en valeurs mes yeux verts, javais eu pas mal de succès auprès de mes compagnes de dortoir.
Pour lheure, javais du délaisser Nadège, ma dernière petite amie en date. Elle aussi avait dû rejoindre ses parents mais sur la côte atlantique et léloignement nous pesait à toutes deux. Nous nous téléphonions plusieurs fois par jour mais javoue que ses baisers et ses caresses me manquaient cruellement et je compensais en me masturbant chaque fois que je le pouvais.
Cet après-midi-là, mon père était parti pêcher en mer avec un groupe damis et il ne devait rentrer quen soirée pour ce qui sannonçait comme un interminable apéritif. Ma mère et moi avions donc décidé de profiter de la piscine clôturée par une végétation haute et de bronzer nues à labri des regards indiscrets. Après quelques brasses dans leau fraiche, nous avions « tombé » les maillots et allongées tête-bêche sur nos draps de bains, nous regardions le ciel en laissant les rayons du soleil glisser sur notre peau.
Je me redressai légèrement pour prendre mes lunettes de soleil et par hasard, je posais les yeux sur le corps de ma mère. Celle-ci était aussi brune que jétais blonde et, si javais pris soin dépiler ma chatte, celle de ma mère en revanche se couvrait dun tapis débène au triangle parfaitement entretenu. Innocemment, je lui demandais pourquoi elle ne sépilait pas :
— Cest ton père qui préfère. Il dit que ça conserve mieux les arômes ! »
Avec ma mère, nous avions toujours eu une grande liberté de paroles et de ton. Nous évoquions nos sexualités sans détour mais je dois avouer que cet aveu et le manque sexuel qui me tenaillait le ventre depuis des jours, me fit leffet dun coup de bâton. Lidée dune bouche fouillant ce sexe gluant pour en goûter les sucs les plus intimes me donna une envie furieuse de porter la main à ma chatte. Mais je me retins et pour me rafraichir les idées, je proposais à ma mère daller nous chercher deux sodas. Elle acquiesça avec plaisir et quelques instants plus tard, jétais de retour avec deux grands verres. Je posais celui de ma mère près de sa tête et mes yeux glissèrent encore vers sa poitrine lourde aux seins généreux couronnés de larges aréoles brunes, sa toison épaisse, ses cuisses bronzées, jusquà ses pieds quelle avait minuscules.
Cétaient des pieds de poupées aux traits réguliers et à la cheville fine au bout desquels ses orteils faisaient comme de minuscules tétons. Je les admirais un instant car jai toujours été attirée par les pieds féminins. Dailleurs, jai toujours pris grand soin des miens, les confiant aux soins dune manucure, les enduisant chaque matin de crème protectrice, les talquant le soir avant de me coucher. Cest sans doute de là aussi que vient ma passion pour les chaussures. Passion assez ruineuse au demeurant et qui avait englouti une bonne partie de mon argent de poche
Tout en observant ses pieds, je repris ma position mais en me décalant un peu cette fois-ci. Mes jambes étaient repliées presque sous mes fesses et mes orteils se posèrent sur la plante de ceux de ma mère. Elle gloussa au contact de cette chatouille et se releva légèrement pour prendre une gorgée de soda. Chacun de mes orteils sétait animé dune vie propre, comme de minuscules tentacules qui se posaient, palpaient, tâtaient les pieds de ma mère. Celle-ci avait redressé ses voutes plantaires et, convaincue de linnocence de mes gestes, les offrait sans retenue à lexploration que javais entreprise. Jen profitais pour insérer à la manière dun coin dans une bûche, mes orteils entre ses pieds quelle avait gardés serrés et dune douce pression, jobligeais ma mère à écarter ses jambes. Au-dessus de nos têtes, le soleil irradiait sa douce chaleur. Des milliers de cigales stridulaient autour de nous dans un vacarme presque assourdissant. Nous étions seules au monde à cet instant
Relevant le dos et prenant appui sur mes coudes, je contemplais mes propres pieds en train de danser sur ceux de ma mère mais ce qui me captiva encore plus, ce fut la fente que le compas de ses cuisses avait dévoilé. Large, obscène et ourlée de poils, elle ressemblait à une bouche sur laquelle je rêvais de poser mes baisers et denfouir ma langue.
Sans que je puisse quitter des yeux ce sexe si tentant, mes pieds remontèrent doucement le long de ses chevilles et senroulèrent autour de ses mollets. En même temps et subrepticement, jamenais par de douces pressions entre ses jambes, ma mère à les écarter encore plus largement. Au milieu de son tapis dalgues sombres, le coquillage maternel commença à bailler et dévoila des nymphes roses-brunes
Mes orteils continuaient leur danse atteignant maintenant les genoux sur lesquels ils se posèrent un instant avant de reprendre leur envol. Les yeux clos, ma mère restait immobile mais sa respiration sétait accélérée et je voyais son ventre se creuser. Ses mains posées à plat sur le carrelage de la piscine se crispaient doucement
Elle replia brusquement ses genoux tout en gardant ses jambes largement écartées, à la manière dune patiente sur la table de son gynécologue. Son sexe sécartela encore un peu plus et découvrit lentrée luisante du vagin, signe indiscutable que ma mère mouillait sous leffet de mes caresses Mes pieds parcouraient maintenant la face interne de ses cuisses, là où la peau est si douce. Jeffectuais des allers retours langoureux entre le pli de ses fesses et le creux de ses genoux et à chaque fois, ma mère évasait un peu plus le compas de ses cuisses. Sa respiration était devenue un peu plus saccadée et elle avait posé un de ses bras juste sous sa poitrine. Le plus discrètement possible, elle essayait de se caresser un sein et peu à peu son pouce atteignit la frontière sombre de son aréole.
Mes orteils maintenant à quelques centimètres de sa chatte, je posai la plante de mes pieds le long de son aine comme pour encadrer le buisson poilu de son pubis. En même temps, jappliquai une douce pression qui eut pour effet décarter encore plus largement sa chatte dont je ne perdis aucun détail. Le clitoris avait fini par jaillir de ses replis de chair luisante, plus bas, le puits de son vagin sétait élargi. Je pris une profonde inspiration et délicatement, je relevais mon pied droit avant de le poser tout doucement sur la fente gluante de ma mère.
Celle-ci eut comme un hoquet et en profita pour faire remonter sa main sur son sein gauche et avoir ainsi un accès plus facile au téton qui sétait érigé. Immobile, je me contentai dans un premier temps dappliquer de douces pressions sur le clitoris de ma mère et de coller ma voute plantaire le plus étroitement possible au con maternel. Cette sensation était totalement nouvelle pour moi. Ma mère semblait lapprécier tout autant car je sentais son bassin savancer au fur et à mesure que je décollai mon pied de sa chatte avant de lécraser à nouveau sur les replis baveux.
Au bout dun instant, ce furent mes orteils qui frôlèrent son clitoris. Mes doigts de pieds senhardirent et se glissèrent plus profondément dans la fente poisseuse, samusant à en écarter les replis ou à se glisser entre ses fesses.
Dans un soupir, ma mère posa sa main libre entre ses cuisses et agrippa ma cheville. Ce geste signifiait quelle nétait plus dupe de la prétendue innocence de mes gestes et quelle mencourageait à continuer cette séance de masturbation. Dailleurs, ses doigt caressèrent mon pied et jouèrent un instant avec les orteils qui lui fouillaient la chatte. Je repris donc mes caresses de plus belle et ma mère, abandonnant mon pied, saisit ses seins à pleines mains pour les pétrir et en pincer les bourgeons. Le pouce de mon pied trouva lentrée de son vagin et senfonça de quelques centimètres.
Ma mère grogna et accompagna cette pénétration dondulations de son bassin. Je sentais quelle voulait que ça rentre plus loin, que ça senfonce plus profondément. Alors, je reculai brièvement mon pied et je joignis mes orteils de manière à ce quils forment le cône dune fusée. Le pouce reprit sa place dans le vagin maternel mais les autres orteils le rejoignirent aussitôt, écartant les parois, les évasant à la manière dun entonnoir. Mon autre pied avait pris place sur sa chatte et titillait le clitoris de ma mère. Cette dernière gémissait de plus en plus fort et arquait son bassin comme pour mieux soffrir. Lorsque tous mes orteils furent fichés dans son vagin, jappliquais une lente poussée, juste « pour voir ». Mais à ma grande surprise, le con maternel aspira le tiers de mon pied et ma mère poussa un cri rauque. Son bassin sagita de soubresauts tandis quelle atteignait son premier orgasme et une mouille épaisse et grasse sécoula. Ce lubrifiant naturel suffit à faire progresser mon pied de plusieurs centimètres supplémentaires
Je nen revenais pas. Javais déjà souvent entendu parler de fist et de pénétrations hors normes. Lune de mes camarades de dortoir avait même voulu que jenfile ma main entière dans sa chatte mais je ny étais pas parvenue. Mais là, cétait tout mon pied qui se retrouvait au fond dun vagin, celui de ma propre mère de surcroît. Je sentais les parois de son con menvelopper à la manière dune chaussette et des spasmes contractaient mes orteils. Ma mère entama des mouvements de va et vient, cherchant à sempaler plus profondément sur le pied qui lui fouillait les entrailles. A lintérieur de sa chatte, mes orteils sétaient animés dune vie propre et ondulaient jusquau tréfonds. Poussant des cris de plus en plus stridents et des « Oui, Oui, Ouuuuiii ! », ma mère fut terrassée par un deuxième orgasme.
Je la laissais reprendre ses esprits et je voulus libérer mon pied de sa prison de chairs moites. Mais ma mère agrippa ma cheville pour mobliger à rester en elle et se redressa. Elle me dévisagea longuement comme si elle voulait simprégner de ce qui venait de se passer entre nous. Ses doigts courraient le long de ma cheville et remontaient vers le mollet. Des frissons manimaient et je tremblais de désir quelle progresse encore plus haut, vers mon sexe imberbe et dégoulinant
Au lieu de cela, elle finit par retirer mon pied de sa chatte et le porta à sa bouche pour sucer consciencieusement chacun de mes orteils. Puis, elle déclara :
— « Ton père est encore à la pêche pour 2 ou 3 bonnes heures et le soleil risque de nous brûler la peau. Nous devrions rentrer à la maison et profiter de lombre et de la fraîcheur de ma chambre »
(A suivre)