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Coutume familiale – Chapitre 2

Coutume familiale - Chapitre 2



Coutume familiale

Deuxième partie

 – Papa, c’est moi, je suis rentrée !

 – Coucou Charlotte, ça va ? Alors, comment sest passée ta première journée d’adulte ?

 – Plutôt bien. Toute la classe m’a chanté un « Joyeux Anniversaire », j’étais un peu gênée. Et après les cours, avec les filles, on est allé boire un verre. Même pas besoin de stresser à l’idée du barman nous demandant notre carte d’identité.

 – Ah bah c’est du joli ça.

Je rejoins ma fille dans le salon, la prend dans mes bras et l’embrasse.

 – Joyeuse entrée dans l’âge adulte ma petite chérie.

 – Merci mon petit papa.

 – Qu’est-ce que c’est que ce cadeau que tu as dans les mains ? Tu te les fais à toi-même maintenant ?

 – Haha non, je ne suis pas encore désespérée à ce point. Regarde, c’est de la part de maman. Dommage qu’elle soit à l’étranger avec son nouveau copain.

 – Elle aurait pu faire un effort quand même, le jour de tes 18 ans, c’est pas très cool de sa part.

 – C’est pas grave, on se verra bientôt, et puis comme ça on se fait une soirée sympa tous les deux. Mon papa rien que pour moi.

 – Tu as raison. Allons fêter dignement tes 18 ans.

Nous partons alors chacun dans notre chambre pour mettre nos habits de soirée. J’opte pour quelque chose de simple : pantalon camel et chemise. En attendant ma fille je mets un peu de musique d’ambiance et prépare l’apéro. Gâteaux apéritifs, olives, pistaches, boissons, tout est là. Je patiente sur le canapé.

 – Eh bien, tu en mets du temps Chacha !

 – Je suis une fille je te rappelle. Excuse-moi de me faire belle pour mon anniversaire.

 – Dépêche-toi quand même, les olives risquent d’avoir le temps de germer.

 – Très drôle papa. J’arrive dans une minute.

Lorsque ma fille sort de sa chambre je ne peux contenir un sourire. Qu’est-ce qu’elle est belle. Elle porte une magnifique robe rouge qui s’arrête au genou avec un décolleté plongeant, un léger maquillage pour mettre en valeur son magnifique visage. Ses seins et ses fesses de jeune femme sont parfaitement moulés par sa robe. Ses cheveux blonds tombent d’un côté de sa nuque blanche. En la regardant je réalise vraiment qu’aujourd’hui ma petite fille devient officiellement une adulte. C’est passé si vite, je la revois encore toute bébé, et maintenant Une vraie femme.

 – Tu me trouves comment ?

 – Splendide ma chérie. Comme toujours mais en mieux.

 – Merci.

 – Alors, on attaque ce petit apéro ?

 – Oui, je commence à avoir faim.

Nous commençons à manger l’apéritif. Nous nous remémorons tous les souvenirs de sa jeunesse. Nous passons ensuite à table et continuons à remonter le temps avec un album photo. Ma petite fille a bien changé en quelques années.

A la fin du repas nous ouvrons les cadeaux et les lettres pour ma fille. Elle reçoit de l’argent de la part de la famille, un bon pour des soins et des massages dans un institut de beauté de la part de ses amies.

 – Oh c’est trop bien ça. Je les remercierai toutes demain.

 – Tes copines t’ont gâtée, dis-moi.

 – Oui, beaucoup. En plus c’est pour deux, j’y emmènerai maman. Tu m’excuses hein, mais je ne pense pas que tu apprécies beaucoup les soins du visage.

 – Non effectivement.

 – Alors, cadeau suivant. « De la part d’Alexandre ». J’imagine que c’est toi ça.

 – Oui, Alexandre c’est moi. Il serait temps d’apprendre le prénom de ton père.

 – Deux billets d’avion pour Los Angeles ! Mais c’est trop bien, je suis trop contente ! Depuis le temps que je rêve d’aller aux Etats-Unis. Merci, merci, merci mon papa adoré.

Elle vient me serrer dans ses bras pendant au moins une minute et m’embrasse.

 – Et on part quand ?

 – Et bien regarde. Le 1er juillet.

 – Oh non, dans trois mois, c’est trop long à attendre.

 – On n’allait quand même pas partir en cours d’année scolaire, non ?

  – Si ! Merci encore papa, c’est trop bien.

 – De rien ma puce, tu le mérites. Ça te dit qu’on danse un peu ?

 – Oui, avec plaisir.

Nous nous levons de table et allons nous placer au milieu du salon. Nous nous collons l’un à l’autre, je prends ses mains et nous commençons à danser. Ça fait longtemps que je n’avais pas fait danser une femme. Depuis ma séparation je n’avais même pas essayé de trouver une autre partenaire. Mais ma fille est parfaite dans ce rôle aujourd’hui. Son corps contre moi, je sens son cur battre. Je ne savais pas qu’elle dansait aussi bien. Nous nous regardons sans dire un mot. Elle est magnifique. Ses lèvres roses, ses yeux bleus, sa peau douce. Je ne peux empêcher quelques regards furtifs vers son magnifique décolleté. À un moment elle se penche vers moi et dépose sa tête sur mon épaule. Nous nous serrons encore un peu plus. Mais on dirait que tout ceci m’excite car une érection déplacée me prend. Je crois que Charlotte l’a remarquée car elle se décolle un peu de moi. Gêné, je fais de même :

 – Bon, il commence à se faire tard. Je vais débarrasser la table et toi vas au lit, dis-je, penaud.

 – Ok, c’est vrai que je commence à être fatiguée, dit-elle, gênée aussi.

 – Bonne nuit Charlotte.

 – Bonne nuit papa, merci encore pour le cadeau.

Je la regarde s’éloigner vers sa chambre, sa robe dansant au rythme de ses pas. Je débarrasse ensuite la table, coupe la musique, m’assied dans mon canapé et me sert un whisky. Je lis un journal pour essayer de chasser de mon esprit ce qui vient d’arriver. Je ne dois pas regarder ma fille ainsi,  même si le désir d’aimer une femme est de plus en plus pressant en moi. J’allume la télé et zappe entre les différentes chaines. Mais rien n’y fait. Je décide d’aller voir ma fille pour lui parler et m’excuser.

Je vais vers sa chambre, je ne pense pas qu’elle dorme encore. J’écoute un peu à sa porte et entend un bruit, elle ne dort pas encore. Je toque, rentre, et la découvre allongée sur son lit, sa robe remontée et sa culotte baissée en train de se masturber avec un sextoy. Je détourne alors les yeux et elle en profite pour se cacher sous sa couette.

 – Où est-ce que tu as eu ce sextoy ?

 – C’est le cadeau de maman. On avait oublié de l’ouvrir. Désolé papa, je ne pensais pas que tu reviendrais.

 – Non excuse-moi. Tu n’as pas à être désolé, c’est normal à ton âge de se masturber. En fait je venais pour te parler de tout à l’heure. Je voulais te dire que j’étais désolé, c’était déplacé de ma part mais je n’ai pas vraiment contrôlé ce qui s’est passé. Tu étais très agréable à regarder ce soir, et nous étions collés l’un contre l’autre et je me suis laissé emporter. Voilà désolé encore. Aller, je te laisse maintenant.

Alors que je sors de sa chambre, ma fille me rappelle.

 – Papa, attends. Viens te rassoir s’il-te-plait.

Je m’exécute et viens m’assoir à côté d’elle. Elle baisse un peu les yeux et me dit :

 – Pour tout te dire, je crois que j’ai plutôt aimé ce qui s’est passé tout à l’heure. A partir du moment où je suis sortis de ma chambre dans ma robe, je crois que tu m’as regardé comme aucun autre homme ne m’avais regardé avant. C’est la première fois que j’avais l’impression d’être désirée. Et même si tu es mon père, j’ai bien aimé ça. J’ai remarqué que tu m’as regardé toute la soirée : mes seins et mes fesses te plaisent je crois. Quand on a dansé et que tu as commencé à avoir une érection je me suis éloigné parce que c’est dans nos murs mais je crois qu’en réalité j’aurais voulu rester collée tout près de toi. Finalement quand je suis allée dans ma chambre et que j’ai déballé le cadeau de maman je me suis dit que c’était un signe et quand je me masturbais je crois que je pensais à toi.

Plus elle parle plus mon désir pour elle augmente. Et au même moment me revient l’épisode de la première fois où j’ai fait l’amour avec mes tantes à l’occasion de mes 18 ans. Cette fameuse coutume familiale. Je décide alors d’en parler à Charlotte.

 – Dis-moi, tu as un petit copain ?

 – Non.

 – D’autres relations de relations de ce genre ?

 – Non plus. C’est notamment pour ça que maman m’a envoyé ce sextoy.

 – Je vois. Mais tu es vierge ?

 – Je oui.

 – Ok. Je vais te révéler quelque chose qui va peut-être t’étonner un peu. Quand j’ai eu 18 ans, mes tantes Julia et Elise sont venues me voir pendant un réveillon de Noël en me demandant si ma mère et moi avions fait l’amour. Je leur ai dit qu’évidemment non. Elles m’ont alors parlé d’une tradition familiale qui se perpétue dans notre famille depuis plusieurs générations. Il s’agit pour chaque parent de faire l’amour à ses enfants le jour de leurs 18 ans. Apparemment ma mère n’a jamais voulu prendre part à cette tradition et jamais nous n’en avons parlé. Mais du coup ce sont mes deux tantes qui m’ont initié. Et je dois dire que je me souviens encore très bien de cette nuit. Et elles aussi d’ailleurs. Tout ça pour te dire que nous avons tous les deux envie de faire l’amour, nous nous faisons envie tous les deux ce soir et cette tradition familiale peut être un bon prétexte pour explorer de nouvelles choses.

Ma fille fait « oui » de la tête en me regardant dans les yeux, se mordant légèrement une lèvre. Nos visages se rapprochent timidement, comme deux amoureux pour leur premier baiser. Nos lèvres se frôlent, je sens le souffle chaud et plein d’envie de ma fille. Puis nous nous embrassons.

Ses lèvres sont douces. Son pouls s’accélère. Au début timides, nos baisers sont de plus en plus assurés. Nous commençons à dépasser l’interdit moral de cet acte. Je m’autorise à toucher et caresser la peau blanche de ma fille. Ses joues, ses bras, ses hanches, ses cuisses : j’explore son corps de femme. Ma main arrive vers sa vulve, ce qui la surprend un peu. Elle me regarde et me sourit. J’écarte alors sa robe, passe ma main sous sa culotte et la pose sur son intimité. Mes doigts viennent sur son clitoris que j’excite légèrement. Sa réaction ne se fait pas attendre : elle soupire de contentement, la tête en arrière. Ceci m’encourage et j’enfonce un doigt dans son vagin. Le vagin de ma petite fille chérie. Elle soupire de plaisir et sa main vient sur mon pantalon pour caresser mon sexe.

Au bout d’un moment Charlotte stoppe son mouvement et me dit : « Viens t’allonger papa. ». J’obéis et m’allonge sur le lit. Ma fille se place à califourchon sur moi et nous nous embrassons encore. Elle se redresse et plonge son regard dans le mien. Ses mains descendent le long de mon buste. Elle déboutonne ma chemise bouton par bouton puis écarte le tissu. Ses mains passent sur mon corps, encore un peu hésitantes et inexpérimentées. Je lui prends une main, l’embrasse et ramène ma fille contre moi. Je passe une main sous sa robe pour caresser ses seins et une autre sous sa culotte pour aller exciter son petit illet. Pour nous exciter encore plus ma fille frotte son bassin d’avant en arrière sur mon érection, mimant l’acte sexuel. Puis elle se redresse encore une fois, redescend encore ses mains mais cette fois sur mon entrejambe. Elle touche un peu à travers mon pantalon puis se décide enfin. Elle défait la boucle de ma ceinture, ouvre ma braguette et sort mon sexe de son caleçon maintenant trop étroit. Charlotte ne peut s’empêcher d’exprimer sa surprise :

 – Oh ! Je ne pensais pas que tu avais un si gros sexe papa, dit-elle, surprise et impressionnée. Enfin, je veux dire, je n’y avais jamais vraiment pensé. Je comprends mieux pourquoi tes tantes n’ont pas oublié cette nuit passée avec toi.

 – J’espère que tu ne l’oublieras pas non plus.

 – Ça ne risque pas. Je ne sais pas si je vais pouvoir tout mettre dans ma bouche.

 – Essaie, et ce n’est pas grave si tu n’y arrive pas, même si je suis sûr que tu le feras très bien.

Elle pose ses mains un peu tremblantes sur mon sexe dressé puis commence de doux va-et-vient. Le sourire qui se dessine sur son visage me montre bien qu’elle désire ce qui se passe. Ses mouvements deviennent plus assurés. Les deux mains de ma fille en train de me branler, et j’adore ça. Le désir monte encore plus en moi à mesure qu’elle me masturbe. Puis elle retire une main de mon sexe pour aller masturber le sien. Elle passe sa main sous sa culotte et je vois ses doigts rentrer dans sa petite vulve que j’espère moi aussi goûter ce soir. Elle nous masturbe simultanément, je n’aurais jamais cru que quelque chose comme ça arriverait avec ma fille. Après quelques minutes Charlotte arrête de nous masturber. Elle lèche sensuellement les doigts avec lesquels elle s’est pénétrée juste avant et s’allonge entre mes jambes. Elle regarde mon sexe avec envie et avance sa bouche. Ses lèvres se déposent sur mon gland. Elle l’enfonce dans sa bouche, aspire un peu et le relâche. Puis elle me gratifie d’un coup de langue sur toute la longueur de mon sexe. Elle reprend mon gland dans sa bouche. Cette fois elle le garde plus longtemps, je sens sa langue le lécher et le plaisir m’envahir. Je ferme les yeux et prends bien conscience de la scène : ma fille en train de me donner du plaisir en me faisant une fellation. Elle commence alors des va-et-vient. Mon sexe disparait dans sa bouche et elle me regarde dans les yeux comme une enfant qui cherche l’approbation de ses parents. Et là elle a toute mon approbation. Ses mouvements deviennent plus assurés.

 – Ça te plait papa ?

 – Oui beaucoup. Mais ne t’occupes pas de mon plaisir, occupes-toi du tien et tu verras, le mien viendra.

 – D’accord.

Elle continuait de plus belle, léchant mon sexe de haut en bas et le mettant plus profondément dans sa bouche. Comme je lui ai dit elle essaie de prendre elle-même du plaisir à me sucer et cela se ressent.

Au bout d’un moment elle s’arrête.

 – Papa ?

 – Oui, ma chérie ?

 – J’ai envie que tu me pénètres. Je veux sentir ta queue.

 – Avec plaisir ma puce. Tu auras tout ce que tu voudras.

Elle lèche une dernière fois mon sexe et enlève complètement mon pantalon et mon caleçon. Elle se place à califourchon sur moi.

 – Enlève ta robe Charlotte, je veux voir ton corps nu.

 – D’accord papa.

Elle enlève sa robe rouge et j’en profite pour retirer moi aussi ma chemise. Son corps de femme se dévoile enfin tout entier à moi. Ses seins rebondis, ses hanches sculptées, ses fesses sublimes. Pendant que j’observe ma fille devenue adulte, elle pose sa vulve humide sur mon sexe et frotte nos sexes l’un contre l’autre. L’excitation, le désir et la tentation ne font qu’augmenter et à un moment mon sexe vient s’enfourner dans le sien.

 – Aaaaaah oui papa. Tu es si dur.

 – C’est toi qui me rends si dur chérie.

Ça y est, je pénètre ma fille. Mon sexe est dans son vagin et je commence à l’enfoncer plus profondément. Je sens les parois se contracter autour de mon sexe et cela m’excite encore plus. Charlotte commence les va-et-vient sur mon sexe. Je pose mes mains sur ses seins pour les masser en même temps. Des seins bien fermes de jeunes femmes, cela faisait longtemps.

 – Je comprends encore mieux pourquoi tes tantes voulaient te faire l’amour. Je sens ta grande queue profondément en moi et j’adore ça.

 – Merci chérie, je suis ravie que ça te plaise.

Elle augmente encore la cadence. Ses fesses claquent contre mes cuisses. Je ne pensais pas ma fille aussi active au lit, d’autant plus qu’elle est vierge, mais je dois dire que ce n’est pas pour me déplaire. Mon sexe rentre plus en elle chaque fois. Ça fait longtemps que je n’avais pas eu autant de plaisir au lit. Je prends ses hanches pour accompagner son mouvement. Elle approche son visage et nous nous embrassons.

 – C’est tellement bon papa.

 – Moi aussi j’adore ça chérie.

 – Je crois qu’au fond de moi j’ai toujours voulu faire ça avec toi un jour.

 – Alors, dis-moi est-ce que je peux te faire un cunni ?

 – Oui ! Je n’attends que ça.

A ces mots elle se retire et se met sur le dos. Je me place entre ses jambes écartées. Cela fait longtemps qu’une femme ne s’était pas offerte à moi comme ça. Je caresse ses jambes. Elle a la peau si douce. J’embrasse ses cuisses et remonte jusqu’à son fruit défendu. Sa fente est humide et je ne peux pas attendre plus longtemps. Je passe ma langue entre ses lèvres. Un frisson de plaisir l’envahit. Je recommence mon geste. Même réaction. Je continue alors, plus rapidement, plus appuyé. Charlotte se cambre de plaisir. Ceci m’encourage et je dévore plus rapidement ce fruit d’amour.

 – Doucement papa, pas si vite.

 – Oh excuse-moi chérie.

Je me calme et m’applique pour donner plus de plaisir à ma fille. Je vais titiller son clitoris avec ma langue, l’aspire un peu entre mes lèvres.

 – Oh oui papa, c’est tellement bon. Continue.

Je suce le bouton de plaisir de ma fille. Puis je la pénètre avec un doigt, doucement. Elle gémit encore de plaisir alors je continue plus profondément. Et lui enfonce un deuxième doigt. Je la pénètre de plus en plus rapidement tout en léchant son clitoris. Je donne le plus de plaisir possible à ma fille. Et ceci à l’air de faire effet. Elle gémit de plaisir, suce un de ses doigts en me regardant et excite ses mamelons. Je m’applique encore plus à la lécher, mes doigts viennent en renfort de ma langue pour exciter le clitoris de ma fille.

 – Oh oui !  C’est bon ! Je vais jouir. Fais-moi jouir papa, fais jouir ta fille.

Je ne demande que ça et quelques secondes plus tard Charlotte est prise de spasmes de plaisir. Son corps entier tremble sous l’orgasme que je lui ai donné. Son souffle est fort, elle se laisse complètement s’affaler sur son lit. Je remonte vers son joli visage pour l’embrasser. C’est elle qui prend ma tête entre ses mains pour me tirer vers elle. Ma fille m’embrasse à pleine bouche. Puis elle me glisse à l’oreille :

 – Merci, c’était trop bon.

 – Avec plaisir Charlotte.

 – Baise-moi encore papa.

 – Tout de suite ?!

 – Et oui papa, moi je n’ai que 18 ans, j’ai la pêche. Mais je fais ça pour t’entretenir tu sais.

 – Oui j’imagine bien.

Charlotte se redresse, se met à quatre pattes, son magnifique fessier dressé vers moi. Je viens une première fois passer un coup de langue depuis sa vulve jusqu’à son petit illet pour humidifier un peu. Mais ma fille est déjà bien assez excitée et je place mon sexe à l’entrée de son vagin. Mon gland écarte ses petites lèvres et la pénètre une nouvelle fois. Je peux enfoncer mon sexe jusqu’au bout.

 – Oh oui papa, je te sens tout au fond de moi. Baise-moi.

 – Oui ma chérie, tout ce que tu veux.

J’attrape ses fesses et commence mes va-et-vient en elle. Au début doucement puis de plus en plus fort. Charlotte pousse des petits cris à chaque pénétration. Ma queue en elle lui procure du plaisir et à moi aussi. En levrette j’ai une magnifique vue sur son cul et j’ai bien envie de le pénétrer, mais une autre fois peut-être. Pour l’instant je me concentre sur son vagin de jeune fille. Je sens les parois se contracter autour de mon sexe.

A un moment le téléphone portable sur la table de nuit de ma fille sonne. Sûrement par réflexe ma fille décroche. Je ralentis immédiatement mes coups de boutoir afin qu’elle puisse parler normalement.

 – Oui allô ?

 – Coucou chérie, c’est maman.

Ma fille se retourne vers moi en étouffant un rire, d’autant plus quand elle voit ma tête paniquée. Alors que je veux me retirer, elle me dit en chuchotant de continuer à la baiser.

 – Coucou maman, tu vas bien ?

 – Oui très bien. Je t’appelle pour te souhaiter un joyeux anniversaire. Joyeux anniversaire ma grande fille !

 – Oh merci beaucoup maman, ça me fait trop plaisir.

 – Oh, mais j’espère qu’il n’est pas trop tard en France, je ne t’ai pas réveillée ?

 – Non maman, ne t’inquiète pas, on fait encore la fête avec papa.

 – Ah tant mieux. Passe-lui le bonjour de ma part.

 – Maman te dit bonjour.

 – Salut Corinne, dis-je tout en recommençant à baiser notre fille.

 – T’as entendu maman ?

 – Oui. Ça me fait plaisir que vous passiez ton anniversaire ensemble.

 – Oui moi aussi. Je vais le fêter avec mes amis dans une semaine.

 – Ah très bien. Et dis-moi, tu as bien reçu mon cadeau ?

 – Oui.

 – Et tu l’as ouvert ?

Encore une fois ma fille tourne la tête vers moi en souriant. Je souris moi aussi en me disant que c’est le cadeau de mon ex-femme qui a tout déclenché ce soir. Et j’augmente un peu la cadence de mes va-et-vient dans ma fille. Ceci la déconcentre un peu et elle ne répond plus au téléphone.

 – Allô chérie ?

 – Ah oui excuse-moi maman c’est juste que han Enfin, non, je ne l’ai pas encore ouvert.

 – Tant mieux. Ouvre-le quand tu seras seule dans ta chambre, d’accord ? Je pense que tu vas bien aimer.

 – J’en doute pas une seconde maman han.

 – Qu’est-ce qu’il y a chérie ? On dirait que tu es essoufflée.

 – Oui on joue à la Wii avec papa. On joue au tennis.

La scène m’excitait de plus en plus et presque inconsciemment j’augmentais ma pénétration dans le vagin de ma fille.

 – Essayez de ne pas empêcher les voisins de dormir en tapant ou en faisant trop de bruit.

 – Oui bien sûr maman. Mais c’est mon anniversaire quand même, j’ai le droit de m’éclater avec mon papa. Oh oui !

 – Que se passe-t-il ?

 – C’est rien, je… han… je viens de mettre un point.

 – Ah, bravo ma fille. Vous avez l’air de bien vous amuser.

 – Oui très bien. Ça m’a fait plaisir… que tu appelles maman, mais là il faut que… je me concentre si je veux gagner.

  – D’accord Chacha, je vous laisse. Encore joyeux anniversaire.

 – Merci maman, bye.

Elle raccroche le téléphone et le repose sur la table de nuit.

 – Mais pourquoi t’as décroché ce téléphone ?

 – Je sais pas. Mais c’était plutôt excitant, non ?

 – C’est vrai. Mais maintenant que tu as raccroché je vais pouvoir mieux smasher tes petites fesses.

 – Oui, vas-y papa.

Je peux maintenant aller profondément dans ma fille chérie. J’enfonce mon sexe dans son vagin et elle ne peut réprimer des petits cris de plaisir à chaque pénétration. Elle doit bien aimer ça car elle agite son petit cul sur ma bite pour avoir encore plus de plaisir. J’agrippe ses fesses et la pénètre de plus en plus fort. Mes boules claquent sur sa chatte, ses seins s’agitent, et je sens ma jouissance arriver. Mais je sens ma fille qui se contracte toute entière : ses mains agrippent les draps, les muscles de son vagin enserrent mon sexe. Je m’arrête. Elle aussi. Puis elle s’allonge sur le lit en profitant de son orgasme. Son sourire sur son visage traduit sa jouissance. Je suis heureux de voir ma fille ainsi. Elle rouvre les yeux :

 – Toi aussi tu dois jouir papa. Je veux ta jouissance dans ma petite bouche.

Elle attrape mon sexe et me branle. Quelques secondes suffisent à me faire décharger ma semence dans sa bouche. Elle avale tout et me sourit.

 – Tu dors avec moi cette nuit ?

 – Oui bien sûr chérie.

Je m’allonge à côté de son corps de déesse. Elle se met sur moi alors je l’enlace. Elle m’embrasse.

 – Je t’aime papa.

 – Moi aussi je t’aime Charlotte.

 – Je crois que c’est le plus beau cadeau d’anniversaire qu’on pourra jamais me faire.

 – Haha ne dis pas ça. Un jour tu auras un copain et tu préféreras ses cadeaux.

 – Je ne suis pas sûr de vouloir un copain après cette soirée passée avec toi.

Nous rions et nous embrassons encore.

Décidément, je comprends de mieux en mieux pourquoi cette tradition familiale se perpétue de génération en génaration.

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